marc et Agnès 11
A quelques temps de la, alors que les études et le travail au restaurant l’occupait presque toute la semaine, ma compagne se mit en tète de reprendre le sport, un temps délaissé et de s’inscrire dans une salle de gymnastique, j’apprendrais un peu plus tard qu’un ami d’Arnaud était le propriétaire et que celui-ci lui avait suggéré qu’il serait bon qu’elle entretienne son corps voir qu’elle le muscle encore plus selon ses gouts d’homme mur.
En ces années de « gym tonic » les salles avaient le vent en poupe et la mode aidant, elles se livraient entre elles une concurrence très rude, Appareils dernier cri, sauna, jacuzzis, UV, restaurant light, boutique de sportswears etc. etc. !
La salle en question ou plutôt le complexe se situait dans le quartier des Bosquet a Nice, tout prés d ’un grand carrefour du centre, ultra moderne, très bien conçues et ouverte très tôt le matin et très tard le soir, je pris rapidement l’habitude de déposer ma chérie en sortant de la fac puis de rentrer chez moi attendre son arrivée les soir ou elle me rejoignait.
J’avoue que l’idée qu’elle me rejoigne, si tard le soir ,souvent a peine douchée et en sueur dans ses shorts moulant et ses bodys serrés cachés sous un imper pour pouvoir prendre le bus, ne me laissait pas indifférent, un en cas a peine pris et une douche rapide quelquefois et nous nous retrouvions au lit ou malgré sa lassitude et me rendais heureux.
Pratiquant moi-même a l’époque de la musculation, je lui proposais plusieurs fois de venir la rejoindre et de m’inscrire aussi, rendant ainsi nos séances plus pratique et lui permettant de rentrer avec moi ou de la déposer chez elle selon le soir, a chaque fois elle éludait, semblant un peu gênée et même une fois ou deux un peu en colère, je n’insistais pas mais restait quant même assez étonné de cette attitude, le doute s’insinuant en moi, je pris mes renseignements et après deux visites dans la journée , je m’aperçu que je connaissais le propriétaire de ce complexe, c’était tout simplement l’ami d’Arnaud, l’homme du bipper et du parking !!!
Ne tenant plus en place, je repérais les lieux en me rendant a trois reprises dans la journée dans cette salle, un soir sachant qu’Agnès était sorite avec d copines, je m’y rendis plus tard aux alentours des 21 heures, la salle était presque vide, une hôtesse a l’accueil sentant en moi le nouveau client ( vu mes nombreux passages dans la semaine ) me proposa comme cela se faisait souvent une carte pour 4 entrées gratuites, je l’acceptais et me rendait dans le vestiaires des hommes pour passer un short, passant de machines en machines, je pratiquais quelques mouvements écoutant les conversations tenues par deux ou trois hommes a voix basse : Elle n’est pas la ce soir, Arnaud l’ a invitée chez lui, elle sera la demain soir comme tous les mardi ?????, alors que je tendais l’oreille, un des hommes répondis : Je me la suis tapée mardi dernier avec Michel, elle nous a laissé sur les genoux, une vraie salope, je vous dis pas, elle suce comme une pute et elle se laisse baiser a mort sans arrêter de gémir !
J’écoutais, le rouge aux joues et haletant sous les efforts tendant l’oreille pour mieux savoir, pour tout connaitre de ma chérie de ma si douce compagne, si douce qu’elle se laissai tout faire parc ce hommes sans rien leur refusez !!!
Le troisième homme en riant leur dit : J’en ai parlé avec Gérard, il m’a dit qu’elle lui avait vidé la queue dans un parking et qu’il l’avait même vue se masturber contre le mur dans son rétro !, non seulement il venait de lui baiser la bouche a fond et vous connaissez sa queue mais en plus, elle se faisait jouir parce qu’il ne l’avait pas baisée, cette petite salope !N’y tenant plus je délaissé les machines pour me replier vers les vestiaires, je pris rapidement une douche et quittait la salle, entrant dans les vestiaires, je m’aperçu que ceux-ci donnaient sur un balcon complexe ayant été transformé sur la base de plusieurs appartements, les balcons aux vitres dépolies avaient été conservés, j’ouvrir difficilement la porte fenêtre et je me retrouvait sur un très long balcon cloisonné et empli de plantes qui faisait le tour de la salle, j’errais un peu le long de et ouvrage et réalisait a un moment que je voyais l’intérieur de la salle de sport par une grille d’aération, les grilles et les baies vitrées avaient été condamnés pour le sauna, la piscine et les salles d’UV mais laissés moins protégé pour la salle de musculation.
L’esprit encore tout engourdi par ce que je venais d’entendre, je rentrais chez moi et commençais à réfléchir sur la manière d’aller dans cette salle le lendemain soir !
Le lendemain comme d’habitude, je passais prendre Agnès a la sortie de la fac, je vis ma petite chérie descendre le grand escalier de la fac de lettres, perchée sur ses bottines a talons haut elle portait comme la mode le voulait cette année des bas noir épais mi jambe laissant le haut des cuisses nus la taille ceinturée par une mini plissée réellement courte et une veste largement ouverte sur un body noir porté comme chemisier, ses seins nus ballotait un peu sous la dentelle du body et ses longues jambes attiraient le regards envieux de quelques étudiants assis sur les marches, elle se pencha et entre dans la voiture posant son sac sur le siège arrière et m’embrassant tandis que je détaillait ses cuisses largement révélée par sa jupe minuscule ! Elle me sourit et me dit : marc, ce soir ne m’attends pas je rentrerais très tard mais je dors quant même chez toi !A peine surpris je m’entendis répondre l’esprit déjà absent réfléchissant a ce que j’allais faire : Ok ma chérie, je suis un peu fatigué, je dormirais.
Quelques pâtés de maisons plus loin ,je la déposait devant la salle de sport, il était 20h, elle m’embrassa a pleine bouche et sortie en souriant, je redémarrais et allais me garer plus loin dans un parking, laissant la ma voiture, mon sac de sport en main, j’entrais dans un bar pour laisser passer quelques temps et réfléchir au moyen d’entrer dans la salle sans trop me faire remarquer !
Vers 20h45, je sortais enfin du bar ou deux whiskys m’avaient rendu bien plu sur de moi, et je me dirigeais vers le complexe de sport, passant devant l’hôtesse, d’ailleurs en train de quitter son pose, elle failli me héler, puis sans doute pressée de rentrer chez elle sembla se raviser, je traversais le couloir et me rendis directement dans les vestiaires, les lumières étaient diffuse et l’ambiance dans la salle très sombre, une musique un peu forte raisonnait, passant directement sur le balcon profitant que les vestiaires étaient vides, je refermais prudemment la baie vitrée derrière moi et m’avançais discrètement vers la grille d’aération si pratique.
Silencieux et dissimulé par la grille et l’obscurité presque totale du balcon je laissais mon regard s’accoutumer la pénombre de la salle, je vis un peu plus loin, allongée sur le dos poussant difficilement une barre de développé ma si douce chérie, entourée de quartes hommes qui la regardait peiner, l’un d’eux derrière sa tète, l’aider par moment a finir ses mouvements, allongée sur le dos, les cuisses ouvertes et le short tendu, son ventre nu et si musclé tendu sous l’effort ses seins pointant sous son body si moulant elle ahanait sous l’effort sous le regard vicieux de ses « camarades » de sport, a la dernière série elle reposât la barre et alors qu’elle tentait de se relever l’homme derrière elle s’agenouilla et lui prenant le tète a deux mains, l’embrassa goulument a pleine bouche, je vis sont corps se cambré et je vos ses lèvres si douces rendre docilement le baiser violent.
Un des trois autres s’assit sur le banc d’à coté et doucement commença à lui caresser le ventre, sous la caresse très lente, je vis son corps encore se tendre et ses reins se cambrer pour mieux monter vers la main qui commençait à la fouiller !
L’homme qui tantôt, l’embrassait a pleine bouche mordant ses lèvres pleines, les lui caressait maintenant de ses doigts durs, pénétrant sa bouche même, y entrant un doigt puis deux puis trois, la tète renversée en arrière, sa bouche si douce distendue, s’étouffant a moitie sous la pénétration un peu brutale, Agnès haletait tout en frissonnant de tout son corps.
Le second montrait aux deux autres le ventre de ma compagne se tendre vers ses doigts, passant une main sous ses fesses, il ôtât son short, laissant apercevoir son sexe épilé largement ouvert pour mieux y pénétrer ses doigts, il commença alors a lui fouiller le ventre sans douceur, l’ouvrant littéralement sous le regard de ses amis, elle haletait gémissait sans pouvoir bouger, la bouche distendue par trois doigts et le ventre tendu ouvert par d’autres doigts, il la pénétrais, la défonçait usant de ses doigts pliés comme d’un sexe tendu pour mieux l’ouvrir !
L’homme a genoux prés de son visage, pris sa tète a deux mains lui caressant les joues tout en entrant ses pouces dans sa bouche puis lâchant d’une main son visage sortie son sexe tendu pour le lui engouffrer au fond de la bouche, la nuque bloquée la tète rejetée en arrière le corps cambrée, elle l’avalait docilement, pénétrée, défoncée et soumise, l’autre s’assis a cheval sur le banc et soulevant ses hanche, sortis a son tour un sexe assez large pour la pénétrer de toute sa longueur sous la double pénétration, je vis le corps d’Agnès, se cambrer en une secousse, puis se déhancher alors qu’ils commençaient a aller et venir dans son corps, pénétré par les deux bouts, les deux autres hommes placés de chaque cotés de se corps distendu et cambré agité de soubresauts au rythme des sexes qui le défoncait,tendirent leurs mains vers ses seins lui caressant les tétons, se masturbant sur elle, frottant par moment leurs sexe congestionnés sur sa peau douce, au bout d’un moment qui me paru interminable, l’homme dans sa bouche cambra ses reins en se mordant les lèvres, il dit : Je vais jouir petite putain, avale moi et ne crache rien, je sans que tu aime ca petite pute !!!,a peine eu il fini qu’un autre prenais sa place pénétrant une fois de plus cette bouche aux lèvres si douce et commençant a la baiser a fond nuque tendue et mâchoires bloquées par ses doigts, il haletait en lui pénétrant la bouche, s’amusant a pousser plus loin laisser son sexe l’étouffer et attendant le denier instant les soubresauts de sa gorge puis la laisser enfin respirer, l’homme dans son ventre joui enfin a grand coups de reins lui malaxant les fesses pour mieux coller son bassin au sien, le 4 me pris sa place et sans même un instant le remplaça dans le ventre ainsi ouvert et meurtri pour se déchainer en la défonçant a larges coup de reins : Tu aime petite pute ?tu en veux plus salope ? On va te détruire le ventre, on va te défoncer comme une petite pute !!!!Il joui enfin a longs traits se laissant aller sur son ventre, recouvrant sa peau si douce d’une large coulée de sperme.
L’homme qui avait joui le premier dans sa gorge s’éloignait déjà en lançant aux autres : Bon, moi je rentre, je suis pressé, si vous le voulais, finissez la elle demande que ca !Toujours allongée sur le banc, le corps relâché et la tète ballotant sur le coté, je voyais ma si douce compagne, respirer lourdement, le corps encore un peu tendu et ces trois hommes qui essuyaient leurs sexes sur son corps en riant !
Je m’aperçu alors que j’avais moi-même joui sans même me toucher, paniqué a l’idée de croiser l’homme qui partait dans le vestiaire, je ressortais très vite et quittait la salle de sport le plus discrètement possible.