- 11 sept. 2009, 15:54
#297
Comme prévu Stéphane a amené à 22 h sa femme au domicile de l’huissier. Il l’accompagne jusqu’à l’entrée, sonne au lourd portail et survient un domestique en habits de cérémonie.
- Bonjour Monsieur, nous avons rendez-vous avec Maître Perrin et…
- Oui, je suis averti, Madame entre et vous vous venez la reprendre demain matin.
- Mais je pensais que je pouvais aussi assister…
- Non Monsieur, seule Madame entre, c’est la condition imposée par Maître Perrin.
- Bon, alors je…
- Oui, Monsieur bonne soirée et à demain vers 9h.
Stéphane regarde sa femme et est un peu dépité, il pensait pouvoir bénéficier de l’invitation de l’huissier afin de profiter également de la soirée qui allait lui être réservée à cette pouffiasse. Désolé, il l’embrasse sur la joue et l’invite à suivre le domestique, baisse la tête et retourne penaud vers sa voiture. Il est rempli de regrets et se demande s’il a bien fait de confier Nelly à ce gros porc suant.
Le Domestique invite Nelly à le suivre vers les chambres jouxtant la salle de banquet où les cris et les rires retentissent au son des verres qui s’entrechoquent, la soirée a l’air d’être vraiment bien lancée.
- Entre ici, déshabille toi nue et laisse juste tes bas autoportants si tu en portes, sinon il y en a sur le guéridon. Ensuite tu attends que je vienne te chercher pour « ta soirée ».
Il sourit et referme la porte de la chambre, laissant Nelly seule dans la grande pièce sombre. Elle hésite et finit par se déshabiller lentement jusqu’à se retrouver nue, assise sur un grand lit, elle attends.
Dans la salle de réception, les verres ne désemplissent pas sur la table longue et ovale où les invités festoient de plus en plus belle, le repas étant arrivé à sa fin, juste quelques assiettes contenant des morceaux de dessert sont encore posés sur cette table.
Il y a là bien entendu l’huissier et ses invités. Ils sont une douzaine, des femmes et des hommes d’âge mûrs et pour la plupart déjà éméchés.
Les femmes en robes pour la plupart décolletées laissant apparaître leurs grosses poitrines vieillissantes, les hommes en costumes dont la plupart ont laissé tomber la veste.
Maître Perrin se lève, cogne le pied de son verre avec un couteau et demande la parole.
- Mesdames et Messieurs, je vous convie dès à présent à l’après dessert Une pute va venir s’offrir à vos désirs sur cette table. Je vous en prie, écartez les assiettes et les verres, je vais la faire venir. Elle s’appelle Nelly, c’est une grosse salope prête à assouvir vos besoins pour gagner un peu de fric afin de blanchir une dette qu’elle a envers les intérêts que je défends. Laissez le centre de la table libre, merci.
D’un claquement de doigts, l’huissier fait un signe au domestique qui comprend au coup d’œil le message de son patron, sort de la pièce et va chercher Nelly qui attend dans l’angoisse.
- C’est le moment, suis moi !!
- Oui monsieur, je viens. Mais dites moi que dois-je faire.
- Tu écoutes les ordres qui te sont donnés et tu les exécutes sans discussion.
Nelly est introduite dans la grande salle de réception et se sent envahie par une certaine gêne d’être ainsi nue devant le regard de tant d’hommes et de femmes amusés de la situation.
Maître Perrin la prend par la main et la conduit au bout de la table où il l’invite à grimper et se promener entre la vaisselle et sous les yeux des convives.
Elle se hisse et commence un défilé lent offrant son magnifique corps aux yeux des invités.
Deux allers et retour et de temps en temps des mains qui lui frôlent les jambes, les cuisses.
Revenue à son point de départ, l’huissier lui ordonne de se mettre à quatre pattes et de recommencer le trajet lentement et en respectant les ordres des invités. Nelly s’exécute et commence sa lente progression sur la table. Des mains baladeuses s’insinuent sous elle, des doigts pincent ses tétons avec peu de retenues, d’autres mains tapotent ses petits nichons, elle a un peu mal mais ça va.
Soudain une femme à demi ivre se lève et du plat de la main cingle violemment les fesses blanches de Nelly en lui ordonnant de ne pas bouger. Elle recommence encore et de plus belle. Nelly pousse un cri de douleur, à ce moment un autre invité lui demande sèchement d’ouvrir la bouche, de tenir le manche de la cuillère entre les dents et de la fermer. Punition si elle lâche l’objet.
Les rires retentissent de plus en plus belle et Nelly reçoit l’ordre de poursuivre sa lente déambulation. Elle sent des mains la parcourir, s’introduire dans sa bouche, frôler son sexe, le plat d’un couteau à dessert lui claque les cuisses, un invité lui verse le contenu de son verre de champagne sur le dos, elle dégouline. Arrivé au bout de la table elle commence une progression arrière, son derrière est largement exposé à la vue des invités dont certains commencent à être forLes gestes obscènes se suivent, de plus en plus portés sur le sexe et l’anus de Nelly qui commence à avoir du mal à supporter cette humiliation.
Presque arrivée au bout de la table à reculons, un invité lui ordonne de s’arrêter, ce qu’elle fait.
Au bout d’un manche d’environ 80 cm il y a une godemiché qui y est emboîté et solidement attaché. Tenant cet objet comme s’il manipulait une épée il s’approche de l’anus de la belle et doucement force la rondelle. Nelly a tendance à se pencher vers l’avant afin d’échapper à cette intromission, mais elle est vite rappelée à l’ordre d’un convive qui lui ordonne de se cabrer le cul en arrière.
Tandis que le gode s’enfonce peu à peu dans l’intimité de Nelly, une invitée survient tenant à la main un énorme vibro dont l’extrémité est composé d’une boule vibrante. Elle commence à parcourir les lèvres vaginales de la cochonne qui est dépassée par les évènements et titille avec force et précision le clitoris qui s’est décalotté sous la pression de l’objet qui la fouille de plus belle.
Elle est partagée entre les allers et venues du gode qui lui fouille les entrailles et de l’autre qui lui laboure la chatte.
Un ordre survient de la bouche de l’huissier :
- avance putain, lentement vers le milieu de la table.
Elle se met doucement à arpenter de nouveau la table avec le gode planté dans le cul. Une grosse claque lui marque à nouveau les cuisses, elle ouvre la bouche et laisse tomber la cuillère qu’elle avait supportée jusqu’à là. Sans attendre un convive s’exclame « punition ».
Il se hisse sur la table, sort sa bite de son pantalon et la fourre sans délicatesse dans la bouche de Nelly en lui tirant les cheveux afin de provoquer un mouvement masturbatoire intense. Pendant ce temps, un autre invité a saisi le manche du gode et défonce le cul de la salope qui ne peut hurler tellement elle est remplie devant.
Après quelques minutes, l’huissier intervient et demande au convive en train de se faire pomper d’arrêter, il ne peut s’offrir une jouissance à ce stade du jeu. Interdit par le règlement.
Il obtempère, se retire, gifle Nelly et redescend de la table.
- Mesdames et Messieurs, voici le moment de tirer au sort celle ou celui qui pourra profiter de cette jolie créature pour le restant de la soirée, voire pour la nuit. Vous avez tous acheté un billet de loterie pour un montant de 1.000 €, le gagnant du tirage va être connu dans un instant. J’appelle le chapeau dans lequel se trouvent les numéros de vos billets et la chienne qui est sur la table va plonger sa main dedans. Vas-y salope et n’oublie pas ils sont tous des plus pervers.
Nelly plonge sa main dans le chapeau et en sort le 8.
- Le 8, qui a le 8 ?
S’exclame l’huissier.
- Moi !
- hurle la vieille comtesse de Hardy,
- c’est moi qui gagne cette petite pute. Elle va déguster. Aller ma fille, va te rhabiller et rejoins moi de suite.
Nelly descend de la table et rejoint le serviteur qui la raccompagne vers la chambre où elle récupère ses vêtements.
Ses fesses brûlent, elle a mal le bout des seins qui ont été triturés par des dizaines de mains, elle est fatiguée…mais elle y va.
tement excités.
La Comtesse de Hardy est vieille, riche et surtout toujours entourée d’une cour de jeunes personnes qui satisfont ses instincts les plus pervers. Tantôt au bras d’un jeune mâle ou encore accompagnée par une jeune créature de rêve qu’elle paie à coups de milliers d’euros pour répondre à toutes ses envies, quelles qu’elles soient.
Nelly l’accompagne dans la limousine garée devant la demeure de l’huissier, elle monte à l’arrière aux cotés de la vieille. Celle-ci ouvre un petit compartiment situé entre les sièges avant et de ce petit frigo, sort une bouteille de champagne et deux verres.
- Sert nous petites salopes, j’ai soif, soif de champagne et soif de ton petit cul qui a été mis à rude épreuve tout à l’heure.
- Bien madame, voici votre verre.
Ensemble elles trinquent, la vieille tire les cheveux de Nelly, l’obligeant à tourner le visage vers elle et l’embrasse goulûment, laissant sur sa bouche de grosses traces de rouge à lèvres.
La voiture s’enfonce dans la nuit et rejoint le château de la Comtesse.
Le chauffeur ouvre les portes de la limousine et précède les deux femmes vers la lourde porte d’entrée de la somptueuse demeure.
Un homme accueille les deux dames, il s’agit de Jean, le majordome de la maison, c’est lui qui s’occupe de tout le bon fonctionnement du service, dirige les domestiques, gère le bon fonctionnement de la maison, il est entièrement voué à sa tâche.
- Jean, je vous présente mon invitée du soir, gagnée à la tombola de ce cher huissier, qu’en pensez vous ?
- Elle est superbe Madame la Comtesse, quel est son nom ?
- Nelly, c’est une petite cochonne qui aime la bite, vous vous en doutiez ?
- Oui, Madame la Comtesse.
- Accompagnez la dans la salle de bain et donnez lui les vêtements que vous savez que j’adore.
- Bien Madame la Comtesse, je vois bien. Je prépare aussi votre petit matériel ?
- Bien entendu, quelle question.
Le majordome accompagne Nelly vers une superbe salle de bain où il déballe une petite tenue en soie, transparente, pigeonnante et courte jusqu’aux cuisses.
Les petits seins de Nelly sont mis en valeur dans cette nuisette, ses jolies cuisses sont largement découvertes, elle est superbe.
On frappe à la porte de la salle de bain, c’est le majordome, Nelly ouvre et se voit priée d’accompagner Jean.
Après avoir parcouru quelques couloirs peu éclairés, elle est invitée à entrer dans une pièce sombre également. La Comtesse est assise dans un large fauteuil, à sa gauche se trouve une table ressemblant à celles qui se trouvent dans les cabinets médicaux plus particulièrement chez les gynécologues.
- Couche toi sur cette table petite salope. Jean, mettez lui le bandeau sur les yeux, je sais qu’elle aime ça, son mari que j’ai eu au téléphone vient de me le confirmer, c’est une sale pute m’a-t-il dit, elle va déguster.
Alors que Nelly est couchée sur la table, Jean lui place le bandeau, lui écarte les jambes qu’il immobilise sur les supports et lui attache les mains aux montants placés de chaque côtés de la table.
Ses jambes ainsi ouvertes offrent une vue directe sur son sexe dénudé, elle a cessé de sourire, l’angoisse l’envahit.
La vieille s’avance et du bout de la cravache qu’elle tient dans la main, caresse l’entre cuisse le la belle totalement soumise. La cravache remonte du bas du ventre vers les seins, de petites claques sur les bouts provoquent une érection des tétons qui se dressent sous la soie de la petite nuisette.
- Jean, enlevez moi ce vêtement, j’ai envie de voire le corps de cette cochonne.
Jean s’approche et d’un coup sec déchire la nuisette que porte Nelly, découvrant ainsi toute son intimité. Elle sourit mais elle a peur elle a raison.
A peine son corps découvert, un coup de cravache s’abat sur ses cuisses, un autre suit directement sur son ventre et un dernier flagelle son sein gauche. Elle hurle de mal mais cela ne perturbe pas Madame de Hardy qui se moque de ses geignements.
La Comtesse ouvre la porte d’un large meuble et en ressort un gode énorme par sa taille et s’adressant au majordome :
- Jean, préparez lui une belle ouverture, je la sens très fermée cette moule…
- Compris Madame la Comtesse.
Jean s’approcha devant la table, faisant face au sexe écarté de Nelly. Il s’enduit les doigts d’un gel, les dirigea vers les lèvres de la belle et commença un massage lent des grandes lèvres, titillant au passage le clito qu’il découvrait et recouvrait provoquant une superbe excitation de la chienne de Nelly.
Puis il introduit un, puis deux et ensuite trois doigts dans le vagin mouillé de cette truie qui commençait à prendre son pied.
La vieille écarta son larbin et dirigea son gode vers la fente humide de Nelly, tourna lentement sur le contour des lèvres et peu à peu introduisit le monstre avec beaucoup de peine. Nelly tenta de se cabrer et de fermer les cuisses mais elle était fermement attachée et ses efforts furent vains.
Le godemiché pénétra profondément et la vielle pris un malin plaisir à l’agiter d’avant en arrière, n’écoutant pas les suppliques de Nelly qui souffrait sous les coups de boutoirs de ce gros mandrin qui lui labourait le sexe.
La vieille mis fin au supplice et retourna vers l’armoire où étaient gardés ses trésors. Elle en ramena un objet peu conventionnel, ressemblant à une torche électrique. Elle approcha l’engin à hauteur des bouts de seins de Nelly, caressa les tétons et ensuite elle appuya sur le bouton déclencheur du mini tazer.
Il s’agissait en fait d’un appareil servant à déclencher des secousses électriques. Nelly se cabra de nouveau tandis que la Comtesse passait d’un sein à l’autre avec délectation. Elle s’occupa aussi de l’entre cuisse de sa proie qui priait de toute ses forces pour que cette torture cesse. Elle cessa quand la vieille en eu marre de ce jeu.
Elle se tourna alors vers la bougie allumée sur la table basse de la pièce.
L’approcha du corps de Nelly est doucement fit couler la cire brûlante sur les tétons dressés qui s’attendaient à tout mais pas à cela.
Quand elle eut assez fait souffrir sa proie, la vieille se retourna vert Jean, lui fit un signe de la tête lui indiquant qu’il pouvait disposer de la salope en larme.
Content de voir son tour arrivé, le colosse se plaça entre les jambes de Nelly, sorti son sexe tendu et pénétra la grotte endolorie de la pute qui se remettait à peine de la douleur qui avait à peine été atténuée par la pénétration du gode qui l’avait défoncée auparavant.
Il saisit la cochonne par les hanches et se mit à la tringler comme un dingue, sa pine allait et venait tandis que de ses doigts il triturait le bourgeon clitoridien avec insistance.
La vieille Comtesse se plaça entre les cuisses de son majordome et se mit à lui sucer les couilles tandis que l’autre continuait à labourer la pouffiasse qui se pinçait le bout de seins, le plaisir commençait à l’envahir
Soudain, Jean se retira, englouti sa pine dans la bouche de la vieille et se branla jusqu’au moment où sa semence inonda la gorge de sa patronne qui ne laissa pas une goutte s’échapper.
Elle se releva ensuite et vint brouter la chatte de Nelly sur laquelle elle recracha une partie du sperme de son amant, sa langue s’activa sur le clitoris de la salope et avec une fine maîtrise la fit jouir rapidement.
La Comtesse quitta la pièce, Jean détacha la belle et la pria d’aller se rhabiller et d’appeler Stéphane afin qu’il vienne la reprendre sur les lieux de sa débauche.
Lorsqu’il la récupéra, il voulu en savoir plus sur la soirée de sa cochonne de femme. Elle n’osa pas lui avouer les dépravations dont elle avait été l’objet. En réponse aux questions, elle sorti une liasse de billets qui lui avaient été remis chez l’huissier, montant de la tombola, ainsi que le chèque que la vieille Comtesse de Hardy avait laissé sur ses vêtements. Total de la soirée, 5000€. Stéphane ne posa plus de questions, elle coucha le siège de la voiture et s’endormi comme une masse.