Le lundi suivant et pendants quelques jours notre vie reprit son chemin, évitant quelques temps les déjeuners troublants, je passais chaque soir prendre ma tendre Agnès la sortie de sa fac, dans le silence complice qui s’était établi depuis cette soirée, nous réprimes notre vie ;,sans aborder ce qui s’était passé, ma petite chérie semblait douce et attentive a mes désirs et je dois vous avouer que j’étais fort comblé, la semaine était presque passée, nous étions vendredi soir rentrant chez moi pour le WE quant le « bipper » sonna, je vis ma douce compagne, se pencher sur l’appareil pour relire le message, elle se tourna vers moi et me dis d’une voix douce mais déjà un peu rauque
: Dépose moi prés d’une cabine je dois téléphoner !,elle continua et dis !:
Tu peux rentrer directement, je te rejoindrais a l’appart !Un peu surpris mais pas autant que j’aurais du l’être sans doute, j’obtempérais et me garait devant une cabine, elle descendit et un peu nerveuse s’engouffra dans la cabine vitrée.
Je m’aperçois qu’emporté par mon élan et le plaisir que je prends a tout vous raconter, j’ai un peu omis de vous décrire ma si tendre compagne, difficile d’être bref quant on est amoureux, mais pour permettre a votre imaginaire de mieux vous la représenter, je vais faire de mon mieux.
une jeune fille, pas encore une femme, de 18 ans, grande blonde et élancée, pratiquant la natation et la gymnastique sportive 1,71 m pour quelques 56 kg une peau si douce et si mate malgré le platine de ses cheveux mi longs, des yeux si verts et doux et pourtant si troublés, des lèvres larges et si pulpeuses dans un visage un peu angulaire aux pommettes hautes et fières, des épaules un peu larges mais si bien développées , une poitrine menue aux seins bombés et durs, un ventre plat si musclé, des hanche minces une chute de reins cambrée sur des fesses musclées, des jambes sans fin et de cuisses si douces qu’on ne les quitterais pas !
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Reprenons le courts de ce récit, entrant dans la cabine elle me tourna le dos, décrochant l’appareil je la vis composer un no, après quelques secondes au mouvement de ses épaules a demies nue sous un tee shirt, ras de cou, adossée a la vitre son jean moulant tendu dans son déhanchement, je la vis converser avec sans doute l’auteur du message, la conversation ne durant qu’un très court instant, en ressortant je la vis revenir vers la voiture, les yeux dans le vide, se mordillant les lèvres, elle se pencha vers la vitre, sans faire mine d’ouvrir la porte, et me dis :
marc, peux tu rentrer seul, vraiment je te rejoindrais dans un moment ??Interloqué, mais pas surpris, je répondis d’une voix un peu gênée :
Mais, mais, bon ok, tu en as pour longtemps ???? ; A peine cette phrase prononcée que je réalisais tout ce qu’elle signifiait, je ne « disposais » plus d’elle, un autre en disposais a sa guise et je ne pouvais qu’accepter !
Se penchant un peu plus elle s’appuya des deux bras, m’offrant une vue de délice sur le sillon de sa poitrine qui tendant le tee shirt et m’embrassa a pleine bouche, faisant durer ce baiser puis se relavant me dis d’une voix rauque et déjà ailleurs :
Merci, marc, a tout a l’heure !Le cerveau en feu, et les joues sans doute aussi, je ne sus que répondre, alors qu’elle s’éloignait, je démarrais la voiture mais restait sans un geste, je la vis tourner au coin de la rue toujours sans réagir, puis une idée me vins ! La suivre !!!!! Savoir !
Un peu honteux sans doute de lui cacher cela, mais ne pouvant résister a cette envie je roulais très lentement tournant au coin sans clignotant, et tout phares éteints, a peine a quelques mètres, je la vis immobile le long du trottoir en face regardant les véhicules passer, je m’arrêtais n’osant plus avancer et alors que j’hésitais encore, je vis ralentir une Mercedes noire coupée, la vitre baisée, l’homme la héla, trop loin pour entendre je la vis sursauter lancer des regards alentours puis monter dans la voiture sans un mot.
Embrayant à leur suite, je roulais lentement, laissant quelques voitures s’interposer entre nos véhicules, je roulais les suivant, a peine quelques rues plus loin, je vis la Mercedes s’engouffrer dans un parking souterrain, n’osant les suivre, je garais la voiture et fébrile je me lançais dans l’escalier piéton du parking, au 2 niveau de la rue Raimbaldi, un parking sombre presque vide, rasant les murs, passant de pilier en piler dans l’obscurité presque totale mis a part les spot de sécurité qui dispensaient une lumière très faible ,j’aperçu la Mercedes garée le long d’un mur derrière un piler, m’approchant lentement le plus silencieusement possible, je vis le couple entrelacé, ma douce Agnès le tee shirt baissé jusqu'à la taille se laissait caresser la poitrine soupirant ,la tète en arrière une main lui fouillant l’entrejambe par-dessus son jean si serré, l’homme que je voyais de dos lui caressait les seins, jouant de ses tétons en lui parlant tout bas, n’y tenant plus je m’approchais encore plus, j’entendis distinctement la voix dur de son partenaire :
Tu aimes petite salope ? ca te plait petite pute ? Un coup de fil et tu te donne au premier venue comme une trainée !
Tu es vraiment un belle salope docile, Arnaud me l’avait dis mais je ne pas qu’une fille puisse être aussi docile a n’importe quel moment !Il caressait ses seins tendis que ses lèvres lui dévoraient la bouche la faisant s’étouffer dans ses gémissements de plaisir, il prit ses jambes une a une et posa ses pieds sur le tableau de bord lui écartant les cuisses, il passait sa main sur son entrejambe, je voyais son bassin venir vers lui, monter vers la caresse, les reins cambrés, la poitrine nue tétons tendue et se mordant les lèvres pour étouffer ses gémissements de plus en plus forts.
Agnès, ma si douce compagne, écartelée sur le siège de cuir poitrine a l’air déjà soumise, le ventre avide de ses caresses brusques et même si fortes et ses gémissement longs et rauques qui s’échappaient de ses lèvres humides a demies ouvertes !
Je n’en pouvais plus caché derrière mon pilier je ne pouvais quitter la scène des yeux !
Subitement, l’homme cessa ses caresses et lui dit d’une voix dure et autoritaire :
Bon petite pute, je ne suis pas venu pour te baiser, je n’ai pas le temps ce soir, mais je vais quand même me vider dans ta bouche de salope, Arnaud m’a dit que tu adorais ca !Il se leva, sortis de la voiture et la contourna, puis ouvrant la portière opposée, lui dit : Allez petite pute, sort de la !
Docile sans même une hésitation les seins toujours à l’air et sans même chercher à se couvrir, Agnès obéi et sortis de la voiture.
A peine fut elle sortie, qu’il appuya sur se épaules pour la faire s’agenouiller en lui disant :
A genoux salope et mains dans le dos !Soumise a ses désirs, elle s’agenouilla et cambra tout son corps vers lui bouche grande ouvert mains dans les dos comme attachées, il se dégrafa sortis un sexe impressionnant et sans la moindre hésitation le lui engouffra au fond de la gorge d’un violent coup de rein, hoquetant sous la pénétration je vis la nuque d’Agnès se cambrée pour encore mieux l’avaler, ses douces lèvres serrées elle recevait au plus profond d’elle ce piston qui l’étouffait sans la moindre rébellion en toute docilité, l’homme sur de lui et encouragé par cette volonté d’absorption et cette soumission tacite ,prit appui a deux mains sur le pilier et commença a lui baiser la bouche a coups de reins rageurs, haletante,etouffée,mais avide, je voyais sa bouche absorber, avaler, apprécier cette pénétration cette défonce intermittente lui laissant a peine la moindre respiration, l’homme sortait par moment presque entièrement son sexe, la regardait en souriant et la défonçait de nouveau de quelques coups de reins, après un moment si long qu’il me parut hors du temps, je regardais la tète de ma compagne aller venir sur ce sexe tendu ses épaules dénudées cognat par moment contre le béton du pilier, ses seins durs tétons tendus et dressés ballotant au rythme de cette sauvage pénétration un filet de salive et de jus d’homme entremêlés s’écoulant du coin de ses lèvres si douce et maltraitées elle haletait se lançant encore plus en avant pour mieux se défonçait de cette queue qu’elle semblait adorer, les reins de l’homme se tendirent et il dit d’une voix a moitié étouffée par le plaisir :
Je vais jouir salope, avale moi, bois moi, je veux te jour au fond de la gorge petite putain, je vais me vider dans ta bouche de salope, avale, il ponctuait chaque fois ce mot d’un coup de rein violent puis il lui prit la nuque et s’enfonçant a fond elle bloqua son sexe au fond de sa gorge et se vida a longs trait dans sous bouche si offerte.
L’homme soulagé et un peu méprisant, se rembrailla en lui disant :
Ca ta plut petite pute ?, en tout ca je dirais a Arnaud que tu vide comme une vraie pompe a sperme, il a vraiment trouvé ne sacre petite salope !Je vis ma tendre compagne se relever sans un mot, les yeux baissée, relever son ton shirt en se léchant les lèvres, l’homme souriant en face, d’elle lui dit :
Dommage que j’ai que si peu de temps, je t’aurais bien baisée petite salope, et je suis sur que tu en meurs d’envie, mais pas ce soir !
Aller casse toi, j’ai plus besoin de toi !Un peu paniqué je reculais dans l’ombre, la voiture démarra plein phares et je vis Agnès, encore a moitié dépoitraillée, les seins a moitiés sortis du tee shirt, les yeux hagards les lèvres humides et tremblantes se coller au mur et entrant une main dans son jean se masturber violement jouissant presque aussitôt en se retournant pour écraser sa joue contre le béton froid du pilier, sa main fouillait son jean ses hanches ondulant son ventre s’écartelait, elle joui longuement sous la fouille de ses propres doigts, un pue après encore toute haletante ,elle repartie vers la sortie empruntant la rampe d’accès voiture, marchant d’un pas lent un peu soumis mais soulagé.
Je repris l’escalier et me précipitait dans la voiture pour rejoindre mon appartement et l’attendre !
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