- 15 avr. 2021, 03:18
#2516778
Pour commencer, petite présentation. Nous sommes un couple de la trentaine, ensemble depuis plusieurs années. Madame est une jolie femme d'environ 1m65, très ronde, avec une poitrine et des fesses énormes. Nous avons très rapidement, quasiment dès le début de notre relation, plongé dans le candaulisme. Je lui avais parlé de mes envies très rapidement, ayant déjà connu une relation candauliste.
Elle a de gros besoins, et même si les miens sont tout aussi gros, des soucis d'érection et de précocité m'empêchent clairement de la satisfaire d'autant qu'elle n'apprécie pas spécialement être léchée ou caressée, ce qu'elle aime c'est être soumise. Le duo "soucis d'érection et précocité" est très cliché, très "habituel", malheureusement c'est un cercle vicieux "je bande mou donc il faut que je me branle parce que rien de mieux que moi pour savoir comment me faire durcir, sauf qu'à force ça me donne envie de jouir et au moment où je suis dur, hop ça part". On a donc pu compenser ça sans aucun soucis, notre sexualité a toujours été "à part" de notre couple, et mes soucis n'ont jamais rejailli sur notre vie de couple, pas de soumission au quotidien ou que sais-je encore.
Il n'empêche que, jusque là, nous restions "classique" dans notre approche du candaulisme. Madame voyait ses amants de son côté, elle filmait, photographiait, enregistrait, me racontait et on vivait ça à deux. Je n'étais jamais présent et rares étaient ses amants qui étaient au courant de l'existence d'un copain. Et puis le temps aidant on s'est décidés à franchir le pas : rencontrer un homme, ensemble. C'est en discutant de ça que nos envies se précisaient, elle me demandait si je souhaitais participer, si je souhaitais faire du bien à l'homme en question, et petit à petit nous en sommes venus à chercher explicitement un homme qui nous dominerait tout deux.
C'est ainsi qu'au gré des profils Tinder nous sommes tombés sur Pierre, 35 ans. Il avait discuté à de nombreuses reprises avec ma compagne uniquement, il lui avait envoyé plusieurs photos de son sexe en lui disant de ne pas le montrer, tout ce qu'elle m'avait dit c'est qu'il avait un énorme gland. Le programme était qu'il viendrait chez nous, et que nous lui serions tout deux soumis, sans plus de précisions.
Il avait exigé de ma chérie qu'elle s'habille de manière spéciale pour lui, c'est ainsi qu'au soir du rdv je la vis sortir de la chambre avec une magnifique paire de talons et une petite robe extrêmement moulante sans rien en dessous. Nous faisions tout deux les cents pas, complètement stressés par cette nouveauté et tout l'inconnu que ça apportait, jusqu'à la sonnerie de l'interphone. Ma chérie alla lui ouvrir, le stress se faisait de plus en plus grand à mesure que nous entendions les pas dans les escaliers. Il finit par frapper à la porte, et L. ouvrit immédiatement. Il était assez grand, d'apparence musclé, un bel homme. Lui et L s'embrassèrent immédiatement. Sans un mot, ils se roulèrent des pelles dans notre couloir pendant plus d'une minute. J'étais toujours derrière eux, quand il termina avec ma chérie il me jeta un regard, s'approcha de moi, se racla la gorge et me cracha au visage. Puis, dans la foulée, ils se dirigèrent tout deux vers le salon.
Pierre demanda un verre de whisky à L, puis en s'asseyant sur le canapé me dit de me déshabiller entièrement et de rester debout. J'étais subjugué, je ne réfléchissais même pas, je me mis complètement nu, et restait comme un piquet pendant que ma chérie lui apportait son verre et venait se lover contre lui. Ils sont restés de longues minutes comme ça, à parler de tout et de rien. Puis d'un coup les insultes ont commencé.
"C'est un corps de lâche ça. Sa queue est ridicule. Et regarde le, aucune fierté, une sous-merde". Ma chérie souriait. Pendant qu'il m'insultait il avait sorti les seins de L. de sa robe, il les empoignait, fermement. Tout en continuant à sourire elle gémissait. De son autre main Pierre avait ouvert sa baguette et légèrement baissé son boxer, son gland décalotté dépassait. Les yeux de ma chérie ne le quittait plus, et il l'avait remarqué. "Si tu veux sucer un vrai mec, tu vas te lever et mettre une paire de gifles à la pédale".
L. n'a pas hésité, elle s'est levée, presque d'un bon, ses deux seins complètement sortis. Elle a fait deux pas vers moi et m'a giflé. Deux fois. Fort. Pierre lui a ordonné de le refaire puis de se mettre à genoux devant lui. Je tremblais, un mélange de peur, de froid, de douleur, d'excitation folle. Pierre avait baissé son pantalon et sorti son sexe. Il ne bandait pas entièrement mais il était vraiment massif, très large avec un gland qui l'était encore plus. Elle s'était jetée dessus, de là où j'étais je ne voyais que sa tête bougeait, et je n'entendais que les bruits de succions. Il avait l'air d'aimer, il avait commencé par imprimer le mouvement avec ses mains puis L. avait pris le rythme. La fellation a duré environ 30mn, je ne bougeais pas. Je tremblais sur place. La sensation était tellement humiliante, tellement intense, un mélange de plaisir et d'une tonne d'émotions, jamais je n'avais connu pareille sensation. Je me suis mis à me branler, et en l'espace de quelques secondes j'avais éjaculé sur le tapis. Aucun des deux n'a fait attention à moi et pourtant je ne bougeais pas, je respectais toujours la demande de Pierre, même s'il ne me prêtait pas attention. Il a fini par éjaculer, intégralement dans la bouche de L. qui n'avait pas changé de position depuis le début, toujours à genoux devant lui entre ses cuisses. Elle lui dit "merci" et s'installe contre lui. Il me demande un nouveau verre, je sens que la nuit va être longue et je n'avais pas idée à quel point.
La suite bientôt.
Elle a de gros besoins, et même si les miens sont tout aussi gros, des soucis d'érection et de précocité m'empêchent clairement de la satisfaire d'autant qu'elle n'apprécie pas spécialement être léchée ou caressée, ce qu'elle aime c'est être soumise. Le duo "soucis d'érection et précocité" est très cliché, très "habituel", malheureusement c'est un cercle vicieux "je bande mou donc il faut que je me branle parce que rien de mieux que moi pour savoir comment me faire durcir, sauf qu'à force ça me donne envie de jouir et au moment où je suis dur, hop ça part". On a donc pu compenser ça sans aucun soucis, notre sexualité a toujours été "à part" de notre couple, et mes soucis n'ont jamais rejailli sur notre vie de couple, pas de soumission au quotidien ou que sais-je encore.
Il n'empêche que, jusque là, nous restions "classique" dans notre approche du candaulisme. Madame voyait ses amants de son côté, elle filmait, photographiait, enregistrait, me racontait et on vivait ça à deux. Je n'étais jamais présent et rares étaient ses amants qui étaient au courant de l'existence d'un copain. Et puis le temps aidant on s'est décidés à franchir le pas : rencontrer un homme, ensemble. C'est en discutant de ça que nos envies se précisaient, elle me demandait si je souhaitais participer, si je souhaitais faire du bien à l'homme en question, et petit à petit nous en sommes venus à chercher explicitement un homme qui nous dominerait tout deux.
C'est ainsi qu'au gré des profils Tinder nous sommes tombés sur Pierre, 35 ans. Il avait discuté à de nombreuses reprises avec ma compagne uniquement, il lui avait envoyé plusieurs photos de son sexe en lui disant de ne pas le montrer, tout ce qu'elle m'avait dit c'est qu'il avait un énorme gland. Le programme était qu'il viendrait chez nous, et que nous lui serions tout deux soumis, sans plus de précisions.
Il avait exigé de ma chérie qu'elle s'habille de manière spéciale pour lui, c'est ainsi qu'au soir du rdv je la vis sortir de la chambre avec une magnifique paire de talons et une petite robe extrêmement moulante sans rien en dessous. Nous faisions tout deux les cents pas, complètement stressés par cette nouveauté et tout l'inconnu que ça apportait, jusqu'à la sonnerie de l'interphone. Ma chérie alla lui ouvrir, le stress se faisait de plus en plus grand à mesure que nous entendions les pas dans les escaliers. Il finit par frapper à la porte, et L. ouvrit immédiatement. Il était assez grand, d'apparence musclé, un bel homme. Lui et L s'embrassèrent immédiatement. Sans un mot, ils se roulèrent des pelles dans notre couloir pendant plus d'une minute. J'étais toujours derrière eux, quand il termina avec ma chérie il me jeta un regard, s'approcha de moi, se racla la gorge et me cracha au visage. Puis, dans la foulée, ils se dirigèrent tout deux vers le salon.
Pierre demanda un verre de whisky à L, puis en s'asseyant sur le canapé me dit de me déshabiller entièrement et de rester debout. J'étais subjugué, je ne réfléchissais même pas, je me mis complètement nu, et restait comme un piquet pendant que ma chérie lui apportait son verre et venait se lover contre lui. Ils sont restés de longues minutes comme ça, à parler de tout et de rien. Puis d'un coup les insultes ont commencé.
"C'est un corps de lâche ça. Sa queue est ridicule. Et regarde le, aucune fierté, une sous-merde". Ma chérie souriait. Pendant qu'il m'insultait il avait sorti les seins de L. de sa robe, il les empoignait, fermement. Tout en continuant à sourire elle gémissait. De son autre main Pierre avait ouvert sa baguette et légèrement baissé son boxer, son gland décalotté dépassait. Les yeux de ma chérie ne le quittait plus, et il l'avait remarqué. "Si tu veux sucer un vrai mec, tu vas te lever et mettre une paire de gifles à la pédale".
L. n'a pas hésité, elle s'est levée, presque d'un bon, ses deux seins complètement sortis. Elle a fait deux pas vers moi et m'a giflé. Deux fois. Fort. Pierre lui a ordonné de le refaire puis de se mettre à genoux devant lui. Je tremblais, un mélange de peur, de froid, de douleur, d'excitation folle. Pierre avait baissé son pantalon et sorti son sexe. Il ne bandait pas entièrement mais il était vraiment massif, très large avec un gland qui l'était encore plus. Elle s'était jetée dessus, de là où j'étais je ne voyais que sa tête bougeait, et je n'entendais que les bruits de succions. Il avait l'air d'aimer, il avait commencé par imprimer le mouvement avec ses mains puis L. avait pris le rythme. La fellation a duré environ 30mn, je ne bougeais pas. Je tremblais sur place. La sensation était tellement humiliante, tellement intense, un mélange de plaisir et d'une tonne d'émotions, jamais je n'avais connu pareille sensation. Je me suis mis à me branler, et en l'espace de quelques secondes j'avais éjaculé sur le tapis. Aucun des deux n'a fait attention à moi et pourtant je ne bougeais pas, je respectais toujours la demande de Pierre, même s'il ne me prêtait pas attention. Il a fini par éjaculer, intégralement dans la bouche de L. qui n'avait pas changé de position depuis le début, toujours à genoux devant lui entre ses cuisses. Elle lui dit "merci" et s'installe contre lui. Il me demande un nouveau verre, je sens que la nuit va être longue et je n'avais pas idée à quel point.
La suite bientôt.
