- 09 déc. 2023, 16:18
#2764206
Une soirée de plus, cette fois avec trois de ses collègues 
Pour information, Gaëlle et moi nous sommes mis au candaulisme il y a quelques années après qu'elle ait eu le courage de verbaliser des fantasmes que certains jugent "immoraux voire décadents"... Gaelle ayant une sexualité très affirmée (et encore plus depuis que nous avons ouvert les portes du candaulisme), on use (et abuse probablement) de petites soirées coquines avant tout pour elle, avec ou sans moi.
Gaëlle est une bretonne de 29 ans à l'éducation religieuse et stricte, ce qui transparait dans son style vestimentaire et son attitude "publique" mais c'est tout l'inverse dans la sphère intime où elle devient tout simplement une autre personne diamétralement opposée à la femme timide et effacée de tous les jours. Elle est belle. Elle a la peau blanche, quelques tâches de rousseur sur le visage, les cheveux bruns et bouclés et avec des lèvres pulpeuses et un regard bleu perçant. Elle mesure 1,67m, 55kg, de légères formes et un 90C.
Ce samedi, nous avions invité 3 de ses collègues. Le premier Fabrice, son chef, un bon vivant grisonnant de 53 ans. Le second Antoine, un jeune homme classe et élégant de 28 ans avec qui ma femme a déjà eu une "aventure" au bureau. Et enfin Yanis, un jeune du 93 en alternance et dont Gaelle est la tutrice.
19h57, on sonne à la porte.J'ouvre la porte, c'est Antoine, habillé en chemise, Chino et chaussures de ville. Élégant. Je le salue sans ignorer qu'il a déjà possédé ma femme il y a quelques mois. Il sait ce que nous faisons avec Gaelle, il ne sera pas difficile à convaincre... Gaelle arrive, bien apprêté, sexy même en robe sous laquelle on ne perçoit ni ses bas ni son plug anal. Elle porte également des talons qu'elle ne tardera pas à retirer (nous vivons en appartement et la patience des voisins est régulièrement mise à rude épreuve...). La bise qu'ils échangent est généreuse et emprunte d'ambiguïté et de sensualité. Viennent ensuite Fabrice et Yanis, avec une trentaine de minutes en retard.
Nous nous installons dans la salon et force est de constater que Gaëlle est entrée dans un jeu de séduction que personne ne peut ignorer. Notre conversation gravite rapidement autour du sexe et des pratiques de chacun. Pour plus de simplicité et sans mentir nous "confessons" que nous sommes libertins depuis 4 ans et que très régulièrement j'assiste passivement, ou non à des scènes théâtralisant Gaëlle avec un ou plusieurs hommes. Cette fois il n'y a plus de doutes, il savent très bien comment nous envisageons la suite de la soirée. Antoine est acquis à la cause et loue notre ouverture d'esprit. Fabrice, curieux, pose plusieurs questions comme pour s'enquérir des possibilité de gouter à ma femme ce soir. Il me demande ce qu'il m'excite dans cette pratique et ce que je fais pendant que cela se passe. Je lui réponds que je peux participer comme ne pas participer, regarder, me masturber ou prendre des photos. En somme, il n'y a aucune règle. Yanis, lui est mal à l'aise, plus jeune, et surtout moins intégré socialement, il demeure silencieux tout en dévorant du regard ma femme, de la tête aux pieds avec un air de prédation qui m'excite.
A ce stade, je sais que Gaëlle goutera au moins à un pénis qui n'est pas le mien. Je la vois déjà en mauvaise posture, ici, sur le canapé, accablée et subissante. Mon esprit vagabonde dans les abysses de mon désir. Je suis tiré de mes pensées par Gaëlle qui m'invite à ouvrir une énième bouteille de vin pour satisfaire nos hôtes. Tout le monde boit sauf Yanis, ce qui peut expliquer son effacement. Fabrice et Antoine se veulent de plus en plus tactiles avec Gaëlle qui rend largement leurs avances par nombre de gestes déplacées, des regards insistants et des postures plus qu'univoques.
Je la retrouve à la cuisine. Je sais qu'elle est excitée, je la connais trop bien mais je ne peux m'empêcher de passer ma main entre ses cuisses pour mesurer l'ampleur de son désir. Je la regarde et elle en fait autant. Elle me murmure "je veux les trois". Je succombe. Je retourne dans le salon où j'invite nos hôtes alcoolisés à s'assoir confortablement dans notre canapé. Personne n'est dupe et tout le monde obtempère. Je leur consent une blague à propose de ce canapé qui a connu de nombreux postérieurs d'hommes parce que Gaëlle est très "sociable". Fabrice rétorque qu'il aimerait bien voir ça. C'est gagné... Je m'installe à l'écarte dans un fauteuil et ne perds pas une seconde du spectacle qui se déroule sous mes yeux.
Gaëlle a tout entendu et nous rejoint. Elle ne quitte pas du regard Fabrice, son chef, qu'elle voit quotidiennement au bureau en costume cravate et qui ce soir va lui dévoiler son sexe la posséder. Elle s'approche et se place en face de lui. Elle lui demande de l'aider à dézipper sa robe, ce qu'il s'empresse de faire en bondissant. Elle fait tomber sa robe à ses chevilles et d'un geste félin, la met de côté avec ses pieds.Gaëlle est en bas, sans sous-vêtements. Ils ne le voient pas mais elle a l'anus rempli par cet objet depuis plusieurs heures. La connaissant elle n'appréhende pas de le retirer à condition que quelqu'un vienne prendre sa place. Elle invite Fabrice à se débarrasser dessin pantalon et de son caleçon. Elle s'agenouille et engouffre son sexe dans sa bouche. Des frissons me parcourent l'échine, comme à chaque fois.
Chaque fois que je la vois gouter un autre homme, ce qui est arrivé des dizaines et des dizaines de fois. Pourtant, cela me fait toujours le même effet, comme si j'avais du mal à réaliser que Gaëlle, ma femme, puisse vraiment faire tout ce qu'elle fait...
Les autres imitent rapidement Fabrice. Même Yanis, le moins alcoolisé et de loin le plus excité. Elle fonce au milieu, sur la bite d'Antoine qu'elle connait déjà. Ce dernier ose la prendre par les cheveux et l'accompagner dans ses mouvements. Elle tend les bras de part et d'autres pour saisir les autres bites qui vont la prendre ce soir. J'ai le privilège d'assister à cette scène magnifique où Gaëlle, aliénée, possédée engage son corps et sa vertu pour satisfaire de la manière la plus primaire trois hommes qui l'utiliseront à leur guise et sans contrepartie. Car en effet pour en avoir parler longuement avec elle, la réciprocité n'a pas sa place, elle prend du plaisir à travers mon regard et à travers le plaisir de ceux qu'elle contente.
Tout le monde y passe, elle goute aux trois sans cohérence et à juger par les bruits et l'abondance des fluides sur les cuisses de nos hôtes, elle en oublie de déglutir. Elle a attaché ses cheveux bouclés que je vois s'agiter à contre courant des mouvements généreux qu'elle réalise pour dispenser des fellations névrosées. Je leur indique qu'ils doivent en profiter, que Gaëlle est une salope et qu'elle aime qu'on la baise salement. Je peine toujours à réaliser que ce genre de mots sortent de ma bouche et le fait de le réaliser m'enfonce encore un peu plus dans un état second où seul importe de la voir comblée et remplie. Je lance des préservatifs sur la table basse sans que je les contraignent à les utiliser (on les connait, ce ne sont pas des inconnus rencontrés sur Internet ou sur un parking...). Antoine me cherche du regard pour me demander s'il doit en mettre une. Je lui répond "la dernière fois tu n'en avais pas, t'inquiète".
Il se lève pendant qu'elle suce Yanis et porte sa main à sa chatte "tu mouilles bien!". Il lui écarte sans ménagement les pattes et disparait au fond d'elle. J'aime cette première pénétration, parce que je sais qu'elle est unique pour elle. D'ailleurs, elle pousse un gémissement alors qu'elle a encore la bouche pleine. Je m'approche pendant qu'elle se fait baiser par Antoine et j'en profite pour retirer son plug et lui insérer quelques doigts. Je dis à Antoine "vasy doigte lui le cul". Il s'exécute difficilement à cause de l'angle. Je finis par retirer mon pantalon pour me branler devant cette scène choquante que récurrente. Voir ma femme souillée par d'autres hommes et voir qu'elle adore ça.
Fabrice fait signe à Antoine qu'il veut la prendre. Antoine n'a pas l'air de vouloir céder sa place et propose une position de manière à satisfaire tout le monde. Avant qu'ils envisagent de la sodomiser je m'approche pour cracher son anus pur lubrifier. Moi comme elle savons qu'elle souffrira au début mais qu'elle pendra son pied ensuite. Je ne peux résister à glisser quelques doigts dans son corps avant de lui asséner une fessée, signal qu'ils peuvent disposer de ma femme de nouveau. J'ai tiré la table basse pour qu'ils puissent se mettre sur le tapis. Gaëlle est à quatre pattes, Fabrice est en dessous et Antoine dessus. Yanis lui, est resté sur le canapé pour se masturber. Gaëlle a le teint rouge, elle a chaud, et prend du plaisir. Elle est pleine et subi les assauts de son chef et de son collègue, sans protections, devant son stagiaire et on mari qui nous masturbons. Quelle délicieuse décadence de voir sa femme ainsi, en si mauvaise posture.
J'interviens pour proposer à Yanis de prendre la place d'Antoine, qui, en se retirant fait mal à Gaëlle qui soupire un "putain" terriblement excitant. Antoine se place de manière à ce qu'elle puisse le sucer. Yanis se lève et je surpris de constater qu'il est grand et qu'il est sans doute préférable d'avoir procédé dans cet ordre. Je me délecte du moment où il va rentrer dans le cul de ma femme. Elle a craché la bite d'Antoine pour pousser un cri mêlant douleur et plaisir. Elle jette sa main sur la cuisse de son nouveau bourreau pour lui faire comprendre qu'il doit y aller doucement. Fabrice, imperturbable, continue de la limer comme si c'était un objet. Je me transporte face sur le côté pour regarder ses rictus sur son visage d'ange, voir dans ses yeux la douleur et le coupable plaisir de ce que nous faisons. "doucement" ; "attend" ; "vas-y oui c'est bon putain". La salope, elle aime se faire enculer. Je jouis malgré moi. Orgasme volé, je suis frustré mais c'était trop excitant. Cet orgasme ne me satisfait pas, je suis toujours excité mais je ne peux mécaniquement rien faire....
Après les quelques précautions préliminaires, Yanis s'en donne désormais à coeur joie. Je prends quelques photos avec mon smartphone en rassurant l'assemblée qui ne m'écoute guère "je ne diffuse pas et je cache les visages".
Je commence à débarrasser la table pendant que Gaëlle se fait baiser comme une pute dans le salon. Je réalise que les volets ne sont pas fermées et que les rideaux ne sont pas tirés. La proximité de l'immeuble d'en face et l'obscurité dans la rue offre un vis à vis parfait pour nos voisins voyeurs. Je prends le temps d'observer aux fenêtres si quelqu'un regarde ma femme se faire enculer. Ce n'est actuellement pas le cas, je suis aussi déçu que rassuré. Je fais quelques allers et retours dans la cuisine et j'entend Gaëlle couiner depuis l'autre bout de l'appartement. C'est son moment, qu'elle en profite, qu'ils profitent de la connaitre dans son intimité, comme elle est vraiment. Evidemment ça parlera, ça parle toujours, mais cela m'excite aussi que le monde sache que ma femme est une chienne qui aime se faire démonter par n'importe qui et à plusieurs.
Quand je reviens dans la selon, je revois ces corps luisant de sueur disparaitre dans ma femme. Je vois ses courbes s'agiter au grès mouvements, je vois les ondulations sur sa peau sous la pression des coups de bite. Je me demande comment son corps peut il encaisser toute cette violence, cette brutalité... Mon désir fond peu à peu et avec lui monte la culpabilité et la honte excitante de n'être que celui qui partage sa femme, le cocu à qui sa femme impose ses envies égoïstes. J'invite tout le monde à terminer comme ils le souhaitent. Gaëlle me regarde, elle comprend exactement mon état d'esprit.
Fabrice est le premier a terminer dans la chatte de ma femme dans un râle salutaire. Antoine invite Gaëlle à se mettre à genoux pour qu'ils finissent sur son visage avec Yanis. Je contemple ma femme sur ce tapis, la bouche grande ouverte, les yeux fixant les deux glands qui s'agitent devant elle, ses mains au contact des couilles de ses deux collègues. Elle se tient droite et j'éprouve l'envie de regarder son cul, mesurer à quel point ils l'ont bourré. Tout est mouillé, il y a ce qui lui appartient à elle et ce qui leur appartient à eux. Je la caresse avec mes doigts glissants de haut en bas. Le sperme de Fabrice dégouline le long de ses cuisses. J'en récupère une partie malgré moi lorsque je plonge mes doigts dans sa chatte souillée. Je m'extrais avant de fouiller son cul béant (il n'y a pas d'autre mot...). Elle gigote une fois en elle, un réflexe primaire de ce corps trop habitué à être utilisé sans doute.
Antoine termine sur son visage suivi de près par Yanis qui prennent le prétexter d'essuyer leur gland, pour en réalité asséner des petits coups de bite sur les joues rouges de ma femme. Ils prennent leur distance avant de s'habiller comme s'ils savaient que ce qu'ils venaient de faire était mal. Gaelle est là, comme une paria encore à genoux sur le tapis. Elle reprend peu à peu ces esprits. Il n'y aura pas de câlins, ni de tendresse ce soir.
Le temps a en effet filé, nos trois convives se montrent aussi gênés que pressés de partir, comme si rester à côté de cette pute souillée était aussi dégradant pour eux. Alors que c'est elle qui est couverte de sperme, son maquillage effacé. Gaelle a une tête de pute et je suis pressé qu'ils partent tous pour la posséder à mon tour.
Les au revoir embarrassés sont terminés. Nous ne sommes que tous les deux. Plus je la regarde sale, souillée plus j'ai envie de la soumettre, de faire des choses encore plus sales. Cependant, je suis le garant des limites dans notre couple parce qu'elle, à ma connaissance, elle n'en a aucune. C'est ce qui la rend incontrôlable, insaisissable et encore plus désirable.
Je la replace sur le canapé, je l'embrasse langoureusement même si ne je retrouve pas son gout. Elle me suce quelques minutes mais je la stope pour jouir rapidement dans son cul dont je sens à peine les parois....
N'hésitez pas à me faire un retour, c'est elle qui tenait à ce que j'écrive nos (mes)aventures. A bientôt !
Ben
Pour information, Gaëlle et moi nous sommes mis au candaulisme il y a quelques années après qu'elle ait eu le courage de verbaliser des fantasmes que certains jugent "immoraux voire décadents"... Gaelle ayant une sexualité très affirmée (et encore plus depuis que nous avons ouvert les portes du candaulisme), on use (et abuse probablement) de petites soirées coquines avant tout pour elle, avec ou sans moi.
Gaëlle est une bretonne de 29 ans à l'éducation religieuse et stricte, ce qui transparait dans son style vestimentaire et son attitude "publique" mais c'est tout l'inverse dans la sphère intime où elle devient tout simplement une autre personne diamétralement opposée à la femme timide et effacée de tous les jours. Elle est belle. Elle a la peau blanche, quelques tâches de rousseur sur le visage, les cheveux bruns et bouclés et avec des lèvres pulpeuses et un regard bleu perçant. Elle mesure 1,67m, 55kg, de légères formes et un 90C.
Ce samedi, nous avions invité 3 de ses collègues. Le premier Fabrice, son chef, un bon vivant grisonnant de 53 ans. Le second Antoine, un jeune homme classe et élégant de 28 ans avec qui ma femme a déjà eu une "aventure" au bureau. Et enfin Yanis, un jeune du 93 en alternance et dont Gaelle est la tutrice.
19h57, on sonne à la porte.J'ouvre la porte, c'est Antoine, habillé en chemise, Chino et chaussures de ville. Élégant. Je le salue sans ignorer qu'il a déjà possédé ma femme il y a quelques mois. Il sait ce que nous faisons avec Gaelle, il ne sera pas difficile à convaincre... Gaelle arrive, bien apprêté, sexy même en robe sous laquelle on ne perçoit ni ses bas ni son plug anal. Elle porte également des talons qu'elle ne tardera pas à retirer (nous vivons en appartement et la patience des voisins est régulièrement mise à rude épreuve...). La bise qu'ils échangent est généreuse et emprunte d'ambiguïté et de sensualité. Viennent ensuite Fabrice et Yanis, avec une trentaine de minutes en retard.
Nous nous installons dans la salon et force est de constater que Gaëlle est entrée dans un jeu de séduction que personne ne peut ignorer. Notre conversation gravite rapidement autour du sexe et des pratiques de chacun. Pour plus de simplicité et sans mentir nous "confessons" que nous sommes libertins depuis 4 ans et que très régulièrement j'assiste passivement, ou non à des scènes théâtralisant Gaëlle avec un ou plusieurs hommes. Cette fois il n'y a plus de doutes, il savent très bien comment nous envisageons la suite de la soirée. Antoine est acquis à la cause et loue notre ouverture d'esprit. Fabrice, curieux, pose plusieurs questions comme pour s'enquérir des possibilité de gouter à ma femme ce soir. Il me demande ce qu'il m'excite dans cette pratique et ce que je fais pendant que cela se passe. Je lui réponds que je peux participer comme ne pas participer, regarder, me masturber ou prendre des photos. En somme, il n'y a aucune règle. Yanis, lui est mal à l'aise, plus jeune, et surtout moins intégré socialement, il demeure silencieux tout en dévorant du regard ma femme, de la tête aux pieds avec un air de prédation qui m'excite.
A ce stade, je sais que Gaëlle goutera au moins à un pénis qui n'est pas le mien. Je la vois déjà en mauvaise posture, ici, sur le canapé, accablée et subissante. Mon esprit vagabonde dans les abysses de mon désir. Je suis tiré de mes pensées par Gaëlle qui m'invite à ouvrir une énième bouteille de vin pour satisfaire nos hôtes. Tout le monde boit sauf Yanis, ce qui peut expliquer son effacement. Fabrice et Antoine se veulent de plus en plus tactiles avec Gaëlle qui rend largement leurs avances par nombre de gestes déplacées, des regards insistants et des postures plus qu'univoques.
Je la retrouve à la cuisine. Je sais qu'elle est excitée, je la connais trop bien mais je ne peux m'empêcher de passer ma main entre ses cuisses pour mesurer l'ampleur de son désir. Je la regarde et elle en fait autant. Elle me murmure "je veux les trois". Je succombe. Je retourne dans le salon où j'invite nos hôtes alcoolisés à s'assoir confortablement dans notre canapé. Personne n'est dupe et tout le monde obtempère. Je leur consent une blague à propose de ce canapé qui a connu de nombreux postérieurs d'hommes parce que Gaëlle est très "sociable". Fabrice rétorque qu'il aimerait bien voir ça. C'est gagné... Je m'installe à l'écarte dans un fauteuil et ne perds pas une seconde du spectacle qui se déroule sous mes yeux.
Gaëlle a tout entendu et nous rejoint. Elle ne quitte pas du regard Fabrice, son chef, qu'elle voit quotidiennement au bureau en costume cravate et qui ce soir va lui dévoiler son sexe la posséder. Elle s'approche et se place en face de lui. Elle lui demande de l'aider à dézipper sa robe, ce qu'il s'empresse de faire en bondissant. Elle fait tomber sa robe à ses chevilles et d'un geste félin, la met de côté avec ses pieds.Gaëlle est en bas, sans sous-vêtements. Ils ne le voient pas mais elle a l'anus rempli par cet objet depuis plusieurs heures. La connaissant elle n'appréhende pas de le retirer à condition que quelqu'un vienne prendre sa place. Elle invite Fabrice à se débarrasser dessin pantalon et de son caleçon. Elle s'agenouille et engouffre son sexe dans sa bouche. Des frissons me parcourent l'échine, comme à chaque fois.
Chaque fois que je la vois gouter un autre homme, ce qui est arrivé des dizaines et des dizaines de fois. Pourtant, cela me fait toujours le même effet, comme si j'avais du mal à réaliser que Gaëlle, ma femme, puisse vraiment faire tout ce qu'elle fait...
Les autres imitent rapidement Fabrice. Même Yanis, le moins alcoolisé et de loin le plus excité. Elle fonce au milieu, sur la bite d'Antoine qu'elle connait déjà. Ce dernier ose la prendre par les cheveux et l'accompagner dans ses mouvements. Elle tend les bras de part et d'autres pour saisir les autres bites qui vont la prendre ce soir. J'ai le privilège d'assister à cette scène magnifique où Gaëlle, aliénée, possédée engage son corps et sa vertu pour satisfaire de la manière la plus primaire trois hommes qui l'utiliseront à leur guise et sans contrepartie. Car en effet pour en avoir parler longuement avec elle, la réciprocité n'a pas sa place, elle prend du plaisir à travers mon regard et à travers le plaisir de ceux qu'elle contente.
Tout le monde y passe, elle goute aux trois sans cohérence et à juger par les bruits et l'abondance des fluides sur les cuisses de nos hôtes, elle en oublie de déglutir. Elle a attaché ses cheveux bouclés que je vois s'agiter à contre courant des mouvements généreux qu'elle réalise pour dispenser des fellations névrosées. Je leur indique qu'ils doivent en profiter, que Gaëlle est une salope et qu'elle aime qu'on la baise salement. Je peine toujours à réaliser que ce genre de mots sortent de ma bouche et le fait de le réaliser m'enfonce encore un peu plus dans un état second où seul importe de la voir comblée et remplie. Je lance des préservatifs sur la table basse sans que je les contraignent à les utiliser (on les connait, ce ne sont pas des inconnus rencontrés sur Internet ou sur un parking...). Antoine me cherche du regard pour me demander s'il doit en mettre une. Je lui répond "la dernière fois tu n'en avais pas, t'inquiète".
Il se lève pendant qu'elle suce Yanis et porte sa main à sa chatte "tu mouilles bien!". Il lui écarte sans ménagement les pattes et disparait au fond d'elle. J'aime cette première pénétration, parce que je sais qu'elle est unique pour elle. D'ailleurs, elle pousse un gémissement alors qu'elle a encore la bouche pleine. Je m'approche pendant qu'elle se fait baiser par Antoine et j'en profite pour retirer son plug et lui insérer quelques doigts. Je dis à Antoine "vasy doigte lui le cul". Il s'exécute difficilement à cause de l'angle. Je finis par retirer mon pantalon pour me branler devant cette scène choquante que récurrente. Voir ma femme souillée par d'autres hommes et voir qu'elle adore ça.
Fabrice fait signe à Antoine qu'il veut la prendre. Antoine n'a pas l'air de vouloir céder sa place et propose une position de manière à satisfaire tout le monde. Avant qu'ils envisagent de la sodomiser je m'approche pour cracher son anus pur lubrifier. Moi comme elle savons qu'elle souffrira au début mais qu'elle pendra son pied ensuite. Je ne peux résister à glisser quelques doigts dans son corps avant de lui asséner une fessée, signal qu'ils peuvent disposer de ma femme de nouveau. J'ai tiré la table basse pour qu'ils puissent se mettre sur le tapis. Gaëlle est à quatre pattes, Fabrice est en dessous et Antoine dessus. Yanis lui, est resté sur le canapé pour se masturber. Gaëlle a le teint rouge, elle a chaud, et prend du plaisir. Elle est pleine et subi les assauts de son chef et de son collègue, sans protections, devant son stagiaire et on mari qui nous masturbons. Quelle délicieuse décadence de voir sa femme ainsi, en si mauvaise posture.
J'interviens pour proposer à Yanis de prendre la place d'Antoine, qui, en se retirant fait mal à Gaëlle qui soupire un "putain" terriblement excitant. Antoine se place de manière à ce qu'elle puisse le sucer. Yanis se lève et je surpris de constater qu'il est grand et qu'il est sans doute préférable d'avoir procédé dans cet ordre. Je me délecte du moment où il va rentrer dans le cul de ma femme. Elle a craché la bite d'Antoine pour pousser un cri mêlant douleur et plaisir. Elle jette sa main sur la cuisse de son nouveau bourreau pour lui faire comprendre qu'il doit y aller doucement. Fabrice, imperturbable, continue de la limer comme si c'était un objet. Je me transporte face sur le côté pour regarder ses rictus sur son visage d'ange, voir dans ses yeux la douleur et le coupable plaisir de ce que nous faisons. "doucement" ; "attend" ; "vas-y oui c'est bon putain". La salope, elle aime se faire enculer. Je jouis malgré moi. Orgasme volé, je suis frustré mais c'était trop excitant. Cet orgasme ne me satisfait pas, je suis toujours excité mais je ne peux mécaniquement rien faire....
Après les quelques précautions préliminaires, Yanis s'en donne désormais à coeur joie. Je prends quelques photos avec mon smartphone en rassurant l'assemblée qui ne m'écoute guère "je ne diffuse pas et je cache les visages".
Je commence à débarrasser la table pendant que Gaëlle se fait baiser comme une pute dans le salon. Je réalise que les volets ne sont pas fermées et que les rideaux ne sont pas tirés. La proximité de l'immeuble d'en face et l'obscurité dans la rue offre un vis à vis parfait pour nos voisins voyeurs. Je prends le temps d'observer aux fenêtres si quelqu'un regarde ma femme se faire enculer. Ce n'est actuellement pas le cas, je suis aussi déçu que rassuré. Je fais quelques allers et retours dans la cuisine et j'entend Gaëlle couiner depuis l'autre bout de l'appartement. C'est son moment, qu'elle en profite, qu'ils profitent de la connaitre dans son intimité, comme elle est vraiment. Evidemment ça parlera, ça parle toujours, mais cela m'excite aussi que le monde sache que ma femme est une chienne qui aime se faire démonter par n'importe qui et à plusieurs.
Quand je reviens dans la selon, je revois ces corps luisant de sueur disparaitre dans ma femme. Je vois ses courbes s'agiter au grès mouvements, je vois les ondulations sur sa peau sous la pression des coups de bite. Je me demande comment son corps peut il encaisser toute cette violence, cette brutalité... Mon désir fond peu à peu et avec lui monte la culpabilité et la honte excitante de n'être que celui qui partage sa femme, le cocu à qui sa femme impose ses envies égoïstes. J'invite tout le monde à terminer comme ils le souhaitent. Gaëlle me regarde, elle comprend exactement mon état d'esprit.
Fabrice est le premier a terminer dans la chatte de ma femme dans un râle salutaire. Antoine invite Gaëlle à se mettre à genoux pour qu'ils finissent sur son visage avec Yanis. Je contemple ma femme sur ce tapis, la bouche grande ouverte, les yeux fixant les deux glands qui s'agitent devant elle, ses mains au contact des couilles de ses deux collègues. Elle se tient droite et j'éprouve l'envie de regarder son cul, mesurer à quel point ils l'ont bourré. Tout est mouillé, il y a ce qui lui appartient à elle et ce qui leur appartient à eux. Je la caresse avec mes doigts glissants de haut en bas. Le sperme de Fabrice dégouline le long de ses cuisses. J'en récupère une partie malgré moi lorsque je plonge mes doigts dans sa chatte souillée. Je m'extrais avant de fouiller son cul béant (il n'y a pas d'autre mot...). Elle gigote une fois en elle, un réflexe primaire de ce corps trop habitué à être utilisé sans doute.
Antoine termine sur son visage suivi de près par Yanis qui prennent le prétexter d'essuyer leur gland, pour en réalité asséner des petits coups de bite sur les joues rouges de ma femme. Ils prennent leur distance avant de s'habiller comme s'ils savaient que ce qu'ils venaient de faire était mal. Gaelle est là, comme une paria encore à genoux sur le tapis. Elle reprend peu à peu ces esprits. Il n'y aura pas de câlins, ni de tendresse ce soir.
Le temps a en effet filé, nos trois convives se montrent aussi gênés que pressés de partir, comme si rester à côté de cette pute souillée était aussi dégradant pour eux. Alors que c'est elle qui est couverte de sperme, son maquillage effacé. Gaelle a une tête de pute et je suis pressé qu'ils partent tous pour la posséder à mon tour.
Les au revoir embarrassés sont terminés. Nous ne sommes que tous les deux. Plus je la regarde sale, souillée plus j'ai envie de la soumettre, de faire des choses encore plus sales. Cependant, je suis le garant des limites dans notre couple parce qu'elle, à ma connaissance, elle n'en a aucune. C'est ce qui la rend incontrôlable, insaisissable et encore plus désirable.
Je la replace sur le canapé, je l'embrasse langoureusement même si ne je retrouve pas son gout. Elle me suce quelques minutes mais je la stope pour jouir rapidement dans son cul dont je sens à peine les parois....
N'hésitez pas à me faire un retour, c'est elle qui tenait à ce que j'écrive nos (mes)aventures. A bientôt !
Ben
