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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par ILOTE06
#7293
Je me prénomme marc, mon épouse Agnès partage ma vie depuis plus de 20, elle m’a souvent trompé au long de se années, j’ai pris peu a peu l’habitude de la voie flirter avec tant d’hommes, sans jamais savoir, pouvoir ou vouloir se refuser, elle aime les homes, elle aime le sexe et par dessus tout elle aime être entièrement disponible pour les deux !
Elle a aujourd’hui 38 ans, elle est blonde et mince, 1,71 m pour 59 kg, ses beaux yeux verts souvent rêveurs se voilent très vite sous le regard des hommes, c’est étrange comme les autres sentent tout de suite qu’elle est disponible et déjà conquise, juste en la regardant ou en échangeant avec elle ou même avec moi quelques parles, tout de suite je sens l’intimité s’installer entre elle et l’homme ou les hommes qui nous entourent.
par ILOTE06
#7295
Nous commencions à nous fréquenter, juste après un mariage un peu raté pour ma part dont je vous relaterais peut être plus tard les détails, elle travaillait alors dans un restaurant de quartier, un de ses petits bistrots ou se font les déjeuners de bureau, ou les cadre se retrouvent avance la reprise, elle servait pendant quatre heures tout en continuant ses études, blonde ses cheveu mi long ondulés, sa haute taille et son sourire toujours disponible lui procuraient bien des pourboires et des sourires en retour.
Les mains se baladaient souvent, suivant la courbe de ses hanches ou le cambré de ses fesses dures, penchée en avant offrant une vue docile sur sa poitrine, elle leur souriait complice ‘et déjà presque disponible, parfois je déjeunais sur place, nullement gène elle poursuivait son manège ou plutôt son jeu avec déjà ce que j’appelais ses habitués.
Elle passait a ma table, me servait s’asseyait un moment puis repartait servir, ne laissant ignorer a nul autre des convives que j’était son petit copain, mais que cela ne posait nul problèmes, je restais la un peu gêné mais aussi excité, les regards des autres hommes, leurs sourire en me fixant pendant qu’ils lui passaient la mans sur les fesses ou lui caressaient la joue, et parfois l’un d’eux qui la suivait vers l’arrière salle, ils revenaient un moment après, elle d’abord ,le joues en feu et la mine a peine gênée, et lui ensuite regorgé et fier se rasseyant avec se amis et échangeant des mots crus a voix basse en me regardant par en dessous ,tous alors riaient et puis partait en laissant de lourds pourboires !
par ILOTE06
#7296
Je me souviens d’un jours, un vendredi, veille de we, les convives étaient riants, l’ambiance étant si détendue, la mode était alors aux jupes plissées très courtes portées sur des collants ou plus rarement sur des bas noirs, des dim up plus précisément ,elle virevoltait entre les tables et j’étais assis la a la regardait amoureux sans la quitter des yeux ,elle souriait, riant avec d’autres hommes qui déjeunaient ensemble, assis au coin de la salle sur un table je me vis invité a partager celle du bureau vois, 3 hommes des cadres d’entreprise me conviant vers eux, je m’asseyait ,soulagé, quelque part de ne plus être assis seul, ils me parlaient de leurs travails, de ce resto et de la serveuse si gentille et docile en riant entre eux de leurs bons mots, elle vint vers nous en ondulant des hanche la bouche aux lèvres pleines teintées de rouge déjà souriante et ses yeux verts , un peu voilés et déjà consentants, ils lui proposèrent un café, qu’elle accepta en leur servant le leurs, elle s’assit entre deux des hommes et continua a leur parler sans me jeter un regard, ils flirtaient avec elle, la frôlaient de leurs mains et l’un deux au téléphone décrivait la scène a un amis lointain, je la voyait collée a eux docile et consentant se laisser toucher lentement se laissant glisser dans se pensées obscures, un des hommes me parlait, mais je n’entendais rien, les yeux fixés sur elle, sur son regard baissée et sur les mains qui la touchait, entendant ses soupirs légers mais distincts, je me baissais soudain et remontait les joues en faux ,sous la table, a deux mains ses deux voisins lui fouillaient l’entrecuisse, elle se trouvait la écartelée le bassin en avant soupirant sous deux mains qui la fouillaient sans douceur.
Pendant un log moment, je restais sans voix a la regarder subir leurs désirs et la fébrilité de leurs doigts en elle, puis l’un d’eux se pencha et lui murmura quelque mots a l’oreille, avec a peine un rapide regard vers moi, elle se leva rabaissa sa jupe remontée jusqu’au ventre et se dirigea suivi de l’homme vers les toilettes , ondulante mais déjà docile et soumise par avance a ses désirs !
par ILOTE06
#7298
Un soir au restaurant alors que nous sortions en couple, nous avons rencontré l’un de ses clients du midi, un directeur de société marketing très bien de lui encore bel homme malgré ses 50 ans, Agnès je m'en souviens, portait un tailleur crème a jupe plissée très courte perchée sur ses escarpins quelle aime porter a talons hauts, sa veste entrouverte sur un joli body de dentelle noire assortie a ses bas fumés, l’homme nous reconnus et parlant a ses amis, fit porter a notre table une bouteille de champagne pour le repas, tout le long du repas tandis que nous parlions ,Agnès et moi, je sentais les regards des hommes de la table voisine la couver des yeux, leurs paroles me parvenait par moment et leurs rires aussi, vers le dessert ,Agnès ne tenait plus en place, elle me souri et tandis qu’elle se levait, me dis je vais aux toilettes pour me remettre un peu de couleurs, ses belles lèvres pleines si maquillées est ses yeux verts cerclés d’un trait de noir me souriaient en ma parlantd’une voix douce et déjà soumise par les pensées, a d’autres.
Je la vis se diriger vers l’arrière salle a gauche d’un escalier un peu sombre entre deux grandes plantes vertes, suivie de prés par deux des hommes de la table voisine, les autres, sans gène commentaient a voix basse et riaient en me lançant quelques regards, ni tenant plus, je ne pu m’empêcher au bout de quelques minutes de suivre le même chemin, passant entre les tables, le regards bas et la mine sans doute gênée, je passait entre les plantes pour monter l’escalier, j’arrivait sur un minuscule pallier et devant moi deux portes closes, les toilettes hommes et femmes, tendant l’oreille j’ouvrait la porte des toilettes hommes, la devant moi, de dos, je voyait ma compagne, Agnès, penchée sur un lavabo glauque dans une lumière un peu grises se jupe plissée relevée sur les hanche les mains posées en appui pour mieux se cambrer, un home enfoncé en elle et la défonçant a grands coups de reins, un long gémissement a peine retenu s’échappait de ses lèvres rouges entrouverte, ses yeux verts un peu hagard fixaient le miroir, écarquillés ,l’homme a coté regardait la scène, le sexe déjà tendu se masturbant a coté d’eux, la voix de l’autre ahanant au plus profond d’elle, la traitant de petite salope, de pute, de vide couille et de pute gratuite offerte a tous, elle gémissait a chaque mots comme a chaque coups de reins qui le faisait pénétrer au pus profond d’elle, tendant ses reins pour mieux se faire prendre, tel une femelle offerte tous les hommes !
N’osant souffler mot, je redescendis l’escalier pour rejoindre notre table sous les regards hilares des autres homes de la table, elle revint au bout de 10 minutes, un peu essoufflée, les joues en feu et le body encore ouvert, elle m’embrassa a pleine bouche et me dis que nous partions, en sortant j’entendis une voix lancer a travers la salle, a lundi petite chérie !!!
par ILOTE06
#7310
Le lundi suivant encore gêné, je déjeunais seul dans une brasserie du même quartier, mais même la je sentais des regards me suivre et quelques rires me rattraper, comment expliquer cette honte et ce plaisir que je prenais à la ressentir ?
Le soir venu je passais par la fac pour récupérer mon amie, ma compagne, elle suivait alors des cours du soir jusqu'à 19h, vêtue d’un short de collants noir et d’un pull moulant quelle portais directement sur sa peau douce, elle monta en voiture en souriant et m’embrassa dans le même élan, je lui demandais comment s’était passée sa journée et sans attendre sa réponse je rajoutais et au resto ca a été ?
Elle me souri et répondis que le service avait été très dur et qu’elle avait fini bien après 15h, comme je m’étonnais de la durée, surtout en semaine les bureaux ouvrant après 14h, elle me répondît rougissant qu’elle avait livré quelques cafés a un bureau !
Je compris alors ce que l’homme du soir voulait dire par « a lundi ma petite chérie », j’appris ainsi que tous le lundi après son service de 14h, elle amenait un plateau de café au bureau d’a coté et que ce « service » durait jusqu'à 15 au moins !

Le lendemain, irressistiblement et sans pouvoir lutter je me retrouvais a 12h dans le bistrot, installé a une table de l’angle, je la regardais aller et venir toujours souriante et aimable, attentive a l’excès et docile a outrance devant les sourires, les rires et les remarques de tous les hommes assis, venus la plus pour elle que pour le menu !
Le patron satisfait, plaisantait lui aussi en la voyant passer, une main parfois s’égarée sur se fesses, et une fois encore je remariais que loin de fuir la caresses, elle se tendait vers elle, en se mordant les lèvres !
A deux reprises au moins je la vis suivre ou précéder un homme dans l’arrière salle, la seconde fois l’homme du restaurant s’arrêta devant moi et me dis en souriant, comme l’autre soir, hein ?, mais tu ne nous suis pas cette fois !!!!
Elle revint dans la salle et s’assit devant moi la bouche encore enflée les lèvres toutes barbouillées, il passa devant nous et lui tendis un verre d’eau en disant en riant la main lui caressant la joue, tiens petite, bois ca, c’est frais, pas comme cet que tu viens d’avaler !!!!
Il s’éloigna tendis qu’elle buvait son verre les yeux troublés et j’entendis les rires a la table d’a coté !
par ILOTE06
#7313
J'espère que ce recit vous plait, je vous avoue ressentir enormément de bien a tout mettre par ecrit!
Ces histoires datent de plus de 15 ans et continuent toujours.

Ilote06
par corsica2
#7317
Tu as raison, c'est un second plaisir que de mettre tout ses souvenirs par écrit. On revit des situations excitantes qu'on aimerai bien revoir. Bravo pour ton récit.
par ILOTE06
#7349
Une semaine ou deux plus tard, si je me souviens bien, alors que nous rentrions chez nous un soir après une soirée entre amis, collée contre moi dans la voiture, sa joue si douce posée sur mon épaule d’une voix douce et un peu troublée, elle m’annonça que nous étions invités le lendemain soir a la soirée annuelle de la Sté X,me sentant me tendre un peu brusquement, elle rajouta mais si tu préfère j’y vais seule, elle n’envisageais même pas que nous puissions refuser ensemble cette invitation, je m’aperçois que je dois m’expliquer, la Ste X était la société de l’homme d’une 50 d’années qui l’avait devant moi remerciée si gentiment en lui tendant un verre d’eau fraiche, ce même homme qui presque chaque jour se pavanait dans le restaurant en la traitant comme une conquête docile et offerte sans la moindre discussion a ses désirs, devant son petit public et devant moi souvent morfondu et honteux dans mon coin de la salle, il riait et souriait tendant sa main vers elle a chacun de ses passage, insistant pour qu’elle s’assoie prés de lui et collé a elle lui caressant le corps en public sans la moindre gène, transformant ce service a table en une exhibition a laquelle tous les convives présents étaient friands d’assister, le patron du bistrot de son aveu même m’avait plusieurs fois dit, que cette fillette si gentille et docile faisait plus de la moitié de la réussite de son resto, il me disait cela d’un air complice et moqueur, riant de moi si tolérant, si arrangeant, sans doute bien plus que d’Agnès.
Je restais donc la, un peu tendu dans la voiture, son visage sur mon épaule son souffle chaud dans mon cou et sa voix un peu rauque mais si troublée, m’expliquant qu’elle ne voulait pas rater cette soirée, qu’elle envisageait peut être un poste dans cette société et qu’elle ressentait un besoin irrépressible d’aller a la rencontre de cet homme si sur de lui.
Le lendemain soir, je passais la chercher a son petit studio, nous ne partagions pas encore un appartement et elle résidait prés de sa faculté a deux pas du restaurant, dans un petit studio loué dans une villa très chic, les GSM n’existaient pas encore et nous possédions tout deux un petit appareil a message, Tam si je me souviens bien et arrivé dans sa rue, j’envoyais un message pour lui dire que j’attendais en bas, après un court instant et sans doute déjà fébrile, je la vis apparaitre en bas de son entrée, dans la lumière du hall, alors qu’elle ouvrait la porte vitrée, je vis surgir une femme blonde platine, les cheveux mi longs plaqués au gel perchée sur des bottes en cuir noires ses si longues jambes gainées de noir une mini jupe de cuir a large ceinture et un gilet de soie beige entrouvert sur son décoleté,alors qu’elle s’asseyais dans la voiture sa jupe remonta laissant largement voir la lisère de ses bas et une bande de sa peau mate et si douce, elle m’embrassa a pleine bouche, ses lèvres un peu tremblantes et me dit allons y !
Tournant au coin de la rue après juste quelques centaines de mètres j’entrais dans le parking souterrain de la société, un vigile nous guida jusqu'à des places réservées et tendis que je garais la voiture, je le vis son regard se fixer sur les cuisses dénudées offertes par ma compagne a son regard un peu obscène, je sorti le premier et alors que je me précipitais pour lui ouvrir la porte, je m’aperçu que le vigile déjà, lui tendais la main pour l’aider a sortir en lui souriant comme a une connaissance, il nous accompagna jusqu'à l’ascenseur en parlant avec elle tout en lui souriant d’un air entendu, alors que les portes se refermaient sur nous, il lança, bonne soirée Doucette !!!!!!! , ils vous attendent !
Je restais un instant interloqué par cette familiarité, avant même que j’ai eu le temps de réagir, les portes s’ouvrir et nous entrâmes de pleins pieds dans une ambiance de fête qui battait son plein, la musique forte et le monde présent m’empêchée de demander des explications, de loin je vis l’homme, le directeur de cette société, lever la main et dire, Agnès, petite chérie viens de suite, sur un ton rieur, il était la entouré d’hommes et de femmes et il hélais ma compagne comme un familier, comme un habitué, comme un propriétaire, je sentis a l’instant tout son corps se tendre vers lui et m’entraine a sa suite, nous traversions la salle, elle sous des regards d’envie, des regards intéressés qui la suivaient en la détaillant sans la moindre gêné, certains se penchaient vers leurs voisins et échangeaient des commentaires en riant, je suivais tète un peu basse, mal a l’aise ,honteux même et si excité !!!
Arrivée devant lui, il se pencha vers elle pour lui embrasser lentement les lèvres, je vis leurs lèvres se toucher doucement sensuellement, l’espace d’un très bref instant, sans même me saluer, il se tourna vers ses « amis » et dit d’une voix assez fort, je vous présente Agnès ma petite chérie, puis après un sourire entendu et tout en passant une main possessive autour de sa taille fine, et son compagnon, Marc !
Il lui tendis une coupe tandis que je du me servir sous le regards des témoins hilares qui embrassaient ma compagne l’un après l’autre posant leurs mains sur ses hanche ses épaules et même pour l’un deux en la tenant par le haut de ses fesses cambrées , elle ôtât alors son gilet me le tendant sans un mot ses beaux yeux verts déjà troublés d’être aussi entourée et me dit, sois gentil, marc, porte ca au vestiaire, réagissant a peine, je tendis une main mal assurée les yeux fixés sur le spectacle qu’elle venait de révéler, sous son gilet de soie, se cachait un body de dentelle noir a coupe brésilienne ouvert jusqu’au nombril laissant nue une large bande de sa peau mate si douce et tendu par ses seins a moitiés révélés.
par ILOTE06
#7393
A moitié assommé de la voir ainsi presque nue, la poitrine quasiment offerte devant cet homme, devant ces hommes et femmes, je me dirigeais un docilement vers les vestiaires, situés a l’autre bout de la salle, une porte entrouvert, j’entrais les vêtements a la main, une jeune fille très fine asiatique si mes souvenirs sont bon, me les pris des mains tout en me demandant d’une voix douce, c’est a quel nom, Monsieur ?, ne sachant quoi répondre, je restais la , peu sot sans un mot, me retournant pour regarder vers le fond de la salle, ma femme, Agnès, ma compagne, collée contre cet homme, entourée d’autres hommes riait, parlait et se laissait toucher sans réagir , il se penchait vers elle, lui parlant a l’oreille, elle souriait en regardant les mains sur son corps un peu gênée, une peu frémissante, mais sans un mot, la fille suivant mon regard, me dit d’une voix un peu plus forte :Ah, ok c’est pour celle la !!!,le rouge aux joues les yeux baissés, je répondis, oui c’est pour nous, elle éclata de rire, en disant : Pas nous, elle, toi tu compte pour rien, c’est elle qu’ils veulent !
Je ressortis sans un mot et tout en réfléchissant à ce que je venais d’entendre, je me dirigeais vers le groupe, juste avant d’arriver vers eux, un homme me tendis un verre et me pris par le bras, docilement et en tournant la tète pour voir ma compagne, je le suivais a l’autre bout du comptoir, il se pencha vers moi et dis d’une voix autoritaire, Arnaud veut que je t’offre un verre mais il ne te veut pas dans ses pattes, alors tu viens !
Sans un mot je le suivi et ne quittant pas le petit groupe des yeux, je pris mon verre comme un somnambule, la scène était excitante, Arnaud assis sur un tabouret les cuisses écartées, elle debout entre ses cuisses, lui ses bras autour d’elle ses mains croisées sur son ventre elle se frottant a lui les yeux déjà voilés en se mordillant les lèvres, les hommes autour, parlant, souriant et parfois la touchant, un doigt entre ses seins, une main sur sa hanche, une autre sur sa joue ,un doigts passant doucement sur ses lèvres !
L’homme me regardait d’air rieur, il me voyait baisser les yeux mais sans pouvoir m’empêcher de regarder encore et encore, il me dit, tu sais, elle est bien la, elle est juste la ou elle veut être et elle aura tout ce qu’elle veut, Arnaud est généreux t c’et un homme très viril !
Alors que je buvais une gorgée qui avait bien du mal a passer, je vis Arnaud se le lever, la repoussant doucement et elle un peu surprise se recollant a lui d’un air effrayé comme s’il l’abandonnait, il lui souri et lui dit d’une voix assez forte pour que je l’entende, vas dans mon bureau et attends petite salope !!!!
Je restait la interloqué, paralysé, l’homme a coté de moi me susurrant d’une voix rauque ; il va la baiser, il adore baiser dans son bureau, reste la, s’il veut que tu vienne je te ferais signe, il s’éloigna sans un mot de plus et je vis Agnès, si douce et si docile se diriger vers l’autre bout de la salle, passant devant moi, elle me lança un regard doux un peu gêné mais je vis bien ses yeux troublés déjà soumis et ses lèvres pleines frémissantes de son excitation.
Arnaud la suivi de peu après avoir échangé quelques mots avec ses amis, j’étais abasourdi mais j’entendis vaguement parler d’aller se vider, de se soulager et que a d’autres auraient leur tour, il passa devant moi sans même un mot !
Ils n’avaient disparus qu’à peine quelques secondes que je sentais déjà dans la salle ^presque tous les regards braqués sur moi, l’homme, je l’apprendrais plus qui se prénommait Christian et qi était le bras droit du patron, revint vers moi et me dis en souriant, tu sais si tu veux voir, tu peux y aller, mais il interdit que tu entre ou que tu dises un mot, fais gaffe je ne plaisante pas, si tu la ramène tu risque gros !
Un peu effrayé de sa voix dure, je me dirigeais vers l’autre salle, sous les regards curieux de pas mal d’invités, arrivant dans un couloir sombre, je passait devant plusieurs portes, au fond une porte entrouvert, j’avançais sans bruit et passant a peine la tète je vis un spectacle qui me rendis la fois fou de jalousie et qui me mit dans un état d’excitation terrible, j’étais mort de honte, humilié et je bandais a mort !!!
Je voyais la scène de coté, lui debout adossé au mur le corps tendu ,elle a genoux devant lui le body replié sur ses hanches, la poitrine nue la bouche ouverte en grand, elle l’avalait a fond, se pénétrant de son sexe, de distendant les lèvres pour mieux se défoncer la bouche, ses si belles lèvres serrées autour de sa hampe, ce sexe si long et très dur qui lui baisait littéralement la bouche s’enfonçant de plus en plus, il la pénétrait a grand coups de reins, elle s’étouffais un peu mais sans doute pour mieux lui plaire se laissée baiser la bouche les bras dans le dos ses mains docilement croisées ses seins durs tremblotant sous chaque coups de reins, il la forçait avec plaisir en lui caressant les cheveux et en disant d’une voix douce un peu rauque mais incisive : « Allez petite pute, avale, moi, vas y petite salope continue a me pomper, tu es une petite putain, tu es une petite truie bien docile, je vais te remplir la bouche et tu va me boire comme une bonne salope » et elle haletante a moitié étouffé qui se jetais sur ce sexe énorme qui lui distendais les mâchoires et lui défonçait la bouche, dans un dernier râle en lui tenant fermement la nuque il se vida en elle, a longs traits, lui replissant la bouche, je voyais, Agnès, a genoux les mains croisées dans le dos comme attachées, les seins tendus vers lui pointes dressées, l’avalant en totalité, sa gorge a chaque mouvement l’avalant encore plus, ses lèvres douces si pleines laissaient déborder un peu de sperme, elle hoquetait en avalant la semence jusqu’a la dernière goutte, il releva son visage vers lui et tout en lui caressant la joue, il dit « Allez, petite salope, nettoie moi le gland et on rejoint les autres !!
Docilement elle lécha son gland encore tendu, énorme et congestionné, elle le suça, l’aspira, le téta lentement puis il la releva et mis deux doigts dans sa bouche pour qu’elle les lèche aussi, docilement comme une complice déjà soumise elle s’exécuta tandis qu’il riant en disant, je vais faire de toi une vraie petite putain docile !!!!
Sursautant d’un seul coup, je réalisais qu’ils allaient sortir et je rejoignis très rapidement la salle pour m’accrocher à mon verre d’alcool.
par ILOTE06
#7438
Alors que je rejoignais un peu précipitamment le bar, j’entendis la voix de Christian me héler, Marc, marc, viens ici, je le vis attablé avec quelques hommes me présentant un fauteuil en face d’eux, encore un peu groggy de ce que je venais de voir, je m’asseyais en tentant de sourire, il fit les présentations en me montrant du doigts alors que je m’effondrais dans ce fauteuil : voici marc, l’ami d’Agnès, d’ailleurs elle viens nous rejoindre avec Arnaud, les hommes sourirent et tournant la tète je vis ma douce Agnès au bras d’Arnaud hanche contre hanche tout son corps paraissant collé a lui, ondulant sur ses bottes a talons hauts, son body encore un peu chiffonné et ses lèvres pleines gonflées et frémissantes, elle souriait, l’air comblée, heureuse et soumise a la fois, il marchait a coté d’elle, seigneur et propriétaire en la tenant par la taille, il vint vers nous s’assit dans un fauteuil entre deux hommes en face de moi et la naturellement je vis ma compagne s’assoir docilement entre ses genoux écartés sur un tout petit coin de fauteuil, en équilibre le dos cambré face a tous ces hommes.
Les discussions reprirent, je n’osait dire un mot, je voyais ma femme assise entre les genoux d’un homme, ses cuisses largement dénudée par sa jupe remontée haut offrant a tous le spectacle de ses seins tendus a peines contenus par le body largement ouvert et la lisère entre bas et peau largement visible a cause de sa jupe si courte, elle se laissait aller maintenant contre Arnaud qui avait passé un bras autour de sa taille et qui d’une main lui caressait la cuisses en remontant encore un peu plus la jupe jusqu'à dévoiler sont ventre !
Un homme se pencha vers Arnaud et lui parlant tout bas lui demanda s’il pouvait inviter sa petite Agnès pour cette danse, Arnaud, riant embrassa Agnès dans le cou et lui dit d’une voix rauque, Allez petite soit gentille avec lui !
Sans la moindre hésitation je la vit se lever et précédée de l’homme onduler jusqu'à la piste de danse ou déjà de nombreux couples dansaient entrelacés !
L’homme la pris contre lui d’un geste un peu brusque et se colla a son ventre la serra par le taille, la lumière était faible mais je voyait nettement ma compagne collée contre cet homme je voyait chacun de ses gestes ses mains qui explorait en corps passant sur ses reins caressant ses fesses sur la mini de cuir et remontant le long du dos en la faisant frémir, elle dansait, tendue et collée a lui sa tète dans son cou couchée sur son épaule se laissant aller totalement, Arnauld se tournant vers Christian et sans faire le moindre cas de ma personne, lui dit, « Alors ,Chris, il est ok, il sait qu’il doit la fermer ? »
Chris me jeta un regard et répondis : « il vous a vu tout a l’heure dans ton bureau !!! »
Arnauld se tourna vers les autres et sans le moindre gène répondis : « S’il a vu ca, il peut tout avaler, elle m’a vidé comme une vraie petite salope la douce Agnès, elle m’a vidée la queue et elle a tout avalé !!!! »

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par ILOTE06
#7516
Un peu étourdi par la honte ressentie a ces mots, je n’osais plus quitter la piste des yeux, redoutant malgré tout de croiser le regard d’Arnaud ou des hommes qui ricanaient encore en parlant avec lui, sur la piste, Agnès entre les bras ou plutôt les mains de son cavalier, se laissée aller dans un abandon presque total, je voyais sa tète onduler doucement au creux de son épaule au rythme du slow, je voyais ces mains courir sur son corps caresser ses hanches malaxer ses fesses, Christian, penché vers moi me chuchota a l’oreille :Ne dis rien, elle aime ca, accepte et tout ira bien, je me laissait convaincre peu a peu ,je réalisait qu’elle n’était plus ma compagne uniquement mais aussi leur jouet !
Un autre des hommes présents se leva et dis a Arnaud, :Je vais prendre la suite si tu le permets, Arnaud sourit et dis : A ce que je vois c’est plutôt elle qui permet tout !, déclenchant une nouvelle vague de rires parmi ses amis, une des femmes présente répliqua : Elle ne permet rien elle parait plutôt prête à tout accepter, tout !
L’homme se dirigea vers le couple entrelacé et d’autorité pris le bras d’Agnès et la colla tout contre lui, échangeant quelques mots avec le cavalier qui s’éloigna de bonne grâce en souriant, a peine de retour a notre table, il dit : Gérard, m’a dit de lui laisser la petite, il va la faire danser sur ses doigts !!!!!!

Alors que je restais plus que surpris de cette phrase étrange, Christian me dit : Regarde, tu vas comprendre comment elle va danser ta petite pute !
Fixant la piste un peu gêné par la pénombre je vis au milieu des couple l’homme qui passait une main entre leur corps, je vis les épaules d’Agnès sursauter et tout aussitôt son corps de liane se coller plus encore a celui de son cavalier, discernant difficilement je vis peu a peu que la main de l’homme insinuée entre leur corps était entrée par la fente de la jupe et passait entre ses cuisses, la jupe remontée dévoilait largement le haut des bas, elle dansait, la, a moitié nue la jupe relevé, les fesses cambrées frémissante sous la main qui lui fouillait le ventre !
Il l’avait littéralement plantée sur ses doigts, lui fouillant le ventre a plusieurs doigts tout en la forçant à danser collée contre lui a chaque tour je pouvais voir son visage haletant, sa bouche entrouverte, ses beaux yeux verts carrément troubles, elle se laissait ouvrir sans un mot, gémissant doucement, penchée sur son épaule !
Les autres se régalaient, ils commentaient sans gène et se penchaient pour mieux la voir danser, alors que le couple passait prés de la table, le cavalier, rieur, dis en parlant a Arnaud : Elle dans bien ta petite salope, elle danse même empalée sur mes doigts, ils sont trempés !!!!
Entrainant sa cavalière ou plutôt sa poupée docile loin de la table, je les vis s’enfoncer dans la pénombre !
N’y tenant plus au bout d’un court instant, je me levais, Christian regarda Arnaud sans doute pour savoir s’il devait m’empêcher de les suivre, celui ci répondis : Laisse le, qu’il voie, de toutes les manières il faudra bien qu’il apprenne à se taire !

Je m’empressais de traverser la piste et cherchant des yeux mon Agnès, je vis dans le fond derrière un pilonne un couple, corps a corps, m’approchant doucement, je vis plus nettement, l’homme, Gérard donc, avait collée ma douce Agnès contre le mur le visage écrasé sur le pilonne les fesses cambrées, sa jupe relevée sur les hanche e d’une main il la masturbait a plusieurs doigts, lui pénétrant le sexe, la défonçant sur place, le visage joue au mur, elle se mordait les lèvres tentant d’étouffer sans y arriver de longs gémissements rauques, je voyais sa main la fouiller, la pistonner ses doigts entrant au plus profond de son ventre et lui collé a elle lui murmurant : Tu aime ma jolie pute, tu aime ca petite salope, je t’ouvre bien le ventre petite putain !!!
D’entre ses lèvres si pleins et si douce que j’embrassais si souvent j’entendais s’échapper entre deux gémissements : oui oh oui encore oui encore plus fort oh oui baise moi toute, l’homme n’hésitant plus, se plaça derrière elle et tout en se dégrafant la força a se plier contre le mur pains en avant, d’un coup un seul il la pénétra de toute la longueur de sa queue, il s’enfonça en elle avec une telle aisance qu’elle devait bien plus que trempée, elle cambra ses reins pour mieux le recevoir et je vis ses dents blanches mordre ses lèvres au sang pendant qu’il la défonçait méthodiquement a grand coup de rein sans la moindre attention, il prenant son pieds la possédant comme une poupée vivante, l’utilisant comme un objet pour se vider, il joui longuement elle tout en étouffant ses gémissements d’une main lui enfonçant ses doigts dans le bouche pour la forcer a les sucer, il écartais ses lèvres distendais ses mâchoires se servant de sa bouche comme d’une poignée pour mieux lui pénétrer le ventre pour ses grands coups de reins finals ,après avoir joui au plus profonds d’elle, il se rembrailla et dis aller petite salope on vas rejoindre ton mec !

Je retournais vivement a ma place prenant un verre dont j’avais tant besoin, autour de moi, plusieurs hommes étaient partis, il ne restait qu’Arnaud, Christian et une femme.
par ILOTE06
#7529
Je restais sans un mot, penché sur mon verre, autour de moi la musique était source, l’ambiance tout d’un coup devenue étouffante, les autres convives bavardant sans me prêter la moindre attention, je vis venant du fond de la salle que je venais de quitter ,avancer ma compagne poussée main sur la nuque, d’un geste possessif par l’homme qui venait a pine de quitter son ventre, il avançait un peu en arrière d’elle semblant la guider, elle avançais les yeux un peu perdu, le maquillage coulant et la jupe mal relève ondulant sur ses longues cuisses d’un pas mal assuré les lèvres frémissantes !
Arrivés prés de nous, il lui lâcha la nuque, passant une main le long de ses reins pour lui caresser doucement les fesses, enfin, un peu hésitante, fixant Arnaud timidement, comme attendant un geste ? Un ordre ?, voyant qu’il l’ignorait, je vis tout son corps se crisper, elle vint assoir prés de moi sans oser me regarder, elle se coula doucement contre moi reposant sa tète sur mon épaule.
L’homme, Gérard, à peine assis, se pencha vers Arnaud et dis voix repue : Si tu savais ! Je crois que tu as mis la main sur une sacrée salope et moi je viens d’y mettre bien plus que la main, déclenchant le rire d’Arnaud et de la femme assise prés de lui.
Collé contre ma chérie, sentant son corps chaud et doux contre mois, sentant aussi l’odeur de
L ‘homme sur ou en elle, je luis dis : Tu veux qu’on parte, Agnès ??
Un peu hésitant n’osant me regarder, elle lança un regard vers Arnaud, qui l’ignoraient encore !
Elle répondit : Oui, marc, allons y !
Je me levais d’un coup retenant a peine un ouf de soulagement, lui tendant la main, elle me suivi, collée a moi nous passâmes devant le groupe, sans oser les regarder, je marchais le corps tendu, redoutant ou espérant un mot d’Arnaud, une parole ? Un ordre ? Mais rien, le bout de la salle atteint j’entrais suivi d’Agnès dans le vestiaire, la fille toujours souriante, me tendis nos vêtements et regardant Agnès, me dis, la pauvre elle doit être bien lasse après ce qu’elle a reçu !!!!
Levant la tète, je vis les écrans des caméras de surveillance, dont l’un braqué exactement sur le pilonne ou ma douce venant de se faire prendre, la fille souri et me dit : Arnaud garde toutes les copies, il aime les offrir a ses amis !!!!
Sortant un peu précipitamment, j’ouvrais la porte de la voiture et démarrais sans demander mon reste, Agnès fouillant ses poches me tendis un objet, j’arrêtais la voiture, allumait le plafonnier et vis dans sa main un «Tam Tam » tout neuf doré et un morceau de papier sur lequel était marqué d’une écriture rigide, « Pour Agnès, ma petite salope disponible », « Réponds toujours ! Et obéis » !
par ILOTE06
#7539
Une 20 d'années en effet, je continuerais mon ou plutot mes recits demain.

Merci de vos remarques ou critiques.
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par France
#7800
C'est magnifique,excitant et haut en couleur.
On en redemande des récits comme ça.
Quand je pense que nous pourrions avoir le récit de vos 20 ans de vie commune( pas qu'à deux :lol: ).
Et aussi la cérémonie de mariage STP
Vivent les cocufieuses et leurs amants
France
par ILOTE06
#7862
Le lundi suivant et pendants quelques jours notre vie reprit son chemin, évitant quelques temps les déjeuners troublants, je passais chaque soir prendre ma tendre Agnès la sortie de sa fac, dans le silence complice qui s’était établi depuis cette soirée, nous réprimes notre vie ;,sans aborder ce qui s’était passé, ma petite chérie semblait douce et attentive a mes désirs et je dois vous avouer que j’étais fort comblé, la semaine était presque passée, nous étions vendredi soir rentrant chez moi pour le WE quant le « bipper » sonna, je vis ma douce compagne, se pencher sur l’appareil pour relire le message, elle se tourna vers moi et me dis d’une voix douce mais déjà un peu rauque : Dépose moi prés d’une cabine je dois téléphoner !,elle continua et dis !: Tu peux rentrer directement, je te rejoindrais a l’appart !
Un peu surpris mais pas autant que j’aurais du l’être sans doute, j’obtempérais et me garait devant une cabine, elle descendit et un peu nerveuse s’engouffra dans la cabine vitrée.
Je m’aperçois qu’emporté par mon élan et le plaisir que je prends a tout vous raconter, j’ai un peu omis de vous décrire ma si tendre compagne, difficile d’être bref quant on est amoureux, mais pour permettre a votre imaginaire de mieux vous la représenter, je vais faire de mon mieux.
une jeune fille, pas encore une femme, de 18 ans, grande blonde et élancée, pratiquant la natation et la gymnastique sportive 1,71 m pour quelques 56 kg une peau si douce et si mate malgré le platine de ses cheveux mi longs, des yeux si verts et doux et pourtant si troublés, des lèvres larges et si pulpeuses dans un visage un peu angulaire aux pommettes hautes et fières, des épaules un peu larges mais si bien développées , une poitrine menue aux seins bombés et durs, un ventre plat si musclé, des hanche minces une chute de reins cambrée sur des fesses musclées, des jambes sans fin et de cuisses si douces qu’on ne les quitterais pas !
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Reprenons le courts de ce récit, entrant dans la cabine elle me tourna le dos, décrochant l’appareil je la vis composer un no, après quelques secondes au mouvement de ses épaules a demies nue sous un tee shirt, ras de cou, adossée a la vitre son jean moulant tendu dans son déhanchement, je la vis converser avec sans doute l’auteur du message, la conversation ne durant qu’un très court instant, en ressortant je la vis revenir vers la voiture, les yeux dans le vide, se mordillant les lèvres, elle se pencha vers la vitre, sans faire mine d’ouvrir la porte, et me dis : marc, peux tu rentrer seul, vraiment je te rejoindrais dans un moment ??
Interloqué, mais pas surpris, je répondis d’une voix un peu gênée : Mais, mais, bon ok, tu en as pour longtemps ???? ; A peine cette phrase prononcée que je réalisais tout ce qu’elle signifiait, je ne « disposais » plus d’elle, un autre en disposais a sa guise et je ne pouvais qu’accepter !
Se penchant un peu plus elle s’appuya des deux bras, m’offrant une vue de délice sur le sillon de sa poitrine qui tendant le tee shirt et m’embrassa a pleine bouche, faisant durer ce baiser puis se relavant me dis d’une voix rauque et déjà ailleurs : Merci, marc, a tout a l’heure !Le cerveau en feu, et les joues sans doute aussi, je ne sus que répondre, alors qu’elle s’éloignait, je démarrais la voiture mais restait sans un geste, je la vis tourner au coin de la rue toujours sans réagir, puis une idée me vins ! La suivre !!!!! Savoir !
Un peu honteux sans doute de lui cacher cela, mais ne pouvant résister a cette envie je roulais très lentement tournant au coin sans clignotant, et tout phares éteints, a peine a quelques mètres, je la vis immobile le long du trottoir en face regardant les véhicules passer, je m’arrêtais n’osant plus avancer et alors que j’hésitais encore, je vis ralentir une Mercedes noire coupée, la vitre baisée, l’homme la héla, trop loin pour entendre je la vis sursauter lancer des regards alentours puis monter dans la voiture sans un mot.
Embrayant à leur suite, je roulais lentement, laissant quelques voitures s’interposer entre nos véhicules, je roulais les suivant, a peine quelques rues plus loin, je vis la Mercedes s’engouffrer dans un parking souterrain, n’osant les suivre, je garais la voiture et fébrile je me lançais dans l’escalier piéton du parking, au 2 niveau de la rue Raimbaldi, un parking sombre presque vide, rasant les murs, passant de pilier en piler dans l’obscurité presque totale mis a part les spot de sécurité qui dispensaient une lumière très faible ,j’aperçu la Mercedes garée le long d’un mur derrière un piler, m’approchant lentement le plus silencieusement possible, je vis le couple entrelacé, ma douce Agnès le tee shirt baissé jusqu'à la taille se laissait caresser la poitrine soupirant ,la tète en arrière une main lui fouillant l’entrejambe par-dessus son jean si serré, l’homme que je voyais de dos lui caressait les seins, jouant de ses tétons en lui parlant tout bas, n’y tenant plus je m’approchais encore plus, j’entendis distinctement la voix dur de son partenaire : Tu aimes petite salope ? ca te plait petite pute ? Un coup de fil et tu te donne au premier venue comme une trainée !
Tu es vraiment un belle salope docile, Arnaud me l’avait dis mais je ne pas qu’une fille puisse être aussi docile a n’importe quel moment !

Il caressait ses seins tendis que ses lèvres lui dévoraient la bouche la faisant s’étouffer dans ses gémissements de plaisir, il prit ses jambes une a une et posa ses pieds sur le tableau de bord lui écartant les cuisses, il passait sa main sur son entrejambe, je voyais son bassin venir vers lui, monter vers la caresse, les reins cambrés, la poitrine nue tétons tendue et se mordant les lèvres pour étouffer ses gémissements de plus en plus forts.
Agnès, ma si douce compagne, écartelée sur le siège de cuir poitrine a l’air déjà soumise, le ventre avide de ses caresses brusques et même si fortes et ses gémissement longs et rauques qui s’échappaient de ses lèvres humides a demies ouvertes !
Je n’en pouvais plus caché derrière mon pilier je ne pouvais quitter la scène des yeux !
Subitement, l’homme cessa ses caresses et lui dit d’une voix dure et autoritaire : Bon petite pute, je ne suis pas venu pour te baiser, je n’ai pas le temps ce soir, mais je vais quand même me vider dans ta bouche de salope, Arnaud m’a dit que tu adorais ca !Il se leva, sortis de la voiture et la contourna, puis ouvrant la portière opposée, lui dit : Allez petite pute, sort de la !
Docile sans même une hésitation les seins toujours à l’air et sans même chercher à se couvrir, Agnès obéi et sortis de la voiture.
A peine fut elle sortie, qu’il appuya sur se épaules pour la faire s’agenouiller en lui disant : A genoux salope et mains dans le dos !Soumise a ses désirs, elle s’agenouilla et cambra tout son corps vers lui bouche grande ouvert mains dans les dos comme attachées, il se dégrafa sortis un sexe impressionnant et sans la moindre hésitation le lui engouffra au fond de la gorge d’un violent coup de rein, hoquetant sous la pénétration je vis la nuque d’Agnès se cambrée pour encore mieux l’avaler, ses douces lèvres serrées elle recevait au plus profond d’elle ce piston qui l’étouffait sans la moindre rébellion en toute docilité, l’homme sur de lui et encouragé par cette volonté d’absorption et cette soumission tacite ,prit appui a deux mains sur le pilier et commença a lui baiser la bouche a coups de reins rageurs, haletante,etouffée,mais avide, je voyais sa bouche absorber, avaler, apprécier cette pénétration cette défonce intermittente lui laissant a peine la moindre respiration, l’homme sortait par moment presque entièrement son sexe, la regardait en souriant et la défonçait de nouveau de quelques coups de reins, après un moment si long qu’il me parut hors du temps, je regardais la tète de ma compagne aller venir sur ce sexe tendu ses épaules dénudées cognat par moment contre le béton du pilier, ses seins durs tétons tendus et dressés ballotant au rythme de cette sauvage pénétration un filet de salive et de jus d’homme entremêlés s’écoulant du coin de ses lèvres si douce et maltraitées elle haletait se lançant encore plus en avant pour mieux se défonçait de cette queue qu’elle semblait adorer, les reins de l’homme se tendirent et il dit d’une voix a moitié étouffée par le plaisir : Je vais jouir salope, avale moi, bois moi, je veux te jour au fond de la gorge petite putain, je vais me vider dans ta bouche de salope, avale, il ponctuait chaque fois ce mot d’un coup de rein violent puis il lui prit la nuque et s’enfonçant a fond elle bloqua son sexe au fond de sa gorge et se vida a longs trait dans sous bouche si offerte.
L’homme soulagé et un peu méprisant, se rembrailla en lui disant : Ca ta plut petite pute ?, en tout ca je dirais a Arnaud que tu vide comme une vraie pompe a sperme, il a vraiment trouvé ne sacre petite salope !Je vis ma tendre compagne se relever sans un mot, les yeux baissée, relever son ton shirt en se léchant les lèvres, l’homme souriant en face, d’elle lui dit : Dommage que j’ai que si peu de temps, je t’aurais bien baisée petite salope, et je suis sur que tu en meurs d’envie, mais pas ce soir !
Aller casse toi, j’ai plus besoin de toi !
Un peu paniqué je reculais dans l’ombre, la voiture démarra plein phares et je vis Agnès, encore a moitié dépoitraillée, les seins a moitiés sortis du tee shirt, les yeux hagards les lèvres humides et tremblantes se coller au mur et entrant une main dans son jean se masturber violement jouissant presque aussitôt en se retournant pour écraser sa joue contre le béton froid du pilier, sa main fouillait son jean ses hanches ondulant son ventre s’écartelait, elle joui longuement sous la fouille de ses propres doigts, un pue après encore toute haletante ,elle repartie vers la sortie empruntant la rampe d’accès voiture, marchant d’un pas lent un peu soumis mais soulagé.
Je repris l’escalier et me précipitait dans la voiture pour rejoindre mon appartement et l’attendre !
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
par corsica2
#7982
Sacrément bandante ton histoire ! bravo, j'apprécie. La suite quand tu veux, je pense que tout le monde est preneur.
par ILOTE06
#8333
marc et Agnès 11

A quelques temps de la, alors que les études et le travail au restaurant l’occupait presque toute la semaine, ma compagne se mit en tète de reprendre le sport, un temps délaissé et de s’inscrire dans une salle de gymnastique, j’apprendrais un peu plus tard qu’un ami d’Arnaud était le propriétaire et que celui-ci lui avait suggéré qu’il serait bon qu’elle entretienne son corps voir qu’elle le muscle encore plus selon ses gouts d’homme mur.
En ces années de « gym tonic » les salles avaient le vent en poupe et la mode aidant, elles se livraient entre elles une concurrence très rude, Appareils dernier cri, sauna, jacuzzis, UV, restaurant light, boutique de sportswears etc. etc. !
La salle en question ou plutôt le complexe se situait dans le quartier des Bosquet a Nice, tout prés d ’un grand carrefour du centre, ultra moderne, très bien conçues et ouverte très tôt le matin et très tard le soir, je pris rapidement l’habitude de déposer ma chérie en sortant de la fac puis de rentrer chez moi attendre son arrivée les soir ou elle me rejoignait.
J’avoue que l’idée qu’elle me rejoigne, si tard le soir ,souvent a peine douchée et en sueur dans ses shorts moulant et ses bodys serrés cachés sous un imper pour pouvoir prendre le bus, ne me laissait pas indifférent, un en cas a peine pris et une douche rapide quelquefois et nous nous retrouvions au lit ou malgré sa lassitude et me rendais heureux.
Pratiquant moi-même a l’époque de la musculation, je lui proposais plusieurs fois de venir la rejoindre et de m’inscrire aussi, rendant ainsi nos séances plus pratique et lui permettant de rentrer avec moi ou de la déposer chez elle selon le soir, a chaque fois elle éludait, semblant un peu gênée et même une fois ou deux un peu en colère, je n’insistais pas mais restait quant même assez étonné de cette attitude, le doute s’insinuant en moi, je pris mes renseignements et après deux visites dans la journée , je m’aperçu que je connaissais le propriétaire de ce complexe, c’était tout simplement l’ami d’Arnaud, l’homme du bipper et du parking !!!
Ne tenant plus en place, je repérais les lieux en me rendant a trois reprises dans la journée dans cette salle, un soir sachant qu’Agnès était sorite avec d copines, je m’y rendis plus tard aux alentours des 21 heures, la salle était presque vide, une hôtesse a l’accueil sentant en moi le nouveau client ( vu mes nombreux passages dans la semaine ) me proposa comme cela se faisait souvent une carte pour 4 entrées gratuites, je l’acceptais et me rendait dans le vestiaires des hommes pour passer un short, passant de machines en machines, je pratiquais quelques mouvements écoutant les conversations tenues par deux ou trois hommes a voix basse : Elle n’est pas la ce soir, Arnaud l’ a invitée chez lui, elle sera la demain soir comme tous les mardi ?????, alors que je tendais l’oreille, un des hommes répondis : Je me la suis tapée mardi dernier avec Michel, elle nous a laissé sur les genoux, une vraie salope, je vous dis pas, elle suce comme une pute et elle se laisse baiser a mort sans arrêter de gémir !
J’écoutais, le rouge aux joues et haletant sous les efforts tendant l’oreille pour mieux savoir, pour tout connaitre de ma chérie de ma si douce compagne, si douce qu’elle se laissai tout faire parc ce hommes sans rien leur refusez !!!
Le troisième homme en riant leur dit : J’en ai parlé avec Gérard, il m’a dit qu’elle lui avait vidé la queue dans un parking et qu’il l’avait même vue se masturber contre le mur dans son rétro !, non seulement il venait de lui baiser la bouche a fond et vous connaissez sa queue mais en plus, elle se faisait jouir parce qu’il ne l’avait pas baisée, cette petite salope !N’y tenant plus je délaissé les machines pour me replier vers les vestiaires, je pris rapidement une douche et quittait la salle, entrant dans les vestiaires, je m’aperçu que ceux-ci donnaient sur un balcon complexe ayant été transformé sur la base de plusieurs appartements, les balcons aux vitres dépolies avaient été conservés, j’ouvrir difficilement la porte fenêtre et je me retrouvait sur un très long balcon cloisonné et empli de plantes qui faisait le tour de la salle, j’errais un peu le long de et ouvrage et réalisait a un moment que je voyais l’intérieur de la salle de sport par une grille d’aération, les grilles et les baies vitrées avaient été condamnés pour le sauna, la piscine et les salles d’UV mais laissés moins protégé pour la salle de musculation.
L’esprit encore tout engourdi par ce que je venais d’entendre, je rentrais chez moi et commençais à réfléchir sur la manière d’aller dans cette salle le lendemain soir !
Le lendemain comme d’habitude, je passais prendre Agnès a la sortie de la fac, je vis ma petite chérie descendre le grand escalier de la fac de lettres, perchée sur ses bottines a talons haut elle portait comme la mode le voulait cette année des bas noir épais mi jambe laissant le haut des cuisses nus la taille ceinturée par une mini plissée réellement courte et une veste largement ouverte sur un body noir porté comme chemisier, ses seins nus ballotait un peu sous la dentelle du body et ses longues jambes attiraient le regards envieux de quelques étudiants assis sur les marches, elle se pencha et entre dans la voiture posant son sac sur le siège arrière et m’embrassant tandis que je détaillait ses cuisses largement révélée par sa jupe minuscule ! Elle me sourit et me dit : marc, ce soir ne m’attends pas je rentrerais très tard mais je dors quant même chez toi !A peine surpris je m’entendis répondre l’esprit déjà absent réfléchissant a ce que j’allais faire : Ok ma chérie, je suis un peu fatigué, je dormirais.
Quelques pâtés de maisons plus loin ,je la déposait devant la salle de sport, il était 20h, elle m’embrassa a pleine bouche et sortie en souriant, je redémarrais et allais me garer plus loin dans un parking, laissant la ma voiture, mon sac de sport en main, j’entrais dans un bar pour laisser passer quelques temps et réfléchir au moyen d’entrer dans la salle sans trop me faire remarquer !
Vers 20h45, je sortais enfin du bar ou deux whiskys m’avaient rendu bien plu sur de moi, et je me dirigeais vers le complexe de sport, passant devant l’hôtesse, d’ailleurs en train de quitter son pose, elle failli me héler, puis sans doute pressée de rentrer chez elle sembla se raviser, je traversais le couloir et me rendis directement dans les vestiaires, les lumières étaient diffuse et l’ambiance dans la salle très sombre, une musique un peu forte raisonnait, passant directement sur le balcon profitant que les vestiaires étaient vides, je refermais prudemment la baie vitrée derrière moi et m’avançais discrètement vers la grille d’aération si pratique.
Silencieux et dissimulé par la grille et l’obscurité presque totale du balcon je laissais mon regard s’accoutumer la pénombre de la salle, je vis un peu plus loin, allongée sur le dos poussant difficilement une barre de développé ma si douce chérie, entourée de quartes hommes qui la regardait peiner, l’un d’eux derrière sa tète, l’aider par moment a finir ses mouvements, allongée sur le dos, les cuisses ouvertes et le short tendu, son ventre nu et si musclé tendu sous l’effort ses seins pointant sous son body si moulant elle ahanait sous l’effort sous le regard vicieux de ses « camarades » de sport, a la dernière série elle reposât la barre et alors qu’elle tentait de se relever l’homme derrière elle s’agenouilla et lui prenant le tète a deux mains, l’embrassa goulument a pleine bouche, je vis sont corps se cambré et je vos ses lèvres si douces rendre docilement le baiser violent.
Un des trois autres s’assit sur le banc d’à coté et doucement commença à lui caresser le ventre, sous la caresse très lente, je vis son corps encore se tendre et ses reins se cambrer pour mieux monter vers la main qui commençait à la fouiller !
L’homme qui tantôt, l’embrassait a pleine bouche mordant ses lèvres pleines, les lui caressait maintenant de ses doigts durs, pénétrant sa bouche même, y entrant un doigt puis deux puis trois, la tète renversée en arrière, sa bouche si douce distendue, s’étouffant a moitie sous la pénétration un peu brutale, Agnès haletait tout en frissonnant de tout son corps.
Le second montrait aux deux autres le ventre de ma compagne se tendre vers ses doigts, passant une main sous ses fesses, il ôtât son short, laissant apercevoir son sexe épilé largement ouvert pour mieux y pénétrer ses doigts, il commença alors a lui fouiller le ventre sans douceur, l’ouvrant littéralement sous le regard de ses amis, elle haletait gémissait sans pouvoir bouger, la bouche distendue par trois doigts et le ventre tendu ouvert par d’autres doigts, il la pénétrais, la défonçait usant de ses doigts pliés comme d’un sexe tendu pour mieux l’ouvrir !
L’homme a genoux prés de son visage, pris sa tète a deux mains lui caressant les joues tout en entrant ses pouces dans sa bouche puis lâchant d’une main son visage sortie son sexe tendu pour le lui engouffrer au fond de la bouche, la nuque bloquée la tète rejetée en arrière le corps cambrée, elle l’avalait docilement, pénétrée, défoncée et soumise, l’autre s’assis a cheval sur le banc et soulevant ses hanche, sortis a son tour un sexe assez large pour la pénétrer de toute sa longueur sous la double pénétration, je vis le corps d’Agnès, se cambrer en une secousse, puis se déhancher alors qu’ils commençaient a aller et venir dans son corps, pénétré par les deux bouts, les deux autres hommes placés de chaque cotés de se corps distendu et cambré agité de soubresauts au rythme des sexes qui le défoncait,tendirent leurs mains vers ses seins lui caressant les tétons, se masturbant sur elle, frottant par moment leurs sexe congestionnés sur sa peau douce, au bout d’un moment qui me paru interminable, l’homme dans sa bouche cambra ses reins en se mordant les lèvres, il dit : Je vais jouir petite putain, avale moi et ne crache rien, je sans que tu aime ca petite pute !!!,a peine eu il fini qu’un autre prenais sa place pénétrant une fois de plus cette bouche aux lèvres si douce et commençant a la baiser a fond nuque tendue et mâchoires bloquées par ses doigts, il haletait en lui pénétrant la bouche, s’amusant a pousser plus loin laisser son sexe l’étouffer et attendant le denier instant les soubresauts de sa gorge puis la laisser enfin respirer, l’homme dans son ventre joui enfin a grand coups de reins lui malaxant les fesses pour mieux coller son bassin au sien, le 4 me pris sa place et sans même un instant le remplaça dans le ventre ainsi ouvert et meurtri pour se déchainer en la défonçant a larges coup de reins : Tu aime petite pute ?tu en veux plus salope ? On va te détruire le ventre, on va te défoncer comme une petite pute !!!!Il joui enfin a longs traits se laissant aller sur son ventre, recouvrant sa peau si douce d’une large coulée de sperme.
L’homme qui avait joui le premier dans sa gorge s’éloignait déjà en lançant aux autres : Bon, moi je rentre, je suis pressé, si vous le voulais, finissez la elle demande que ca !Toujours allongée sur le banc, le corps relâché et la tète ballotant sur le coté, je voyais ma si douce compagne, respirer lourdement, le corps encore un peu tendu et ces trois hommes qui essuyaient leurs sexes sur son corps en riant !
Je m’aperçu alors que j’avais moi-même joui sans même me toucher, paniqué a l’idée de croiser l’homme qui partait dans le vestiaire, je ressortais très vite et quittait la salle de sport le plus discrètement possible.
Modifié en dernier par ILOTE06 le 23 nov. 2009, 13:19, modifié 1 fois.
par humeuristiquecocu
#8450
J'ai bien aimé tes histoires et adoré ton avatar : les "ilotes ou "hilotes" étaient les esclaves originaires de Laconie que les Spartiates enivraient pour dégoûter leurs enfants de la boisson !
Je l'aurais bien adopté si j'avais été un cocu soumis !
par ILOTE06
#9444
les Ilotes etaient en effet des esclaves dans la société grecque plus précisement chez les Spartiates.

je suis moi meme un esclave dans les jeux de roles sexuels qui composent ma vie!
par ILOTE06
#9445
marc et Agnès 12

Je passais un nuit très agitée en attendant le retour de ma tendre cherie, les heures passaient et je fini par trouver le sommeil bien après minuit et me réveillait le matin, seul dans mon lit.
Dans la matinée un peu inquiet mais bousculé par mon travail, je reçu un message d’Agnès qui me donnait RV le midi au restaurant, pas un mot d’excuses, pas d’explications : Viens a 11h30 !, bien avant le début du service qui avait lieu aux alentours des 12h30, un peu surpris mais encore inquiet malgré tout, je finissais mes travaux en cours l’esprit ailleurs, ma secrétaire me rappela deux rendez vous ,ce qui m’arrivait assez peu souvent je dois le dire.
Vers 11h je prétextais un rv extérieur au grand étonnement de Laure, ma secrétaire et je sortis pour me rendre au restaurant, arrivant devant l’entrée vers les 11h20 je poussais la porte et m’installais a une table dans le fond de la salle, un peu a l’écart et dissimulée en partie derrière un paravent de plantes vertes.
Le patron me voyant entrer me salua d’un grand sourire et passa dans l’arrière salle en disant a voix haute : Agnès ,prends une pose, ton copain est la !, je vis sortir de la salle ma douce chérie perchée sur ses talons si haut qu’ils rendaient sa démarche provocante au moindre geste, vêtue d’une mini ultracourte ses longues jambes musclées gainées de noir et un petit haut en dentelle largement entrouvert laissant aisément voir sa poitrine haute et tendue.
Alors qu’elle avançait vers moi, de sa démarche ondulante laissant aller ses hanches et ses si belles fesses musclées au gré de ses mouvements, je remarquais aussi son ras de cou de cuir noir porté très haut et fini par une jolie boucle d’or et son maquillage un pelus poussé qu’a l’accoutumé qui faisait ressortir ses si beaux yeux verts et ses lèvres pulpeuses en les teignant de rouge carmin.
Se penchant vers moi, alors que j’admirais avec délice et toujours autant d’envie son décolleté  plongeant qui révélait la presque totalité de sa poitrine menue mais haut placée, elle m’embrassa a pleine bouche laissant sa langue si douce joue avec la mien laissant échapper un petit soupir de plaisir qui me rendis a moitié fou d’excitation : Je suis rentrée très tard, hier, marc, j’ai préfère renter directement chez moi j’étais si lasse que je ne pensai plus qu’a mon lit, tu m’excuse ?
Encore tout étourdi et excité par se baiser precieux, je répondis : Je comprends ma chérie, tu as fait trop de sport, la fatigue, je connais aussi ! En lui souriant confiant.Oui, j’ai un peu trop forcé, hier soir et je suis rentrée éreintée e les muscles moulus, mais je suis très contente, je sens que je fais des progrès et je pense que je vais intensifier mes séances a la salle, ca ne te dérange pas trop ? , alors que je la dévorais du regard un peu surpris quant même, Tu sais, ca m’aide à me sentir a l’aise et bien dans mon corps !Un peu inquiet quant même des répercutions sur notre vie presque commune, je lui dis : Oui mais, nous nous verrons moins souvent, tu va rentrer tard tous les soirs ?, elle me répondit en s’asseyant en face de moi et en se penchant d’un air contrits : Marc, j’en ai besoin, je ne peux pas m’en passer, c’est plus fort que moi, ne me demande pas d’arrêter, je ne peux pas !!!!, au son de sa voix devenue subitement, plus rauque, plus marquée, je compris qu’elle ne parlait plus du sport mais bien de ce qui m’excitais tant !
Elle sembla hésiter un moment et puis comme pour se libérer d’un poids elle se lança et me dis alors : marc, tu es mon copain, je tiens a toi et j’ai même besoin de toi, mais j’ai besoin de lui, d’eux, de tous, je les veux en moi, sur moi a travers moi, j’en ai tellement besoin que je suis prête a tout accepter pour qu’ils me donnent ce que je veux, tout, tu m’entends tout !Encore : Tout ce que je te demande c’est ta compréhension, que tu acceptes de me voir ou non, mais que tu me laisse libre à chaque fois que j’en aurais besoin !A moitié assommé je ne savais plus quoi répondre, je la voyais en face de moi, si belle, si douce, si excitante et aussi si tendue, en attente, de moi, de lui ou d’eux, je ne sais plus, me voyant hésitant elle dis Je resterais abasourdis par cet aveu, ce cri du cœur, elle me prit la main et la serrant très fort me dis encore : Si tu l’accepte, je serais avec toi dans la vie, mais je resterais totalement et sans limites disponible pour lui ou pour eux a chaque fois que je serais appelée, tout le reste du temps je serais pour toi !
Elle se leva et dis : Je vais prendre mon service, je te vois ce soir a 19 heure a la sortie de la fac, marc, mon chéri, je t’aime beaucoup !!!
Je restais la, immobile, je la vis s’éloigner ondulant des hanches ses longues jambes a la peau si douce dénudées au delà du raisonnable, perchée sur ses talons si hauts.
Les clients s’installaient, lui lançant des bonjours ou des sourires complices, elle se penchait vers eux, totalement docile sans le moindre gène, quelques mains passaient sur ses hanches, des baisers mouillés sur ses joues, une main glissant vers ses fesses qu’elle cambrait aussitôt complaisante et soumise.
Je vis entrer Arnaud, entouré de sa cour, son distingué Christian e deux autres hommes si bien vêtus, sans m’adresser un signe, ils passèrent devant moi pour s’installer une table plus loin dans un recoin discret, je les vis s’assoir en devisant sans me prêter la moindre attention, Arnaud, leva la main et dit en levant la voix : Agnès petite salope,viens ici !!!!Le feu aux joues, je n’osais qu’à peine lever les yeux de mon verre, je vis Agnès pivoter rapidement et sans la moindre hésitation se diriger vers sa table sous quelques rires de clients !
Elle passa prêt de moi, me lançant un regard furtif mais le sourire déjà aux lèvres et arriva prés d’Arnaud, il la pris par les hanche la fit tourner sur elle-même come pour mieux la présenter dans une danse sensuelle, sa jupe voltant autour d’elle révélant se cuisses entièrement nues au dessus de ces jolis bas noirs, sans se gêner le moins du monde, comme usant déjà d’un corps entièrement conquis, le possédant, l’utilisant, l’exhibant pour ses amis, il dit d’une voix douce et ferme : Alors ma petite putain,il parait qu’hier soir tu a fais des merveilles, puis se tournant vers ses amis il dit en riant :Cette petite salope s’est fait défoncer par quatre de mes copains hier soir, ils l’ont baisée et rebaisée pendant plus de deux heures et elle en redemandait encore , pas vrai ma petite pute chérie ?,elle répondis en chuchotant : oui c’est vrai, il lui passa une main sous la jupe et pendant qu’elle sursautait, il répondis :Plus fort, ma truie, dis le plus fort et dis le en détail, petite salope !!!,jetant un regard un peu gêné autour d’elle, elle se retourna vers lui et s’appuyant des deux mains sur la table se pencha sous ses caresses et dis d’une voix rauque mais bien plus forte : Oui, monsieur, ils m’ont baisée pendant deux heures, ils m’ont rendue folle et j’ai aimé ca a en mourir !!!La tenant toujours par la taille, une main la fouillant doucement par-dessous la jupe, il la força a s’assoir face aux autres, les cuisses grandes ouvertes, la jupe complètement remontée sur les hanche et le ventre visible vu son absence de toute culotte, il lui caressait les cuisses en se penchant vers elle pour l’embrasser a pleine bouche devant tous ses amis, elle lui rendait son baiser le corps cambré comme hypnotisée complètement possédée tout son corps tendu vers lui, l’un des hommes se leva et se tournant vers Arnaud, dit : Dis moi, Arnaud, je peux ?,Arnaud la fixa en souriant, laissant passer quelques instant, profitant des regards affolés et soumis d’Agnès, de son envie visible de suivre l’homme e répandis : oui vas y, mai ne soit pas trop long on part dans 5 mn, tu aura juste le temps de te vider en elle !!!!L’homme suivi, ma douce vers l’escalier, cet escalier qu’elle montant désormais si souvent, ne pouvant plus tenir je m’agitais a ma table, lançant vers l’escalier des regards angoissés et vers la salle des regards baissés assez gênés, tous les hommes de la salle semblaient de connivence, les rires fusaient les ricanements et les remarques salées les suivirent jusqu'à ce qu’ils disparaissent derrière le rideau des plantes vertes.
Christian, assis, face a Arnaud, me fis un signe ,ce signe que j’attendais, que j’espérais, celui qui me permettais de les suivre, malgré la honte d’avoir a traverser toute cette salle emplie d’homme qui connaissaient Agnès, qui l’avaient sans doute déjà possédée ou qui n’attendaient que le moment de le faire, je me levais transis mais déjà si excité et je me dirigeais regard baissé, la nuque pliée vers l’escalier alors que je passais tout prés d’une table occupée par deux hommes et un jeune fille, j’entendis l’un des homme dire tout haut : C’est son mec a la petite pute mais son mac c’est monsieur Arnaud, elle fait tout ce qu’il veut, c’est marrant a voir, dès qu’il parle elle obéi a tout !Ni tenant plus de honte, je m’engouffrais dans l’escalier et montait les marches quatre a quatre, arrivé sur le pallier j’en m’enfonçais dans la pénombre et ouvrait doucement la porte des toilettes des hommes, la presque face a moi, ma douce chérie appuyée sur un lavabo pas très net, la jupe remonte sur les hanches ses fesses cambrées tendue vers l’homme qui la pénétrais a grands coups de hanches, le visage haletant qui se reflétais dans le miroir me montrais ses yeux hagards sa bouche largement ouverte ses lèvres pleines mordues par instants laissant échapper un long gémissement de plaisir pendant que l’homme toujours plus fort lui défonçait le ventre la tenant par las hanches s’enfonçant encore plus en elle a chaque pénétration !
Ses seins aux pointes tendues sortaient du chemisier largement ouvert, je les regardais sursauter au rythmes des coups de reins de celui qui la possédait, il joui longuement en elle, ses mains accrochées sur ses seins lui triturant les mamelons en se vidant longuement dans la douceur de son ventre ouvert et accueillant : resserre toi salope, serre tes cuisses, je vais jouir dans ton ventre de putain, tu aime ca salope, dis le que tu aime ca !!! D’une voix rauque et si soumise je l’entendis répondre : Oui oh oui, j’aime ca oh oui j’ai besoin de ca, oui, oui plus fort baise moi baise moi détruit moi le ventre !!!!, je suis une salope et j’aime ca !!!L’homme lui tenant toujours les seins s’empara de ses tetons et le tirant vers lui s’enfonça encore plus se vidant en elle a long traits tout en lui torturant la poitrine pour son plaisir et pour marquer encore un peu plus sa docilité totale, ni tenant plus ,mort de honte mais plus que tendu d’excitation je m’échappais, je m’enfuyais descendant l’escalier pour rejoindre ma table et demander l’addition !
Après a peine 5 minutes alors qu’une des serveuses en riant m’apportait l’addition, je les vis redescendre, lui l’air plus que satisfait, elle les joues en feu, le chemisier encore ouvert, les yeux perdu dans le vague et sur ses lèvres gonflées par le plaisir un sourire aussi docile que satisfait, arrivé devant la table, alors que je réglais mon addition presque paniqué par la honte et par l’excitation j’entendis l’homme dire a Arnaud : Je ne sais pas ou tu as trouvé cette salope mais je n’ai jamais vu une petite pute réagir aussi vite quand on la baise !,Arnaud souri a Agnès et dit : Elle fera de mieux en mieux, elle est née pour ca et ne vit que pour sa faire baiser, elle deviendra ma salope entièrement disponible !,se tournant vers Agnès, il lui caressa la joue en se levant, l’embrassa a pleine bouche d’un air possessif et lui dit : Ce soir 20h Gym pendant une heure, ensuite tu passe au Sauna et tu fais tout ce qu’on te dit sans aucune discussions, compris ma petite pute chérie ?Agnès lança un regard furtif derrière elle, semblant me chercher du regard, puis se tournant vers lui et dis : Oui Monsieur Arnaud, j’y serais ! Elle commença à se reboutonner, il l’arrêta d’un geste dur et dis : Je sais bien que tu y seras petite salope, et laisse ton chemisier ouvert que tout le monde puisse voir ce que tu offre !
Sans plus attendre et sans même oser regarder derrière moi, je sortis du restaurant m’ enfuyant presque !
Modifié en dernier par ILOTE06 le 14 déc. 2009, 16:36, modifié 1 fois.
par ILOTE06
#12696
marc et Agnès 13

Le soir même après une demi journée de travail passée come un cauchemar ou comme un rêve pervers, je rentrais chez moi h hésitant encore sur la conduite à tenir.
Je réalisais l’emprise de cet homme sur ma si douce compagne, d’un autre coté ses besoins sexuels me paraissaient si impérieux que je tremblais a l’idée de m’y opposer, le plaisir que j’en tirais d’autre part me donnait encore plus a réfléchir !
Ressentir autant de plaisir à la voir ainsi disponible pour lui, docile et si soumise, offerte a tous ses caprices et prête à s’offrir sur un seul de ses gestes, me rendait presque fou de douleur et de plaisir de honte et de peur !
L’heure passait comme un somnambule je me retrouvais dans ma voiture en route vers le club de gym, je montais les escaliers presque automatiquement réalisais qu’il était déjà bien plus de 20h, discrètement je me changeais dans le vestiaire et je passais sur le balcon, retrouvant presque sans effort mon point d’observation, je cherchais fébrilement du regard ma douce Agnès a l’intérieur de la salle de musculation, de trois quarts face a la fenêtre opacifiée, portant un short en soie ultra moulant d’une blancheur éclatante, un tee shirt vert pale moulant ses seins si durs et s’arrêtant a peine en dessous d’eux offrant son ventre musclé et sa peau si douce a tous les regards, assise sur une machine a Pectoraux les reins clés cambré contre le dossier les mains comme attachées sur les deux bras oscillants elle forçait lentement les yeux dans le vague, ses cuisses largement écartées ,sa poitrine gonflée aux pointes déjà tendues, elle haletait doucement sous l’effort, devant elle trois hommes parlaient entre eux en la matant sans la moindre gène, commentant ses efforts et admirant son corps cambré sous le travail, derrière elle un homme penché sur elle lui parlait a l’oreille lui soufflait dans le coup la faisant frémir a chacune de ses paroles, concentrée sur l’effort je voyais nettement quelques perles de sueur couler le long de son cou entre ses seins tendus, l’homme derrière elle, passa ses main autour d’elle et commença doucement a lui caresser la poitrine, de plus en plus vite elle accélérait les mouvement a son rythme, poussant ses effort tandis qu’il lui malaxait les seins de plus en plus fort de plus en plus violement elle haletait maintenant sans retenue ses mordant les lèvres pour continuer a forcer malgré la douleur et le plaisir, l’homme regardait par-dessus son épaule admirant le travail de ses mains, le résultat sur cette si jolie poitrine, pinçant de ses doigts durs ses tétons excités, la forçant a se mordre les lèvres presque au sang pour ne pas gémir ou crier, il lui disait de plus en plus fort au rythme de ses caresses et des mouvements des bras sur la machine : Allez petite salope, force un peu plus, encore un peu plus !!! Allez petite pute !!! Si tu crie ou si tu ralenti je te fais hurler les seins, je te les tords jusqu’au sang !!!!Les hommes de face, se rapprochaient et admiraient le travail de leu amis, le corps tendu de ma compagne, les seins en avant, son haleine sourde et haletante, ses gémissements de plus en plus difficilement contenus et ses mouvements pourtant docilement continués sans ralentissement, toute son attention fixée sur deux buts, forcer et souffrir de plaisir !!!!
L’homme lâcha ses seins un instant, elle repris a peine son souffle puis passant ses mains sous le tee shirt très court qui laissait son ventre musclé a l’air il souleva le tissus dénudant entièrement sa poitrine tendue, les homme riaient fixant les marques des doigts sur cette poitrine si docilement offerte a la douleur et au plaisir, l’homme remonta le tee shirt jusqu'à au ras du cou et recommença a malaxer ses seins offerts, griffant doucement plus de plus en plus fort les tétons durcis et si sensible de ma belle Agnès en disant : Allez petite salope encore deux séries et tu passe au sauna, ils t’attendent !!!!, un des hommes s’approcha et lui passa une main entre les cuisses ,lui caressant doucement l’entre jambe, insistant sur son sexe enserré par le short moulant, il dit en riant : Ils ont intérêt a être prêt parce qu’elle elle est plus que mouillée, la cette petite pute !!!!Comme suspendue aux lèvres de ces hommes qui lui parlaient, comme rendue a moitié folle par les paroles qu’elle entendait, je vis ma si douce compagne accélérer le rythme ,tout son corps se tendre et son souffle s’accélérer encore, elle finie ses deux série, la poitrine en feu, les tétons distendus entre les doigts si durs de l’homme derrière elle, elle gémissait presque sans retenu se laissant aller a sa torture ou sa caresses ? A sa douleur ou son plaisir !!!
Finissant enfin, elle se leva docilement et suivie des quatre hommes se dirigea vers le sauna, l’homme juste derrière elle, lui dit, Petite pute, enlève ton short et donne ton tee shirt avant d’entrer !Docilement presque machinalement elle fit passer son tee shirt par-dessus ses cheveux si blonds plaqués par la sueur, se pliant en deux elle descendit son short offrant à ses suiveurs son intimité épilée et trempée avant d’entrer dans le sauna, le corps cambré !
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par mopib
#16613
Magnifique tes recits

On voit le plaisir que tu prend, en les decrivant aussi bien , on s'y croirait.

Continue c'est un vrai plaisir
par ILOTE06
#79780
marc et Agnès 14

Pendant qu’elle se dirigeait docilement vers le sauna, le corps en sueur et la démarche un peu hésitant, un des hommes la siffla comme un chien, elle se retourna déjà soumise le regard baissé les mains le long du corps, frissonnant doucement « Tu entre sans un mot petite pute et tu vas tout droit au fond de la salle, tu reste debout face au mur mains appuyée au dessus de la tète, ton petit cul bien cambré, allez petite salope dépêche toi ! »
Comme deux des hommes présents quittait la salle, j’attendit un instant avant d’entrer a mon tour, passant devant les machines de sports, je vis la porte du sauna se refermer derrière celui qui l’avait suivie, un peu hésitant mais ne pouvant m’en empêcher je me dirigeait vers la porte du sauna a leur suite, ôtant fébrilement mon tee shirt et mon slip, je m’emparais d’une serviette qui trainait sur un banc et entrait dans le sauna, une atmosphère étouffante, un brouillard très dense, une sensation de chaleur et d’humidité et surtout de nombreuses présence, ce furent mes premières impressions.
En m’habituant tout doucement a cette ambiance moite, je commençais a distinguer les lieux, de longues banquettes en bois sur deux étages, des parois ne bois également, un fontaine centrale dispensant la chaleur et les jets d’eau coulant doucement, plusieures silhouettes masculines entièrement nues et au fond sur le mur appuyée docilement des deux mains les reins cambrée, Agnès ma délicate compagne le corps frissonnant et tendue ,frémissant de sentir les hommes se rapprocher d’elle si offert, si docile et déjà entièrement soumise a tous !
J’entendais clairement les hommes parler entre eux « Elle est superbe cette salope », « quelle petite pute, elle s’offre déjà a peine entrée », « tu as vu ce cul ??? », et a chaque phrase plus crues et plus vulgaire, son corps déjà tendu se cambrait encore plus, je m’approchais le plus possible me calant a l’angle d’un pilier pour mieux voir sans risquer d’être vu !
Plusieurs des hommes présents étaient déjà en érection se pressaient contre elle, deux lui massaient les seins brutalement profitant de sa posture offerte et de ses mains appuyées sur le mur, je l’entendais aussi haleter sous les mains qui malaxaient son corps , ses fesses , son sexe surement déjà humide et ouvert, ils se pressaient contre elle l’embrassant dans le cou, lui tordant la tete pour fouiller sa bouche aux lèvres gonflées de leurs langues avides et violentes, l’un d’eux la retourna sans qu’elle résiste et la força a s’agenouiller devant lui, plutôt devant eux tant ils se pressaient autour d’elle je me penchais pour mieux voir, pour mieux la voir avaler le sexe tendu qui forçait ses lèvres pleines, lui envahissant la bouche, lui distendant les mâchoires sans la moindre délicatesse.
Je les entendais commenter : « Elle suce comme une vraie pute ! », « elle est vraiment douée cette petite trainée », « Arnaud avait raison, il lui fait faire n’importe quoi, c’est sa pute personnelle »,l’homme qui lui possédait la bouche la tenait par la nuque lui caressant doucement la tète, passant sa main dans ses cheveux trempés, il rythmait la fellation, il lui baisait la bouche tout en l’insultant d’une voix sourde et rauque « Tu aime petite pute ? », « Ca te plait de te faire défoncer la gorge ? », « Tu es née pour ca, petite pompe a bittes ! », « Tu va tous nous avaler avant qu’on te baise a mort ! », il continuait a lui parler tout en lui défonçant la bouche a grands coups de reins de plus en plus violent, je l’entendais haleter, s’étouffer, sa tète cognant parfois le mur sous la force des coups de reins qui lui ouvraient de plus en plus la bouche, la force a avaler de plus en plus loin le sexe qui la possédait, les autres autour comme hypnotisés par le spectacle se masturbaient lentement la regardant se soumettre a ce sexe qui la violait sans aucune défense de sa part, elle était, la, a genoux le corps nu et les reins cambrés ,sa poitrine aux tetons gonflés ballotant au rythme de la pénétration.
Accélérant son va et viens l’homme se libera au fond de la gorge de ma douce Agnès ses mains crispées sur sa nuque lui collant son ventre sur le visage, lui envahissant totalement la bouche et se vidant en elle a longs traits de sperme son bassin sursautant a chaque giclées l’étouffant encore un peu plus pendant qu’elle avalait en cherchant désespérément a reprendre son souffle, il sorti sa queue de la bouche distendue, lui frappa a plusieures reprises le visage de son sexe gluant en riant, sans le moindre délai un autre pris sa place engouffrant son sexe distendu dans la bouche dégoulinante aux lèvres gluantes de la semence du précédent, la fellation ou plutôt le viol repris encore plus fort, pendant que deux autres hommes lui tenant les bras pour l’empêcher de se débattre.
L’homme ne parvins à tenir que quelques secondes avant de se vider au fond de la gorge offerte en l’insultant d’une voix étouffée, « Avale petite salope ! », « Bois mon sperme pompe a bites », « C’est vraiement une vraie truie cette petite putain » !
Sans ménagement un troisième la releva alors qu’elle était encore en train de reprendre son souffle, les yeux emplis de larmes encore a moitié étouffée, le sperme coulait lentement du coin de ses lèvres charnues, elle haletait, il la lève la retourna la forçant a s’appuyer sur le mur courbée les reins cambrés et la croupe offerte, plus deux hommes a coté d’elle lui malaxaient la poitrine, étirant douloureusement ses tetons déjà très durs, la faisant gémir sans arrêt sous leurs doigts si durs, l’homme derrière elle la pénétra d’un trait sans le moindre égard et avec une facilité qui démontrait l’humidité e son sexe, elle se redressa violement en feulant sous la pénétration, il s’enfonça encore plus violement tout au fond de son ventre, la massacrant a grands coups dd reins violents, tout son corps tressautait au rythme de ses coups de reins ,elle cambrait ses fesses comme pour mieux l’accueillir au fond d’elle un long gémissement de jouissance s’échappant de ses lèvres entrouvertes, sa tète tournait de gauche a droite jetant autour d’elle des regards a moitié fous,elle commença a jouir en hurlant tendis que les hommes autour d’elle lui massacraient les seins, amplifiant tout autant sa jouissance, l’homme se vida en elle a grands coups de reins, sa tète cognait contre le mur, elle gémissait et poussait des cris presque sans arrêt.
A peine vidé dans son ventre, il sortit sa queue et dit aux autres, « Prenez la et allongez la sur le banc de massage au milieu, cette truie ! », plusieurs bras se tendirent, pour s’emparer de son corps presque inerte, sa tète ballotant, ses lèvres entrouvertes laissant échapper un gémissement sourd, ils la posèrent sans égard sur la table centrale, l’homme qui dirigeait les ébats, se mit a rire en disant : « Il y a a peine 15 mn qu’elle est la et elle est déjà remplie de sperme cette petite salope !, Posez la en « équilibre la tète dans le vide et les reins au bords de la table sur le dos, tenais la bien ! ».
Penché derrière le pilier le sexe prêt a exploser sous la serviette, je regardait le corps de ma douce Agnès écartelé sur la table la nuque dans le vide tète en arrière, ses yeux lançant des regards angoissés mais si soumis de partout ,son corps tendu, son ventre soulevé ses reins cambrée ,ses bras tenus de part et d’autre par des mains dures un homme s’approchant lui écartant les cuisses et la pénétra sans la moindre hésitation,s’enfonçant au plus profond de son ventre lui arrachant un long gémissement de douleur et de plaisir, deux hommes se penchaient sur elle pour lui aspirer les tetons, mordant, mordillant léchant, elle se tordait sous la pénétration et les caresses mammaires, ne pouvant s’empêcher de gémir de plus en plus fort, de supplier, d’implorer qu’on la baise encore et encore, un homme la contourna et en riant lui prit la nuque pour enfoncer son sexe dans sa bouche offerte ,commençant immédiatement a lui baiser la bouche sans le moindre égard de plus en plus violement, je voyais tout son corps tressauter sous la double pénétration et sous les morsures de plus en plus violentes, l’un des hommes tordant un mamelon entre ses doigts, le montra aux autres en disant : « Regardez, je vais lui mordre le seins a pleines dents et elle va jouir encore plus fort », joignant le geste a la parole je regardais sa bouche avide se pencher sur elle et mordre son teton l’étirant entre ses dents lui imprimant la marque de sa soumission sur les seins !

N’y tenant plus je me sentis jouir sous la serviette, m’enfuyant honteux et le sexe encore humide pour sortir du sauna.

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