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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Parmi les multiples épisodes qui ont ponctué cette nouvelle vie placée sous le signe du candaulisme, celui de la cabine d’essayage reste très présent à mon esprit.
Sonia, avait programmé de faire des emplettes de lingerie. « Tu m’accompagnes ? ». Cela va sans dire. Nous nous retrouvons donc dans une boutique de la rue Quincampoix, particulièrement bien fournie. Un vendeur très pro nous accueille, aimable et dépourvu de toute vulgarité. Il sait accueillir comme il se doit une femme en quête de belle lingerie, accompagnée de son époux, prêt à conseiller si besoin est, mais sachant avant tout s’effacer, soucieux de préserver l’intimité du couple. Connaissant les goûts de Sonia pour les corsets anglais et les guépières romantiques qui mettent si bien en valeur ses beaux seins, c’est tout naturellement vers ce rayon que je me dirige. Mais Sonia ne suit pas. Revenant sur mes pas, je la trouve en train de batifoler avec le vendeur et j’entends très clairement en arrivant : « c’est pas seulement pour lui ». Visiblement un peu embarrassé, le vendeur ne sait pas trop quelle contenance prendre. Prudent, il s’éclipse et nous laisse seuls. Je retrouve donc ma Sonia, saisis parfaitement le sens de la phrase qui avait laissé le vendeur pantois… et quelle n’est pas ma surprise de découvrir sur quoi s’est porté son choix : un ensemble noir et rouge comprenant tanga ouvert, serre-taille et bustier seins nus. Je lui lâche un truc du genre « Bah dis-donc, ça fait vraiment pute, ce truc ». « Oui, mais c’est ce qu’il veut », me rétorque-t-elle, en entrant dans une cabine d’essayage. Si invraisemblable soit-elle, la situation m’apparaît immédiatement dans toute sa clarté : mon épouse veut s’arnacher comme la dernière des putes pour aller se faire sauter par son amant, et c’est à moi qu’elle demande conseil… En fait, pas seulement à moi, car la malicieuse Sonia, entend bien aussi solliciter l’aide du vendeur. Rappelé par mon épouse, le voici qui accourt. « Mais comment est-ce que ça se place ce bustier ? Est-qu’il faut d’abord le lacer avant de la mettre ? ». Comme si ça ne suffisait pas, elle ajoute : « vous pouvez m’aider ? ». Le problème est que Sonia avait placé son bustier trop haut, juste au ras des mamelons. Impossible à lacer dans ses conditions. « Vous permettez que je vous le mette en place ? » se risque-t-il en quêtant mon accord du regard. Le voici donc, soulevant un sein de mon épouse, puis l’autre, pour bien les placer au bon endroit. Visiblement satisfaite, Sonia demande maintenant à essayer le serre taille et le tanga. Bien sûr. « Vous me donnerez votre avis, Monsieur ». Comme si elle essayait un cardigan aux Galeries Lafayette, Sonia demandait donc, une fois revêtu son ensemble 3 pièces, un conseil professionnel au vendeur. Plutôt que de le faire entrer dans la cabine, elle avait tout simplement tiré le rideau. Du coup, les quelques clients avait tout loisir de mater cette poupée peu farouche. Voir ma petite pute ainsi reluquée m’avait donné une telle érection qu’elle a dû calmer mes ardeurs dans la cabine, à l’aide d’une douce fellation.

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