- 03 févr. 2024, 07:36
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Samedi 3 février 2024
Bonjour,
Comme promis je vous écrits pour vous conter comment j'ai autorisé mon cocu à un rapport sexuel.
Depuis qu'il est devenu moins performant avec sa limace, qui lui sert de sexe, le besoin d'un homme viril et endurant s'est fait croissant.
Cette année, la maladie et son traitement ont bien altéré ma libido.
J'ai autorisé cocu a un rapport sexuel, complet, c'est à dire avec pénétration de mon divin sexe en janvier 2023. C'est lui qui tient les comptes et me le rappelle. Je ne vous cache pas que le fait de disposer, de queues bien tendues et endurantes me distrait quelques fois et mois de ses besoins.
Je pense que sa main et sa vaginnette sont des instruments qui sont déjà bien utiles pour ce qu'il peut faire avec sa bite.
Mais bon en cette fin d'année, ayant appris une bonne nouvelle, j'ai voulu être magnanime.
Donc ce soir là sans vraiment le prévenir trop à l'avance, je lui demande un massage. Oui je n'ouvre pas mes cuisses pour rien.
Le soir arrive. La maison est calme. Il a preparé le lit pour la séance massage. Je lui ai donné le l'ordre de porter sa cage de chasteté.
Je ne veux pas sentir sa limace raide entre mes cuisses, quand il me massera le dos. Puis il n'en sait rien encore que sa queue va pouvoir jouir entre mes cuisses. Je ne lui dis rien car il est capable comme il me l'a quelques fois hélas démontré, de gicler juste pendant le massage.
Je revets une culotte de règle. C'est convenu ainsi. Il ne peut ainsi s'exciter visuellement sur mon entrejambe.
Le massage commence. L'huile sur mon corps m'apaise. Cocu travaille. Je sens sa cage sur mes fesses. Ses couilles pleines posées aussi. J'imagine son sexe gonflé. Cela fait longtemps qu'il n'a pas été aussi proche de mes fesses.
Je suis encore fatiguée mais ce soir je veux quand même lui offrir ce plaisir.
Vient le temps où je décide de me caler dans les oreillers, assise. Il me masse les pieds, les cuisses.
Il me demande si je souhaite plus. Gros sous entendu. Je lui dis oui. Mais il doit faire vite car je suis fatiguée et le port de capote est obligatoire.
Il retire sa cage. Son sexe est bandé. L'attente quel stimulant. Il va chercher une capote.
Pendant ce temps j'enlève ma culotte.
Je m'allonge et j'ouvre les cuisses. Vu l'état de fatigue et le fait que je vais servir de simple poupée gonflable pour un précoce, je ne mouille pas vraiment. On est loin des grandes eaux provoquées par C ou G. Avec eux je sais et mon corps aussi, que je vais prendre cher et longtemps. Autant que cela soit lubrifié. Là cocu va s'introduire, faire quelques va et vient et gicler. Avouez que ce n'est pas transcendant.
Bref, je suis sur le dos. Nous sommes dans le noir. Je préfère. Il se présente entre mes cuisses. Il me demande s'il peut prendre son temps. Je lui dit non. Je ne suis pas là pour son plaisir.
Il s'introduit. Enfin je crois. Puis je suis ballottée. Heureusement qu'il a lubrifié. Je n'aurais vraiment pas mouillée. Je ne sens rien par rapport à mes amants.
Je regarde le réveil, 23h34. Il semble toutefois plus endurant. Il n'a pas encore déchargé. Il me pelote les seins. Les lèche. Il varie les rythmes. Puis se retire. Il me dit que ça fait du bien d'être dans mon puit d'amour. Qu'il est chaud et doux.
Je lui dis qu'il doit faire vite car je ne prends pas mon pied.
Il rentre son sexe de nouveau. Je lui dis que C au moins me "bourre" et que je sens au moins quelques choses. Alors il accélère. Je bouge un peu plus mais vraiment rien.
23h36, il se tend et gémis. Puis il se couche sur moi, sa limace encore au fond de mon intimité. Je le repousse, j'allume et lui dis qu'il faut dormir.
Je le vois con, la bite ramollie, une capote bien chargée au bout. Elle avait les couilles pleines la limace.
Je n'ai évidemment pas eu le coup du siècle mais bon cocu a pu jouer un peu. Comment vous les filles ressentez vous ces actes sexuels consentis à vos cocus quelques fois ? J'avoue que j'aimerais avoir vos partages.
Merci