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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par etalon05
#291
Stéphane et Nelly, fin des problèmes mais à quel prix.


Lui, s’étonnant à la lecture du courrier qu’il venait d’ouvrir.

- Quoi nous avons 4 mois de retard de paiement de loyer et hier j’apprenais que notre compte en banque était au limite du découvert permis ?

Elle, gênée et ne relevant pas la tête.

- Je suis désolée j’ai eu peur de t’en parler.
- Tu n’as pas honte salope, je bosse comme un dingue et toi tu claques le fric à des conneries, j’en ai marre de ton attitude, tu paieras tes frasques jusqu’au dernier sous.

En pleine conversation, la sonnerie retenti et Stéphane s’empresse d’aller ouvrir. Il est nez à nez avec un sexagénaire costume cravate, grassouillet, chauve et l’air assez rude.

- Bonjour, Maître Perrin, huissier de Justice, je vous ai envoyé un courrier il y a quelques jours afin de vous prévenir de mon passage en vue de la récupération de la somme de 3.000 € que vous devez à la société immobilière qui vous loue la maison.

Stéphane est éberlué, il n’a pas vu le courrier en question et se retournant vers sa femme il lui dit :

- Tu as reçu un courrier toi ?
- Oui, mais j’ai pas osé t’en parler…

L’huissier est déjà entré dans le salon et commence à sortir des documents de sa mallette. Sans y avoir été invité il s’assied dans le divan et dépose ses papiers sur la table basse du salon. Stéphane s’assied dans le fauteuil à proximité tandis que Nelly prend place dans l’autre divan situé en face de l’huissier.

Elle porte une jupe courte, un chemisier noir et légèrement transparent laissant deviner sa petite poitrine. Des bas autoportants s’arrêtent à mi-cuisses et laissent deviner le haut de ses jambes nues. L’huissier par-dessus ses lunettes de lecture a vu le spectacle et commence à transpirer à grosses gouttes, son front perle de sueur.

Poliment Stéphane propose à cet homme de prendre un verre afin de se rafraîchir. Celui-ci accepte volontiers une bière bien fraîche.

- Nelly sert nous deux bières en vitesse.

Toujours couverte de honte, elle s’exécute et se dirige vers la cuisine.

Stéphane à l’huissier :

- Maître Perrin, ne pourrions nous pas trouver un accord me permettant de ne pas être saisi car nous n’avons pas la somme que vous nous réclamez ?
- Je n’en sais rien, jusqu’à quel sacrifice seriez vous prêt à consentir ?
- Dites moi, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour satisfaire à vos demandes ;
- Dites donc, votre femme est très jolie, vous pensez qu’elle accepterait de me laisser profiter de son corps à ma guise ?
- Je n’en doute pas mais selon vos désirs et plaisirs, la dette prendra un aspect moins important qu’actuellement ?
- D’accord, je verrai en fonction de la prestation de votre femme, sachez que je suis très exigeant et surtout très cochon dans mes actes sexuels.

Nelly ramène les verres de bière posés sur un plateau et pour elle un verre de champagne. C’est bien le moment de faire de son genre celle-là.
par etalon05
#293
L’huissier :

- Madame, votre mari et moi avons convenu d’un accord qui pourrait vous permettre de voir le montant de votre dette diminué si vous acceptez le deal.
- Quel est-il Maître ?
- Très simple, je dispose de votre corps comme bon me semble, l’idée plait à votre mari je pense qu’il s’agit d’un marché donnant donnant qui devrait satisfaire tout le monde.
- Je, je ne sais pas, je dois réfléchir…

Stéphane excédé par l’attitude de sa femme :

- Mais putain, tu nous as mis dans la merde, c’est à toi de nous en sortir, tu fais ce qu’il te dit sinon je t’y oblige ;
- Si tel est ton souhait, alors je suis d’accord pour réparer mes erreurs, que dois-je faire pour vous satisfaire Maître Perrin.
- Appelle moi Maître, ça suffira pouffiasse.
- Pour commencer, assieds toi dans le divan comme tout à l’heure et relève ta jupe jusqu’à la taille.

Elle s’exécute, relève sa jupe et s’assied à nouveau à la place qui était la sienne tout à l’heure.

- Maintenant tu déboutonnes ton chemisier et tu l’enlèves.

Nelly est un peu gênée mais à la fois excitée d’être ainsi commandée par un inconnu qui impose malgré tout le respect. L’enjeu en vaut sans doute la peine

Elle est maintenant en soutien gorge et string sous le regard des deux hommes dont l’excitation commence à monter en flèche.

- T’es bien foutue petite pute, il te manque juste les gros nichons dont je suis friand, mais ton corps et tes jambes sont magnifiques. Glisse ta main sous ton string et tripote toi le sexe, je veux voir le plaisir qui t’envahit.

Elle s’exécute, glisse ses doigts sous son petit tissus et commence une langoureuse caresse dans ses parties intimes. Elle ferme les yeux et bascule la tête en arrière, ce trou à bite commence à prendre du plaisir, un peu trop sans doute aux yeux de l’huissier.

- Arrête maintenant tu es déjà prête à jouir grosse salope, lève toi et amène ton cul par ici.

Nelly se lève et se présent devant le Maître qui lui ordonne de se tourner. Elle effectue un demi tour et présente ses fesses devant le nez du bonhomme qui n’hésite pas à claquer ce cul magnifique qui le nargue
par etalon05
#294
L’huissier regardant Stéphane droit dans les yeux.

- Tu ne dois pas t’emmerder avec cette grosse cochonne à ta disposition !!
- Non, c’est vrai que lorsqu’elle est en forme c’est la fête à popaul ;
- Mets toi à genoux grognasse, sors ma bite en feu et enfonce la dans ta bouche de traînée, puis tu suces à fond, allez exécution.

Elle s’agenouille devant le bonhomme, dégrafe son pantalon, sors son sexe déjà tendu de son slip. Elle marque un temps d’arrêt, ce mec est monté comme un âne (pardon pour sa profession). La main de Nelly entoure le sexe et ses doigts ne parviennent pas à se rejoindre lorsqu’elle enserre l’engin, il est énorme. Timidement elle avance la bouche et du bout de la langue commence à titiller le gland luisant dont la couleur tire sur le bleu tellement l’irrigation est intense et vive.

Elle ouvre grand la bouche et avec difficultés elle tente d’engloutir le mandrin menaçant qui est tendu vers ses lèvres. Elle gobe difficilement la bite de l’huissier et commence une lente aller et venue du bord de sa bouche jusqu’au fond de sa gorge. C’est tellement profond qu’elle manque à deux ou trois reprise de remettre mais parvient à s’accommoder de la taille du membre énorme qu’elle tente de dompter.

L’huissier la tient par les cheveux et lui tire la tête vers son gros ventre, pour mieux enfoncer encore sa pine hors norme, elle manque d’étouffer et essaye de se retirer de l’étreinte du bonhomme, sans résultat.

Maître Perrin lui fait glisser les bretelles de son soutien et fait jaillir les petits tétons qu’il ne manque pas de pincer au passage, il triture les petits bouts et tapote du revers des mains les petits seins de l’épouse de Stéphane.

Elle gémit de douleur et de plaisir tout en continuant à pomper le gros qui s’est débarrassé de son veston et de sa chemise.

- Arrête maintenant et suce ton homme il en crève d’envie sale traînée.

Stéphane est un peu gêné par la taille de son sexe à côté de celui de l’huissier qui regarde la scène en souriant.

Pendant Que Nelly commence à sucer son mari, l’huissier s’est levé et a pris place derrière la belle. D’un geste brusque il déchire d’un coup le string de sa proie et le jette au milieu de la pièce non sans l’avoir respiré au préalable.


Lui saisissant les cuisses il lui ordonne :

- Allez putain, écarte tes jambes que je vois mieux ta chatte de salope.

Elle écarte ses jambes très largement, laissant une vue pleine sur son sexe épilé presque entièrement et humide du plaisir qu’elle ressent à ce moment.

Le gros saisi sa bite en main et la promène sur les fesses de la belle, il la laisse glisser jusqu’à la fente mouillée où il s’attarde lentement en prenant un plaisir à écarter les lèvres du bout de son gland, sans pénétration, juste une préparation du terrain. La conne commence à gémir comme si elle prenait un plaisir énorme à ces caresses intimes, elle va déchanter.

Maître Perrin en arrêt devant la vulve de Nelly cesse tout mouvement, regarde Stéphane, lui fait un clin d’œil et pose ses grosses mains sur les hanches de sa proie.

D’un coup il s’enfonce dans la salope qui ouvre grand la bouche, lâche la pine qu’elle suçait et pousse un cri de forte douleur quand le membre énorme la déchire en deux jusqu’au plus profond de ses entrailles. Une fois à l’intérieur, l’huissier stoppe son mouvement le temps que Nelly reprenne ses esprits.

- T’en as pas connu de si grosse de ta chatte de bite à soldats hein cochonne, attends tu vas déguster les mignardises de l’huissier.

Alors qu’elle se remet difficilement à me pomper, il commence un mouvement de va et vient allant du bord du vagin meurtri et s’enfonçant au plus profond de la grotte trop petite. Ses aller et venues sont ponctués par le claquement de ses couilles frappant le haut du sexe de la salope qui gémit de plus belle et il faut que Stéphane la rappelle à l’ordre pour qu’elle s’applique à mieux le pomper.
par etalon05
#296
Pour être en phase avec Stéphane, le gros claque de plus belle les fesses rougies de la pute en lui enjoignant de mieux s’appliquer à sucer tandis qu’il accélère les mouvements, défonçant de plus belle le sexe de la chienne qui gémissait de plus belle.

Puis, d’un coup en se retirant, il s’adresse à Stéphane :

- couche toi sur le divan et toi salope empale toi sur son sexe et fait toi baiser comme une sale pute que tu es.

Stéphane s’installe sur le large divan Nelly le chevauche, un peu réjouie d’être libérée par le gros chibre qui lui labourait la chatte.

Humectant ses doigts, l’huissier s’approcha du corps en mouvement de Nelly et sans ménagement il introduisit son index dans la rondelle de la belle qui sursauta par surprise mais accepta cette agression assez agréable pour elle qui aime la sodomie.

Le sentiment de bien être s’estompa lorsque le gros glissa ensuite son majeur dans le cul de la pouffiasse et se mit à décrire des circonvolutions de plus en plus large, préparant la cible à ce qu’elle allait subir immédiatement.

En effet, la grosse queue entre ses mains il dirigeât le bout de son membre vers l’orifice préparé et, immobilisant les hanches qui ondulaient sous les mouvements de Stéphane, il poussa lentement sa grosse queue dans l’anus de Nelly qui resta figée par la douleur intense qu’elle ressentait. Elle était prise par les deux côtés et la cadence se remettait en route.

L’huissier :

- je vais de défoncer le cul belle salope, tu ne vas plus t’asseoir durant quelques jours.
- Non, je vous en prie pas de violence, allez doucement.

N’écoutant pas les suppliques le gros poussa son membre gonflé dans le fond du cul de cette chienne qui se mit à hurler de douleur.

Quelques allées et venues et elle s’était accommodée à cette baise violente et en redemandait.

-Baisez moi bande de salauds, défoncez moi la chatte et le cul, faite moi jouir mes cochons.

Ces mots excitèrent de plus en plus les deux hommes qui avaient poussé le régime à fond et démontaient royalement les orifices de la putain de service qui se mit à jouir dans un grand râle bruyant.

Ensemble, ils se retirèrent des orifices et présentèrent leurs queues devant la bouche de la pute. Des flots de sperme jaillirent et inondèrent la bouche, les tempes et les petits seins de la belle qui se reléchait les commissures des lèvres avant de nettoyer soigneusement les pines dégoulinantes du bout de la langue.

L’huissier :

- Bon salope, tu as gagné la réduction d’une partie de ta dette, mais si tu veux que je te la blanchisse complètement, je t’invite samedi prochain à un dîner que j’offre à quelques amis et tu seras à mon servie durant cette soirée. A prendre ou à laisser.

Nelly regarda Stéphane qui lui fit signe de la tête afin d’influencer positivement sa décision.

- D’accord dit elle, je serai à votre disposition samedi. Mon mari m’amènera à l’heure que vous souhaitez.
- 22 heures sera la bonne heure, celle du dessert tu vas être dégustée par mes invités.


Il se rhabilla et emporta les papiers qu’il avait laissés sur la table. Bu la dernière gorgée de sa bière et quitta la pièce aussi froidement qu’il y était entré.
par etalon05
#297
Comme prévu Stéphane a amené à 22 h sa femme au domicile de l’huissier. Il l’accompagne jusqu’à l’entrée, sonne au lourd portail et survient un domestique en habits de cérémonie.

- Bonjour Monsieur, nous avons rendez-vous avec Maître Perrin et…
- Oui, je suis averti, Madame entre et vous vous venez la reprendre demain matin.
- Mais je pensais que je pouvais aussi assister…
- Non Monsieur, seule Madame entre, c’est la condition imposée par Maître Perrin.
- Bon, alors je…
- Oui, Monsieur bonne soirée et à demain vers 9h.

Stéphane regarde sa femme et est un peu dépité, il pensait pouvoir bénéficier de l’invitation de l’huissier afin de profiter également de la soirée qui allait lui être réservée à cette pouffiasse. Désolé, il l’embrasse sur la joue et l’invite à suivre le domestique, baisse la tête et retourne penaud vers sa voiture. Il est rempli de regrets et se demande s’il a bien fait de confier Nelly à ce gros porc suant.

Le Domestique invite Nelly à le suivre vers les chambres jouxtant la salle de banquet où les cris et les rires retentissent au son des verres qui s’entrechoquent, la soirée a l’air d’être vraiment bien lancée.

- Entre ici, déshabille toi nue et laisse juste tes bas autoportants si tu en portes, sinon il y en a sur le guéridon. Ensuite tu attends que je vienne te chercher pour « ta soirée ».

Il sourit et referme la porte de la chambre, laissant Nelly seule dans la grande pièce sombre. Elle hésite et finit par se déshabiller lentement jusqu’à se retrouver nue, assise sur un grand lit, elle attends.

Dans la salle de réception, les verres ne désemplissent pas sur la table longue et ovale où les invités festoient de plus en plus belle, le repas étant arrivé à sa fin, juste quelques assiettes contenant des morceaux de dessert sont encore posés sur cette table.
Il y a là bien entendu l’huissier et ses invités. Ils sont une douzaine, des femmes et des hommes d’âge mûrs et pour la plupart déjà éméchés.

Les femmes en robes pour la plupart décolletées laissant apparaître leurs grosses poitrines vieillissantes, les hommes en costumes dont la plupart ont laissé tomber la veste.

Maître Perrin se lève, cogne le pied de son verre avec un couteau et demande la parole.
- Mesdames et Messieurs, je vous convie dès à présent à l’après dessert Une pute va venir s’offrir à vos désirs sur cette table. Je vous en prie, écartez les assiettes et les verres, je vais la faire venir. Elle s’appelle Nelly, c’est une grosse salope prête à assouvir vos besoins pour gagner un peu de fric afin de blanchir une dette qu’elle a envers les intérêts que je défends. Laissez le centre de la table libre, merci.


D’un claquement de doigts, l’huissier fait un signe au domestique qui comprend au coup d’œil le message de son patron, sort de la pièce et va chercher Nelly qui attend dans l’angoisse.

- C’est le moment, suis moi !!
- Oui monsieur, je viens. Mais dites moi que dois-je faire.
- Tu écoutes les ordres qui te sont donnés et tu les exécutes sans discussion.

Nelly est introduite dans la grande salle de réception et se sent envahie par une certaine gêne d’être ainsi nue devant le regard de tant d’hommes et de femmes amusés de la situation.

Maître Perrin la prend par la main et la conduit au bout de la table où il l’invite à grimper et se promener entre la vaisselle et sous les yeux des convives.

Elle se hisse et commence un défilé lent offrant son magnifique corps aux yeux des invités.

Deux allers et retour et de temps en temps des mains qui lui frôlent les jambes, les cuisses.

Revenue à son point de départ, l’huissier lui ordonne de se mettre à quatre pattes et de recommencer le trajet lentement et en respectant les ordres des invités. Nelly s’exécute et commence sa lente progression sur la table. Des mains baladeuses s’insinuent sous elle, des doigts pincent ses tétons avec peu de retenues, d’autres mains tapotent ses petits nichons, elle a un peu mal mais ça va.

Soudain une femme à demi ivre se lève et du plat de la main cingle violemment les fesses blanches de Nelly en lui ordonnant de ne pas bouger. Elle recommence encore et de plus belle. Nelly pousse un cri de douleur, à ce moment un autre invité lui demande sèchement d’ouvrir la bouche, de tenir le manche de la cuillère entre les dents et de la fermer. Punition si elle lâche l’objet.

Les rires retentissent de plus en plus belle et Nelly reçoit l’ordre de poursuivre sa lente déambulation. Elle sent des mains la parcourir, s’introduire dans sa bouche, frôler son sexe, le plat d’un couteau à dessert lui claque les cuisses, un invité lui verse le contenu de son verre de champagne sur le dos, elle dégouline. Arrivé au bout de la table elle commence une progression arrière, son derrière est largement exposé à la vue des invités dont certains commencent à être forLes gestes obscènes se suivent, de plus en plus portés sur le sexe et l’anus de Nelly qui commence à avoir du mal à supporter cette humiliation.

Presque arrivée au bout de la table à reculons, un invité lui ordonne de s’arrêter, ce qu’elle fait.

Au bout d’un manche d’environ 80 cm il y a une godemiché qui y est emboîté et solidement attaché. Tenant cet objet comme s’il manipulait une épée il s’approche de l’anus de la belle et doucement force la rondelle. Nelly a tendance à se pencher vers l’avant afin d’échapper à cette intromission, mais elle est vite rappelée à l’ordre d’un convive qui lui ordonne de se cabrer le cul en arrière.

Tandis que le gode s’enfonce peu à peu dans l’intimité de Nelly, une invitée survient tenant à la main un énorme vibro dont l’extrémité est composé d’une boule vibrante. Elle commence à parcourir les lèvres vaginales de la cochonne qui est dépassée par les évènements et titille avec force et précision le clitoris qui s’est décalotté sous la pression de l’objet qui la fouille de plus belle.

Elle est partagée entre les allers et venues du gode qui lui fouille les entrailles et de l’autre qui lui laboure la chatte.

Un ordre survient de la bouche de l’huissier :

- avance putain, lentement vers le milieu de la table.

Elle se met doucement à arpenter de nouveau la table avec le gode planté dans le cul. Une grosse claque lui marque à nouveau les cuisses, elle ouvre la bouche et laisse tomber la cuillère qu’elle avait supportée jusqu’à là. Sans attendre un convive s’exclame « punition ».

Il se hisse sur la table, sort sa bite de son pantalon et la fourre sans délicatesse dans la bouche de Nelly en lui tirant les cheveux afin de provoquer un mouvement masturbatoire intense. Pendant ce temps, un autre invité a saisi le manche du gode et défonce le cul de la salope qui ne peut hurler tellement elle est remplie devant.

Après quelques minutes, l’huissier intervient et demande au convive en train de se faire pomper d’arrêter, il ne peut s’offrir une jouissance à ce stade du jeu. Interdit par le règlement.

Il obtempère, se retire, gifle Nelly et redescend de la table.


- Mesdames et Messieurs, voici le moment de tirer au sort celle ou celui qui pourra profiter de cette jolie créature pour le restant de la soirée, voire pour la nuit. Vous avez tous acheté un billet de loterie pour un montant de 1.000 €, le gagnant du tirage va être connu dans un instant. J’appelle le chapeau dans lequel se trouvent les numéros de vos billets et la chienne qui est sur la table va plonger sa main dedans. Vas-y salope et n’oublie pas ils sont tous des plus pervers.

Nelly plonge sa main dans le chapeau et en sort le 8.

- Le 8, qui a le 8 ?

S’exclame l’huissier.

- Moi !
- hurle la vieille comtesse de Hardy,
- c’est moi qui gagne cette petite pute. Elle va déguster. Aller ma fille, va te rhabiller et rejoins moi de suite.

Nelly descend de la table et rejoint le serviteur qui la raccompagne vers la chambre où elle récupère ses vêtements.

Ses fesses brûlent, elle a mal le bout des seins qui ont été triturés par des dizaines de mains, elle est fatiguée…mais elle y va.
tement excités.
La Comtesse de Hardy est vieille, riche et surtout toujours entourée d’une cour de jeunes personnes qui satisfont ses instincts les plus pervers. Tantôt au bras d’un jeune mâle ou encore accompagnée par une jeune créature de rêve qu’elle paie à coups de milliers d’euros pour répondre à toutes ses envies, quelles qu’elles soient.

Nelly l’accompagne dans la limousine garée devant la demeure de l’huissier, elle monte à l’arrière aux cotés de la vieille. Celle-ci ouvre un petit compartiment situé entre les sièges avant et de ce petit frigo, sort une bouteille de champagne et deux verres.

- Sert nous petites salopes, j’ai soif, soif de champagne et soif de ton petit cul qui a été mis à rude épreuve tout à l’heure.
- Bien madame, voici votre verre.

Ensemble elles trinquent, la vieille tire les cheveux de Nelly, l’obligeant à tourner le visage vers elle et l’embrasse goulûment, laissant sur sa bouche de grosses traces de rouge à lèvres.

La voiture s’enfonce dans la nuit et rejoint le château de la Comtesse.

Le chauffeur ouvre les portes de la limousine et précède les deux femmes vers la lourde porte d’entrée de la somptueuse demeure.

Un homme accueille les deux dames, il s’agit de Jean, le majordome de la maison, c’est lui qui s’occupe de tout le bon fonctionnement du service, dirige les domestiques, gère le bon fonctionnement de la maison, il est entièrement voué à sa tâche.

- Jean, je vous présente mon invitée du soir, gagnée à la tombola de ce cher huissier, qu’en pensez vous ?
- Elle est superbe Madame la Comtesse, quel est son nom ?
- Nelly, c’est une petite cochonne qui aime la bite, vous vous en doutiez ?
- Oui, Madame la Comtesse.
- Accompagnez la dans la salle de bain et donnez lui les vêtements que vous savez que j’adore.
- Bien Madame la Comtesse, je vois bien. Je prépare aussi votre petit matériel ?
- Bien entendu, quelle question.

Le majordome accompagne Nelly vers une superbe salle de bain où il déballe une petite tenue en soie, transparente, pigeonnante et courte jusqu’aux cuisses.

Les petits seins de Nelly sont mis en valeur dans cette nuisette, ses jolies cuisses sont largement découvertes, elle est superbe.

On frappe à la porte de la salle de bain, c’est le majordome, Nelly ouvre et se voit priée d’accompagner Jean.
Après avoir parcouru quelques couloirs peu éclairés, elle est invitée à entrer dans une pièce sombre également. La Comtesse est assise dans un large fauteuil, à sa gauche se trouve une table ressemblant à celles qui se trouvent dans les cabinets médicaux plus particulièrement chez les gynécologues.

- Couche toi sur cette table petite salope. Jean, mettez lui le bandeau sur les yeux, je sais qu’elle aime ça, son mari que j’ai eu au téléphone vient de me le confirmer, c’est une sale pute m’a-t-il dit, elle va déguster.

Alors que Nelly est couchée sur la table, Jean lui place le bandeau, lui écarte les jambes qu’il immobilise sur les supports et lui attache les mains aux montants placés de chaque côtés de la table.

Ses jambes ainsi ouvertes offrent une vue directe sur son sexe dénudé, elle a cessé de sourire, l’angoisse l’envahit.

La vieille s’avance et du bout de la cravache qu’elle tient dans la main, caresse l’entre cuisse le la belle totalement soumise. La cravache remonte du bas du ventre vers les seins, de petites claques sur les bouts provoquent une érection des tétons qui se dressent sous la soie de la petite nuisette.

- Jean, enlevez moi ce vêtement, j’ai envie de voire le corps de cette cochonne.

Jean s’approche et d’un coup sec déchire la nuisette que porte Nelly, découvrant ainsi toute son intimité. Elle sourit mais elle a peur elle a raison.

A peine son corps découvert, un coup de cravache s’abat sur ses cuisses, un autre suit directement sur son ventre et un dernier flagelle son sein gauche. Elle hurle de mal mais cela ne perturbe pas Madame de Hardy qui se moque de ses geignements.

La Comtesse ouvre la porte d’un large meuble et en ressort un gode énorme par sa taille et s’adressant au majordome :

- Jean, préparez lui une belle ouverture, je la sens très fermée cette moule…
- Compris Madame la Comtesse.
Jean s’approcha devant la table, faisant face au sexe écarté de Nelly. Il s’enduit les doigts d’un gel, les dirigea vers les lèvres de la belle et commença un massage lent des grandes lèvres, titillant au passage le clito qu’il découvrait et recouvrait provoquant une superbe excitation de la chienne de Nelly.

Puis il introduit un, puis deux et ensuite trois doigts dans le vagin mouillé de cette truie qui commençait à prendre son pied.

La vieille écarta son larbin et dirigea son gode vers la fente humide de Nelly, tourna lentement sur le contour des lèvres et peu à peu introduisit le monstre avec beaucoup de peine. Nelly tenta de se cabrer et de fermer les cuisses mais elle était fermement attachée et ses efforts furent vains.

Le godemiché pénétra profondément et la vielle pris un malin plaisir à l’agiter d’avant en arrière, n’écoutant pas les suppliques de Nelly qui souffrait sous les coups de boutoirs de ce gros mandrin qui lui labourait le sexe.

La vieille mis fin au supplice et retourna vers l’armoire où étaient gardés ses trésors. Elle en ramena un objet peu conventionnel, ressemblant à une torche électrique. Elle approcha l’engin à hauteur des bouts de seins de Nelly, caressa les tétons et ensuite elle appuya sur le bouton déclencheur du mini tazer.

Il s’agissait en fait d’un appareil servant à déclencher des secousses électriques. Nelly se cabra de nouveau tandis que la Comtesse passait d’un sein à l’autre avec délectation. Elle s’occupa aussi de l’entre cuisse de sa proie qui priait de toute ses forces pour que cette torture cesse. Elle cessa quand la vieille en eu marre de ce jeu.

Elle se tourna alors vers la bougie allumée sur la table basse de la pièce.

L’approcha du corps de Nelly est doucement fit couler la cire brûlante sur les tétons dressés qui s’attendaient à tout mais pas à cela.

Quand elle eut assez fait souffrir sa proie, la vieille se retourna vert Jean, lui fit un signe de la tête lui indiquant qu’il pouvait disposer de la salope en larme.

Content de voir son tour arrivé, le colosse se plaça entre les jambes de Nelly, sorti son sexe tendu et pénétra la grotte endolorie de la pute qui se remettait à peine de la douleur qui avait à peine été atténuée par la pénétration du gode qui l’avait défoncée auparavant.

Il saisit la cochonne par les hanches et se mit à la tringler comme un dingue, sa pine allait et venait tandis que de ses doigts il triturait le bourgeon clitoridien avec insistance.

La vieille Comtesse se plaça entre les cuisses de son majordome et se mit à lui sucer les couilles tandis que l’autre continuait à labourer la pouffiasse qui se pinçait le bout de seins, le plaisir commençait à l’envahir
Soudain, Jean se retira, englouti sa pine dans la bouche de la vieille et se branla jusqu’au moment où sa semence inonda la gorge de sa patronne qui ne laissa pas une goutte s’échapper.

Elle se releva ensuite et vint brouter la chatte de Nelly sur laquelle elle recracha une partie du sperme de son amant, sa langue s’activa sur le clitoris de la salope et avec une fine maîtrise la fit jouir rapidement.

La Comtesse quitta la pièce, Jean détacha la belle et la pria d’aller se rhabiller et d’appeler Stéphane afin qu’il vienne la reprendre sur les lieux de sa débauche.

Lorsqu’il la récupéra, il voulu en savoir plus sur la soirée de sa cochonne de femme. Elle n’osa pas lui avouer les dépravations dont elle avait été l’objet. En réponse aux questions, elle sorti une liasse de billets qui lui avaient été remis chez l’huissier, montant de la tombola, ainsi que le chèque que la vieille Comtesse de Hardy avait laissé sur ses vêtements. Total de la soirée, 5000€. Stéphane ne posa plus de questions, elle coucha le siège de la voiture et s’endormi comme une masse.

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