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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#133047
Voici pour vous chers lecteurs l'épisode 17. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Sur le bon chemin.

- Ah ! Laurent bonjour. Je vais avoir besoin de votre réponse mon ami. Ce week-end j’ai besoin de Margot. Je l’emmène chez des amis en province, nous partirons vendredi après-midi. Ce n’est pas que je veuille vous presser mais je dois savoir ce que vous souhaitez afin que je m’adapte.
- Bonjour Bernard. N’ayez crainte c’est pour cette raison que je suis là.
- Très bien, alors je vous écoute.
- En fait c’est relativement simple. Je ne veux aucune brutalité ni violence d’aucune sorte. Elle peut être attachée, encagée, suspendue, ligotée, etc, un peu comme ce que vous avez déjà fait dans votre cave. Je ne veux pas qu’elle soit prêtée à d’autres sans votre présence ou la mienne. Je refuse les chantiers, les clochards et autres traînes savates douteux. Vous ne fréquenterez avec elle que les gens de votre monde. Il peut y avoir des exceptions avec des inconnus si vous jugez qu’ils sont dignes de confiance. En dehors de ça, elle peut servir de vide-couilles quand vous le voulez. Compte tenu de ce que j’ai déjà vu, je n’ai aucune restriction sur la taille de ce que vous voudrez lui introduire dans les orifices, mais je vous demande de respecter sa volonté si elle trouve que c’est exagéré et qu’éventuellement elle a mal au moment de l’intromission. Voilà, je crois que je n’oublie rien. Cela vous convient-il ?
- Absolument. C’est à peut près ce que j’envisageais pour elle. Cela dit, j’ajouterai deux petits détails. Premièrement je vais lui faire poser un piercing sur la chatte. C’est un signe d’appartenance en quelque sorte. Dans mon monde comme vous dites, chacun saura qu’elle est ma soumise. C’est aussi une garantie de sécurité. Personne ne cherchera à lui nuire. Deuxièmement vous ne viendrez pas avec nous pour cette première. L’expérience me commande de vous laisser à l’écart. Elle risque d’être très gênée si vous êtes présent et ça compliquerait ma tâche. N’y voyez rien contre vous, de toute façon vous aurez le compte rendu et les photos du week-end et puis il y aura d’autres réjouissances. Est-ce que tout est OK pour vous ou voulez-vous d’autres détails ?
- Euh, non, je ne crois pas. Je pense que tout est très clair. C’est vrai que j’aurai bien aimé être présent mais si vous dites qu’il ne vaut mieux pas, je vous fais confiance.

Comme convenu, Margot est allée chez « BHV » le vendredi après-midi. Il avait prévu qu’ils partiraient de chez lui, les amis chez qui ils allaient étaient plus près qu’en partant de chez nous. Margot laisserait sa voiture au château et ils prendraient la sienne, conduite par le « croque-mort ».
Installés à l’arrière de la limousine alors que celle-ci quittait le parc du château, « BHV » contrôla aussitôt la tenue de Margot. Il y avait bien longtemps qu’elle ne mettait plus de sous-vêtement et du coup, les ordres de son Maître sur ce point là n’étaient pas contraignants. Satisfait sur ce point, il n’insista pas et s’installa confortablement.
Après quelques instants de route où le silence régnait, Margot tenta une approche afin d’en savoir un peu plus.
- Maître, que devrais-je faire chez vos amis ?
- Cela ma princesse, tu le sauras plus tard. Et cette fois ci je ne te dirai rien, mais sache qu’à l’avenir je t’interdis de me poser ce genre de question. Tu feras ce que je te dirais, quand je te le dirais, avec qui je te dirais. Est-ce bien compris ?
- Oui Maître, pardonnez-moi Maître, je ne le ferais plus.
- Il vaut mieux pour toi en effet. Maintenant tais-toi. Nous avons encore une petite heure de route et je veux être tranquille. D’ailleurs pendant que j’y pense, tiens, mets-toi ce plug dans le fion, ça t’occupera. Tu le gardes jusqu’à ce que je te dise de le retirer. Allez, oust, en position. Dernier détail du moins pour l’instant, tu n’es plus Margot lorsque nous sommes ensemble. Tu es ma soumise et tu t’appelles « Perle ». C’est ainsi que je vais te présenter à mes amis. Ne leur dis jamais ta vraie identité. Ne conclus jamais aucun accord avec qui que ce soit sans ma présence, d’ailleurs tu ne conclus rien du tout, je m’occupe de tout te concernant. En principe tu n’as rien à craindre de qui que ce soit là où nous irons mais de toute façon j’assure ta protection et rien ne te sera fait sans mon accord.
Le reste du voyage se poursuivit dans le silence. Margot, euh, non, Perle en profita pour regarder le paysage mais on pouvait voir son regard se perdre dans la cime des arbres, bien au delà de sa vision. A quoi pensait-elle ? Sans doute à cette première expérience de soumise à ce Maître qui lui avait fait découvrir tant de ressources sexuelles cachées en elle. Sans doute aussi à ce week-end qui s’annonçait érotique. Comment allait-elle réagir ? Que lui ferait-on faire ? Avec qui ? Seraient-ils aussi bien membrés que ses initiateurs ? Peut-être allait-elle aussi découvrir de nouveaux instruments ou machines infernales ?
La voiture s’était arrêtée mais elle était toujours dans ses pensées, ne se rendant compte de rien. Il fallut que « BHV » lui prenne le bras doucement pour la sortir de sa rêverie.
- Perle, ma chérie, nous sommes arrivés.
L’automne était déjà bien avancé, Margot frissonna et resserra son col de manteau en sortant de la voiture. Les premiers pas qu’elle fit en se dirigeant vers la maison en suivant « BHV » lui rappelèrent qu’elle avait un objet contondant dans l’anus. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres, rapide et furtif, elle se disait que cette sensation lui était plutôt agréable finalement. Depuis qu’elle avait découvert la sodomie elle y avait vraiment pris goût et elle pouvait en jouir très fort parfois.
La grande porte s’ouvrit sur leurs hôtes. Un couple fort bien assorti. Lui un grand gaillard à l’air jovial, bien bâti, le cheveu brun court, les yeux clair, un large sourire accroché à une mâchoire carrée, puissante. Sa femme, plus petite, brune également mais les cheveux jusqu’au milieu du dos, des yeux noir de jais et tout aussi souriante que son homme. Plutôt mince mais avec des rondeurs là où il faut. Les seins hauts peut-être pas d’origine se dit Margot. En tous cas les cuisses que laissait voir une mini jupe en cuir étaient magnifiques. Musclées et encore bronzées. « BHV » fut accueilli à bras ouvert avec, sembla-t-il à Margot une pointe de déférence. Elle se dit tout d’un coup que SON « BHV » devait être une pointure dans ce monde. Une fierté nouvelle l’embrasa et instinctivement elle se redressa faisant saillir sa généreuse et ferme poitrine.
- Mon cher Bernard, quel plaisir de vous revoir. Mais que nous amenez-nous là ? Vous avez l’art de découvrir les plus ravissantes personnes qui soient.
- Mes amis, je vous présente Perle. Ma fierté. Ma plus belle réussite.
- Bonjour Perle, venez, nous n’attendions que vous deux. Les autres sont tous au salon. Allons les rejoindre avant qu’ils aient vidé toutes les bouteilles.

Margot qui s’attendait en tant que soumise à un accueille plus distant fut agréablement surprise. L’idée qu’elle se faisait de sa nouvelle situation, aidée par quelques lectures ou photos piochées ça et là sur internet ou autres, lui avait laissé penser qu’elle devrait sans cesse baisser les yeux, être attachée par une laisse, devoir entrer à quatre pattes ou bien d’autres turpitudes. Mais là, rien. Elle était accueillie comme la compagne de « BHV », on était gentil avec elle, on ne lui demandait rien de sexuel d’entrée, bref, elle prenait confiance et se disait qu’elle était finalement très heureuse de son choix. Sans doute plus tard devrait-elle se soumettre à la volonté des invités, mais n’était-ce pas pour ça qu’elle était là ? Et puis ce plug qui lui massait le trou du cul à chaque pas lui rappelait qu’elle aimait se faire prendre par tous les trous et même qu’elle en était devenue gourmande. Parfois lorsqu’elle repensait à sa vie d’avant, elle n’en revenait pas de ce qu’elle était capable de faire maintenant. Elle aimait bien faire l’amour, ça oui. Elle aimait bien le naturisme, cette sensation de liberté, ça aussi. Même si à l’époque elle ne l’aurait pas avoué, elle aimait bien aussi qu’on la mate. Mais là, le chemin qu’elle avait parcouru en quelques mois la laissait pantoise. En y repensant tout de même, putain, qu’est-ce qu’elles étaient grosses ces queues que je me suis prise dans les trous !! Merde, je mouille se dit-elle alors que « BHV » la ramenait une nouvelle fois à la réalité.

Le salon !!!! C’était Versailles oui ! Du moins pour la taille. Immense, haut de plafond. Et le style, incroyable ! On était à Marrakech ! Des zelliges partout de la mi-hauteur des murs jusqu’au plafond. Plafond fait de poutres dans un sens et de petits rondins de bois de l’autre. Le reste des murs était en tadelakt de plusieurs tons selon les pans de mur. Au sol du carrelage caché en partie par des dizaines de tapis marocains. Et puis partout des poufs, des sofas, des canapés, des tables basses, des plantes exotiques, des minis palmiers et au centre, une fontaine magnifique. Une grande vasque dans laquelle un homme nu, mais pas en érection, tenait au dessus de lui, un peu comme Héraclès tenant le monde, une autre vasque plus petite d’où tombait l’eau en cascade permanente. C’était assez féerique et surprenant au fin fond de cette province. Dans ce décor hollywoodien de petits groupes déambulaient ou discutaient, un verre à la main. Des larbins masculins et peu vêtus proposaient leur plateau de victuailles ou de verres pleins en slalomant entre les groupes et les tables.
Margot découvrait tout ça en arrivant du hall d’entrée déjà assez impressionnant car le salon était en contrebas et une vue plongeante permettait d’embrasser toute la scène. Un larbin qu’elle n’avait pas vu, plongée dans la contemplation de ce spectacle qu’elle était, lui prit son manteau et du même coup la ramena une fois de plus à la réalité. Elle allait de découverte en découverte avec « BHV » et elle se demandait bien jusqu’où tout ceci allait aller. Mais pour l’heure, il lui pris le bras et l’entraîna dans les quelques marches qui les conduisirent jusqu’au reste des convives.
Curieusement, tout en avançant, elle voyait bien des hommes, des femmes, mais comment savoir s’il y avait d’autres soumises comme elle. Ou bien était-elle la seule et par là même l’attraction de la soirée ? L’angoisse la saisit. C’est impossible ! Je ne vais pas servir à tous ces gens ! Si tous me baisent ou m’enculent, je vais finir en charpie. Mais qu’est-ce que je fais ici ?!!!
- Perle. Perle !!
- Euh, oui Maître.
- Perle, que se passe-t-il ? Tu sembles apeurée.
Margot se rapprocha discrètement de « BHV » afin de n’être pas entendue par les plus proches voisins.
- Maître, suis-je la seule, euh … La seule soumise ?
« BHV » la serra dans ses bras et l’emmena un peu à l’écart. Il lui caressa les cheveux comme on fait à un enfant qu’on veut consoler d’un gros chagrin.
- Ne soit pas inquiète. Je te rappelle qu’il n’y a Maître ou Maîtresse et soumis ou soumise que si les deux sont en harmonie. Un Maître comme moi n’existe que par sa soumise comme toi. Les trois quarts des gens que tu vois ici sont des soumis ou soumise. Nous ne sommes pas une secte, ou je ne sais quoi d’autre, mais au fil du temps et des soirées de ce genre nous nous sommes tous trouvés des affinités. Notre Maître mot c’est le respect. C’est pourquoi tu ne vois personnes, ni hommes, ni femmes, en laisse ou avec des signes distinctifs visibles. Certains couples sont mariés et l’un ou l’une est le soumis ou la soumise de l’autre. Mais d’autres couples sont comme nous. Aussi, chacun a sa vie privée, son job, des enfants, une femme, un mari et personne, dans notre conception, ne doit entraver cette vie. De plus, aucun des Maitres ou Maitresse que tu vas découvrir ici ne te touchera. Il n’y aura de sexualité qu’entre soumis et soumises sur ordres et consentements des Maîtres et Maîtresses. Par contre, je te prêterais surement à d’autres Maîtres ou Maîtresses, mais seulement chez moi et en petit comité. Voilà, es-tu rassurée ?
- Oui, Maître, merci. Je ferai ce que vous voulez.
KneelDown, coq, Noste a liké
#133380
dignité, respect, compréhension et sensualité. Cette histoire me plait depuis le début et continue encore avec cet épisode, dans une lignée qui nous invité à vouloir lire la suite, que nous attendons avec impatience, tellement l'histoire est captivante. Vous êtes le maître de cette écriture et nous sommes les soumis de sa lecture.
Merci.
#133591
totof vil flatteur! Mais ça fait du bien. merci de vos compliments à tous. j'y suis sensible. D'un autre côté j'espère au fil des épisodes être à la hauteur de vos attentes.À bientôt pour le prochain épisode.
#136021
Bonjour à tous. Voici l'épisode 18. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
Première épreuve.

L’ambiance était bon enfant. Les gens discutaient, passaient de groupe en groupe. Il est vrai que pour un non initié il était impossible de deviner qui était qui. Même pire, quelqu’un d’étranger à cette soirée serait arrivé inopinément, n’aurait pu deviner la nature des relations qui réunissait tous ces gens. Comme l’avait souligné « BHV » aucun signe distinctif n’était apparent.
Après les verres, quelques plateaux de denrées plus solides sont passés dans la salle aux mains des larbins peu vêtus, seuls anachronismes à cette soirée. L’ambiance s’échauffait. L’alcool et la nourriture contribuaient à faire monter la température. Maintenant on pouvait voir quelques mains s’égarer qui, sur une braguette, qui sur une croupe rebondie. Mais toujours discrètement.
Puis le Maître et la Maîtresse des lieux s’avancèrent en haut des marches surplombant le grand salon.
- Mes chers amis, maintenant que vous voilà restaurés, je vous propose de passer dans l’autre pièce. Qui m’aime me suive selon l’expression consacrée.
Margot regarda « BHV » d’un œil interrogateur et s’informa de cette fameuse « autre pièce ». Il lui dit qu’elle allait le savoir tout de suite mais qu’elle ne serait probablement pas dépaysée.
De fait, Margot et son mentor suivaient le mouvement. Une bonne vingtaine de couples se dirigeaient donc vers une extrémité du salon, en direction d’un escalier assez large qui conduisait vers un sous-sol qui avalait petit à petit la petite foule des invités.
Comme prévu, Margot ne fut pas dépaysée. La pièce ressemblait étrangement à celle de « BHV ». Celle de la cave, pas l’atelier du haut où elle avait commencé à poser. Mais là par contre, elle faisait bien trois fois celle du château. En fait, elle devait faire la superficie du salon juste au dessus. Des piliers en arches soutenaient un plafond tout en pierre. Malgré tout il y régnait une douce chaleur. Et comme chez « BHV », des engins de toutes sortes trônaient un peu partout. Des anneaux métalliques fixés aux murs, des potences, des chaines, enfin de quoi s’amuser. Il y avait aussi des canapés, des sofas, des lits ronds ou rectangulaires. Des chaises aussi, mais sembla-t-il à Margot, un peu bizarre. Les couples se dispersaient au hasard. S’installaient ça et là. Certains corps se dénudaient, pas toujours intégralement d’ailleurs. Puis c’est la Maîtresse de maison qui cette fois-ci prit la parole.
- Mes biens chers amis, je vois que certains ont déjà pris leurs aises, mais si nous sommes réunis ce week-end, je vous le rappelle, c’est pour fêter une petite nouvelle parmi nous. Je vous demande donc de lui faire le meilleur accueil. Vous connaissez tous notre grand ami et Maître à tous. Je veux parler bien entendu de « BHV ». C’est donc avec lui que vous verrez les détails mais je vous demande de rendre inoubliable cette première soirée pour sa protégée. Je vous présente donc « Perle».
Tout le monde se mit à applaudir le couple qui accaparait l’intérêt. Margot se rapprocha de son Maître comme pour se mettre à l’abri. Elle ne s’attendait tout de même pas à ça. Elle qui pensait être noyée dans la foule se retrouva exposée et regardée par tous les participants. Elle commença même à se demander ce qui allait lui arriver. Est-ce que tous allaient venir les saluer. Complimenter « BHV » pour le choix, la beauté et la classe de sa nouvelle protégée. Ou bien tous les mâles allaient-ils la baiser, l’enculer ? C’est que quand même, ils sont bien nombreux. Bon d’accord j’aime ça se dit-elle, mais là, ça fait beaucoup !
« BHV » lui prit la main et l’entraina vers le centre de la pièce. Une espèce de petite estrade, environ deux mètres carrés, semblait les attendre. Instinctivement la foule des autres convives fit le cercle tout autour. « BHV » fit monter Margot sur l’estrade en la tenant par la main. Il lui demanda de tourner sur elle-même. Puis lui fit signe de faire tomber la frêle robe qui lui cachait à peine le corps tant elle était transparente. Elle continua à tourner encore un instant alors qu’on discutait en bas, autour de « BHV ». Il lui fit signe de redescendre, ce qu’elle fit. Il la reprit par la main et, nue, l’entraina vers un autre bout de la pièce.
Il y avait un banc. Un banc tout simple. Pas en bois brut quand même. Il y avait un habillage en cuir rembourré qui devait le rendre plus confortable. On la pria de s’y allonger. Le banc était suffisamment large pour qu’elle y tienne sans risquer de basculer d’un côté ou de l’autre. Deux soumis déjà nu lui prirent chacun une cheville et les montèrent jusqu’à amener ses jambes de part et d’autre de sa tête, exposant ainsi sans pudeur toute son anatomie. « BHV » lui demanda de tenir ses jambes et on lui attacha chaque main à chaque cheville avec un rouleau de papier adhésif. Impossible pour Margot ainsi ficelée de pouvoir se relever et même de faire le moindre geste.
Elle fut ensuite tirée vers le bout du banc, rendant ses parties génitales plus accessibles. Une soumise fut invitée à lui bouffer la chatte et deux autres devaient s’occuper de ses nibards. Margot avait beau être un peu dans l’inconnu, la situation la fit quand même mouiller abondamment. Les soumise devaient bien s’y prendre car elle gémissait de plus en plus. La soumise qui lui bouffait le clito commença à lui enfiler ses doigts dans la chatte. La stimulation la dilata rapidement et c’est la main entière qui disparut dans le vagin trempé. Après quelques vas et viens, un jet de cyprine gicla sur le visage de la soumise qui fit son possible pour tout lécher. Margot avait les yeux fermés et tournait la tête de gauche à droite, elle jouissait.
Puis, de sa main pleine du jus de Margot, la soumise commença à faire le même traitement à son trou du cul. Elle lui branla la rondelle avec son index. Le majeur rejoignit l’autre et elle s’appliqua à faire des mouvements circulaires, rendant le muscle plus souple. Un troisième doigt accompagna les deux premiers. Elle força l’anus en faisant des rotations avec son poignet alors que le petit doigt et le pouce entraient à leur tour. De son autre main elle stimula encore le clito de Margot alors que son trou du cul avalait le bras jusqu’au dessus du poignet. Margot eut un violent orgasme dans un cri rauque alors que sa chatte crachait un nouveau jet de cyprine qui arrosait copieusement la soumise.
« Elle est prête » Déclara « BHV »
Les trois filles se relevèrent et deux soumis, la bite en avant les remplacèrent. L’un d’eux présenta sa queue à l’entrée du vagin et l’enfonça d’un coup jusqu’au couilles. La chatte mouillait tellement que l’intromission de ce beau calibre ne présenta aucune difficulté. Il se mit aussitôt à faire des vas et viens en cognant à chaque fois son pubis sur celui de Margot. L’autre à peu près en même temps avait investi la bouche. Il lui tenait la tête et s’en servait comme d’une chatte. Margot avait des hauts le cœur à chaque fois que la bite s’enfonçait dans sa gorge. Des larmes perlaient au bord de ses yeux. On voyait bien qu’elle avait du mal à respirer mais le rythme ne changeait pas pour autant.

Néanmoins, au bout d’un instant, les deux mâles échangèrent leur place. Margot n’eut qu’un bref répit et se retrouva bien vite avec une nouvelle queue dans la bouche. Une queue enduite de sa mouille à laquelle elle avait d’ailleurs fini par s’habituer. Celle-ci était plus grosse mais ou moins longue ou il ne s’enfonçait pas autant. Là au moins elle arrivait à mieux respirer et elle pouvait s’appliquer à le sucer comme il faut. Quant à l’autre, il lui avait légèrement soulevé les fesses et lui avait enfilé son braquemard dans le trou du cul. D’abord un aller et retour dans la chatte histoire de lubrifier l’engin, et hop, dans la rondelle. Rondelle au demeurant encore dilatée de tout à l’heure. Certes elle s’était bien refermée un peu tout de même mais il n’avait eu aucune difficulté à forcer le passage et maintenant sa queue tendue pistonnait à fond en tapant ses couilles sur les fesses de Margot.
Tout d’un coup celui qui était dans sa bouche se retira et se branla rapidement au dessus de Margot. Dans un râle venu du fond de sa gorge, il cracha son venin. Au fur et à mesure des jets qui atteignaient leur but, une mare de sperme se formait entre les nichons de Margot et coulait vers son cou. Puis l’autre se retira aussi de son cul et éjacula aussitôt sur le ventre. Margot, attachée, ne pouvait réagir comme elle l’aurait voulu. Elle avait pris goût à se barbouiller du foutre de ses baiseurs mais là, ses mains n’étaient pas disponibles.
D’ailleurs elle n’eut pas à réfléchir très longtemps. Deux soumis l’empoignaient et la soulevaient. Dans leurs mains, Margot avait l’air d’une plume. Sur le banc, à la place qu’elle occupait quelques secondes auparavant, un autre soumis est venu s’allonger, la queue dressée comme un mat. Margot fut redescendue alors que le soumis dirigeait sa bite de façon à ce qu’elle s’insinue dans le rectum ouvert et accueillant. Le gourdin était de belle taille et Margot fit un peu la grimace jusqu’à ce qu’elle soit carrément assise, la bite au fond de son cul. Les deux soumis allongèrent ensuite Margot sur le torse de son enculeur et l’un d’eux, se posta entre les jambes des deux corps allongés et pénétra la chatte ainsi offerte. Le dernier occupa le seul trou encore disponible et les trois queues imprimèrent leur rythme de concert. L’enculeur tenait Margot par le haut des fesses afin de la soulever légèrement et pouvoir ainsi avoir le bassin plus libre pour la pénétrer. Le baiseur quant à lui, se tenait penché en avant, les mains appuyées sur le bord du banc et pistonnait la moule baveuse en alternance avec celle qu’il sentait à travers la mince paroi séparant les deux orifices. Quand l’un sortait, l’autre s’enfonçait à fond et ainsi de suite. Le troisième avait lui aussi saisi la tête de Margot et lui imposait son rythme. Sa queue était plutôt large et elle avait bien du mal à trouver sa respiration. Le cercle autour d’eux c’était un peu resserré. Quelques mains curieuses s’aventuraient sur les tétons dressés et arrogants. Dans la bouche de Margot, le rythme se fit plus soutenu. Le soumis avait la bouche ouverte, le cou tendu dont on pouvait voir les veines grossir et battre plus rapidement aussi. Dans un dernier assaut, il se figea, ressortit sa bite et déchargea son foutre sur le visage d’une Margot essoufflée, haletante mais qui pouvait enfin respirer tout son saoul. C’est le visage plein de sperme qu’elle trouva l’orgasme qui la fit crier son plaisir. Les deux autres soumis, dessous et sur elle, avaient joui en même temps dans ses entrailles. Chacun était secoué de soubresauts à chaque spasme qui laissait passer une giclée de foutre gluant. Margot qui était loin de penser à ça, à se moment précis, avait été informée que tous les soumis et soumises étaient à jour de contrôle HIV et donc, n’avait rien à craindre de quiconque.
Une fois encore, Margot fut saisie et soulevée puis reposée sur le banc après que son enculeur se fut retiré. On l’installa le plus confortablement possible vu sa situation et sur un claquement de doigts, quatre ou cinq soumises et soumis se ruèrent sur elle afin de la lécher sur tout le corps. Tous ses orifices furent visités. Chaque parcelle de peau profita des langues mâles et femelles. Toute trace de spermes disparut en un instant. Mais ces caresses eurent pour effet de réveiller le démon dans le ventre de margot et elle eut un violent orgasme alors qu’un jet de cyprine arrosait celle qui était entre ses cuisses. Cette dernière, une fois le flot tari, dû recommencer son léchage ce que semble-t-il, elle fit avec délectation. Avec ce traitement, Margot qui n’avait encore jamais goûté aux femmes se dit qu’il faudrait qu’elle tente l’expérience. Celle-ci en tous cas lui plaisait beaucoup.
Elle fut ensuite détachée et elle put, doucement, récupérer l’usage de ses membres passablement ankylosés. « BHV » la prit aussitôt dans ses bras.
- Perle, ma princesse, tu as été formidable. Tu es belle quand on te baise. Tu es belle quand on t’encule. Tu es belle lorsque tu jouis. Je suis fier de toi. Tu m’as fait honneur ce soir et maintenant, ici, tous savent que j’ai encore la meilleure soumise. Viens, je t’emmène à la douche.
Margot resta un long moment sous le jet bienfaisant. Bien que très souple, quelques douleurs persistaient compte tenu de la position qu’on lui avait fait prendre. Ce n’était pas une position inconnue pour elle mais jamais si longtemps. Sa chatte et sa rondelle étaient encore un peu sensibles mais tout ça l’avait plutôt mise en appétit et une fois ragaillardie elle se dit qu’elle remettrait bien le couvert. Les mains enduites de gel douche elle se massa les lèvres vaginales et son petit trou du cul malmené il y a peu ainsi que sa poitrine dont les tétons durcissaient déjà.
« BHV » la récupéra à la sortie des sanitaires et l’entraîna de nouveau vers le centre de la pièce où la petite foule était toujours amassée. On y voyait deux soumis pénétrer une soumise debout entre eux deux. La soumise avait les poignets reliés à une chaine qui pendait du plafond. Le soumis qui était devant était plutôt petit et alors qu’il la baisait son nez se perdait entre deux énormes nibards. En même temps, armée de cravaches, leurs deux maîtresses s’appliquaient à leurs zébrer les fesses en les encourageant à bien fourrer cette petite chienne.
« BHV » Reprit Margot par la main et l’emmena un tout petit peu plus loin. Il lui fit remarquer un carcan comme celui qu’elle avait déjà testé au château. Avait-elle compris ou pensait-elle que c’était juste pour voir, toujours est-il qu’elle se positionna et son Maître referma sur son cou et ses mains la partie supérieure de l’engin.
- Perle, j’ai fait ton éloge de bonne suceuse auprès de mes amis, alors ne me déçois pas.
KneelDown, coq, Noste a liké
#142680
Bonjour à tous. Je commencerais par présenter mes excuses à tous ceux qui me font le plaisir d'apprécier ma modeste prose pour ce petit contretemps. J'ai changé de fournisseur d'accès et l'ancien m'a coupé la connexion alors que je n'avais pas encore reçu le matériel du nouveau. Voilà pour l'explication de mon silence. Je vous invite donc à lire ou dévorer l'épisode 19 que, semble-t-il certains attendent avec impatience. Bonne lecture.

Quand Margot devient chienne.
A deux c’est mieux.

- Mon cher Laurent notre petite salope de Margot est tout à fait au point pour passer un cap. Cela fait maintenant plusieurs soirées, voire week-ends complets que je l’emmène avec moi chez mes amis. Dans mon monde comme vous dites. Je crois que je ne lui apprendrai plus rien dans ce domaine. Elle a essayé tous les instruments qu’on lui a proposés. Elle s’est faites baiser, enculer dans toutes les positions. Elle a sucé des dizaines de bites de toutes tailles et avalé des litres de foutre. Elle ne m’a jamais rien refusé, ne s’est jamais plainte et je dirai même que bien souvent elle en redemandait.
- Ma foi, je pense que vous devez avoir raison. De mon côté je n’ai jamais constaté chez elle le moindre signe de lassitude. Notre vie commune est encore plus épanouie. Je profite bien de ses progrès sexuels et maintenant j’aimerai bien participer. Je suis un peu frustré je l’avoue et ça me démange de la prendre en main réellement.
- Oui, oui, je me doute. Et bien la prochaine soirée sera pour vous l’occasion de vous lancer aussi si je puis dire. Il faudra que vous me regardiez faire seulement. Votre présence ne devrait plus poser de problème mais vous n’êtes pas encore prêt pour devenir son Maître tout seul. Je veux que vous observiez bien tout ce qui se passe dans cette prochaine soirée. Il y a des codes. Vous devrez les apprendre. Si vous voulez être respecté en tant que Maître, vous devez respecter les soumis et soumises des autres Maîtres et Maîtresses. Comme vous serez avec moi c’est déjà un avantage. Je suis assez respecté dans le milieu.
- Oh mais je n’avais aucune intention d’imposer quoi que ce soit. Je sais bien que je suis novice dans ce domaine, surtout à côté de ma femme maintenant, elle qui est devenue une experte. Je ne voudrai surtout pas faire d’impair, je me conformerai à vos instructions soyez sans crainte.
- C’est très bien Laurent. Je vais faire de vous un bon Maître.

En fait, la soirée suivante a eu lieu au château. Gros avantage pour moi, je connaissais déjà l’endroit. De plus avec tous les récits des précédentes soirées, j’avais une petite idée de ce qu’on y faisait. En principe je ne devrai pas être trop surpris.
Margot, oui moi je continue à l’appeler Margot, du moins tant que je ne suis pas son Maître officiel, avait pour cette occasion, passé des bas « DIM up », un manteau de fourrure et des talons hauts. Oui, c’est tout. Rien d’autre. Comme toujours pas de sous-vêtement, mais cette fois-ci pas de robe ou autre non plus. Je lui en fis la remarque en montant dans la voiture car pour la première fois où j’étais présent à la soirée, je l’emmenais, mais elle me dit que de toute façon c’était pour l’enlever quasiment en arrivant, alors……
Alors oui, en effet, quel intérêt suis-je bête. Je vais finir par faire des économies, moi ! Et elle ne pourra plus me dire « je n’ai plus rien à me mettre » vu qu’elle ne met plus rien précisément. Il faudra que je lui en fasse la remarque à l’occasion. Mais bref, passons. Nous sommes arrivés au château et comme à l’habitude, Monsieur « croque-mort » est venu nous ouvrir. Nous sommes allés directement au grand salon où déjà plusieurs couples devisaient en buvant une coupe de champagne.
A peine entrés, Margot me quitta pour se réfugier entre les bras de « BHV ». Là, merde, j’avoue que ça m’a foutu un petit coup au cœur. Depuis le début de l’aventure, les récits et les photos que me faisait parvenir Bernard m’avaient bien habitué à la voir ou la savoir dans d’autres bras ou plutôt avec d’autres queues que la mienne dans ses orifices. Mais là, je me retrouvais seul comme un con alors que quand même, c’était ma femme, merde ! On a beau dire, mais ça fait drôle. D’autant plus que tout le monde, y compris « BHV » m’ignorait totalement. J’avais l’air d’être un cheveu sur la soupe. En même temps je devais sans doute être le seul mec sans sa soumise, alors forcément je devais faire tache. Mais bon, tant pis. Je me ressaisis et saisis du même coup une coupe de champagne qui passe à ma portée. Au moins je pourrai me consoler en me bourrant la gueule. Bon mais qu’est-ce que je débloque moi ? Calme-toi mon pote, ça va s’arranger. Va y avoir du cul tout à l’heure et tu seras aux premières loges. Et puis tu voulais voir ta petite Margot en live se faire défoncer la rondelle ? Et ben tu vas être servi ! Alors reste calme, bois ta coupe et observe. C’est bien ce que t’a dit « BHV » non ?
Comme dans la plupart des autres soirées, après avoir discuté, rigolé, bu et mangé, tous les invités sur l’impulsion du Maître de céant se dirigèrent vers la cave aux sévices. Bien entendu Margot connaissait parfaitement les lieux ainsi que tous les instruments qui s’y trouvaient. Moi même, sans y avoir jamais pénétré, j’en connaissais pratiquement les moindres recoins par les récits et photos que l’on m’avait transmis. A peine en bas, la plupart des soumis et soumises étaient quasiment à poil. Contrairement à « BHV », je pus constater que certains Maîtres ou Maîtresses avaient mis des colliers à leur protégé. D’autres, comme Margot avaient des signes d’appartenances plus discrets.
Une fille à gros nichons fut attachée sur la croix et deux autres se mirent à s’occuper d’elle. L’une lui tétait ses gros tétons rigides tandis que l’autre s’évertuait à lui brouter le minou qui, semble-t-il, coulait déjà. Peu de temps après un soumis, un grand noir baraqué se plaça derrière et l’empala après avoir trempé sa queue tendue dans le jus de moule. Vu la grimace que faisait la fille, l’objet avait un peu de mal à se frayer un chemin dans le trou du cul à peine lubrifié. Mais le black prenait son temps et après plusieurs va et vient, il finit par l’enfiler entièrement jusqu’à la garde, ce qui, vu la taille du gourdin, devait bien représenter près de vingt cinq centimètre de chair dans les entrailles de la suppliciée. Puis, après quelques allers et retours en douceur, alors que la soumise commençait à gémir, tant sous les caresses des deux autres qui continuaient leur manège, que par l’intromission du dard d’ébène, le rythme devint plus soutenu. Le black avait saisi les hanches et c’est à grands coups de reins puissants qu’il défonçait la rondelle dilatée. Des « han » de bucheron soulignaient chaque coup de bite auxquels répondaient de petits cris rauques lorsque la bouche n’était pas occupée à rouler une pelle à l’autre soumise.
Dans un autre coin, le carcan était lui aussi occupé. Mais c’était un soumis qui s’y trouvait entravé. Une bite de belle dimension lui entrait en cadence dans la bouche et une autre lui bourrait le fondement.
Un peu plus loin, une soumise avait la tête en bas. Elle était suspendue par les pieds, eux-mêmes attachés par les chevilles à une barre métallique qui tenait les jambes écartées au maximum. Son Maître jouait avec une manivelle qui faisait monter ou descendre l’ensemble selon son bon vouloir. Il stoppa l’ascension lorsqu’il jugea la bouche de sa soumise à la bonne hauteur pour sucer la bite qui se présentait à elle. Le possesseur de cette bite était du coup lui aussi à la bonne hauteur pour lui bouffer la chatte se qu’il fit avec délectation. Il mettait de grands coups de langue qui ne tardèrent pas à faire sortir le petit bouton de son capuchon de protection. Ce dernier prit d’ailleurs de belle proportion assez rapidement. Il faut bien dire que notre ami s’en donnait à cœur joie. Entre deux coups de langue il tirait sur le clito avec ses dents ou il le pinçait entre ses lèvres et jouait dessus avec sa langue. La fille avait bien du mal, la tête en bas, à respirer avec la bite dans la bouche et ses gémissements de plaisir. Et pour couronner le tout, son Maître lui enfonça un gode énorme dans le fion après l’avoir copieusement enduit de gel lubrifiant. Lors de la dernière poussée de l’objet qui l’envoya au maximum de sa longueur, sous la douleur, elle ouvrit grand la bouche se qui permit au soumis d’enfoncer son pieu au fond de la gorge et de décharger son foutre en saccades. La pauvre fille faillit bien s’étouffer avec cette position inconfortable où, probablement il lui était impossible de déglutir. Le foutre ressortait de sa bouche et lui coulait dans le nez, c’était encore pire. Elle secouait la tête pour s’en défaire et finit par retrouver son souffle. Mais comme la nature et son Maître ont horreur du vide, un second gode tout aussi énorme que le premier lui fut enfilé dans la moule. Celui la ne sembla pas la perturber. Et puis au moins elle pouvait à peu près respirer normalement.
Je finis par tomber, enfin si je puis dire, sur Margot, euh, sur Perle, enfin comme vous voulez. « BHV » était là aussi bien entendu. Il m’a vu et m’a fait signe de me mettre dans un coin, discrètement, pour bien voir sans être vu afin de ne pas la bloquer. Il y avait aussi Karim et Romain. Ils étaient eux aussi à poil. Alors là, moi qui, sans me prendre pour un apollon, me trouve pas si mal bâti, moi qui, sans être prétentieux pense avoir une bite dans la moyenne haute. Je mesurais la vanité de ma fierté de mâle dominant et le ridicule de ma queue à côté de ces deux gaillards. Sans déconner, comment pouvais-je lutter face à ces monstres ? Je comprenais vraiment maintenant pourquoi ma petite femme si fragile, si douce, si désirable, si « salope » était devenue accroc à ces deux machines à sexe. Bien sur j’avais eu les récits de ses exploits. J’avais vu les photos aussi. Mais là, pour de vrai comme on dit, c’était autre chose. C’est bien simple, la bite du marocain pendouillait, plutôt molle et on aurait dit la mienne en érection. Du moins par la taille car quand même, je bande dur aussi. Et je ne vous parle même pas de celle de Romain. Je ne risque pas d’aller poser la mienne à côté de la sienne. C’est des coups à aller se suicider de honte.
Mais bon, revenons à nos moutons. Au centre du cercle formé par les spectateurs trônait une table. Une table normale. Genre table de salle à manger. Mais en bois massif, du chêne sans doute vu la couleur, tout à fait raccord avec le lieu. Une espèce de matelas avait été posé dessus et sur un bref signe de « BHV », Karim s’allongea dessus, sur le dos. Un autre petit signe et une soumise vint se mettre à califourchon sur le marocain, lui présentant ainsi au dessus du visage, son entre cuisses où il s’empressa de mettre son nez. Elle, se baissa et attrapa la bite molle qu’elle engouffra dans sa bouche. Rapidement l’action manifestement efficace de la suceuse redonna vigueur au membre viril. Il faut bien dire qu’elle y mettait du cœur. Elle avalait quasiment entièrement la colonne de chair car son nez se perdait dans les plis des couilles de Karim. Je suppose que le gland devait lui chatouiller les amygdales. En se retirant une dernière fois, la petite foule put admirer un pieu bien dressé et dur. « BHV » tapota la fesse de Perle qui se tenait à côté de lui. Ce fut le signe pour elle, de passer à l’action. Elle monta à son tour sur la table, un pied de chaque côté de Karim, face à la soumise qui se faisait toujours bouffer la chatte. Elle se baissa doucement au dessus du pieu dressé et s’empala à fond. Elle était carrément assise, la bite au fond du vagin. Tout doucement elle commença à se relever puis à redescendre sans jamais laisser sortir l’engin. La soumise lui attira la tête et Margot, enfin Perle, se retrouva le visage dans ses nichons. L’excitation montait. Karim donnait de grands coups de langue dans la moule béante et remontait jusqu’à la rondelle qui frémissait sous la caresse. Perle suçait les tétons faisant ressortir les bouts en les serrant avec ses mains. Parfois la soumise lui remontait le visage au niveau du sien et lui roulait de grosses pelles baveuses et passionnées. Sur un dernier signe de « BHV », c’est Romain qui entra en scène. Il monta lui aussi sur la table, derrière Perle (ça y est, je m’y fait à ce nouveau prénom. Il s’agit que je ne me trompe pas quand on sera au dehors !). D’une main il appuyait sur son épaule pour qu’elle se baisse au niveau de la cuisse de l’autre soumise, offrant ainsi un meilleur accès à son trou du cul. De l’autre il peaufinait la raideur de son membre en se branlant doucement. « BHV » lui tendit un flacon de gel lubrifiant dont il s’enduit le gland et en déposa une giclée à l’entrée de l’orifice encore disponible. L’excitation et sans doute le simple fait d’avoir senti le gel lui couler dans la raie, sa rondelle s’est entrouverte. Romain n’hésita pas un instant et en profita pour y glisser son gland fraichement lubrifié. Le muscle se détendit et avala l’objet aussitôt. Ensuite par petit peu, c’est toute la queue qui s’enfonça au fond de son cul. Je savais bien qu’elle l’avait déjà fait mais je n’en revenais pas. Devant moi, ma femme, oui ma femme, avait une bite marocaine d’une bonne vingtaine de centimètres dans la chatte et en même temps une bite toute noire de près de trente centimètre dans le rectum ! Et qu’est-ce que ça me faisait ? Étais-je jaloux ? Ben non. Étais-je excité ? Ben …. Euh, merde oui je bande bordel !! Pour moi c’était un signe. J’étais capable non seulement de le supporter mais en plus, ça m’excitait. Donc à priori, je devais être sur le bon chemin pour devenir à mon tour un Maître.
Alors que toutes ces pensées venaient de me traverser l’esprit, le trio s’était mis en branle (curieuse expression). Lorsque Karim s’enfonçait, c’est Romain qui se retirait. L’autre soumise caressait le dos de Perle et se faisait toujours bouffer le minou. Le rythme commençait à s’intensifier. La sueur perlait sur les corps, celui de Romain brillait comme s’il était huilé. Les gémissements se faisaient plus rauques. La queue d’ébène entrait et ressortait à une cadence de plus en plus rapide. Même la deuxième soumise râlait en fermant les yeux et en se triturant les nibards. Perle la première fut prise de tremblements et cria sa jouissance en se cambrant d’avantage. Romain la suivit de prêt et déchargea sa semence sur ses reins dans un cri de gorge assourdi par la crispation de ses mâchoires. Puis se fut au tour de Karim de retirer sa bite des entrailles de Perle et de lâcher un geyser de foutre qui retomba sur les fesses encore secouées de spasmes orgasmiques. L’autre soumise se mit aussitôt en devoir de lécher le sperme qui enduisait le corps repu de ma petite femme chérie. Putain, quel beau spectacle !!! C’est pourtant vrai qu’elle est magnifique quand elle baise. Il faudra que je lui dise.
Perle, non Margot, je t’aime ! Cela aussi il faudra que je te le dise.
KneelDown, Noste a liké
#142784
J'ignore si j'ai autant de talent que vous voulez tous m'en prêter, mais il est vrai que j'ai beaucoup d'amour pour ma femme qui a bien voulu que je la guide toutes ces années. Bien sur comme vous le savez cette histoire est grandement inventée, fantasmée parfois mais un peu de vécu (par nous ou des amis) vient parsemer le récit.
Merci de vos appréciations, particulièrement à toi Milli qui trouve toujours les mots justes. Mon affection t'es acquise.
Noste a liké
#145090
Vos désirs sont des ordres cher totof, voici donc l'épisode 20. Bonne lecture à tous et comme toujours, merci de vos appréciations, les auteurs en sont toujours friands. Comme le faisait remarquer Milli, très peu de commentaires au regard du nombre de lecteurs. Mais bon.........

Quand Margot devient chienne.
Et Laurent change d’avis.

- Alors mon cher Laurent, qu’avez-vous pensé de notre petite soirée ? Elle assure bien notre petite salope, non ? Qu’en pensez-vous ?
- Oh oui tout à fait ! Pour assurer elle assure. J’avoue qu’au début j’avais un peu peur, mais après une fois dans l’ambiance, je me suis trouvé à l’aise.
- Et ?
- Et ma foi tout c’est bien passé. Je reconnais que bien que je savais ce qu’elle faisait j’appréhendais bien un peu de vivre ça en live. Je pensais être jaloux, gêné, surtout quand je voyais cet énorme boudin noir lui rentrer dans le cul, j’avais mal pour elle. Et finalement rien de tout ça, c’est même le contraire, je me suis aperçu que je bandais comme un âne.
- Et bien vous voilà rassuré ! On va pouvoir s’occuper de vous maintenant.
- Euh, justement, non.
- Comment ça non ?
- Ce ne sera pas nécessaire.
- Mais si, mais si ce sera nécessaire. Bon d’accord vous avez bien observé l’autre soir mais ce n’est pas suffisant. Il y a des codes que je vous apprendrais, nous allons officier en binôme au début et peu à peu je vous lâcherais la bride. Elle est presque prête, vous allez l’avoir à votre main faites-moi confiance.
- « BHV ».
- Oui ?
- Justement je ne veux pas la prendre en main.
- Hein ?! Quoi ?! Mais pourquoi ? Je vous dis qu’elle est quasiment prête.
- Ce n’est pas ça. En fait je ne me sens pas capable d’être son Maître le soir et faire comme si de rien n’était dans la journée. Je ne pourrais pas. Je suis très heureux de vous l’avoir confiée pour en faire la salope qu’elle est devenue mais moi je ne veux que ma femme. Gardez la. Faites la encore progresser dans la soumission, mais moi je veux juste ma femme et je profiterai de ses talents quand même ce qui n’est pas si mal.
- Bon. Comme vous voudrez. En même temps j’avoue que je ne suis pas mécontent de garder une belle pouliche comme elle dans mon écurie. Si c’est votre souhait je la garde encore alors. Mais si vous voulez venir à nos petites soirées, pas de problème, ce sera quand vous voulez.
- Merci, je ne dis pas non. De temps en temps peut-être.

Le temps était maussade. Il ne pleuvait pas mais le ciel était bas, chargé d’humidité. Il faisait froid. Dans l’atelier régnait une douce chaleur. Perle posait. « BHV » travaillait pour de vrai sur une toile.
- Maître ?
- Oui ?
- Qu’est-ce que tout ça va devenir ?
- Hein ? Quoi ?
- Je veux dire, nous. Laurent, moi, vous. Où tout cela nous mène-t-il ?
- Es-tu en train de me dire que tu veux arrêter ?
- Non, ce n’est pas ça.
- Alors quoi ? Et reprend la pose je ne vois plus ta chatte.
- Pardon, oui.
- Alors quoi ?
- Je ne sais pas trop. J’aime nos soirées. J’aime mon mari. Mais je me demande comment cela va finir. Car ça finira bien un jour, non ?
- Sans doute ma princesse, mais ce n’est pas pour demain, alors que veux-tu ?
- Je ne sais pas.
- Du changement ? De l’imprévu ?
- Peut-être, qu’en pensez-vous ?
- Il faut voir. Quelle heure est-il ? Attends je regarde. Habille toi je t’emmène déjeuner.

C’était un restaurant très cosy. Du bois, du cuivre, du cuir. Un peu anglais. Mais cuisine française, il ne faut pas déconner tout de même.
« BHV » commanda pour eux deux. Une crème brulée au foie gras pour commencer et un confit de lapin au romarin avec une petite purée de vitelottes aux noisettes. Il verrait après pour le dessert dit-il au maître d’hôtel. Le foie gras étant servi avec un verre de muscat du Cap Corse, il demanda un Chinon pour boire sur le lapin au sommelier.
Les mets étaient vraiment délicieux. Le restaurant était calme et « BHV » ne semblait pas vouloir parler. A peine s’il demandait à Perle ce qu’elle pensait du repas.
Finalement ils ne prirent que des cafés, il ne leur restait plus de place pour un dessert.
- Perle ?
- Oui Maître.
- Tu vois le monsieur seul, là bas, dans le box en face ?
- Oui, bien sur, pourquoi ?
- Je veux que tu ailles le voir.
- Hein ?! Mais pourquoi ? Je ne le connais pas.
- Justement. Tu vas t’asseoir à sa table et tu t’arranges pour lui montrer ta chatte.
- Maître, non ! Pas ça !
- Obéis ! Tu vas à sa table et tu lui dis que tu veux le sucer.
- Mais ça va pas ! Il va me gifler ! Il va me prendre pour une pute !
- Obéis ou disparais !
Perle fut un instant pétrifiée. Que devait-elle faire ? Obéir ? Partir ? Mais partir, c’était à jamais. « BHV » ne voudra jamais la reprendre après un tel affront. Alors elle se leva et commença à marcher timidement vers le box d’en face. Un regard en arrière vers l’œil noir de son Maître la décida définitivement.
- Euh … Bon … Jour monsieur.
- Bonjour jeune femme, que puis-je pour vous ?
En s’asseyant, Perle s’était arrangée pour soulever sa robe sans être vu des autres clients. Elle était assise le cul nu sur la molesquine du siège. Dissimulée par la table il n’y avait que l’intéressé pour la voir. Aussi elle releva encore un peu sa robe et là, il ne pouvait pas manquer de voir sa chatte d’autant qu’elle avait écarté ses cuisses.
- Mais que me voulez-vous madame ?!
- Euh … Si vous voulez je peux vous … Euh … Sucer.
- Hein ? Mais je n’ai fais appel à personne ! Je ne veux rien vous devoir.
- Mais c’est gratuit.
- Mais et votre mari là bas, que va-t-il dire.
- Rien du tout, il aime que je fasse ça. Alors vous voulez bien ?
- Et bien, vu comme ça, ce n’est pas pareil en effet.
- Vous me suivez aux toilettes ?
- J’arrive dans une minute.
En attendant dans les toilettes des femmes, Perle se refaisait une beauté. Elle vérifiait sa coiffure, retouchait son maquillage et ajustait sa petite robe.
L’homme ouvrit la porte et lui dit de le suivre. Elle s’exécuta et ils pénétrèrent dans les toilettes hommes. Contrairement aux soirées habituelles, le lieu était fortement éclairé et il y avait beaucoup de miroirs. De plus, « BHV » avait insisté pour qu’il la fasse venir dans les toilettes hommes pour la déstabiliser un peu plus. L’homme s’adossa au lavabo et regarda Perle. Elle n’était pas très à l’aise et regardait le bout de ses souliers.
- Alors ! Tu attends quoi ? Tu m’as bien fait venir pour me sucer ou pour me dire des poèmes ?
- Je viens monsieur.
- A poil d’abord !
- Hein ? Mais … Je …
- A poil je te dis salope !
Elle fit passer sa robe par dessus sa tête et vu qu’elle ne mettait plus rien dessous elle se retrouva complètement nue si ce n’est ses escarpins. Elle s’approcha de l’homme et commença à défaire sa ceinture. Il en profita au passage pour lui peloter les nibards. Ensuite elle défit le bouton du pantalon et fit descendre le zip de la braguette. Elle se mit à genoux en baissant le pantalon et le caleçon et découvrit une bite en semi érection de taille moyenne. Plutôt fine au bout mais plus épaisse vers le pubis. Elle léchouilla le gland du bout de sa langue. Lui, trouvant que ça n’allait pas assez vite, appuya sur sa tête et enfourna sa queue jusqu’au fond de la gorge de Perle. Elle eut un haut le cœur et faillit s’étouffer. Un réflexe de retrait lui permit de faire ressortir la bite et de reprendre son souffle. Elle repris sa besogne en lui faisant comprendre que c’est elle qui imposait le rythme. Il posa ses mains en appui de part et d’autre sur le lavabo. Il avait la tête renversée en arrière, la bouche ouverte et il râlait de plaisir.
Sa queue était devenu bien raide et les veines apparentes comme sculptées dans la chair. Perle sentait le plaisir monter dans la verge qu’elle avalait par moment jusqu’à la garde. Lui aussi sentait bien qu’il allait éjaculer. Il se retira.
- Lèves toi salope ! Mets toi contre le lavabo ! Je vais t’enculer !
- Mais ! Monsieur, non ! Ce n’est pas prévu !
- Tais toi ! Petite pute ! Penches toi sur le lavabo, oui comme ça. Et écarte tes fesses avec tes mains, voilà c’est bien.
Il passa sa main entre les cuisses de Perle et remonta dans le sillon des fesses.
- Mais tu mouilles ma salope ! T’aimes ça hein te faire enculer !
- …
- Dis le que tu aimes ça !
- Euh … Oui.
- Oui quoi ?
- J’aime ça.
- Tu aimes quoi ? Allez pouffiasse dis le que tu aimes te faire enculer !!!
- Euh … Ouuui … J’aime ça … Euh … Me faire … En … culer.
- Et ben tu vois ! Allez, écartes les bien tes fesses de pute !
Perle n’en revenait pas. Jamais « BHV » ne lui avait parlé ainsi. Même dans les soirées. Parfois c’était assez hard, mais le langage n’était jamais aussi cru. Quel salaud ce mec ! Comment il me traite. D’un autre côté elle se dit qu’elle était dans les toilettes d’un restaurant en train de sucer et de se faire enculer par un homme inconnu quelques instants auparavant. Vu de l’extérieur, que pouvait-on en dire ? Elle était bien ce qu’il disait, une pute gratuite !
L’homme s’enfonça dans sa chatte d’un seul coup. Il lubrifia son membre dans le jus que Perle distillait abondamment et présenta son gland à l’entrée de son trou du cul. Il écarta lui-même un peu plus ses fesses et entra une partie de sa queue. Il resta immobile quelques secondes et enfonça le reste au maximum. Il était tellement excité qu’après quelques va et vient il se retira vite et appuya sur l’épaule de Perle afin qu’elle se retourne, se baisse et enfourne la queue tendue qui gicla son foutre aussitôt. Elle dut avaler le sperme ; il lui tenait la tête et elle ne pouvait pas se dégager. Dès qu’elle le put, elle attrapa sa robe qu’elle remit en vitesse et s’échappa des toilettes hommes.
Arrivée en haut des marches, elle courut jusqu’au box où l’attendait « BHV » et elle se colla littéralement à lui.
Ce qu’elle ignorait bien sur, c’est que « BHV » lorsqu’il avait réservé la table au restaurant, avait aussi prévenu le patron de son petit stratagème. Et c’est précisément le patron qui avait déjeuné dans le box d’en face et qui c’était dit qu’après tout une petite pipe après le repas ne pouvait pas faire de mal.
- Alors ma princesse, tu voulais du changement, de l’imprévu. Te voilà servie non ? Et rassures toi, ce n’est qu’un début.
#146428
Bonjour amis lecteurs. Voici l'épisode 21. Bonne lecture et comme toujours, merci de vos commentaires, si rares soient-ils.

Quand Margot devient chienne.
Et la fête continue.

Ce jour là encore, Perle et son mentor était au restaurant. Pas le même que l’autre jour mais un peu dans le même style. Elle se dit que « BHV » devait apprécier ce genre de décor. Et finalement, elle aussi. C’était cossu, chaleureux et tranquille, on n’entendait pas les conversations des autres clients, à peine le bruit des fourchettes dans les assiettes. En entrant, « BHV » s’est directement dirigé vers le fond de la salle, Perle dans son sillage. Un serveur qui semblait l’attendre ouvrit une porte et ils pénétrèrent dans un salon privé. À leur arrivée, trois hommes et une femme se levèrent pour les saluer. « BHV » présenta Perle un peu comme sa dernière acquisition, elle en fut vexée. Mais très vite il fit l’éloge de ses qualités ce qui lui fit bomber machinalement le torse, mettant ainsi sa poitrine en avant. Chacun la complimenta sur sa beauté et sur les talents que lui prêtait son Maître.
Perle observait chacun des convives à la dérobée, mais il lui semblait bien qu’elle ne connaissait personne. Après l’apéritif où quelques banalités d’usages sur le temps, la politique et les embouteillages furent égrenées, trois serveurs apportèrent des assiettes sous cloches devant chacun. Comme dans un ballet bien réglé, ils prirent les cloches deux à deux et soulevèrent de concert, laissant échapper les effluves épicées d’une assiettées de gambas.
Tous avaient faim aussi le début de la dégustation fut silencieux. Puis, peu à peu la conversation reprit. Maintenant c’était plus sérieux. On abordait sembla-t-il à Perle, le marché de l’art. On parlait tableaux, galeries, expositions, Tokyo, Londres, milan. Tout un tas de choses auxquelles elle ne comprenait quasiment rien. « BHV » parlait de billet d’avion, de séjour, de décalage horaire. Mais si il part je devient quoi moi ? Se demanda-t-elle. Ou alors il va m’emmener. Oui c’est ça, je vais aller avec lui dans ces galeries d’art, ces expositions à travers le monde. Il va me faire découvrir d’autres horizons, d’autres gens. Je vais me faire sauter par des chinois, des japonais, des indiens, des colombiens. Il sera fier de moi.
- Perle !
- …
- Peeerle !!
- Hein ? Oh oui, pardon. Que …
- Et bien où étais-tu ? Je t’ai appelée quatre fois avant que tu ne daignes revenir parmi nous. À quoi penses-tu ?
- Oh, rien, rien du tout. C’est votre conversation, toutes ces villes à travers le monde, je rêvais c’est tout. Excusez-moi Maître.
- Bon ce n’est rien, je te comprends d’ailleurs. Mais maintenant ces messieurs et peut-être aussi cette dame ?
- Euh, oui je veux bien. Répondit l’intéressée.
- Et donc cette dame, souhaitent avoir un petit aperçu de tes talents.
- Ah bon ? Comment ça ?
- Oh c’est très simple, tu passes immédiatement sous la table et tu satisfaits chacun de ces messieurs et madame. Peut-être d’ailleurs en commençant par elle, galanterie oblige…
- Que je …
- Oui c’est ça, allez exécution, ne m’oblige pas répéter.
- Mais …
- Perle !!! Et arranges toi pour que les habits de ses messieurs et dame ne soient pas tachés, ils doivent retourner au bureau après déjeuner.
Alors elle se coula sous la table et commença sa besogne. Comme convenu elle s’approcha des jambes de la femme. Cette dernière avait remonté sa jupe et s’était avancée sur le devant de sa chaise. Perle posa ses mains sur les genoux et caressa les cuisses en remontant jusqu’où la chair est à nue. Elle entendit des gémissements signe que ses mains étaient efficaces. Elle revint aux genoux et fit une pression vers l’extérieur pour les écarter. Elle avança son visage entre les cuisses et leur fit quelques baisers appuyés. Elle passa ensuite ses mains derrière les fesses de la femme et l’obligea à s’avancer d’avantage. Enfin à portée de langue, la coquine voyageait elle aussi sans culotte, elle enfouit son nez dans la fine toison d’où perlait déjà une chaude humidité. Perle réussit à passer ses bras sous les genoux de la femme et les posa sur ses épaules. Ainsi positionnée, la chatte était plus accessible et s’ouvrait légèrement. Perle lui mit quelques grands coups de langue de bas en haut qui la firent encore frémir. Puis elle tira sur les grandes lèvres et commença à titiller le petit bouton qui sortait de sa cachette. Il devint rapidement gros et un flot de cyprine arrosa Perle qu’elle s’efforça d’avaler entièrement. La femme venait de jouir.
Elle s’attaqua, si on peut dire, à l’homme qui se trouvait à la droite de la femme. Il avait déjà sorti sa bite de sa braguette et se branlait en attendant son tour. En faisant un rapide tour d’horizon elle constata qu’il en était de même pour les deux autres. Elle se saisit donc de la première bite et continua de la branler. Celle-ci n’était pas bien grosse au regard de ce qu’elle avait pris l’habitude de chevaucher. Elle s’appliqua néanmoins à lui donner du plaisir et avala en totalité le foutre au demeurant peu abondant de son premier candidat.
Elle passa au second sans attendre et constata que celui la était déjà près de l’apoplexie tant sa bite était violacée. De fait elle n’eut pas beaucoup à sucer qu’il se déversait déjà dans sa gorge. Et pas une goutte à coté. On a sa fierté …
Le troisième avait un braquemard de belle taille. Elle se cogna d’ailleurs la tête sous la table en voulant le prendre en bouche. Elle dû la tirer vers elle pour pouvoir l’emboucher plus aisément. Là, par contre elle dû s’employer un bon moment avant de le faire cracher son venin. L’intéressé avait réussi à passer ses mains sous la table et tenait la tête de Perle afin de l’obliger à faire des gorges profondes qui avaient le don de lui donner la nausée, surtout lorsqu’elle était forcée. A son rythme, ça allait, elle maîtrisait sa respiration. Finalement elle réussit à se dégager et fit jouir le troisième et dernier.
Le bruit des zips qu’on remonte fut le signal pour elle de revenir à la surface. Elle n’osait regarder personne. Honteuse. Mais « BHV » la félicita et tout le monde loua ses talents. Même la femme fit son éloge et assura que personne ne l’avait si bien léchée depuis longtemps et la remercia de l’avoir fait jouir si fort. Chacun se leva ensuite afin d’ajuster ses vêtements. Tous saluèrent et remercièrent « BHV » en le félicitant encore pour sa soumise hors paire.
Restés tous les deux dans le petit salon, le silence devint rapidement pesant. Perle n’osait rien dire et attendait la suite des évènements. « BHV » semblait réfléchir puis se leva à son tour et fit signe à Perle de le suivre.
Ils quittèrent le restaurant toujours en silence. La voiture n ‘était pas loin, en les apercevant à la porte le « croque-mort » démarra et vint se poster devant eux. Ils s’y engouffrèrent et ce n’est qu’une fois installés que « BHV » se décida.
- Perle.
- Oui ?
- Ne m’interrompt pas je te prie.
- Pardon Maître
- Je suis très déçu …
- Mais qu’est-ce …
- Je t’ai demandé de ne pas m’interrompre !... Je reprends. Je suis très déçu. Tu sembles ne pas vouloir m’obéir comme je le souhaite. C’est très désagréable pour moi, surtout devant mes amis. Je te demande certaine chose et tu hésites. Je sens même que parfois tu es sur le point de refuser. Je ne peux tolérer une telle attitude. J’avais confiance en toi. Je t’ai toujours bien traitée me semble-t-il. J’ai toujours veillé sur toi. Et toi pour me remercier tu me ridiculises devant mes amis. De plus, lorsque je te dis d’aller sucer quelqu’un, ce n’est pas pour te faire enculer comme l’autre jour dans les toilettes sans mon autorisation. Je ne peux pas continuer ainsi, aussi je ne vois que deux solutions. Ou bien tu rentres chez toi et tout s’arrête ou bien …
- Non Maître !!! Ne me laissez pas je vous en supplie ! Punissez-moi ! Faites ce que vous voulez de moi mais ne m’abandonnez pas. Dites-moi ce que vous voulez je le ferai. N’importe quoi, j’obéirai c’est promis. Je ferai la pute pour vous si vous voulez. Vous me voulez salope je le serai. Dites-moi Maître, dites-moi.
- Effectivement, il y a cette solution. Je peux te punir. Puisque c’est ce que tu sembles vouloir je vais y réfléchir.
- Oh oui Maître punissez-moi ! Dites-moi !
- Je t’ai dis que j’allais y réfléchir, alors ça suffit.

« BHV » laissa passer quelques jours. Il ne la fit pas venir chez lui, ni ne l’appela. Il la laissait mijoter. Elle devait être tourmentée se disait-il à se demander ce qu’il allait bien pouvoir lui trouver comme punition. C’était une bonne chose. On pouvait même considérer que cela faisait partie de la sanction. En même temps il se demandait ce qu’il allait bien pouvoir trouver comme punition. La faire baiser ou enculer lui donnerait plus de plaisir que de peine, même de façon intense. Et puis même pour la punir il ne voulait pas l’emmener n’importe où ni avec n’importe qui, alors ? Que faire ? A priori il ne lui restait plus qu’une seule option : « la douleur physique ». Oui, c’est ça. Je vais la faire un peu souffrir. Pas trop fort tout de même. Mais il faut qu’elle y goûte. C’est même une très bonne idée de punition. Comme elle n’aime pas ça, ce sera encore plus dur pour elle. Je ne serai pas trop méchant mais il faut qu’elle le croit. D’abord pour ma crédibilité et puis on ne sait jamais, elle peut y prendre goût. Allez, c’est décidé, on y va pour les douleurs physiques.
Après ces réflexions, « BHV » attrapa le téléphone et m’appela.
- Bonjour mon cher Laurent, comment allez-vous ?
- Bonjour Bernard, fort bien et vous même ?
- Très bien aussi je vous remercie.
- Qu’est-ce qui vous amène, rein de grave j’espère ? Il est si rare que vous m’appeliez.
- Non, non, rien de grave rassurez-vous. Margot ne vous a rien dit ?
- Euh, non. Comment ça ? A quel propos ?
- Par rapport à elle.
- Non, pas que je sache.
- J’ai décidé de la punir.
- Ah bon, pourquoi ?
- Elle ne m’a pas obéi comme je le souhaitais.
- Ah ? Et ?
- Et bien je l’ai menacée de ne plus m’occuper d’elle et elle m’a supplié de la punir mais de la garder.
- Ah bon. Très bien. Et que viens-je faire là dedans ?
- Et bien je voulais vous prévenir d’une part et d’autre part vous demander votre avis aussi.
- Mon avis !??
- Oui votre avis car j’ai pris une décision mais je voudrais quand même votre approbation.
- Ah ? Et que dois-je approuver ?
- Et bien je me suis dis qu’une punition tournant autour du sexe pur ne serait pas vraiment une punition pour elle vu comme elle aime ça.
- Oui je me doute, alors ?
- Alors j’ai pensé avoir recours à la douleur.
- La douleur !!!?? Comme vous y allez !
- Ne vous emballez pas. Je ne lui ferai rien de très dur rassurez-vous. Je ne suis pas fou non plus. Mais je me dois de marquer le coup de manière assez nette. Je pensais à quelque chose d’assez soft. Quelque chose qui ne laisse pas de marque vous voyez ?
- Ah je préfère ça. Nous étions bien d’accord, pas de violence.
- Non, non, pas de souci de ce côté. D’ailleurs si vous le voulez vous pourrez être présent. Même caché.
- Euh, je ne sais pas. Je vais voir, peut-être. Enfin je ne crois pas avoir envie de la voir souffrir, même si c’est juste un peu. Je vous dirai ça plus tard. Au fait, vous avez prévu ça quand ?
- Ce week-end.
- Très bien.
#146931
Un grand merci pour tous ces compliments. Vous me gâtez! Je suis vraiment très heureux que cette modeste prose vous plaise. J'espère qu'il en sera de même pour les épisodes suivants. Néanmoins je compte aussi sur vous pour me prévenir lorsque vous en aurez assez, ou que le texte est moins bon. Soyez toujours sincères.
#146999
Bonsoir
Toujours interéssante à lire et de + en + prenante. Je suis cette soumission avec beaucoup de plaisir et attend que les souhaits de Laurent se réalise "Dans mes fantasmes elle se retrouve sur un parking de routiers la nuit et suce tout ce qui passe à sa portée. Un arabe l’entraîne dans une cave de la cité voisine et appelle ses potes."
par corsica2
#149149
Voilà pour les accrocs que je remercie encore au passage pour leurs encouragement, l'épisode 22. Bonne lecture à tous.

Quand Margot devient chienne.
La punition.

Margot se retrouvait intimidée presque comme au premier jour. Bien qu’aguerrie au sexe, elle se demandait quand même ce qu’avait trouvé « BHV » pour la punir. En arrivant elle avait bien vu que Karim et Romain était là. Mais bon, ces deux la elle les avait pris dans tous les trous et dans toutes les positions depuis longtemps, alors, que pourraient-ils bien inventer de nouveau ? Ou alors « BHV » avait inventé une nouvelle machine infernale et elle allait se retrouver attachée dans une position encore inédite invraisemblable. Mais au fait, où est-il « BHV » ? Il était encore invisible pour le moment. Margot était descendue d’elle même toute nue dans la cave moyenâgeuse et attendait sagement le bon vouloir de son Maître. Malgré la douce température de la pièce, elle frissonnait. Cette attente l’agaçait. Elle aurait voulu « savoir » tout de suite. Que va-t-il me faire ? Se demandait-elle. Va-t-il arriver avec une demi douzaine de mâles en rut qui vont me baiser et m’enculer dans tous les sens ? Ou alors, il n’y aura que des femmes. Oui c’est ça. Il sait que ce n’est pas ce que je préfère même si je ne crache pas dessus, et il va me livrer à une bande de furies qui vont jouer avec mon corps à leur guise. Toute à ses pensées, Margot n’avait pas entendu « BHV » entrer dans la pièce ainsi que ses deux « assistants ».
- Ah, tu es là ! Bon et bien nous allons pouvoir commencer. Vu ta tenue, je suppose que tu acceptes ta punition et que tu ne songes pas à partir ?
- Non, Maître je ne veux pas partir. J’accepte cette punition.
- Parfait. Alors viens par ici je te prie.
Et il l’entraîna vers un coin de la cave où se trouvait bien une nouvelle machine. Margot se dit que ce n’était qu’une machine de plus et que se faire baiser là ou ailleurs ne changerait pas grand chose. Elle suivit donc le mouvement sans hésitation.
Cet engin n’avait en soi rien d’extraordinaire ni de rebutant. C’était comme une table en forme de T. On la fit s’allonger sur le dos, les bras en croix sur les bras du T. Les deux assistants fermèrent les sangles sur les poignets puis en haut des bras près des épaules. Une dernière sangle lui serra la tête au niveau du front empêchant tout mouvement. Ensuite ce fut la taille qu’on sangla. Elle en fut un peu étonnée, mais bon se dit-elle, pourquoi pas. Ils veulent que je sois complètement entravée, si ça les amuse.
Puis vint le moment des jambes. Là aussi, chaque cheville fut emprisonnée par une sangle. Mais la nouveauté encore, c’est que ses cuisses furent également attachées. Juste au dessus des genoux. Bizarre pensa-t-elle, si je suis attachée de partout ils vont me baiser comment ? Et puis l’accès à ma chatte n’est pas vraiment aisé. Curieux. « BHV » s’approcha à son tour du corps nu emprisonné, à sa merci. Karim qui avait disparu une minute auparavant revint portant un plateau qu’il tendit à son Maître. Celui-ci se saisit de pinces munies d’un anneau et s’employa à en orner chaque téton. Margot poussa un cri à la première pince aussitôt tancée par son Maître. Devant ses yeux noirs, elle pinça les lèvres et se tut lorsque la seconde pince fut posée. Mine de rien, pour quelqu’un qui n’aime pas la douleur se dit « BHV » ses tétons réagissent plus qu’on aurait pu l’imaginer. Ensuite il se retourna vers Karim qui tenait toujours le plateau et s’empara de deux autres pinces celles-ci munies d’une chainette où pendait un poids. Il passa d’abord sa main entre les cuisses de Margot en lui faisant remarquer qu’elle était bien mouillée pour une suppliciée. Il saisit ensuite chaque lèvre qu’il équipa d’une pince. Aucun son ne sortit de la bouche de Margot qui se demandait si c’était là toute sa punition. Après tout, ce n’était pas si difficile de supporter ces pinces sur ses nichons et sa chatte. Mais elle n’eut pas à se poser des questions très longtemps. « BHV », armé d’une télécommande dont le câble semblait sortir de sous la table appuya sur l’un des boutons. Aussitôt la table vibra et se mit à se relever. Un instant plus tard, Margot pouvait voir les trois hommes qui l’observaient. Tous se penchèrent sur la fameuse télécommande. On dirait des gosses avec un nouveau jouet se dit-elle, ironique mais avec une pointe d’inquiétude néanmoins. « BHV » appuya sur un autre bouton et la table se sépara en deux parties au niveau des jambes. Ces dernières ce retrouvèrent écartées en un rien de temps. Aussitôt les deux poids tombèrent et se mirent à pendouiller entre ses jambes lui arrachant un cri de douleur au passage. Cela, elle ne l’avait pas vu venir. Petit à petit la douleur s’estompa et devint supportable. Elle s’étonnait elle-même alors qu’à priori elle n’aimait pas ces pratiques, elle se surprenait à avoir du plaisir quand même. « BHV » actionna un nouveau bouton de sa télécommande et les jambes se retrouvèrent à l’horizontale, comme si elle était assise par terre. Mais là elle était à un bon mètre au dessus. Les poids pendaient sous elle et ses grandes lèvres aussi. Nouvelle sensation pour elle, pas si désagréable finalement se dit-elle. Puis « BHV » attrapa chaque poids et le coinça dans la sangle de cuisse. La chatte béait maintenant grande ouverte, provocante, humide, une chatte de chienne en chaleur. Content de l’effet, il prit ensuite une chainette dont il fixa chaque extrémité aux anneaux des pinces de tétons. Il la confia à Romain à qui il commanda de tirer dessus afin de tendre les nibards de la méchante salope désobéissante.
Margot résistait tant bien que mal à la douleur. Ses tétons lui faisaient mal. Lorsqu’il n’y avait que les pinces ça allait à peu près, mais quand Romain tirait dessus en y prenant, semble-t-il d’ailleurs, un malin plaisir, là c’était douloureux. Mais elle tenait bon. Elle ne voulait pas leur donner le plaisir de la voir supplier ses tortionnaires. Ah ça, non, il ne la verrait pas crier, ni pleurer.
Karim qui avait disparu une nouvelle fois revint avec le trépied qu’elle connaissait déjà. Il fut placé sous elle muni d’un gode de taille moyenne lubrifié. Il se posta derrière elle et actionna la manivelle au signal de « BHV » toujours attentif à son œuvre. Karim ajusta le positionnement du trépied et le bout du gland de silicone pénétra l’anus sans résistance. Une fois le gland avalé le reste suivit rapidement. Elle en avait pris de plus gros pensa-t-elle, alors ce truc de débutante, vous rigolez !
Comme si « BHV » avait lu dans ses pensées, à moins que cela ne soit prévu, il fit signe à Karim qui s’empressa de changer d’embout. Un gode plus gros remplaça le premier et la manivelle fut à nouveau activée. Celui-ci pénétra les entrailles de Margot avec la même facilité. Certes elle le sentait mieux, mais bon, rien de bien méchant. Romain en avait une plus grosse, alors…
Mais une fois encore, un signal permit à Karim de changer encore la taille du phallus. Cette fois-ci elle le sentit passer. Il devait être au moins comme celui de Romain pensa-t-elle, voire même plus gros. Une fois au fond de son trou du cul, Karim fit descendre et remonter l’engin plusieurs fois, bien à fond.
Le manège dura quelques instant jusqu’à ce que « BHV » tendit à son assistant un gode énorme afin qu’il fasse le changement. Il avait fait exprès de le donner en restant devant afin que l’objet ne passe pas inaperçu aux yeux de Margot. Il fallait qu’elle voit ce qu’elle allait se prendre dans le fondement, du jamais vu pour elle encore.
Alors que Karim s’employait à faire le changement, un poids fut posé sur la chainette de téton. L’intromission du gode ne fut pas si dur que ça. D’abord le passage avait été préparé par les précédents godes et le dernier fut bien lubrifié. Et curieusement, une fois le gland passé, le reste fut avalé comme une lettre à la poste. Karim désolidarisa le gode du trépied et finit de l’enfoncer au fond du trou du cul manuellement puis il s’écarta.
« BHV » de nouveau la télécommande à la main appuya sur un des boutons. Margot qui le regardait inquiète, se vit basculer vers l’avant. Bien entendu les poids, eux aussi, tombèrent et tirèrent les uns sur les tétons, les autres sur les grandes lèvres. Margot ne put contenir un cri de douleur qu’une claque sèche sur la fesse stoppa net, étranglé dans la gorge.
- Alors Perle, que penses-tu de ma punition ?
- J’ai mal !
- Ben oui, c’est un peu le principe. Mais tu l’as bien mérité aussi. J’espère que maintenant tu m’obéiras sans discutailler ?
- Oui Maître, c’est promis.
- Cela dit, je trouve que tu as bien supporté tout ça. D’autant que tu n’aimais pas ça à priori. Pourtant ton corps a semblé dire le contraire. Si j’en juge à ce qui te coule en ce moment entre les cuisses, tu vas avoir beaucoup de mal à me dire le contraire, je me trompe ?
- Non, vous devez avoir raison Maître.
- Bon très bien, n’en parlons plus. Nous allons te descendre de là et pour terminer tu vas satisfaire mes deux lascars. Vois dans quel état ils sont ces deux cochons lubriques ! Après cela ton compteur punition sera à zéro.


- Ben que t’arrive-t-il ? Tu as l’air toute chose.
Margot était assise sur un banc, dans le vestiaire de son club de fitness qu’elle fréquentait assidument. Elle était en train de penser à sa séance de torture de la veille. Elle transpirait encore de la petite séance qu’elle venait de faire avec son coach. Elle était encore en tenue de sport et s’apprêtait à aller prendre sa douche lorsqu’elle se perdit dans ses pensées. C’est son amie Anne qu’elle retrouvait chaque semaine dans cette salle qui la surprit les yeux dans le vague, comme ailleurs.
- Hein ? Quoi ? Ah c’est toi, que disais-tu ?
- Je disais que tu as l’air bizarre oui ! A quoi pensais-tu ? Tu avais un drôle de regard avec tes yeux dans le vague. Tu m ‘as fait peur tu sais Margot.
- Oh non, ce n’est rien ne t’inquiète pas. J’étais perdue dans mes pensées c’est tout. Pas de quoi appeler « SOS psychiatrie » si ça peut te rassurer.
- Bon, ben si tu le dis.
- Mais oui, ça va Anne, pas de souci.
- OK, OK. Bon on la prend cette douche ?
- Oui tu as raison, allez hop, à la douche.
Les deux femmes se déshabillèrent et entrèrent dans les douches communes. Aucune ambigüité entre les deux. Margot savait qu’Anne n’aimait pas les femmes. Une hétéro à 200% se plaisait-elle à dire. Pourtant elle regardait souvent Margot à la dérobée. Elle la trouvait vraiment belle avec sa poitrine ferme et avantageuse. Ses hanches bien dessinées, ses fesses rebondies. Bref tout ce qu’elle trouvait qu’il lui manquait. Pourtant lorsqu’elles en discutaient toutes les deux, Margot lui disait bien qu’elle était ridicule de penser ça. Tu es très bien toi aussi affirmait-elle. Je suis certaine que les hommes aiment tes hanches et ta taille menue. Et ta poitrine ? Elle est très jolie ta poitrine ! Regarde tes tétons comme ils sont gros et sensibles. Tu n’as pas de ventre, tes fesses sont super fermes et tu es belle comme un cœur, alors que veux-tu de plus ? Mais bon, sans être envieuse, Anne se serait parfois bien vue dans le corps de Margot.
Elle sortirent toutes deux de la douche et se séchèrent en même temps tout en revenant vers le vestiaire.
- Dis-moi Margot, je te trouve changée. Tu as fait quelque chose ?
- Comment ça Anne ?
- Ben je ne sais pas. Je te trouve … Comment dire ?... Épanouie ! Voilà c’est ça, épanouie.
- Et bien merci Anne, c’est gentil à toi de me le dire. Mais je n’ai rien fait de spécial. Je suis très heureuse avec mon Laurent, ça doit être ça.
- Oui sans doute. Mais quand même, j’ai l’impression qu’il y a quelque chose de plus. Tu as changé quelque chose dans ta vie ?
- Ben non, je ne vois pas.
- Et ce peintre dont tu m’avais parlé ? Tu le vois toujours ?
- Ah oui en effet, toujours.
- Tu continues à poser pour lui ?
- Oui, oui.
- Mais il peint quoi ? Que toi ?
- Oh non bien sur que non. Je suis le sujet principale mais le cadre change souvent.
- Ah d’accord. Tu ne voudrais pas m’emmener avec toi un jour ?
- Pourquoi pas si ça te fait plaisir, je veux bien.
- Et tu crois qu’il me fera poser aussi ?
- Ah ça ma chérie je n’en sais rien. Pourquoi, ça te plairait de poser ?
- Je ne sais pas. Une fois, comme ça, pour voir. Pourquoi c’est dur ?
- Dur, non, je ne peux pas dire ça. Disons qu’au début c’est assez pénible de tenir la même pose pendant de longues minutes. Mais à force on s’habitue et ça devient plus aisé. Mais ça dépend aussi des poses. Il y en a de plus difficile.
- D’accord, je vois. Mais tu crois qu’il me laisserait essayer ?
- On peut toujours lui demander, on verra bien. Mais es-tu prête à te montrer nue devant lui ? Et même parfois avec un partenaire selon le motif du tableau ou de la photo ?
- Ah bon ?!
- Et oui.
- Oh pourquoi pas après tout, c’est en privé je suppose qu’il n’y a pas de spectateur ?
- Non bien sur.
- Tu y vas quand la prochaine fois ?
- Demain.
par corsica2
#151052
Bonjour amis lecteurs. Voici l'épisode 23. Dites-moi si vous en avez assez ou si je continue. Bonne lecture.
Quand Margot devient chienne.
Visite guidée.

- Voilà, tu vois c’est ici que je travaille.
- Oui, oui, je vois. Et c’est là bas que tu te déshabilles je suppose ?
- Absolument. Et là bas il y a des toilettes et là une douche.
- Tu poses où alors ?
- Ben partout, ça dépend du choix du Maître.
- Tu veux dire que ça peut être là, sur ce sofa ou sur cette chaise en rotin ?
- Oui c’est tout à fait ça. Même sur cette estrade ou ce lit.
- Ah bon, sur le lit aussi ?!
- Oui. Pourquoi pas ? Je t’ai dis ça dépend des sujets.
Margot faisait voir tous les recoins de l’atelier ainsi que la belle vue qu’on avait depuis les fenêtres de la tour. Elle continuait à lui expliquer comment se passait une séance de pose alors que Anne simulait ou plutôt singeait sa copine en prenant des poses ridicules.
- Tu ne me présentes pas ton amie, Perle ?
« BHV » venait d’entrer dans l’atelier. Les deux femmes furent surprises et sursautèrent ensemble. Perdues dans leur bavardage, elles n’avaient pas entendu la porte s’ouvrir.
- Euh … Si, bien sur. Maître je vous présente mon amie Anne. Anne je te présente euh … Ber …
- « BHV ». Mes amis m’appellent ainsi.
- Bonjour Monsieur.
- Bonjour Anne. Perle m’avait cachée qu’elle avait une amie aussi jolie.
- Euh … Merci Monsieur.
- Non, non, c’est la vérité, vous êtes tout à fait charmante. Tu n’es pas de mon avis Perle ?
- Si Maître bien entendu, d’ailleurs je me tue à le lui dire.
- Oui, oui, tout à fait charmante.
- D’ailleurs Maître, Anne se demandait si vous accepteriez de la faire poser ? Elle aimerait essayer.
- Oh ! Pourquoi pas. Il faut voir. Je suppose que Perle vous a expliqué un peu comment ça se déroule ?
- Oui. Enfin, à peu près. Elle m’a dit qu’il fallait surtout s’habituer à ne pas bouger pendant plusieurs minutes.
- Oui, cela fait partie des difficultés.
- Je veux bien essayer si vous êtes d’accord bien sur.
- Et bien, Perle a une séance demain vous n’avez qu’à venir avec elle et nous verrons ce qu’on peut faire de vous. Cela vous convient ?
- Oui bien sur, tout a fait, je … oui … à demain alors.

Les deux femmes s’éclipsèrent sans un mot de plus. Une fois dans la voiture le silence entre les deux amies se poursuivit. On pouvait surprendre parfois un regard de l’une ou de l’autre qui tentait de deviner les pensées que l’autre avait en tête. C’est Margot qui conduisait. Elle était concentrée ou du moins en donnait l’impression, sur la conduite du véhicule. Ainsi elle échappait, sans doute momentanément, elle ne se faisait pas d’illusion, à la question qui taraudait Anne et qui lui brûlait les lèvres. La circulation était dense. Margot dût stopper à un feu passé au rouge.
- Anne.
- Oui ?
- Poses la ta question.
- Quoi, quelle question ?
- Arrêtes ! Ne fais pas l’imbécile, tu sais très bien de quoi je veux parler.
- Oui, et ben tu avoueras que c’est surprenant quand même ! Je croyais que tu étais mon amie Margot et je te découvre en Perle. Alors oui, je me pose des questions c’est sur. Mais tu as surement une bonne réponse ?
- Anne, ma chérie, ne te fâches pas je t’en prie. Bien sur que tu es mon amie. Et bien sur que je suis Margot. C’est juste que comme modèle je suis Perle. C’est « BHV » qui m’a baptisée ainsi. Il a voulu que j’ai un pseudo et je n’ai pas souhaité le contrarier. Et puis, Perle, c’est joli tu ne trouves pas ?
- Euh … Si bien sur c’est joli. Mais la situation était troublante tu ne crois pas ? Et puis surtout tu aurais pu me mettre au courant si je suis ton amie.
- J’avoue que je n’y ai vraiment pas pensé. C’est devenu tellement une habitude que je n’y pense même plus. Je réponds aux deux prénoms sans distinction. Je suis vraiment désolée Anne chérie, je te prie de m’excuser, j’espère que tu ne m’en tiendras pas rigueur.
- Tu as de la chance que je t’aime toi ! Bien sur que tu es pardonnée mais ne me refais plus un coup comme ça, hein !?
- Promis, juré, craché !
Les deux copines finirent le chemin en rigolant et en parlant de choses et d’autres. Puis Anne revint sur la journée du lendemain qui lui donnait quand même un peu le trac. Margot fit son possible pour la rassurer en lui disant ce qu’elle aurait approximativement à faire.
Malgré tout, la nuit fut plutôt courte pour Anne. Elle tournait et virait sous sa couette sans réussir à trouver le sommeil. Elle avait beau se dire que ce n’était pas la mer à boire. Qu’il suffisait de rester immobile quelques instants dans une certaine position. Bon d’accord, il faudrait peut-être que je sois à poil, mais bon, sur la plage en été je ne me pose pas toutes ces questions, alors ! Et puis Margot m’a expliqué. C’est quand même pas sorcier. Et Margot sera là aussi, alors pas de danger. Enfin Margot, disons Perle. Ah cette Margot, elle m’en aura fait voir quand même. Perle. Cela fait bizarre tout de même. Je suppose que je vais m’y habituer. Mais comment je vais l’appeler moi ? Margot ou Perle. Margot des villes. Perle des champs.
Anne finit par s’endormir, mais la nuit était déjà bien entamée.

Il faisait déjà presque chaud lorsqu’elles arrivèrent au château. Le printemps était là. Sur le parking où Margot stoppa la voiture, elles furent accueillies par une multitude de chants d’oiseaux qu’elles avaient bien du mal à apercevoir, tant la nature renaissait en de verdoyantes pousses recouvrant les rameaux de l’année.
Tout comme la veille c’est le « croque-mort » qui leur ouvrit la porte. Mais là, Margot avait pris soin d’avertir Anne auparavant afin qu’elle n’eut pas un mouvement de recule en voyant le phénomène.
En rigolant comme deux collégiennes arrivant au pensionnat, elles grimpèrent les marches de la tour qui les emmenaient dans l’atelier du Maître. La pièce était déserte. Il y faisait bon. Nul trace de chauffage, sans doute le soleil à travers les vitres faisait déjà son œuvre. Margot se dirigeât instinctivement vers le paravent où elle se déshabillât intégralement aussitôt, sous les yeux un peu surpris d’Anne qui hésitait à la suivre.
- Ben alors, tu ne viens pas ?
- Euh … Si, si, j’arrive. Mais tu ne crois pas que je devrais attendre « BHV » pour qu’il me dise quoi faire ?
- Ah. Comme tu veux. Mais je pense qu’il va te dire de te mettre à poil comme moi.
- Oui tu crois ?
- Pour ta première séance de poses il va peut-être nous mettre ensemble pour que tu t’habitues.
- Oui, peut-être. Tu dois avoir raison. Bon, je viens alors.
Les deux filles papotaient, assises sur le bord de l’estrade, nues, lorsque « BHV » entra. Il les salua, une seconde étonné de voir Anne, puis réalisa rapidement qui elle était et se dirigea vers sa table de travail toujours jonchée de peintures, de pinceaux, d’appareils photo numériques ou argentiques, ainsi que de toiles vierges ou entamées. Il ne prêta pas vraiment attention à la nudité de ses deux modèles et s’affaira, sans leur parler davantage, à la préparation de ses couleurs et du matériel adéquat. Quelques instants passèrent sans qu’un mot ne soit prononcé. Les filles regardaient ce que faisait « BHV » sans oser l’interrompre ni lui poser la moindre question. Bizarrement, elles se serraient, comme pour s’épauler dans l’attente d’un verdict. Ensuite « BHV » trouva un chevalet dans un coin et posa une nouvelle toile dessus. Il approcha sa petite étagère mobile où il avait déposé son matériel et ses couleurs.
- Bon les filles, on va travailler un peu si vous le voulez bien.
- Bien sur qu’on veut Maître. Par qui voulez-vous commencer ?
- Mais par toutes les deux Perle. Vous allez monter sur l’estrade où vous aviez posé vos jolies fesses et vous asseoir dos à dos.
- Comme ceci Maître ?
- Oui, très bien. Maintenant ramenez vos pieds vers vous … Voilà, oui, non Anne pas trop. OK, c’est bon. Maintenant vous levez vos bras et vous vous tenez par les mains.
- Comme ça ?
- Oui c’est bon, ne bougez plus. Perle baisse un peu tes genoux … Oui, parfait ! Alors tenez la pose, je commence.
Cette pose avait l’avantage, outre le fait de faire ressortir les deux paires de nibards, d’être faite à deux. Ainsi les deux modèles se tenaient mutuellement et il leur était plus aisé de résister. Si bien qu’Anne ne vit pas le temps passer et elle trouvait ça finalement amusant. Du coup elle espérait que « BHV » lui demanderait de revenir.
Au bout d’un moment tout de même, elle avait des fourmis dans les bras et son nez la chatouillait. Elle n’osait bouger mais « BHV » s’en aperçu néanmoins et déclara qu’il était temps de faire une petite pose. La décision fut accueillie avec plaisir et les deux filles s’empressèrent de se lâcher, de se lever afin de s’étirer et faire re-circuler le sang comme il faut dans leurs veines. Toutes deux marchaient dans l’atelier pour retrouver des sensations que l’immobilité avait angourdies.
- Perle ?
- Oui Maître ?
- Si tu faisais visiter l’autre atelier à ton amie ?
- L’autre atelier Maître ???!!!
- C’est quoi l’autre atelier Margot, euh, je veux dire Perle ?
- Allez Perle, fais-lui visiter, je te fais confiance, tu sauras la guider.
- Bien Maître. Bon, viens alors Anne.
- Mais on ne se rhabille pas ?
- Ce n’est pas nécessaire ma chère Anne. Vous verrez, Perle va vous faire découvrir tout ça. Allez-y et prenez votre temps. Nous déjeunerons dans le jardin, vous me retrouverez à la piscine après votre petite visite.
Margot descendit les escaliers la première, Anne dans son sillage. Elle bifurqua une fois arrivée au palier du bas pour emprunter l’escalier aux pierres froides et à l’atmosphère lugubre.
- Brrrr ! Où m’emmènes-tu Margot, euh non, Perle. Oh tu vois, je ne sais plus comment t’appeler. C’est compliqué cette histoire.
- Ce n’est pas grave Anne, appelles-moi comme tu veux, cela n’a aucune importance et je suis habituée au deux, alors …
- Mais dis-moi, au fait, je voulais te demander un truc.
- Oui, quoi ?
- Ben « BHV ».
- Quoi « BHV » ?
- Ben tu l’appelles toujours Maître, ça fait bizarre, non ?
- Non ce n’est pas bizarre. Un peintre ça s’appelle Maître. Tu n’as jamais entendu ça ?
- Si, si, mais quand même, dans ta bouche, ça sonne drôle.
- Comment ça drôle ?
- Ben je ne sais pas trop, mais on dirait que tu as peur de lui.
- Mais non je n’ai pas peur, qu’est-ce que tu racontes. Bon allez, on est arrivée, mais je te préviens tu vas être surprise et même peut-être plus que ça.
- Ah bon, pourquoi, c’est pas un atelier de peinture ?
- Pas exactement, tu vas voir.
Là, effectivement, Anne fut scotchée. Sa bouche resta ouverte. Ses yeux ronds. Elle était figée dans l’entrée, incapable de bouger. Margot était allée s’asseoir sur le bord du lit en attendant que son amie réagisse et revienne sur terre. Anne finit par déglutir et referma sa bouche. Elle regarda Margot puis la pièce, puis Margot, puis la pièce, puis … Elle s’avança à petits pas. S’arrêta devant un engin dont elle ignorait bien l’usage, puis un autre un peu plus loin l’attira. Celui la elle devina ce qu’on pouvait en faire, du moins le supposait-elle. Elle revint vers Margot qui se levait.
- Mais qu’est-ce que c’est que tout ça ???!!! On est où là ? C’est le moyen âge ici !! Tu ne vas pas me dire que c’est un atelier de peintre ?!
- Mais si ! Détrompes-toi. Certes je te l’accorde, ce n’est pas très conventionnel comme atelier. Mais comme tu peux le voir sur cette table, il y a tout le matériel de « BHV » pour la peinture et même la photographie. Cela dit, oui, comme tu le penses sans doute, les poses sont beaucoup plus suggestives que dans l’atelier du haut.
- OH mon Dieu ! Mais toi, tu poses aussi ici ?!
- Ben oui, pourquoi, ce n’est pas plus difficile qu’en haut.
- Waouh !!! Et ça, ça sert à quoi ?
- Tu veux essayer ?
- Mais ça va pas non !!! Tu es folle ou quoi !!!
- Mais ça ne va pas te manger. Allez viens, je vais t’aider à t’installer.
- Euh … Tu crois ?...
- Mais oui, allez viens, fais pas ta pucelle !
- Oh Margot, comme tu y vas !!
- Je déconne Anne, allez viens.
Margot aida Anne à monter sur la table en forme de T qu’elle avait testée lors de sa punition. Elle attacha les poignets d’Anne qui regardait son amie d’un œil inquiet tout de même. Elle continua avec les sangles des bras et celle de la tête. Les chevilles et les cuisses furent à leur tour emprisonnées et Margot termina par la sangle abdominale.
- Alors, comment te sens-tu ?
- Ben ça fait vraiment bizarre. Je ne peux même pas tourner la tête.
- Oui c’est le principe. Il ne faut pas que tu puisses bouger sur cet appareil. Tu vas vite comprendre. Regardes.
Margot actionna la télécommande comme elle l’avait vu faire pour elle. La table bougea et Anne se retrouva à la verticale.
- Tu vois, c’est pour ça qu’il faut que tu sois coincée. Sinon tu glisses.
- D’accord je vois. Et … Et c’est tout ? Il ne se passe rien de plus ? « BHV » te peint ainsi attachée ?
- Euh … Pas exactement. Attends deux secondes tu vas voir.
Deuxième bouton et les jambes d’Anne s’écarte ainsi que ses yeux qui n’en croient pas ce qu’ils voient.
- Mais !!!! Qu’est-ce que tu fais ??!!
- Ben tu voulais savoir si c’était tout, alors je te montre. Tu n’es pas contente ?
- Je ne sais pas trop pour l’instant. Ce n’est pas très confortable en tous cas.
- Attends je vais arranger ça. Que vas-tu faire encore ?
Troisième bouton. Les jambes se relèvent à l’horizontal. De nouveau les yeux d’Anne s’écarquillent et sa bouche s’ouvre à nouveau.
- Attention Anne tu vas gober une mouche.
- Ouais, c’est ça, vas-y, rigole !! Je voudrais bien t’y voir toi. Mais au fait, tu y es déjà passée sur cet engin ?
- Bien sur.
- Et après il se passe quoi alors ?
- Tu veux vraiment le voir ?
- Pourquoi, c’est quoi ?
- Tu voulais savoir si j’y étais passée. La réponse est oui. Tu voulais savoir ce qui se passait après, alors je vais te montrer. Quelque chose me dit que ça va te plaire.
- C’est quoi, hein ?! Dis, c’est quoi ? Allez dis-le moi. Dis-le moi ou …
- Ou quoi ma chérie ? Je te rappelle que tu es un peu attachée.
Margot disparue à la vue d’Anne qui s’inquiétait de plus en plus. En même temps la situation l’excitait plus qu’elle ne voulait bien se l’avouer. Bien qu’elle ne pouvait bouger la tête elle avait l’impression que ses tétons avaient doublés de volume. Elle sentait la peau de ses nichons tendue. Elle entendait des bruits derrière elle sans savoir d’où, ni de quoi cela provenait. Margot avait apporté l’un des gode et son support. Pas le très gros gode, mais un de taille raisonnable.
- Dis donc ma chérie, tu vas avoir du mal à me dire que tout ceci te laisse insensible !
- Pourquoi tu dis ça ?
- Ben vu la marre qui s’agrandit sous toi …
- Hein ?!! C’est vrai ? Oh j’ai honte !! Descends-moi de la Margot, s’il te plait !!
- Tu ne veux donc pas connaître la suite ? C’est dommage, tu es à point pour ça pourtant. Et puis, on est que toutes les deux et on ne se cache rien, ou presque.
- Ouais, c’est le « ou presque » qui m’inquiète.
- Bon je fais quoi alors ?
- Bon, continues je te fais confiance. Mais tu ne parles de ça à personne, hein !!! Sinon je t’étripe !
- Mais non ma chérie, ce sera notre secret.
- Bon, alors vas-y.
Et Margot tourna la manivelle.

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