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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par ILOTE06
#8333
marc et Agnès 11

A quelques temps de la, alors que les études et le travail au restaurant l’occupait presque toute la semaine, ma compagne se mit en tète de reprendre le sport, un temps délaissé et de s’inscrire dans une salle de gymnastique, j’apprendrais un peu plus tard qu’un ami d’Arnaud était le propriétaire et que celui-ci lui avait suggéré qu’il serait bon qu’elle entretienne son corps voir qu’elle le muscle encore plus selon ses gouts d’homme mur.
En ces années de « gym tonic » les salles avaient le vent en poupe et la mode aidant, elles se livraient entre elles une concurrence très rude, Appareils dernier cri, sauna, jacuzzis, UV, restaurant light, boutique de sportswears etc. etc. !
La salle en question ou plutôt le complexe se situait dans le quartier des Bosquet a Nice, tout prés d ’un grand carrefour du centre, ultra moderne, très bien conçues et ouverte très tôt le matin et très tard le soir, je pris rapidement l’habitude de déposer ma chérie en sortant de la fac puis de rentrer chez moi attendre son arrivée les soir ou elle me rejoignait.
J’avoue que l’idée qu’elle me rejoigne, si tard le soir ,souvent a peine douchée et en sueur dans ses shorts moulant et ses bodys serrés cachés sous un imper pour pouvoir prendre le bus, ne me laissait pas indifférent, un en cas a peine pris et une douche rapide quelquefois et nous nous retrouvions au lit ou malgré sa lassitude et me rendais heureux.
Pratiquant moi-même a l’époque de la musculation, je lui proposais plusieurs fois de venir la rejoindre et de m’inscrire aussi, rendant ainsi nos séances plus pratique et lui permettant de rentrer avec moi ou de la déposer chez elle selon le soir, a chaque fois elle éludait, semblant un peu gênée et même une fois ou deux un peu en colère, je n’insistais pas mais restait quant même assez étonné de cette attitude, le doute s’insinuant en moi, je pris mes renseignements et après deux visites dans la journée , je m’aperçu que je connaissais le propriétaire de ce complexe, c’était tout simplement l’ami d’Arnaud, l’homme du bipper et du parking !!!
Ne tenant plus en place, je repérais les lieux en me rendant a trois reprises dans la journée dans cette salle, un soir sachant qu’Agnès était sorite avec d copines, je m’y rendis plus tard aux alentours des 21 heures, la salle était presque vide, une hôtesse a l’accueil sentant en moi le nouveau client ( vu mes nombreux passages dans la semaine ) me proposa comme cela se faisait souvent une carte pour 4 entrées gratuites, je l’acceptais et me rendait dans le vestiaires des hommes pour passer un short, passant de machines en machines, je pratiquais quelques mouvements écoutant les conversations tenues par deux ou trois hommes a voix basse : Elle n’est pas la ce soir, Arnaud l’ a invitée chez lui, elle sera la demain soir comme tous les mardi ?????, alors que je tendais l’oreille, un des hommes répondis : Je me la suis tapée mardi dernier avec Michel, elle nous a laissé sur les genoux, une vraie salope, je vous dis pas, elle suce comme une pute et elle se laisse baiser a mort sans arrêter de gémir !
J’écoutais, le rouge aux joues et haletant sous les efforts tendant l’oreille pour mieux savoir, pour tout connaitre de ma chérie de ma si douce compagne, si douce qu’elle se laissai tout faire parc ce hommes sans rien leur refusez !!!
Le troisième homme en riant leur dit : J’en ai parlé avec Gérard, il m’a dit qu’elle lui avait vidé la queue dans un parking et qu’il l’avait même vue se masturber contre le mur dans son rétro !, non seulement il venait de lui baiser la bouche a fond et vous connaissez sa queue mais en plus, elle se faisait jouir parce qu’il ne l’avait pas baisée, cette petite salope !N’y tenant plus je délaissé les machines pour me replier vers les vestiaires, je pris rapidement une douche et quittait la salle, entrant dans les vestiaires, je m’aperçu que ceux-ci donnaient sur un balcon complexe ayant été transformé sur la base de plusieurs appartements, les balcons aux vitres dépolies avaient été conservés, j’ouvrir difficilement la porte fenêtre et je me retrouvait sur un très long balcon cloisonné et empli de plantes qui faisait le tour de la salle, j’errais un peu le long de et ouvrage et réalisait a un moment que je voyais l’intérieur de la salle de sport par une grille d’aération, les grilles et les baies vitrées avaient été condamnés pour le sauna, la piscine et les salles d’UV mais laissés moins protégé pour la salle de musculation.
L’esprit encore tout engourdi par ce que je venais d’entendre, je rentrais chez moi et commençais à réfléchir sur la manière d’aller dans cette salle le lendemain soir !
Le lendemain comme d’habitude, je passais prendre Agnès a la sortie de la fac, je vis ma petite chérie descendre le grand escalier de la fac de lettres, perchée sur ses bottines a talons haut elle portait comme la mode le voulait cette année des bas noir épais mi jambe laissant le haut des cuisses nus la taille ceinturée par une mini plissée réellement courte et une veste largement ouverte sur un body noir porté comme chemisier, ses seins nus ballotait un peu sous la dentelle du body et ses longues jambes attiraient le regards envieux de quelques étudiants assis sur les marches, elle se pencha et entre dans la voiture posant son sac sur le siège arrière et m’embrassant tandis que je détaillait ses cuisses largement révélée par sa jupe minuscule ! Elle me sourit et me dit : marc, ce soir ne m’attends pas je rentrerais très tard mais je dors quant même chez toi !A peine surpris je m’entendis répondre l’esprit déjà absent réfléchissant a ce que j’allais faire : Ok ma chérie, je suis un peu fatigué, je dormirais.
Quelques pâtés de maisons plus loin ,je la déposait devant la salle de sport, il était 20h, elle m’embrassa a pleine bouche et sortie en souriant, je redémarrais et allais me garer plus loin dans un parking, laissant la ma voiture, mon sac de sport en main, j’entrais dans un bar pour laisser passer quelques temps et réfléchir au moyen d’entrer dans la salle sans trop me faire remarquer !
Vers 20h45, je sortais enfin du bar ou deux whiskys m’avaient rendu bien plu sur de moi, et je me dirigeais vers le complexe de sport, passant devant l’hôtesse, d’ailleurs en train de quitter son pose, elle failli me héler, puis sans doute pressée de rentrer chez elle sembla se raviser, je traversais le couloir et me rendis directement dans les vestiaires, les lumières étaient diffuse et l’ambiance dans la salle très sombre, une musique un peu forte raisonnait, passant directement sur le balcon profitant que les vestiaires étaient vides, je refermais prudemment la baie vitrée derrière moi et m’avançais discrètement vers la grille d’aération si pratique.
Silencieux et dissimulé par la grille et l’obscurité presque totale du balcon je laissais mon regard s’accoutumer la pénombre de la salle, je vis un peu plus loin, allongée sur le dos poussant difficilement une barre de développé ma si douce chérie, entourée de quartes hommes qui la regardait peiner, l’un d’eux derrière sa tète, l’aider par moment a finir ses mouvements, allongée sur le dos, les cuisses ouvertes et le short tendu, son ventre nu et si musclé tendu sous l’effort ses seins pointant sous son body si moulant elle ahanait sous l’effort sous le regard vicieux de ses « camarades » de sport, a la dernière série elle reposât la barre et alors qu’elle tentait de se relever l’homme derrière elle s’agenouilla et lui prenant le tète a deux mains, l’embrassa goulument a pleine bouche, je vis sont corps se cambré et je vos ses lèvres si douces rendre docilement le baiser violent.
Un des trois autres s’assit sur le banc d’à coté et doucement commença à lui caresser le ventre, sous la caresse très lente, je vis son corps encore se tendre et ses reins se cambrer pour mieux monter vers la main qui commençait à la fouiller !
L’homme qui tantôt, l’embrassait a pleine bouche mordant ses lèvres pleines, les lui caressait maintenant de ses doigts durs, pénétrant sa bouche même, y entrant un doigt puis deux puis trois, la tète renversée en arrière, sa bouche si douce distendue, s’étouffant a moitie sous la pénétration un peu brutale, Agnès haletait tout en frissonnant de tout son corps.
Le second montrait aux deux autres le ventre de ma compagne se tendre vers ses doigts, passant une main sous ses fesses, il ôtât son short, laissant apercevoir son sexe épilé largement ouvert pour mieux y pénétrer ses doigts, il commença alors a lui fouiller le ventre sans douceur, l’ouvrant littéralement sous le regard de ses amis, elle haletait gémissait sans pouvoir bouger, la bouche distendue par trois doigts et le ventre tendu ouvert par d’autres doigts, il la pénétrais, la défonçait usant de ses doigts pliés comme d’un sexe tendu pour mieux l’ouvrir !
L’homme a genoux prés de son visage, pris sa tète a deux mains lui caressant les joues tout en entrant ses pouces dans sa bouche puis lâchant d’une main son visage sortie son sexe tendu pour le lui engouffrer au fond de la bouche, la nuque bloquée la tète rejetée en arrière le corps cambrée, elle l’avalait docilement, pénétrée, défoncée et soumise, l’autre s’assis a cheval sur le banc et soulevant ses hanche, sortis a son tour un sexe assez large pour la pénétrer de toute sa longueur sous la double pénétration, je vis le corps d’Agnès, se cambrer en une secousse, puis se déhancher alors qu’ils commençaient a aller et venir dans son corps, pénétré par les deux bouts, les deux autres hommes placés de chaque cotés de se corps distendu et cambré agité de soubresauts au rythme des sexes qui le défoncait,tendirent leurs mains vers ses seins lui caressant les tétons, se masturbant sur elle, frottant par moment leurs sexe congestionnés sur sa peau douce, au bout d’un moment qui me paru interminable, l’homme dans sa bouche cambra ses reins en se mordant les lèvres, il dit : Je vais jouir petite putain, avale moi et ne crache rien, je sans que tu aime ca petite pute !!!,a peine eu il fini qu’un autre prenais sa place pénétrant une fois de plus cette bouche aux lèvres si douce et commençant a la baiser a fond nuque tendue et mâchoires bloquées par ses doigts, il haletait en lui pénétrant la bouche, s’amusant a pousser plus loin laisser son sexe l’étouffer et attendant le denier instant les soubresauts de sa gorge puis la laisser enfin respirer, l’homme dans son ventre joui enfin a grand coups de reins lui malaxant les fesses pour mieux coller son bassin au sien, le 4 me pris sa place et sans même un instant le remplaça dans le ventre ainsi ouvert et meurtri pour se déchainer en la défonçant a larges coup de reins : Tu aime petite pute ?tu en veux plus salope ? On va te détruire le ventre, on va te défoncer comme une petite pute !!!!Il joui enfin a longs traits se laissant aller sur son ventre, recouvrant sa peau si douce d’une large coulée de sperme.
L’homme qui avait joui le premier dans sa gorge s’éloignait déjà en lançant aux autres : Bon, moi je rentre, je suis pressé, si vous le voulais, finissez la elle demande que ca !Toujours allongée sur le banc, le corps relâché et la tète ballotant sur le coté, je voyais ma si douce compagne, respirer lourdement, le corps encore un peu tendu et ces trois hommes qui essuyaient leurs sexes sur son corps en riant !
Je m’aperçu alors que j’avais moi-même joui sans même me toucher, paniqué a l’idée de croiser l’homme qui partait dans le vestiaire, je ressortais très vite et quittait la salle de sport le plus discrètement possible.
Modifié en dernier par ILOTE06 le 23 nov. 2009, 13:19, modifié 1 fois.
par humeuristiquecocu
#8450
J'ai bien aimé tes histoires et adoré ton avatar : les "ilotes ou "hilotes" étaient les esclaves originaires de Laconie que les Spartiates enivraient pour dégoûter leurs enfants de la boisson !
Je l'aurais bien adopté si j'avais été un cocu soumis !
par ILOTE06
#9444
les Ilotes etaient en effet des esclaves dans la société grecque plus précisement chez les Spartiates.

je suis moi meme un esclave dans les jeux de roles sexuels qui composent ma vie!
par ILOTE06
#9445
marc et Agnès 12

Je passais un nuit très agitée en attendant le retour de ma tendre cherie, les heures passaient et je fini par trouver le sommeil bien après minuit et me réveillait le matin, seul dans mon lit.
Dans la matinée un peu inquiet mais bousculé par mon travail, je reçu un message d’Agnès qui me donnait RV le midi au restaurant, pas un mot d’excuses, pas d’explications : Viens a 11h30 !, bien avant le début du service qui avait lieu aux alentours des 12h30, un peu surpris mais encore inquiet malgré tout, je finissais mes travaux en cours l’esprit ailleurs, ma secrétaire me rappela deux rendez vous ,ce qui m’arrivait assez peu souvent je dois le dire.
Vers 11h je prétextais un rv extérieur au grand étonnement de Laure, ma secrétaire et je sortis pour me rendre au restaurant, arrivant devant l’entrée vers les 11h20 je poussais la porte et m’installais a une table dans le fond de la salle, un peu a l’écart et dissimulée en partie derrière un paravent de plantes vertes.
Le patron me voyant entrer me salua d’un grand sourire et passa dans l’arrière salle en disant a voix haute : Agnès ,prends une pose, ton copain est la !, je vis sortir de la salle ma douce chérie perchée sur ses talons si haut qu’ils rendaient sa démarche provocante au moindre geste, vêtue d’une mini ultracourte ses longues jambes musclées gainées de noir et un petit haut en dentelle largement entrouvert laissant aisément voir sa poitrine haute et tendue.
Alors qu’elle avançait vers moi, de sa démarche ondulante laissant aller ses hanches et ses si belles fesses musclées au gré de ses mouvements, je remarquais aussi son ras de cou de cuir noir porté très haut et fini par une jolie boucle d’or et son maquillage un pelus poussé qu’a l’accoutumé qui faisait ressortir ses si beaux yeux verts et ses lèvres pulpeuses en les teignant de rouge carmin.
Se penchant vers moi, alors que j’admirais avec délice et toujours autant d’envie son décolleté  plongeant qui révélait la presque totalité de sa poitrine menue mais haut placée, elle m’embrassa a pleine bouche laissant sa langue si douce joue avec la mien laissant échapper un petit soupir de plaisir qui me rendis a moitié fou d’excitation : Je suis rentrée très tard, hier, marc, j’ai préfère renter directement chez moi j’étais si lasse que je ne pensai plus qu’a mon lit, tu m’excuse ?
Encore tout étourdi et excité par se baiser precieux, je répondis : Je comprends ma chérie, tu as fait trop de sport, la fatigue, je connais aussi ! En lui souriant confiant.Oui, j’ai un peu trop forcé, hier soir et je suis rentrée éreintée e les muscles moulus, mais je suis très contente, je sens que je fais des progrès et je pense que je vais intensifier mes séances a la salle, ca ne te dérange pas trop ? , alors que je la dévorais du regard un peu surpris quant même, Tu sais, ca m’aide à me sentir a l’aise et bien dans mon corps !Un peu inquiet quant même des répercutions sur notre vie presque commune, je lui dis : Oui mais, nous nous verrons moins souvent, tu va rentrer tard tous les soirs ?, elle me répondit en s’asseyant en face de moi et en se penchant d’un air contrits : Marc, j’en ai besoin, je ne peux pas m’en passer, c’est plus fort que moi, ne me demande pas d’arrêter, je ne peux pas !!!!, au son de sa voix devenue subitement, plus rauque, plus marquée, je compris qu’elle ne parlait plus du sport mais bien de ce qui m’excitais tant !
Elle sembla hésiter un moment et puis comme pour se libérer d’un poids elle se lança et me dis alors : marc, tu es mon copain, je tiens a toi et j’ai même besoin de toi, mais j’ai besoin de lui, d’eux, de tous, je les veux en moi, sur moi a travers moi, j’en ai tellement besoin que je suis prête a tout accepter pour qu’ils me donnent ce que je veux, tout, tu m’entends tout !Encore : Tout ce que je te demande c’est ta compréhension, que tu acceptes de me voir ou non, mais que tu me laisse libre à chaque fois que j’en aurais besoin !A moitié assommé je ne savais plus quoi répondre, je la voyais en face de moi, si belle, si douce, si excitante et aussi si tendue, en attente, de moi, de lui ou d’eux, je ne sais plus, me voyant hésitant elle dis Je resterais abasourdis par cet aveu, ce cri du cœur, elle me prit la main et la serrant très fort me dis encore : Si tu l’accepte, je serais avec toi dans la vie, mais je resterais totalement et sans limites disponible pour lui ou pour eux a chaque fois que je serais appelée, tout le reste du temps je serais pour toi !
Elle se leva et dis : Je vais prendre mon service, je te vois ce soir a 19 heure a la sortie de la fac, marc, mon chéri, je t’aime beaucoup !!!
Je restais la, immobile, je la vis s’éloigner ondulant des hanches ses longues jambes a la peau si douce dénudées au delà du raisonnable, perchée sur ses talons si hauts.
Les clients s’installaient, lui lançant des bonjours ou des sourires complices, elle se penchait vers eux, totalement docile sans le moindre gène, quelques mains passaient sur ses hanches, des baisers mouillés sur ses joues, une main glissant vers ses fesses qu’elle cambrait aussitôt complaisante et soumise.
Je vis entrer Arnaud, entouré de sa cour, son distingué Christian e deux autres hommes si bien vêtus, sans m’adresser un signe, ils passèrent devant moi pour s’installer une table plus loin dans un recoin discret, je les vis s’assoir en devisant sans me prêter la moindre attention, Arnaud, leva la main et dit en levant la voix : Agnès petite salope,viens ici !!!!Le feu aux joues, je n’osais qu’à peine lever les yeux de mon verre, je vis Agnès pivoter rapidement et sans la moindre hésitation se diriger vers sa table sous quelques rires de clients !
Elle passa prêt de moi, me lançant un regard furtif mais le sourire déjà aux lèvres et arriva prés d’Arnaud, il la pris par les hanche la fit tourner sur elle-même come pour mieux la présenter dans une danse sensuelle, sa jupe voltant autour d’elle révélant se cuisses entièrement nues au dessus de ces jolis bas noirs, sans se gêner le moins du monde, comme usant déjà d’un corps entièrement conquis, le possédant, l’utilisant, l’exhibant pour ses amis, il dit d’une voix douce et ferme : Alors ma petite putain,il parait qu’hier soir tu a fais des merveilles, puis se tournant vers ses amis il dit en riant :Cette petite salope s’est fait défoncer par quatre de mes copains hier soir, ils l’ont baisée et rebaisée pendant plus de deux heures et elle en redemandait encore , pas vrai ma petite pute chérie ?,elle répondis en chuchotant : oui c’est vrai, il lui passa une main sous la jupe et pendant qu’elle sursautait, il répondis :Plus fort, ma truie, dis le plus fort et dis le en détail, petite salope !!!,jetant un regard un peu gêné autour d’elle, elle se retourna vers lui et s’appuyant des deux mains sur la table se pencha sous ses caresses et dis d’une voix rauque mais bien plus forte : Oui, monsieur, ils m’ont baisée pendant deux heures, ils m’ont rendue folle et j’ai aimé ca a en mourir !!!La tenant toujours par la taille, une main la fouillant doucement par-dessous la jupe, il la força a s’assoir face aux autres, les cuisses grandes ouvertes, la jupe complètement remontée sur les hanche et le ventre visible vu son absence de toute culotte, il lui caressait les cuisses en se penchant vers elle pour l’embrasser a pleine bouche devant tous ses amis, elle lui rendait son baiser le corps cambré comme hypnotisée complètement possédée tout son corps tendu vers lui, l’un des hommes se leva et se tournant vers Arnaud, dit : Dis moi, Arnaud, je peux ?,Arnaud la fixa en souriant, laissant passer quelques instant, profitant des regards affolés et soumis d’Agnès, de son envie visible de suivre l’homme e répandis : oui vas y, mai ne soit pas trop long on part dans 5 mn, tu aura juste le temps de te vider en elle !!!!L’homme suivi, ma douce vers l’escalier, cet escalier qu’elle montant désormais si souvent, ne pouvant plus tenir je m’agitais a ma table, lançant vers l’escalier des regards angoissés et vers la salle des regards baissés assez gênés, tous les hommes de la salle semblaient de connivence, les rires fusaient les ricanements et les remarques salées les suivirent jusqu'à ce qu’ils disparaissent derrière le rideau des plantes vertes.
Christian, assis, face a Arnaud, me fis un signe ,ce signe que j’attendais, que j’espérais, celui qui me permettais de les suivre, malgré la honte d’avoir a traverser toute cette salle emplie d’homme qui connaissaient Agnès, qui l’avaient sans doute déjà possédée ou qui n’attendaient que le moment de le faire, je me levais transis mais déjà si excité et je me dirigeais regard baissé, la nuque pliée vers l’escalier alors que je passais tout prés d’une table occupée par deux hommes et un jeune fille, j’entendis l’un des homme dire tout haut : C’est son mec a la petite pute mais son mac c’est monsieur Arnaud, elle fait tout ce qu’il veut, c’est marrant a voir, dès qu’il parle elle obéi a tout !Ni tenant plus de honte, je m’engouffrais dans l’escalier et montait les marches quatre a quatre, arrivé sur le pallier j’en m’enfonçais dans la pénombre et ouvrait doucement la porte des toilettes des hommes, la presque face a moi, ma douce chérie appuyée sur un lavabo pas très net, la jupe remonte sur les hanches ses fesses cambrées tendue vers l’homme qui la pénétrais a grands coups de hanches, le visage haletant qui se reflétais dans le miroir me montrais ses yeux hagards sa bouche largement ouverte ses lèvres pleines mordues par instants laissant échapper un long gémissement de plaisir pendant que l’homme toujours plus fort lui défonçait le ventre la tenant par las hanches s’enfonçant encore plus en elle a chaque pénétration !
Ses seins aux pointes tendues sortaient du chemisier largement ouvert, je les regardais sursauter au rythmes des coups de reins de celui qui la possédait, il joui longuement en elle, ses mains accrochées sur ses seins lui triturant les mamelons en se vidant longuement dans la douceur de son ventre ouvert et accueillant : resserre toi salope, serre tes cuisses, je vais jouir dans ton ventre de putain, tu aime ca salope, dis le que tu aime ca !!! D’une voix rauque et si soumise je l’entendis répondre : Oui oh oui, j’aime ca oh oui j’ai besoin de ca, oui, oui plus fort baise moi baise moi détruit moi le ventre !!!!, je suis une salope et j’aime ca !!!L’homme lui tenant toujours les seins s’empara de ses tetons et le tirant vers lui s’enfonça encore plus se vidant en elle a long traits tout en lui torturant la poitrine pour son plaisir et pour marquer encore un peu plus sa docilité totale, ni tenant plus ,mort de honte mais plus que tendu d’excitation je m’échappais, je m’enfuyais descendant l’escalier pour rejoindre ma table et demander l’addition !
Après a peine 5 minutes alors qu’une des serveuses en riant m’apportait l’addition, je les vis redescendre, lui l’air plus que satisfait, elle les joues en feu, le chemisier encore ouvert, les yeux perdu dans le vague et sur ses lèvres gonflées par le plaisir un sourire aussi docile que satisfait, arrivé devant la table, alors que je réglais mon addition presque paniqué par la honte et par l’excitation j’entendis l’homme dire a Arnaud : Je ne sais pas ou tu as trouvé cette salope mais je n’ai jamais vu une petite pute réagir aussi vite quand on la baise !,Arnaud souri a Agnès et dit : Elle fera de mieux en mieux, elle est née pour ca et ne vit que pour sa faire baiser, elle deviendra ma salope entièrement disponible !,se tournant vers Agnès, il lui caressa la joue en se levant, l’embrassa a pleine bouche d’un air possessif et lui dit : Ce soir 20h Gym pendant une heure, ensuite tu passe au Sauna et tu fais tout ce qu’on te dit sans aucune discussions, compris ma petite pute chérie ?Agnès lança un regard furtif derrière elle, semblant me chercher du regard, puis se tournant vers lui et dis : Oui Monsieur Arnaud, j’y serais ! Elle commença à se reboutonner, il l’arrêta d’un geste dur et dis : Je sais bien que tu y seras petite salope, et laisse ton chemisier ouvert que tout le monde puisse voir ce que tu offre !
Sans plus attendre et sans même oser regarder derrière moi, je sortis du restaurant m’ enfuyant presque !
Modifié en dernier par ILOTE06 le 14 déc. 2009, 16:36, modifié 1 fois.
par ILOTE06
#12696
marc et Agnès 13

Le soir même après une demi journée de travail passée come un cauchemar ou comme un rêve pervers, je rentrais chez moi h hésitant encore sur la conduite à tenir.
Je réalisais l’emprise de cet homme sur ma si douce compagne, d’un autre coté ses besoins sexuels me paraissaient si impérieux que je tremblais a l’idée de m’y opposer, le plaisir que j’en tirais d’autre part me donnait encore plus a réfléchir !
Ressentir autant de plaisir à la voir ainsi disponible pour lui, docile et si soumise, offerte a tous ses caprices et prête à s’offrir sur un seul de ses gestes, me rendait presque fou de douleur et de plaisir de honte et de peur !
L’heure passait comme un somnambule je me retrouvais dans ma voiture en route vers le club de gym, je montais les escaliers presque automatiquement réalisais qu’il était déjà bien plus de 20h, discrètement je me changeais dans le vestiaire et je passais sur le balcon, retrouvant presque sans effort mon point d’observation, je cherchais fébrilement du regard ma douce Agnès a l’intérieur de la salle de musculation, de trois quarts face a la fenêtre opacifiée, portant un short en soie ultra moulant d’une blancheur éclatante, un tee shirt vert pale moulant ses seins si durs et s’arrêtant a peine en dessous d’eux offrant son ventre musclé et sa peau si douce a tous les regards, assise sur une machine a Pectoraux les reins clés cambré contre le dossier les mains comme attachées sur les deux bras oscillants elle forçait lentement les yeux dans le vague, ses cuisses largement écartées ,sa poitrine gonflée aux pointes déjà tendues, elle haletait doucement sous l’effort, devant elle trois hommes parlaient entre eux en la matant sans la moindre gène, commentant ses efforts et admirant son corps cambré sous le travail, derrière elle un homme penché sur elle lui parlait a l’oreille lui soufflait dans le coup la faisant frémir a chacune de ses paroles, concentrée sur l’effort je voyais nettement quelques perles de sueur couler le long de son cou entre ses seins tendus, l’homme derrière elle, passa ses main autour d’elle et commença doucement a lui caresser la poitrine, de plus en plus vite elle accélérait les mouvement a son rythme, poussant ses effort tandis qu’il lui malaxait les seins de plus en plus fort de plus en plus violement elle haletait maintenant sans retenue ses mordant les lèvres pour continuer a forcer malgré la douleur et le plaisir, l’homme regardait par-dessus son épaule admirant le travail de ses mains, le résultat sur cette si jolie poitrine, pinçant de ses doigts durs ses tétons excités, la forçant a se mordre les lèvres presque au sang pour ne pas gémir ou crier, il lui disait de plus en plus fort au rythme de ses caresses et des mouvements des bras sur la machine : Allez petite salope, force un peu plus, encore un peu plus !!! Allez petite pute !!! Si tu crie ou si tu ralenti je te fais hurler les seins, je te les tords jusqu’au sang !!!!Les hommes de face, se rapprochaient et admiraient le travail de leu amis, le corps tendu de ma compagne, les seins en avant, son haleine sourde et haletante, ses gémissements de plus en plus difficilement contenus et ses mouvements pourtant docilement continués sans ralentissement, toute son attention fixée sur deux buts, forcer et souffrir de plaisir !!!!
L’homme lâcha ses seins un instant, elle repris a peine son souffle puis passant ses mains sous le tee shirt très court qui laissait son ventre musclé a l’air il souleva le tissus dénudant entièrement sa poitrine tendue, les homme riaient fixant les marques des doigts sur cette poitrine si docilement offerte a la douleur et au plaisir, l’homme remonta le tee shirt jusqu'à au ras du cou et recommença a malaxer ses seins offerts, griffant doucement plus de plus en plus fort les tétons durcis et si sensible de ma belle Agnès en disant : Allez petite salope encore deux séries et tu passe au sauna, ils t’attendent !!!!, un des hommes s’approcha et lui passa une main entre les cuisses ,lui caressant doucement l’entre jambe, insistant sur son sexe enserré par le short moulant, il dit en riant : Ils ont intérêt a être prêt parce qu’elle elle est plus que mouillée, la cette petite pute !!!!Comme suspendue aux lèvres de ces hommes qui lui parlaient, comme rendue a moitié folle par les paroles qu’elle entendait, je vis ma si douce compagne accélérer le rythme ,tout son corps se tendre et son souffle s’accélérer encore, elle finie ses deux série, la poitrine en feu, les tétons distendus entre les doigts si durs de l’homme derrière elle, elle gémissait presque sans retenu se laissant aller a sa torture ou sa caresses ? A sa douleur ou son plaisir !!!
Finissant enfin, elle se leva docilement et suivie des quatre hommes se dirigea vers le sauna, l’homme juste derrière elle, lui dit, Petite pute, enlève ton short et donne ton tee shirt avant d’entrer !Docilement presque machinalement elle fit passer son tee shirt par-dessus ses cheveux si blonds plaqués par la sueur, se pliant en deux elle descendit son short offrant à ses suiveurs son intimité épilée et trempée avant d’entrer dans le sauna, le corps cambré !
Avatar de l’utilisateur
par mopib
#16613
Magnifique tes recits

On voit le plaisir que tu prend, en les decrivant aussi bien , on s'y croirait.

Continue c'est un vrai plaisir
par ILOTE06
#79780
marc et Agnès 14

Pendant qu’elle se dirigeait docilement vers le sauna, le corps en sueur et la démarche un peu hésitant, un des hommes la siffla comme un chien, elle se retourna déjà soumise le regard baissé les mains le long du corps, frissonnant doucement « Tu entre sans un mot petite pute et tu vas tout droit au fond de la salle, tu reste debout face au mur mains appuyée au dessus de la tète, ton petit cul bien cambré, allez petite salope dépêche toi ! »
Comme deux des hommes présents quittait la salle, j’attendit un instant avant d’entrer a mon tour, passant devant les machines de sports, je vis la porte du sauna se refermer derrière celui qui l’avait suivie, un peu hésitant mais ne pouvant m’en empêcher je me dirigeait vers la porte du sauna a leur suite, ôtant fébrilement mon tee shirt et mon slip, je m’emparais d’une serviette qui trainait sur un banc et entrait dans le sauna, une atmosphère étouffante, un brouillard très dense, une sensation de chaleur et d’humidité et surtout de nombreuses présence, ce furent mes premières impressions.
En m’habituant tout doucement a cette ambiance moite, je commençais a distinguer les lieux, de longues banquettes en bois sur deux étages, des parois ne bois également, un fontaine centrale dispensant la chaleur et les jets d’eau coulant doucement, plusieures silhouettes masculines entièrement nues et au fond sur le mur appuyée docilement des deux mains les reins cambrée, Agnès ma délicate compagne le corps frissonnant et tendue ,frémissant de sentir les hommes se rapprocher d’elle si offert, si docile et déjà entièrement soumise a tous !
J’entendais clairement les hommes parler entre eux « Elle est superbe cette salope », « quelle petite pute, elle s’offre déjà a peine entrée », « tu as vu ce cul ??? », et a chaque phrase plus crues et plus vulgaire, son corps déjà tendu se cambrait encore plus, je m’approchais le plus possible me calant a l’angle d’un pilier pour mieux voir sans risquer d’être vu !
Plusieurs des hommes présents étaient déjà en érection se pressaient contre elle, deux lui massaient les seins brutalement profitant de sa posture offerte et de ses mains appuyées sur le mur, je l’entendais aussi haleter sous les mains qui malaxaient son corps , ses fesses , son sexe surement déjà humide et ouvert, ils se pressaient contre elle l’embrassant dans le cou, lui tordant la tete pour fouiller sa bouche aux lèvres gonflées de leurs langues avides et violentes, l’un d’eux la retourna sans qu’elle résiste et la força a s’agenouiller devant lui, plutôt devant eux tant ils se pressaient autour d’elle je me penchais pour mieux voir, pour mieux la voir avaler le sexe tendu qui forçait ses lèvres pleines, lui envahissant la bouche, lui distendant les mâchoires sans la moindre délicatesse.
Je les entendais commenter : « Elle suce comme une vraie pute ! », « elle est vraiment douée cette petite trainée », « Arnaud avait raison, il lui fait faire n’importe quoi, c’est sa pute personnelle »,l’homme qui lui possédait la bouche la tenait par la nuque lui caressant doucement la tète, passant sa main dans ses cheveux trempés, il rythmait la fellation, il lui baisait la bouche tout en l’insultant d’une voix sourde et rauque « Tu aime petite pute ? », « Ca te plait de te faire défoncer la gorge ? », « Tu es née pour ca, petite pompe a bittes ! », « Tu va tous nous avaler avant qu’on te baise a mort ! », il continuait a lui parler tout en lui défonçant la bouche a grands coups de reins de plus en plus violent, je l’entendais haleter, s’étouffer, sa tète cognant parfois le mur sous la force des coups de reins qui lui ouvraient de plus en plus la bouche, la force a avaler de plus en plus loin le sexe qui la possédait, les autres autour comme hypnotisés par le spectacle se masturbaient lentement la regardant se soumettre a ce sexe qui la violait sans aucune défense de sa part, elle était, la, a genoux le corps nu et les reins cambrés ,sa poitrine aux tetons gonflés ballotant au rythme de la pénétration.
Accélérant son va et viens l’homme se libera au fond de la gorge de ma douce Agnès ses mains crispées sur sa nuque lui collant son ventre sur le visage, lui envahissant totalement la bouche et se vidant en elle a longs traits de sperme son bassin sursautant a chaque giclées l’étouffant encore un peu plus pendant qu’elle avalait en cherchant désespérément a reprendre son souffle, il sorti sa queue de la bouche distendue, lui frappa a plusieures reprises le visage de son sexe gluant en riant, sans le moindre délai un autre pris sa place engouffrant son sexe distendu dans la bouche dégoulinante aux lèvres gluantes de la semence du précédent, la fellation ou plutôt le viol repris encore plus fort, pendant que deux autres hommes lui tenant les bras pour l’empêcher de se débattre.
L’homme ne parvins à tenir que quelques secondes avant de se vider au fond de la gorge offerte en l’insultant d’une voix étouffée, « Avale petite salope ! », « Bois mon sperme pompe a bites », « C’est vraiement une vraie truie cette petite putain » !
Sans ménagement un troisième la releva alors qu’elle était encore en train de reprendre son souffle, les yeux emplis de larmes encore a moitié étouffée, le sperme coulait lentement du coin de ses lèvres charnues, elle haletait, il la lève la retourna la forçant a s’appuyer sur le mur courbée les reins cambrés et la croupe offerte, plus deux hommes a coté d’elle lui malaxaient la poitrine, étirant douloureusement ses tetons déjà très durs, la faisant gémir sans arrêt sous leurs doigts si durs, l’homme derrière elle la pénétra d’un trait sans le moindre égard et avec une facilité qui démontrait l’humidité e son sexe, elle se redressa violement en feulant sous la pénétration, il s’enfonça encore plus violement tout au fond de son ventre, la massacrant a grands coups dd reins violents, tout son corps tressautait au rythme de ses coups de reins ,elle cambrait ses fesses comme pour mieux l’accueillir au fond d’elle un long gémissement de jouissance s’échappant de ses lèvres entrouvertes, sa tète tournait de gauche a droite jetant autour d’elle des regards a moitié fous,elle commença a jouir en hurlant tendis que les hommes autour d’elle lui massacraient les seins, amplifiant tout autant sa jouissance, l’homme se vida en elle a grands coups de reins, sa tète cognait contre le mur, elle gémissait et poussait des cris presque sans arrêt.
A peine vidé dans son ventre, il sortit sa queue et dit aux autres, « Prenez la et allongez la sur le banc de massage au milieu, cette truie ! », plusieurs bras se tendirent, pour s’emparer de son corps presque inerte, sa tète ballotant, ses lèvres entrouvertes laissant échapper un gémissement sourd, ils la posèrent sans égard sur la table centrale, l’homme qui dirigeait les ébats, se mit a rire en disant : « Il y a a peine 15 mn qu’elle est la et elle est déjà remplie de sperme cette petite salope !, Posez la en « équilibre la tète dans le vide et les reins au bords de la table sur le dos, tenais la bien ! ».
Penché derrière le pilier le sexe prêt a exploser sous la serviette, je regardait le corps de ma douce Agnès écartelé sur la table la nuque dans le vide tète en arrière, ses yeux lançant des regards angoissés mais si soumis de partout ,son corps tendu, son ventre soulevé ses reins cambrée ,ses bras tenus de part et d’autre par des mains dures un homme s’approchant lui écartant les cuisses et la pénétra sans la moindre hésitation,s’enfonçant au plus profond de son ventre lui arrachant un long gémissement de douleur et de plaisir, deux hommes se penchaient sur elle pour lui aspirer les tetons, mordant, mordillant léchant, elle se tordait sous la pénétration et les caresses mammaires, ne pouvant s’empêcher de gémir de plus en plus fort, de supplier, d’implorer qu’on la baise encore et encore, un homme la contourna et en riant lui prit la nuque pour enfoncer son sexe dans sa bouche offerte ,commençant immédiatement a lui baiser la bouche sans le moindre égard de plus en plus violement, je voyais tout son corps tressauter sous la double pénétration et sous les morsures de plus en plus violentes, l’un des hommes tordant un mamelon entre ses doigts, le montra aux autres en disant : « Regardez, je vais lui mordre le seins a pleines dents et elle va jouir encore plus fort », joignant le geste a la parole je regardais sa bouche avide se pencher sur elle et mordre son teton l’étirant entre ses dents lui imprimant la marque de sa soumission sur les seins !

N’y tenant plus je me sentis jouir sous la serviette, m’enfuyant honteux et le sexe encore humide pour sortir du sauna.
par ILOTE06
#95835
Bonjour a tous, je pensais un peu naivement recevoir quelques commentaires ou interrogations, je continuerais mes recits prochainement.
par sebtrast
#96247
Merci ilote, tu devrais te mettre à l'écriture...je ne fréquentais malheureusement pas cette salle de sport.
Mais je guette dans les rue de nice pour trouver la femme de cette histoire et je vais me réinscrire au sport ^^

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