- 02 déc. 2020, 15:41
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Voilà mon récit... Merci de le commenter, nous aimons !
Candaulisme à Bordeaux
Nouveau lieu, nouvelle pratique candauliste, nouveau stress intense!
Comme prévu, C me lâchait la main dès le parking de la gare. Je pris les devant sans plus me retourner. Il était 16h05. J’avais mon billet de train, C avait le sien. J’attendais le train impatiemment car le vent froid, vicieux, s’engouffrait sous ma jupe pourtant pas si courte ( 10 cm au dessus du genoux). Rien ne protégeait mon intimité du froid. En effet, je portais des bas et non des collants et je n’avais pas de culotte.
C’est donc seule, avec une petite valise légère que je montais dans la voiture 4 du TGV en direction de Bordeaux. Je m’assis à ma place :24 (coté fenêtre). C, lui, était dans une autre « voiture » du train. Mon stress était grand.
Paul, l’un de mes amants du jour, était déjà assis. Il m’embrassa tout de suite, comme s’il était mon mari.
Les deux places, à notre gauche, étaient occupées par deux jeunes femmes d’une vingtaine d’année qui semblaient être des collègues de travail.
Alors que nous cherchions un sujet de conversation, je sentis la main discrète de Paul se poser sur mon entre jambe, à mi-cuisse. Je sentis, instantanément, une excitation me saisir le ventre.
Cette main chaude était à la fois réconfortante et annonciatrice d’une fin de journée riche en sexualité.
Paul passa le trajet entier à flirté, dès que possible, avec mon sexe à nu en me parlant de tout et de rien. L’une des jeunes femmes a d’ailleurs, j’en suis persuadée, aperçu notre jeu peu de temps avant notre arrivée à Bordeaux. J’ai vu ses yeux interrogatifs qui déviaient vers mes jambes lorsqu’elle parlait à sa collègue. En était-elle excitée ou étonnée ? Elle me fit un sourire gênée lorsqu’elle se leva afin de rejoindre, avant l’arrivée en gare, la porte de sortie du train.
Paul profita de leur départ pour introduire furtivement l’un de ses doigts dans ma fente trempée.
17h30, nous arrivions à Bordeaux. Je savais que C devait nous suivre et nous observer de loin, cela me rassurait et m’excitait, je dois bien l’avouer.
Paul eu la délicatesse de prendre ma valise. Je ne savais pas à quoi m’attendre, j’obéissais désormais à un homme en qui C avait donné sa confiance.
Il nous fallut 10 minutes à pieds pour arriver à notre lieu de résidence. Une sorte d’hotel/appartement plutôt cossu et calme. Notre réservation était au nom de Mr et Me...
Le maître des lieux nous annonça cependant que l’accès piscine et Hammam était interdit pour cause de COVID… dommage !
Nous avons posé nos affaires. J’étais un peu comme une « cruche » à attendre ce qui allait m’arriver.
Paul sortit de son sac un objet rose, courbé. Je reconnu une sorte de godemichet. Il m’expliqua que c’était un sextoys connecté. Je devais m’insérer cette sorte de gros œuf rose incurvée dans le vagin et laisser pendre son embout de7/8 cm environ entre mes jambes.
La « chose » installée, Paul m’informa que les supermarchés étaient ouverts et que nous allions y faire un tour.
Je remis donc mon manteau sur le champ. Je n’avais encore jamais marché avec un objet dans le vagin autre qu’un tampon, c’est très particulier…
Arrivée dans le hall de l'hypermarché, je sentis tout d'abord des vibrations légères puis d’un coup une accélération si intense que cela m’obligea à m’arrêter et à serrer les jambes. Les gens me regardèrent étonnés, inquiets. Je sortais assurément de ma zone de confort. C’était très déroutant.
Paul m’informa que c’était mon mari qui pilotait le diable explosif que j’avais entre les jambes à l’aide de son téléphone.
Je marchais tant bien que mal, déroutée par l’intensité plus ou moins accrues des vibrations. Ces dernières étaient toutefois agréables.
Nous nous arrêtâmes dans un rayon afin de prendre de quoi nous restaurer durant la soirée.
C dut profiter du peu de monde dans ce dernier pour mettre la « chose » en puissance maximale. Je sentis des vibrations incontrôlables dans l’ensemble de mon vagin. Mes jambes ne purent résister. Mon corps entier tremblait. Je me retrouvais accroupi, essayant de me contrôler pour ne pas hurler. Un couple de retraité et un homme ont du faire demi tour, gênés par la vue impudique que je ne pus empêcher d’exposer à leurs yeux. J’étais affreusement honteuse. Je ne suis pas très exhibe par nature donc...
Paul m’aida à me relever et prévint mon mari, au téléphone, de ne pas dépasser un certain niveau de fréquence (la technique et moi ça fait deux).
J’étais très réceptive d’après Paul !
Je vécus dans ce rayon, mon premier orgasme… arraché !
Debout, je sentais que ma fontaine avait perdu de son eau. Eau qui, telle une bave liquide, sortait de mon vagin et me filait le long des jambes, discrètement. Heureusement, le haut de mes bas autofixants faisait barrage !
La soirée commençait déjà très fort.
En caisse, deux jeunes, derrière nous, tout juste majeur, me regardaient timidement mais avec des yeux luxurieux, comme impatient.
Nous sortions enfin de l’hypermarché… Je ne m’étais jamais sentie aussi mal à l’aise auparavant. Un ressentiment qui s’accompagnait toutefois d’un désir de sexe, paradoxe, encore…
Sitôt sortie de l’hyper, Paul m’indiqua d’entrer dans un véhicule, à l’arrière. Je compris rapidement pourquoi ces deux jeunes me regardaient curieusement.
Nous étions dans la voiture de l’un deux. Ils vinrent nous rejoindre à l’intérieur, Paul devant, les deux jeunes derrières.
Nous étions au beau milieu du parking de l’hyper, il était donc impossible d’avoir un rapport. Paul me demanda de relever ma jupe et ordonna aux deux jeunes de se masturber sur moi et d’éjaculer sur mon sexe.
L’œuf se remit à vibrer, crescendo, jusqu’à m’arracher un nouvel orgasme. Les deux jeunes éjaculèrent très rapidement. J’avais le sexe entièrement recouvert de leur sperme.
Sans attendre nous sommes ressortis de la voiture. Cette fois, le sperme me coulait entre les jambes jusqu’au sol.
La sensation de marcher au milieu de gens dans la rue en se sentant remplie d’une légère vibration et souillée à en perdre du sperme est surprenante.
Cet instant est remplie à la fois d’impudeur et d’intimité profonde.
Seuls nous savions !
Nous arrivons à l’hôtel/appartement. Le réceptionniste, qui est aussi le propriétaire, nous fait savoir que mon soit disant « frère » est arrivé. Nous allons donc à la chambre. En effet, Saliou est la. Saliou est un Sénégalais d’une cinquantaine d’année mesurant plus d’un mètre quatre vingt dix et costaud…
A cet instant, je me dis que le réceptionniste à compris notre «manège», c’est pas possible autrement.
19 h 55, je suis avec deux mâles dans une grande chambre. J’ai les orifices souillés par deux jeunes depuis vingt minutes et j’ai un œuf qui me vibre toujours dans le vagin.
Paul me demanda alors de brancher mon ordi et la cam. Chose faite ! Je sais désormais que C me voit…
Paul m’ordonna d’enlever mes vêtements, de garder mes bas et de me mettre à quatre pattes sur le lit. J’obéis.
Je sentais, dans cette position, l’œuf vibrant de façon plus prononcé.
Puis, Saliou me tendit une lettre qu’avait écrit C ( mon mari ).
Il était écrit : « ce soir, mon amour, ces messieurs vont user uniquement de ton anus. Fais toi plaisir… Je serais au commande de l’œuf. »
Sitôt lu, Paul prit place devant moi et me tendit son sexe. Je le pris en bouche avec douceur. Saliou, lui, avait enfilé un préservatif et frottait son gland sur mon clitoris.
Après avoir pris la précaution de mettre un peu de gel, je sentis l’imposante verge de Saliou s’enfoncer dans mon anus. Avec l’œuf la sensation était proche d’un écartèlement, mais, après quelques va et vient le plaisir était là.
Quelqu’un frappa à la porte, je n’avais pourtant pas encore fait de bruit…
C’était le réceptionniste, qui était de mèche et qui venait, lui aussi, s’occuper de moi.
Je sus qu’après, qu’il attendait que sa femme parte pour nous rejoindre. Cette dernière ignorait toutes ses coquineries. Mais cela ne me regardait pas !
Il me baisèrent l’anus et la bouche pendant plus d’une heure. Ayant confirmation par notre hôte que les chambres étaient bien insonorisées, je dus hurler des dizaines de fois tant les coups de boutoirs associés aux vibrations étaient fortes.
Mes trois acolytes m’aspergèrent le corps entier de leur semence ( et à plusieurs reprises pour deux d’entre eux ).
C m’ordonna ensuite de le rejoindre dans la chambre d’à coté, nue dans le couloir et le sperme encore tiède.
Je le vis enfin, après 5 heures ( de mémoire) sans lui.
Il me fit mettre à genoux et m’aspergea les seins de ses jets puissants de « foutre ».
Fin.
La suite est intime et nous appartient...