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par Sophie973
#90926
Ma toute première expérience candauliste...

Je venais de quitter mon propre appartement, où je vivais en coloc avant l’heure, pour m'installer avec mon petit ami. Nous étions ensemble depuis un an et demi environ. Nous profitions enfin d'avoir un espace rien qu'à nous pour s'aimer et faire d'autres choses aussi ...

Nous avions déjà essayé pas mal de choses en matière de sexe, une multitude de positions, de vidéos et même de sex toys, mais petit à petit, dans les phantasmes que l'on se glissait à l'oreille, surgissaient d'autres protagonistes. Mais c'est assez difficilement que l'on s'est mutuellement avoué une certaine excitation quant au fait de faire l’amour à plusieurs ...

On en a parlé assez brièvement un soir, mais pas assez pour savoir ce que nous attendions de ce genre de plans. Mais je savais déjà que pour lui, l'idéal serait surement de le faire avec une, voire deux filles en plus.

Un après-midi pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu envie de l'exciter encore plus, et lui ai dit :
« Ça te plairait de me voir dans ton lit embrassant une autre fille en sachant que tu vas nous baiser toutes les deux ? »

Ces mots on eu un certain effet sur lui, ça lui a plu mais pas autant que je ne le pensais. Je sentais bien qu'il me cachait quelque chose, que malgré le fait que cette vision lui plaise, il en avait une toute autre en tête.

J'ai continué d'essayer de savoir ce qui le rendrait complètement fou en lui glissant à l'oreille un scénario à trois avec lui, moi et une autre fille. Pourtant, au bout d'un moment il a rapproché son visage du mien, et m'a dit :
« Tu sais ce qui m'exciterait encore plus ? Ce n’est pas de te voir avec une autre fille mais ... »

Il n'a pas terminé sa phrase, mais j'ai aussitôt compris, il voulait se délecter en regardant un autre mec me prendre ...
Au moment où il m'a dit ça, j'ai ressenti une drôle de sensation, un peu de peur, mais beaucoup d'excitation. Si bien qu'à peine sa phrase terminée, j'étais prise par un orgasme assez intense.

Me voyant jouir comme jamais, mon copain me dit :
« Tiens, on dirait que ca te fait de l'effet ce que je viens de dire ! »

Puis il a retiré sa belle queue toujours en érection, enlevé le préservatif et m’a murmuré en la saisissant :
« Je n'ai pas encore joui, moi ! »

Toujours allongée et pas encore remise de mon orgasme, je n'avais plus envie de jouer avec sa bite. Pour ne pas le décevoir je lui ai répondu :
« Ah, et bien vas-y soulage-toi, fais ce que tu veux de mon corps ! »

Aussitôt, il se mit à cheval au dessus, de moi au niveau de ma poitrine et s'est masturbé en me pelotant les seins. Je savais déjà ce qu'il allait faire, son petit truc préféré, se branler au dessus de ma poitrine, et jouir dessus.

Une demi-heure après, on a reparlé de ce qu'il s'était passé. Je lui ai confirmé qu'en effet, que ce qu'il m'avait dit m'avait excitée, mais que j'étais un peu effrayée à l'idée de le faire. Il m'a expliqué que ça lui ferait vraiment plaisir que j'accepte de le faire, que je n'avais pas à avoir peur, vu qu'il serait présent.

J'ai fini par acquiescer, en rajoutant que je ne voulais absolument pas que ce soit des amis à lui ou quelqu'un de proche, il fut parfaitement d'accord la-dessus mais il a insisté pour que ce soit lui qui fasse le choix des personnes.

Les jours ont passé, il m'a souvent demandé si je ne changeais pas d’avis. Je ne savais toujours pas quoi lui répondre, j'avais peur, sa date d'anniversaire approchait et il en a profité pour me dire :
« Allez, pour mon anniversaire, tu ne peux pas refuser ! »

J'ai répondu avec peu de conviction que j’y réfléchirais…

Le jour J, j'étais anxieuse, on n’en avait pas reparlé depuis, et je croisais les doigts pour qu'il ait oublié. Pourtant, quelque part, j'avais envie de me lancer, de le faire, pour tester et surtout lui faire plaisir.

Le soir arrive, et les amis venus le voir pour son anniversaire repartent, je laisse s'échapper un soupir de soulagement en me disant : « Tranquille pour ce soir, j'ai le temps de m'y préparer… »

J'étais assise sur une chaise, penseuse, quand ses bras m'entourèrent délicatement, il m'embrassa sur le front, et colla sa bouche à mon oreille pour me chuchoter :
« T'as pas oublié ce qu'on a dit ? »

J'étais paniquée, je tremblais à la fois de peur et d'excitation, mais je me suis quand même lancée et j'ai répondu fébrilement :
« Non, je n’ai pas oublié… »

Il me prit par la main et m'emmena dans la chambre, où seule la lumière extérieure qui passait par la porte vitrée, éclairait la pièce.
Il m'a demandé de mettre le soutien gorge qui me relevait le plus la poitrine et la petite culotte blanche qui allait avec,.. Je tremblais encore plus, et j'ai dit que je ne voulais pas que l'autre voit ma chatte, il a soupiré, mais a quand même accepté.

J'avais un peu froid, alors, j'ai enfilé un débardeur noir, mais au même moment mon copain revenait du salon avec un chemisier blanc beaucoup trop petit. Il me l'a quand même fait enfiler avec une jupette noire, piochée au hasard dans mon armoire.
Je n'étais pas très à l'aise, les boutons du chemisier n'arrêtaient pas de s’ouvrir à cause ma poitrine, et la jupe qui normalement se porte avec un short en dessous, ne cachait pas grand chose. J'ai essayé à plusieurs reprises de lui demander qui était l'autre personne, mais il ne répondait rien d’autres que des soupirs entendus.

La nuit venait de tomber, ça faisait un maintenant une petite demi-heure que j'étais dans la chambre, assise sur le lit, à attendre quand mon copain rentre dans la chambre et allume l'halogène au fond de la pièce, la chambre est maintenant bien éclairée.
Il s'est avancé vers moi, m’a relevée, puis a passé ses mains sous ma jupe pour me peloter les fesses. Il était complètement excité et n'arrêtait pas de me dire :
« T'es vraiment bonne, j'adore ton cul, ma princesse ! »

J'étais dos à la fenêtre, il n'arrêtait pas de relever ma jupe et de m'agripper les fesses. Il a fait glisser ma jupe le long de mes jambes, puis l’a balancée dans un coin de la chambre. J'étais désormais en petit culotte, et je commençais à comprendre que j'étais surement entrain d'exhiber mes fesses à tout ce qui pouvait y avoir derrière la fenêtre ! Cette sensation m’excitait, mais j'avais peur de me retourner et que ce soit vrai.

Les boutons des chemisiers ont fini par se rouvrir et il a en a profité pour déboutonner le reste et retirer mon chemisier. Il s'est assis sur le lit et m'a ordonné :
« Penche-toi en avant pour que je puisse encore mieux les mater. »

Il parlait de mes seins. Puis il m'a demandé d'écarter un tout petit peu les jambes et là, j'ai compris qu'il devait vraiment y avoir quelqu’un dehors. Alors, je me suis retournée, mais l'obscurité dehors m'empêchait de savoir s’il y avait quelqu’un. Tout ce que je distinguais, c'était une vue parfaite de mon cul offert sur le reflet de la vitre.

Mon copain, toujours assis sur le lit, a descendu la braguette de son jean et sorti sa queue bien raide. Il m'a demandé directement de le sucer en faisant un maximum de bruit. Sans hésiter, je le pompais en gémissant. Puis i la voulu changer de position. Il s’est levé, rapproché de la vitre et m’a demandé de venir le sucer, à genoux devant lui.
Je commence à m'exécuter, mais je m'aperçois qu'à cette distance de la vitre, on distingue mieux l'extérieur et un simple coup d'œil vers la droite m'a permis de voir deux visages, encore trop sombres pour savoir si je les connais ou pas.
Cette constatation me fit arrêter un instant ce que j'avais entrepris, mais je n'eus pas le temps de retirer sa bite de ma bouche qu'il m'appuya la tète contre en me disant :
« Ne t'arrête pas ! »

J'ai vraiment ressenti une sensation bizarre à ce moment là, j'étais à genoux en sous vêtements en train de sucer mon copain, tout en sachant que deux mecs me regardait faire...
Je me sentais un peu humiliée, mais c'était plutôt agréable comme sensation.
Au bout de quelques minutes, il m'arrêta, me releva et plaqua face à la vitre, et là j'ai pu distinguer les visages….

L'un me rappelait quelque chose, l'autre non, mais aucun des deux n'étaient attirants. C’était même le contraire, et soudain, je me suis souvenue qui était ce visage. Il s'agissait d'un ancien camarade de classe du lycée, que tout le monde savait à fond sur moi, mais je ne l'avais pas revu depuis des années ! Comment mon ami l’avait-il retrouvé ???

Un instant, j’en ai voulu à mon copain de l'avoir choisi, mais en fait je trouvais ça excitant de savoir qu'il avait surement dû fantasmer sur moi au lycée...

Dans le même temps, mon copain venait d'écarter ma culotte pour me pénétrer et commença des va et vient assez brutaux. J'avais toujours le visage collé à la vitre et pouvais voir leurs regards et leurs visage ravis de me voir me faire baiser. Je commence à avoir chaud, et mes mains glissent sur la vitre, l’excitation monte et je ne peux m’empêcher de gémir, ma culotte est trempée.

Mon copain s'arrêta brusquement en disant assez sèchement :
« J’en ai marre de mater tes nichons dans les reflets ! »

Et il dégrafe mon soutien-gorge, me retourne brusquement et le retire pour me peloter violement en me pinçant les tétons, puis il me r-plaque contre la vitre en disant :
« Ca, c'est pour qu'ils voient à quels point t'es bonne ! »

Le contact de mes tétons endolori sur la fraicheur de la vitre me donne des frissons dans tout le corps. Mon copain s éloigne en me disant de rester collée à la vitre, il s'assoit sur le lit et se branle en regardant mes fesses et me dit : « J'imagine même pas comment ils doivent être excités derrière la vitre ! Moi je n’en peux plus de savoir qu’ils s’excitent sur toi ! »

Je tourne la tête vers lui comme pour acquiescer, et je redirige mon regard vers l’extérieur, où les deux mecs ont disparu. J’entends la porte de la chambre s'ouvrir et se refermer. Mon copain me dit de ne pas me retourner, mais j'arrive à les voir dans le reflet.
L'un était plutôt rond, pas très grand, à vrai dire, moche et l'autre, c'était mon ex camarade de classe, petit mince et pas très beau. Les deux avaient déjà sorti leurs queues, et celui que je ne connaissais s'avançait vers moi. Le premier contact que j'ai eu c'était celui de ses mains moite qui me peloter les fesses, il lança à mon copain :
« Elle est vraiment bonne ta meuf !
- Oui », répondit-il laconiquement.

Toujours assis sur le lit il retira le préservatif pour mieux se masturber en regardant cet inconnu me peloter.

Puis l’homme posa ses mains autour de ma taille pour m'éloigner un peu de la vitre, laissant accès à ma poitrine qu'il s'empressa de peloter. Je sentais son sexe frotter contre ma culotte... Je me sentais de plus en plus excitée, et mon vagin s'humidifiait de plus en plus.

L'ex camarade dit à l'autre :
« Alors, t'attends quoi pour la baiser ? »

Il lui lança un préservatif. J'ai à peine eu le temps de sentir sa main écarter ma culotte qu'il m'avait pénétrée. Son sexe était plus gros que celui de mon copain et j'eu mal pendant les premiers va-et-vient qu'il n a pas essayé de passer en douceur.
Ses mains avait saisi fermement mes hanches et il appuyer plus fort à chaque coup, je n'arrivais plus à me retenir de gémir, j'ai crié "stop" à plusieurs reprises, mais il ne s'est pas arrêté.

Il s'est arrêté juste avant que je jouisse. J’étais fatiguée, alors je me suis accroupi face à la vitre. Mais l'autre à dit
« Allez, à moi, depuis le temps que j'ai envie de te baiser ! »

Cela m’a surprise, car il s'est directement adressé à moi, il est venu vers moi et m'a allongée sur le tapis, dos à terre. Il s'est mis au dessus, a sortit un préservatif, s'est masturbé un instant au-dessus de mes seins durs, avant de m'écarter les jambes et ma culotte. Il m’a pénétrée rudement, en malaxant mes seins toujours bien sensibles.

Les autres regardaient en se branlant. J'étais mal à l'aise, j'ai tourné la tête et j'ai vu ce qu'il se passait à travers le reflet. Voir la scène m’a encore fait ressentir autre chose de très excitant… Juste avant, je subissais, même si c'était bon, mais là j'avais envie de participer et à ce moment là que j'ai commencé un peu à jouer le jeu, en lui disant
« Ca te plait de me baiser, tu me trouves bonne ? »

Et ses réponses ne faisaient que plus m’exciter. Je découvrais aussi ce soir-là le pouvoir excitant des mots grossiers…

Le tout a duré quelques minutes d’intense plaisir. J'avais envie de jouir, je le lui ai dit :
« J'ai envie de jouir ! »
Mais il s'est retiré aussitôt en disant :
« Non, pas de plaisir pour toi ! »

Comment pouvait-il me faire cela ? J’étais comme folle. Je n’en pouvais plus § Sans hésiter, j'ai glissé ma main dans ma culotte, et me suis caressée, en écartant bien grands mes lèvres intimes, gonflées de désir. Mais je n'ai encore une fois pas eu le temps de me satisfaire, car mon copain est venu m'arrêter, me relever, et m'a attaché les mains derrière le dos avec sa ceinture.

Maintenant, j’étais désormais complètement à la merci de trois mecs qui ne voulaient que me baiser...

Mon ex camarade est revenu pour me peloter en répétant victorieusement :
« Ah tu peux rien faire là ! »

Il a passé u long moment à caresser mes fesses avant de plonger sa main dans ma chatte pour me doigter. Son copain est arrivé et m’a mise à genoux. Sans ménagement, il m'a enfoncé sa bite dans la bouche. Il m’imprimait son mouvement en appuyant derrière ma tète avec sa main. Je déteste cela, mais je n’avais pas le choix, j’étais complètement entravée.
L'autre était toujours à coté en train de se branler et mon copain l'avait rejoint.

Il accélérait le mouvement, j'avais du mal à respirer, étouffée par le mandrin de chair qui me limait la bouche. Sans crier gare, il s est arrêté pour jouir sur ma poitrine. J'avais rarement vu autant de sperme ! Sans me laisser de répit, mon ex-camarade a ensuite baisé ma bouche avec sa queue toujours aussi dure. Je l'ai sucé goulument, car j’espérais enfin jouir, après tout ces traitements si excitants…
Il a giclé sur mon visage, et en même temps, mon copain s’est approché pour en faire de même...

Ils m’ont enfin détachée, et avec leurs mains, leurs langues, ils m’ont tous les trois caressées partout, m’octroyant enfin la jouissance que j’attendais de puis si longtemps. Je lâchais un flot de cyprine dans la bouche de celui qui me léchait. Je voyais mon copain toujours aussi excité. Il venait de jouir, mais il bandait déjà bien dur.

Une fois la tension retombée, Je me sentais vraiment bizarre. je ne savais pas si je regrettais ou pas. Ils m'ont laissée seule un moment dans la chambre dans cet état.
Ils sont revenus quelques minutes après, ils m’ont demandé de me mettre à plat ventre contre le lit, les genoux au sol pour pouvoir regarder mes orifices bien ouverts, et ils se sont de nouveaux masturbés jusqu’à gicler sur moi.

Ils sont repartis quelques minutes plus tard, sauf mon copain qui est resté, et m'a accompagnée à la douche. Une nouvelle fois, nous avons fait l’amour, excité par tout ce qui venait de se passer. J’avoue avoir ressenti un immense plaisir d’avoir été baisée par ces trois hommes… En fait, j’avais très envie de recommencer.
Ce qui n’a pas tardé. Pendant l’année qui a suivi, il m’a offerte à pas mal d’hommes, mais toujours avec mon avis préalable. J’adorais, et j’adore toujours, être baisée devant celui que j’aime !

C’est ainsi que c’est vraiment lancée ma « carrière » de salope, aimant le sexe par-dessus tout…

D'autres histoires vécues sur mon blog, pour les amateurs...

Sophie, Marquise de R.
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par Sophie973
#92948
Les compliments font toujours plaisir ! Tu y est la bienvenue ! et si tu as des histoires à raconter, et vu ton pseudo, je n'en doute pas, tu peux les raconter, je me ferai un plaisir de les publier !

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