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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#89980
Voici comment ma femme m'a fait cocu, après que je l'ai pas mal poussée à franchir le pas.

L'histoire qui suit est totalement vraie. Les dialogues ne sont pas forcément au mot près, compte tenu que j'ai écrit cette histoire plusieurs semaines après, mais c'est quasiment ça. L'histoire se déroule au mois de juillet 2010.

J'ai créé un blog dédié à mon épouse. Je vous livre cette histoire telle que je l'ai écrite sur le blog en question (voir à la fin pour l'adresse, pour les intéressés).


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Je me nomme Erwan, j'ai 34 ans, brun plutôt mince, cadre dans l'informatique. J'ai épousé Solen il y a 1 an environ, après pas loin de 12 ans de vie commune et un enfant de 7 ans. Solen est une très jolie femme ronde, mais qui complexe beaucoup sur ses rondeurs, malgré que celles-ci soient très bien réparties et qu'elles lui donnent un côté sensuel très excitant. Elle est cadre également, elle a les yeux gris-vert, les cheveux châtains, un très beau sourire, un regard perçant qui fait craquer tous ceux qui le croisent, sa poitrine opulente (95D) est une tentation permanente, son fessier bien charnu et surtout bien rond est une invitation à la débauche, ses cuisses sont à croquer, sa cambrure naturelle et très prononcée ne faisant qu'accentuer la sensualité de ses formes. Bref, elle fait envie, du moins auprès de tous les amateurs de formes pulpeuses. Mais elle ne s'aime pas, allez comprendre, alors elle passe une bonne partie de sa vie à faire des régimes, avec de plus en plus d'efficacité au fil du temps.

Après plus d'une décennie de vie commune, nous avions franchis le pas du libertinage et de l'échangisme. Nous avions commencé par rencontrer quelques hommes seuls, puis des couples, toujours ensembles évidemment (c'est une règle que nous nous sommes fixés), mais très peu et très occasionnellement, juste pour pimenter un peu notre sexualité et satisfaire les besoins sexuels de plus en plus importants de Solen, avec lesquels je n'étais pas totalement en phase (ma libido étant un peu inférieure à la sienne, vu que je me contentais à l'époque d'un ou deux rapports par semaine alors qu'elle était demandeuse quasiment tous les jours). C'est également lors de ces rencontres libertines que je me suis essayé à la bisexualité soft (uniquement des fellations), par curiosité surtout, et pour satisfaire un fantasme de fellation. J'ai trouvé cela sympa, j'ai bien aimé sucer, mais sans plus, rien de transcendant, aucune révélation de ce côté là.

Pour la petite histoire, il faut savoir que les premières années de notre vie commune Solen n'avait pas une sexualité très développée jusqu'au jour où la médecine lui a détecté un dérèglement hormonal. Le traitement visant à rétablir ses hormones à un niveau correct fut un déclencheur pour elle, relançant sa libido avec intensité. En quelques semaines, elle s'était mise à avoir continuellement envie de sexe. Plus son hypersexualité s'affirmait et plus il devenait évident que je ne la satisfaisais pas totalement, que je ne lui suffisait plus. Je ne suis pas non plus un mauvais coup, du moins elle m'a toujours confirmé que j'étais même plutôt bon, car j'ai un sexe de bonne taille et j'ai développé au fil du temps une endurance importante, mais à l'époque je n'avais pas envie de sexe tous les jours, contrairement à elle. Et puis elle a toujours eu un peu de mal à jouir, à se laisser-aller, à s'abandonner à son plaisir, et je focalisait un peu sur ma capacité à la faire jouir ou pas. Ainsi, elle n'a jamais pu jouir uniquement sous l'effet de ma queue, mais uniquement lorsqu'elle se masturbait en même temps, ou alors avec ma langue (là par contre je parviens à la faire jouir quasiment à chaque fois). Plus elle réclamait, et plus je craignais de ne plus être à la hauteur de ses attentes, jusqu'à développer durant un temps un complexe de performance qui me poussait à rejeter ses avances de plus en plus souvent (et à laisser se faire plaisir seule avec sa main et ses jouets) afin de ne pas risquer de me retrouver en situation d'échec par rapport à ma capacité à la faire jouir.

C'est en fréquentant les sites libertins que j'ai découvert le terme de candaulisme, et tout ce qui s'y rapportait. Au départ, j'étais un peu bloqué avec ce concept. Je ressentais bien du plaisir à la voir baiser avec d'autres hommes durant nos rencontres libertines (sans pour autant que cela ne me fasse bander plus facilement ou plus dur), mais j'étais toujours présent, toujours participant, et toujours dominant et directif. Hors, je découvrais sur Internet que le candaulisme était quand même très souvent (pour ne pas dire quasiment tout le temps) assimilé à un plaisir masochiste de soumission de la part du mari, et que ce dernier ne maîtrisait jamais vraiment la situation. Le terme même de cocu m'horripilait, je le trouvais dégradant et irrespectueux.

Il faut savoir que j'ai toujours eu des rapports plutôt dominant envers Solen. Dans la vie aussi, j'ai tendance à dominer, à tout gérer, à tout maîtriser. Je suis un peu paranoïaque, j'ai l'obsession du contrôle, je cherche toujours à tout prévoir, tout encadrer, et dominer tout le monde. Au lit, je suis assez directif, parfois même bestial, voire un peu brutal lorsque nous sommes bien excités tous les deux. Et j'utilise beaucoup de mots crus à son égard, ce qui la fait décoller.

Mais j'ai toujours été également très excité lorsqu'elle se comportait en salope. Presque tous les hommes fantasment sur le fait de coucher avec une salope, bien cochonne, sans tabou ni retenue, mais peu sont capable de l'assumer au point de vivre à plein temps avec l'une d'elles et de lui permettre de le rester, compte tenu qu'une vraie salope aura souvent tendance à séduire tous les hommes qu'elle croise, par nature, puisqu'elle a fait sauter la plupart des barrières encadrant sa sexualité. Moi, j'adorais l'idée d'avoir une salope à la maison, dans mon lit, tous les soirs. Alors j'avais tendance à la pousser à se dévergonder, à pratiquer le jeu de la séduction avec son entourage et à me raconter, en espérant que ça l'aide à prendre confiance en elle et qu'elle assume de plus en plus la salope que j'avais détecté en elle. Avec moi, évidemment, et au travers du libertinage. Mais j'insistais sur le fait qu'elle ne devait pas aller plus loin que le simple jeu de séduction avec n'importe qui d'autre, pour préserver notre couple.

Mais peu à peu l'idée a fait son chemin... Je suis d'un naturel très curieux, très joueur, j'aime le sexe, j'aime ma femme, j'aime qu'elle aime le sexe... J'ai lu de plus en plus d'histoires candaulistes... Et un jour je me suis retrouvé avec le fantasme qu'elle me trompe ! Mais dans mon obsession du contrôle, je voulais garder la maîtrise de ce fantasme et de son éventuelle réalisation. J'ai donc décidé de tenter quelque chose.

J'ai parlé un peu plus souvent du candaulisme à mon épouse. Je lui ai même raconté quelques histoires candaulistes. Quand on faisait l'amour, je lui parlais de plus en plus souvent du fait que j'aurai aimé que d'autres hommes soient là, pour qu'elle se visualise dans les bras d'un autre. Je l'ai poussé à pratiquer le jeu de la séduction avec ses amis masculins, pour qu'elle voit le désir qu'elle était capable de susciter chez les hommes, elle qui a toujours douté de ses capacités à plaire (notamment en raison de ses rondeurs), en lui expliquant que je suis très flatté et très fier à chaque fois que j'apprends qu'un autre homme la désire, sans ressentir de jalousie puisque j'ai une totale confiance en son amour pour moi. Tout cela était vrai, bien entendu, et m'excitait beaucoup.

Puis, quand j'ai senti Solen intéressée, tentée, je lui ai écrit un certain nombre de règles, que je lui ai envoyé par mail, pour gérer les nouvelles limites de notre sexualité et lui permettre davantage de latitude, tout en s'assurant de ne pas me faire souffrir et donc de préserver notre couple. Ces règles étaient finalement très contraignantes et brisaient le charme de la spontanéité. De plus, elles imposaient que tout soit planifié et ne laissaient que peu de place à l'imprévu. Mais je me sentais rassuré et capable ainsi de mettre un pied dans le monde du candaulisme sans risquer de m'y perdre. Elle a accepté ces règles et a décidé de jouer le jeu, mais à son rythme.

Il m'a semblé ensuite que tout cela serait finalement bien trop compliqué à mettre en place, et je commençais à me résigner à ne pas vivre d'expérience candauliste avant un bon bout de temps, d'autant que mon épouse me confirmait l'impossibilité pour elle de se consacrer à une rencontre avec un autre homme.

Un soir, tard, alors que j'étais seul devant mon ordinateur, ma femme dormant depuis longtemps et notre enfant en colonie de vacances pour plusieurs semaines, il m'est arrivé de me masturber sur un site de tchat en dialoguant avec un homme très directif qui se proposait de me faire cocu et qui ne manquait pas de m'humilier au passage ! Je me suis alors découvert un côté masochiste, moi qui avait développé au contraire au fil des années un fort penchant pour le sadisme sexuel. Cette expérience me troubla fortement, je ne savais plus très bien de quelle manière je voulais vivre cette expérience, je ne savais plus faire la différence entre le fantasme et l'envie, mais je suis resté motivé pour continuer de pousser mon épouse à me faire vivre une aventure candauliste. Cependant, j'étais si troublé et si excité d'avoir joui dans un fantasme masochiste que je parti dans toutes les directions, sans trop savoir ce que je voulais vraiment, j'ai donc réécrit les règles en octroyant plus de liberté à Solen et lui demandant de me faire mal, etc. Ce qui la déstabilisa à son tour. Ce changement n'avait rien de rassurant pour elle, car il sautait aux yeux que je n'étais pas dans mon état normal, aveuglé par l'excitation qui m'assaillait. Du coup, elle ne savait plus ce que j'étais réellement capable d'encaisser, une fois le fantasme réalisé. Moi non plus d'ailleurs. On en parla, en essayant de se projeter dans la concrétisation de tout cela, et je finis par redescendre un peu sur terre. J'ai eu honte de ma pulsion masochiste et de mon fantasme d'humiliation, bien qu'elle ne cessa jamais de me rassurer.

Le lendemain de cette discussion, j'ai eu beaucoup de mal à me concentrer au travail. J'avais besoin de faire le point sur mes envies, et surtout ce que j'étais capable de réaliser et sur ce qui devait absolument rester de l'ordre du fantasme.

J'ai échangé quelques SMS avec ma chérie, afin de partager avec elle mes inquiétudes, mes interrogations, en espérant que sa sagesse m'aiderait à trouver des réponses. J'étais un peu déçu car elle manquait beaucoup de réactivité, elle ne me répondait pas rapidement, et l'attente me minait. Je ne le savais pas à ce moment là, mais si elle était peu disponible pour moi ce n'était pas à cause de son travail, c'était parce qu'elle avait été contacté le matin-même par un jeune libertin que nous avions déjà rencontré ensemble, et qu'ils n'ont pas arrêter de se chauffer toute la journée, en s'envoyant des messages coquins et des photos de leurs sexes respectifs (que je découvrirai bien plus tard dans son téléphone mobile).

Le soir venu, je lui annonçait que j'allais rentrer tard, que je n'avais pas envie de me retrouver devant elle alors que je n'étais pas encore parvenu à chasser le sentiment de honte qui m'assaillait depuis notre conversation de la veille. Elle ne fit rien pour me rassurer, cette fois. Elle semblait juste comprendre mon besoin d'attendre encore un peu avant de rentrer.

Je finis tout de même par rentrer, et je la prévins de mon départ en lui envoyant un dernier SMS. Elle savait dès lors que 20 minutes après je serais à la maison.

En arrivant, j'ai rentré la voiture au garage puis je me suis dirigé vers la porte d'entrée. J'ai tourné la clé dans la serrure, ouvert la porte, je suis entré, j'ai refermé derrière moi. Apparemment j'étais seul, car le salon était vide. Je me suis alors dis que Solen devait être en retard également. Je retire mon chaussures et mon manteau, j'entre dans le salon, tranquillement, je dépose mon sac près de l'escalier qui mène à l'étage où se trouve les chambres.

Tout à coup, un bruit m'interpelle. "Han" "han" On dirait des gémissements... Je reste interloqué, immobile. Les gémissements, car il s'agit bien de ça, continue. Ma parole, mais ça semble provenir de chez moi ! Les bruits viennent de l'étage, et je finis même par reconnaître le timbre de voix de mon épouse.

Je parviens alors à bouger, et je monte l'escalier tout doucement, le coeur battant la chamade. Je me dis "Non, ce n'est pas possible, elle ne l'a pas fait, ce n'est pas possible..." Je ne parviens pas à y croire, et pourtant les gémissements qui continuent ne laissent aucun doute sur leur provenance : ils viennent de notre chambre à coucher et il s'agit clairement de bruits sexuels.

L'étage est plongé dans le noir, tous les volets ont été fermé. La porte de notre chambre est entrouverte, une très pâle lueur s'en échappe, vacillant par moment : apparemment elle a juste allumé des bougies. Je les entends.

- Elle : "Oh ouiii !! Baise-moi bien !!
- Lui : "Humm c'est bon... Il est trop bon ton cul !!"

Et toujours ses gémissements à elle qui ponctuent leurs phrases. "Han" "Han"
Je ne parviens pas à reconnaître avec certitude la voix de l'homme, bien qu'elle me rappelle un libertin que nous connaissons (et pour cause !).

J'approche silencieusement, quasiment en état de choc, et je regarde par l'entrebâillement de la porte. Ils sont sur le lit conjugal, dos à moi, légèrement en biais. Elle est en bas et jupe, je ne distingue pas bien ce qu'elle porte en haut (l'éclairage est vraiment faible). Elle est couchée sur le ventre, les genoux un peu replié, le cul bien tendu vers le haut. Lui est entièrement nu, couché sur elle, en appuie sur ses avant-bras. Il est en train d'aller et venir en elle. Je ne sais pas s'il est dans son sexe ou dans son cul, mais il la prend avec vigueur.

- Elle : "Je suis une salope... J'aime me faire défoncer !!"
- Lui : "Qu'est-ce que t'es bonne !"

Ils halètent. Elle gémit de plaisir. Sans moi. Elle s'envoie en l'air avec un mec, sans m'avoir demandé mon avis, sans m'en avoir parlé. Elle se donne à un autre que moi. Elle s'est choisi une queue pour la baiser, et ce n'est pas la mienne. Et elle a voulu que ça se passe sans moi. Sans mon accord. Dans mon dos. Elle est en train de me tromper, la salope...

J'ai alors fait la seule chose raisonnable et pas trop conne que je pouvais faire : j'ai sorti mon sexe de mon pantalon et je me suis masturbé, en continuant de les regarder aussi discrètement que possible.

- Elle : "Vas-y, plus fort ! Vas-y bien à fond !! Plus fort !!"
- Lui : "Attends tu vas me faire cracher là, doucement..."
- Elle : "Tu disais pas ça tout à l'heure que t'étais dans ma bouche ! Défonce-moi fort ! Je suis une salope... han... han... J'aime ça... Encore... Encore... Plus fort... J'aime me prendre une bonne queue... Je suis faîte pour ça... han... han..."

Je l'ai rarement entendu aussi loquace et aussi salace que ça, bien que je le lui ai demandé assez souvent. L'homme n'a pas résisté longtemps à tous ces mots crus, et rapidement il s'est mis à crier en la pilonnant encore plus violemment, parcouru de spasmes pendant qu'il jouissait en elle.

J'étais vraiment très excité. J'ai senti qu'il y avait un risque pour qu'il sorte et aille vers la salle de bain, je me suis donc éclipsé et je suis redescendu au rez-de-chaussée. Je me suis dirigé vers la cuisine et je me suis mis à la ranger, machinalement, ne sachant pas quoi faire d'autre. J'ai hésité à quitter la maison, mais j'ai finalement décidé de rester et de voir qui était l'homme en question.

Ma femme entra alors dans la cuisine, seule. Elle s'était rapidement rhabillée, mais elle dégageait quelque chose d'obscène, avec ses cheveux décoiffés, son sourire en coin, son regard qui reflétait toute la lubricité dont elle était capable, sa démarche de celle qui vient de se faire limer si fort que les jambes en sont encore chancelantes. Elle était belle. J'ai eu immédiatement envie d'elle, de la baiser à mon tour, je la trouvait trop attirante, totalement irrésistible. Mais je suis resté immobile, attendant de voir ce qu'elle allait me dire, si elle allait tenter de se justifier, de s'excuser, ou encore de me provoquer.

- Elle : "Tu es là depuis longtemps ?"
- Moi : "Suffisamment, oui."

Elle se mit alors à sourire, avec un air de satisfaction.

- Elle : "Ça va ? Ça t'a plu ?"
- Moi : "Qui c'est ?"
- Elle : "Ç'est mon amant, c'est tout."
- Moi, tentant le tout pour le tout : "Est-ce que c'est Fabrice ?" (le prénom du libertin dont il m'avait semblé reconnaître la voix)
- Elle, avec provocation : "Ça ne te regarde pas, c'est mon amant, point. D'ailleurs on n'a pas fini. Je vais remonter, toi tu vas rester discret et tu pourras continuer de regarder si tu veux."

Elle fit demi-tour et retourna dans la chambre. Je grimpais à nouveau l'escalier, mais cette fois une lumière avait été laissée allumée dans la salle de bain, inondant le couloir de lumière, je ne pouvais donc plus observer sans risquer d'être vu. Je suis resté un moment dans une chambre voisine, à écouter.

Je percevais à peine leurs murmures, mais je compris qu'il lui avait demandé si j'étais là et qu'elle avait répondu oui. Ils ont discuté quelques minutes, de tout et de rien, sans rien de sexuel. Il m'a semblé comprendre qu'il ne redémarrerait pas, au grand damne de ma chérie j'imagine, alors je suis redescendu au salon pour les attendre, assis dans le canapé.

Après quelques minutes d'attente, ils sont descendus tous les deux. Je pu enfin découvrir qu'il s'agissait bien de Fabrice, le libertin auquel j'avais pensé et que nous avions déjà rencontré ensemble lors d'un trio endiablé. J'aime bien ce jeune homme, je le trouve sympa, ça m'a donc rassuré, en quelque sorte.

Fabrice m'a salué, sans aucune gène. Ils ont bu un dernier verre, je les ai accompagné mais je n'osais pas trop participer à leur conversation car je me sentais encore exclu de cette rencontre à laquelle je n'avais pas été convié. Nous avons fini par parler un peu du candaulisme et du souhait que j'avais formulé quelques jours plus tôt de vivre une telle expérience. Il nous dit qu'il adorait participer à nos jeux, puis la conversation pris fin.

Il s'en alla et je fut enfin seul avec ma chérie.

Mon épouse entreprit alors de tout me raconter, non sans m'avoir au préalable assis sur le canapé et avoir retiré mon sexe de mon pantalon pour me masturber et me donner quelques coups de langue en même temps qu'elle me livrait son récit. Elle était pleine d'amour, ce qui me rassura grandement.

Elle me raconta comment Fabrice l'avait contacté par hasard et comment elle avait sauté sur l'occasion pour tenter quelque chose dans le cadre de mon fantasme. Elle m'expliqua qu'elle avait tout fait pour me faire cette surprise, pour que je puisse les surprendre ainsi, en gérant l'horaire, la pénombre dans le couloir, la porte entre-ouverte, et tous ses dialogues crus afin que je puisse bien profiter de ce qui se passait. Jusqu'à ce qu'elle me trouva dans la cuisine, elle n'était pas sûr que je sois là, mais elle avait baisé en jouant le jeu, au cas où. Au fur et à mesure de son récit, j'étais de plus en plus reconnaissant pour tous ses efforts. Elle avait fait tout ça pour moi, pour m'aider à réaliser ce fantasme dans le cadre des règles que je lui avais posé (chez nous, de manière à ce que je puisse la surprendre, etc.), afin que j'y vois plus clair sur mes envies.

Puis elle se mis à califourchon sur moi, orienta mon sexe bandé avec sa main et s'empala sur mon membre, me donnant ses seins à pétrir et à lécher.

Pendant qu'elle me chevauchait, elle se rapprocha de mon oreille et se mit à me susurrer, tendrement :

- "Tu es mon gentil petit mari, mon petit cocu..."

Ces mots me firent l'effet d'une décharge de sensations, j'en tremblait presque. Je relâchais tous mes muscles et m'abandonnais à elle. A ce moment là, elle aurait pu tout me dire, tout me demander, tout me faire promettre... Elle aurait pu aller très loin, m'humilier, me soumettre, j'aurai tout accepter... J'avais déposé les armes, et je savourais mon infortune de mari trompé.

- "Mon petit cocu... A partir de maintenant je vais baiser avec qui je veux... Je vais coucher avec d'autres hommes, que je choisirai, sans ton accord... Tu vas être cocu, un gentil petit mari cocu... D'autres vont profiter de mon cul, tu sais que j'en ai besoin... Tu sais que je suis comme ça, j'ai besoin de sexe, c'est tout... Je ne peux pas résister à une queue... Et eux non plus ne peuvent résister, mon corps est une invitation à la débauche, je suis faîte pour ça... Je suis taillée pour le sexe... Et toi tu vas être bien gentil, tu resteras ici à m'attendre bien sagement... Mon gentil cocu..."

Je ne pouvais que balbutier des petits "oui" de temps en temps, presque la bave aux lèvres, et très très vite je parti dans un des plus grands orgasmes que j'ai jamais eu.

Une fois cela terminé, nous avons encore beaucoup parlé, pour se dire comment nous avions chacun vécu l'expérience. J'étais très heureux de ce qu'elle avait fait, mais maintenant je ne souhaitais plus aller trop loin, j'eu une petite peur de la perdre, car je savais que c'était le destin de très nombreux couples candaulistes.

Elle me dit alors qu'elle m'aimait et qu'elle avait fait tout ça pour moi, et même ce qu'elle m'avait dit ensuite pour me faire jouir faisait partie du jeu, qu'elle ne le pensait pas vraiment, que c'était pour me faire décoller dans mon trip. J'en fus soulagé. Et encore plus reconnaissant.

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Voilà. Le blog où j'ai publié l'histoire est celui-ci : http://solen-journal-intime.libertherapie.fr
C'est un blog sur lequel je dévoile le journal intime de ma chérie (en conservant son anonymat évidemment !).

Vous pourrez y trouver d'autres récits, notamment la suite de celui-ci, lorsque je l'ai puni pour sa faute ;)
#96687
J'ai bien aimé votre récit, de plus si c'est du réel, c'est encore meilleur ;) !
Vu ma propre expérience, il m'étonnerait que votre épouse en reste là.
Dans quelque temps, l'envie reviendra de pratiquer ces jeux SM soft avec vous comme " petit mari cocu contentent".
A lire la suite et A bientôt

France
#96779
moi aussi, j ai beaucoup aimé votre histoire. on sens une grande complicité et un grand amour entre vous.
vivement la suite d'autant plus que moi aussi ma femme m appelle 'mon petit cocu '. c'est d'ailleurs le titre de notre blog

j irais voir votre blog ce soir.

candaule
http://candaule.erog.fr
Modifié en dernier par coquin le 30 oct. 2010, 14:00, modifié 1 fois.
#101825
Waouh quel récit excitant ! Et qu'elle sacrée cochonne tu as la chance d'avoir ! Je veux bien la rencontrer quand tu veux pour te faire vivre d'autres moments candaulistes :D

Votre blog est sympa, avec pas mal de textes chauds, sur les photos madame est à croquer, et j'adore pouvoir pénétrer un peu de son intimité au travers de son journal, continuez comme ça !!
#102404
Ravi que ça vous plaise :)

Tout est entièrement vrai évidemment. Solen est une vraie coquine et je prend plaisir à la pousser à se dévergonder de plus en plus. J'ai toujours rêver de coucher avec une salope, et j'ai réussi à faire en sorte de me coucher avec elle tous les soirs de ma vie, quel pied !!!

Si ça vous plait vraiment, je vous propose de vous réserver en exclusivité les prochains récits de ses sorties, juste pour vous, avant de les publier sur notre blog ( http://solen-journal-intime.libertherapie.fr ).

Je vais également essayer de prendre quelques photos d'elle rien que pour vous ;)

Enfin, si ça vous intéresse !
#2689935
Ca m'est arrivé 2 foisi. Mais en accord avec ma femme. je lui avait proposé le plan, elle avait trouvé ca excitant. Du coup elle m'a fait cette surprise. L'amant etant bien entendu au courant du petit délire coquin. Un soir en rentrant, je l'ai dévouverte dans le salon, nue, sur un fauteuil, les jambes grandes écartées en tra de se faire brouter le sexe par son amant qui etait a genoux entre ses cuisses. Ils ne m'on même pas calculé. Je me suis mis dans un coin du salon et je me suis branlé en les regardant . Ils ont baisé pendant un bonne heure devant moi sans faire aucune allusion a ma presence. C'etait très excitant et jouissif pour nous 3. :qs:
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