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par Avance
#2451030
Le COVID19 a mis les gens de notre âge au régime sec, côté sexe joyeux.
On a échappé au Sida des années 80, cen'est pas pour crever du coronavirus 40 ans plus tard. Et ma femme trouve très inconfortable de sucer avec un masque...
Donc, raison de plus pour se remémorer les jours heureux. Comme celui de cette belle rencontre candauliste il y a une quinzaine d'années.


Fin Août 2005 dans l'arrière pays varois.
J'ai passé une bonne partie de la journée à sillonner les Alpes du Sud dans mon planeur, sous un soleil de plomb.
Maintenant, je ne rêve que d'une douche glacée, d'une bière bien fraiche,... et de me mettre les doigts de pieds en éventail au bord de la piscine...

Au bout de la mauvaise piste qui mène au mas que nous avons loué, une Harley est garée sous le seul pin qui donne un peu d'ombre devant l'entrée. Fait chier!
Connaissant Marie, j'ai déjà une vague idée de la raison de la présence de cette moto sur mon parking et de son propriétaire dans ma maison. Fait encore plus chier!!!
Je dépose mes affaires de vol dans le vestibule et grimpe à la volée les quelques marches vers le séjour, aussi désert que frais, dont les baies vitrées donnent sur le parc d'oliviers et d'amandiers,...et la piscine!!!

De fait, devant la piscine, je la découvre agenouillée entre les jambes d'un mec affalé dans un fauteuil, en train de le sucer et de le branler avec application.
Son lourd collier de métal brossé et de nacre, et ses bracelets assortis, renvoient des éclats de soleil, au gré de ses mouvements.

Immobile dans l'ombre du salon, ils n'ont pas conscience de ma présence. Je me régale de ce que je vois.

Elle semble exécuter docilement les ordres du mec et cherche son approbation du regard. Je sais que c'est une suceuse de grande classe, et il doit se demander dans quoi il vient de fourrer sa bite.
Les petits coups de langue sur le gland sont suivis de gorges profondes prolongées dont elle ressort baveuse, essoufflée et les larmes aux yeux. Il faut dire aussi que la nature a été généreuse avec lui...
Alors, pour reprendre ses esprits, elle lui lèche doucement les couilles en le branlant.
Et le manège continue ainsi de longues minutes .

Au bout d'un moment il semble lui dire de se relever puisque c'est ce qu'elle fait.

A poil sur ses sandales à talons compensés, elle adopte naturellement une posture bien cambrée rendue encore plus sexy par son léger déhanchement.
Nous sommes en 2005 et pour ses 50 ans, elle a décidé un changement de look total: Cheveux très courts et très blancs, maquillage prononcé des yeux et bouche d'un rouge sombre.
Tout ça, sur son mètre quatre-vingt affuté d'ancienne sauteuse en hauteur, lui donne une allure redoutable, fière et déterminée, presque dure.

Elle se penche pour lui saisir la bite et le contraint à se mettre aussi debout.

C'est inconsciemment le moment que je choisis pour ouvrir la baie coulissante dont le claquement sec de la fermeture les fait sursauter.

- Salut mon chéri. Je te présente Dan... Dan, Marc, mon mari.

Elle ne se démonte jamais!

C'est un peu surréaliste comme situation, la femme qui caresse doucement la bite de son amant du jour tout en le présentant à son mari... Comme si on se croisait à une réception mondaine...

- J'ai rencontré Dan sur une terrasse du port cet après-midi, on a bu un verre et bavardé, il m'a proposé une ballade dans l'arrière pays puis m'a ramenée ici. On ira rechercher ma voiture plus tard...

Le mec me serre la main avec un sourire franc dénué de sous entendu.
Je trouve que le type me ressemble bizarrement. Balèze, look de biker (forcément...), genre "brut de décoffrage"... mais soigné, et décoré de tatouages en tous genres, ce qui n'est pas mon cas.

- Ah ouais... Et puis, c'est tellement aphrodisiaque une selle de Harley,... Hein?

Un sourire accompagné d'un clin d’œil dédramatise cette remarque qui aurait pu paraitre... acide.

- J'ai raconté à Dan comment on fonctionne, ça ne le gène pas du tout de me baiser devant toi.

- Ça fait une petite demi-heure que je constate que ça ne le gène pas de te baiser, alors si maintenant que je suis là ça ne le gène toujours pas, c'est royal. Champagne!!!
Bon, accordez moi dix minutes, le temps de prendre une douche rapide, parce que ça fait quelques heures que je cuis dans mon jus.


- Tu sais, dans dix minutes je crois qu'on en sera qu'au début... répond-elle avec un sourire provocant à l'intention du fameux Dan, qui n'en demandait sans doute pas tant.

Je reviens bien rafraichi mais il y a beaucoup de tension dans le léger short d'athlé que j'ai passé. Et ça se voit...
De fait, ils ne m'ont pas attendu même si, à en juger à l'eau qui ruisselle encore de leurs corps, ils ont du faire un petit passage par la piscine.
Je la retrouve allongée sur le dos sur un transat, la tête renversée dans le vide et Dan qui lui enfonce sa bite bien au fond de la gorge pendant qu'elle se titille le clitoris.

Ma présence à ses côté ne trouble nullement Dan qui cesse pourtant de pilonner la gorge de Marie.

- A ce rythme là, elle va me faire décharger en deux temps et trois mouvements. Elle est redoutable ta femme. Une sacrée gourmande...

Elle se redresse sur un coude avec une mimique de parfaite salope, de sa main libre, elle s'écarte les lèvres et s'introduit deux doigts dans la chatte, façon sans doute de marquer une certaine impatience...
Message reçu côté Dan qui va se chercher une capote dans le blouson qui traine à proximité. Elle en profite pour jeter un œil sur mon short... un peu déformé.

- Ça t'excite toujours autant de me voir faire la pute, hein? Mais tu sais bien qu'en ce moment précis, je ne fais pas la pute, je suis une pute,... sa pute,... ta pute...

Et sur ces saines paroles, elle se retourne à 4 pattes et lui présente son cul. Je m'installe devant elle.
Elle plonge son regard de salope dans le mien pendant que Dan plonge quelque chose de bien plus encombrant dans sa chatte: sa bite!
Marie accuse le coup, passe sa langue sur ses lèvres et garde la bouche entrouverte tandis qu'elle se met à ahaner sous les coups de rein de Dan. Et il est vite en régime de croisière le bougre!
Elle se cambre du mieux qu'elle peut pour faciliter les pénétrations qui fouettent ses fesses. Ça claque dur!

- Putain, il y va fort! me susurre t-elle entre deux ahanements.

- Elle me dit que tu peux durcir le jeu!... défonce la bien...

- Salaud!

Après une petite pointe de vitesse, Dan se retire, lui claque quelques secondes les fesses avec sa bite puis s'enfonce de nouveau brutalement et à fond, se retire aussitôt, puis recommence, encore et encore...

Elle crie à chaque pénétration et geint à chaque sortie brutale. La musique est belle... Son regard est un peu perdu même si elle tente de le fixer encore dans le mien, en geste de défi.

- Fous-toi sur le dos salope! et il accompagne son ordre d'une claque sur le cul bien sonore. Je pense qu'il a bien pris la mesure de la femme qu'il baise...

Il la manipule avec une certaine rudesse, ce qui est loin de me déplaire.
Il lui saisit les jambes qu'il pose de part et d'autre de sa tête, l'oblige à venir coller son cul contre sa bite qu'il prend en main, cherche le passage et s'enfonce sans hésitation.
Marie se raidit alors qu'il commence à la défoncer comme je le lui ai conseillé.

Elle est presque pliée en deux sous le poids du mec dont le seul souci semble être de rentrer de plus possible de sa queue dans cette chatte si accueillante. Vue de derrière, ses couilles viennent claquer les fesses de Marie et je trouve ça toujours aussi rigolo.

Je la vois qui tente de maitriser sa respiration tout en serrant les dents afin de ne pas trop ameuter le voisinage.

- Allez, lâche toi! tu peux gueuler tant que tu veux, il n'y a pas de voisins à cinq cents mêtre à la ronde. Sinon à quoi ça sert que Dan se décarcasse comme ça, hein?... Et puis, si j'aime te regarder, j'aime aussi t'entendre , alors vas-y...

Et là j'ai droit à un vrai son et lumières, comme j'aime. Et il me semble que ça dope aussi Dan d'entendre ses cris... J'espère qu'il maitrise la situation parce que ce serait dommage qu'il arrive à terme maintenant...

C'est comme si il avait capté mes pensées car il se retire, se redresse sur ses pattes de derrière et souffle bruyamment en adoptant une mimique du genre: " Temps mort!... ou j’envoie tout!"

- La vache, faut pas lui en promettre à cette gonzesse!... Quand je suis dedans, j'ai l'impression d'être aspiré... et qu'est ce qu'elle mouille. Je suis en mode "grand confort" là... une vraie Cadillac!!!

- Ben ce n'est pas une impression. Elle n'a jamais eu de gosse et elle travaille beaucoup la muscu de son périnée. Quand tu es dedans, tu es dans un étau... Ca surprend, hein?
Tu veux boire quelque chose, car il fait encore chaud. Même moi je transpire,... à vous regarder, héhéhé!


- Si tu as une petite bière ce n'est pas de refus.

- J'en veux bien une moi aussi glisse-t-elle

Quand je reviens, elle est assise au bord de la piscine et se projette de l'eau sur la chatte qu'elle masse doucement. Elle saisit la cannette de bière ruisselante de buée glacée que je lui tends et se la colle directement entre les cuisses avec un soupir de ravissement.

Avec Dan, on échange nos impressions sur Marie qui nous tourne le dos mais ne doit pas en perdre une miette.
Il ne comprend pas vraiment comment on fonctionne mais il trouve qu'on est bien plus épanouis et cools que les couples qu'il a côtoyé dans un cadre trioliste ou pluraliste traditionnel. Nulle compétition plus ou moins ouverte entre mâles ici.

- En tous cas, tu assures bien. Garde le tempo!

Marie quitte le bord de la piscine et reviens vers nous en se déplaçant à quatre pattes , ondulant ostensiblement du cul tout en passant sa langue sur ses lèvres avec une moue sans ambiguïté.
Effet immédiat on se remet à bander tous les deux, lui à l'air libre, moi dans mon short.

L'instant d'après, sa bouche s'affaire autour de la bite de Dan qui est d'une raideur impressionnante.

- Prends moi le cul maintenant!

- Avec plaisir Miss mais même si tu ne l'avais pas demandé, je te l'aurais pris. Et je ne vais pas te le faire dans la tendresse!

Il va se rechercher un capote dans son blouson à quelques mètres.
Alors lui, quand il bande il ne fait pas semblant. Quand il marche, elle tient debout toute seule ce qui, pour un engin de cette taille, est rarement le cas. La pesanteur n'agissant pas que sur les seins des femmes...

- Chéri, cherche le tube de gel dans le sac de plage. Je crois que je vais en avoir besoin.

Elle aime se faire enculer pourtant, elle a toujours été très serrée de ce côté là. Sans doute son côté masochiste...

- Tu veux me prendre comment?

- On va faire simple. Fous toi à quatre patte sur le transat, pose ta tête sur les coussins et écarte bien ton cul avec les mains.

Il prend un peu de recul histoire de s'imprimer une belle image dans la mémoire. Une belle salope qui lui offre son cul dans le crépuscule méditerranéen, ce n'est pas tous les jours!
Il revient s'agenouiller au sol derrière elle et lui envoie un jet de salive directement sur la rondelle qu'il commence à masser doucement du bout des doigts.
Il va rechercher de la mouille dans sa chatte puis reprend son massage tout en commençant à faire pression sur la petite rondelle toute rose. Je vois les doigts de Marie qui se crispent sur les fesses qu'elle tient bien écartées.
Un, puis deux, puis trois doigts forcent le passage accompagnés d'un feulement de Marie qui en dit long sur ce qu'elle endure.
Sans un mot, je tends le tube de lubrifiant à Dan en l'encourageant à l'aide d'une mimique sans équivoque, à s'enduire généreusement la capote et le cul de Marie.

- Allez, la Miss, c'est l'heure!

Et sans coup férir, il pose son gland sur la rondelle et d'un seul coup, il s'enfonce jusqu'aux couilles. Marie mord le coussin mais finit par hurler autant de douleur que de surprise.
Je me place accroupi devant elle et l'oblige à sortir la tête du coussin pour me regarder. Elle me sourit avec les larmes aux yeux. C'est tout ce que je voulais capter!

Dan a commencé son va et vient, relativement doucement. Il tient fermement Marie par les hanches et elle accompagne ses pénétrations en ondulant légèrement du bassin. Elle est maintenant assez relâchée pour savourer pleinement les sensations de la sodomie.
Comme tout à l'heure, il se retire complètement, attend que la rondelle se referme un peu et hop! il y retourne sans hésiter. Marie encaisse à chaque fois par un soupir appuyé. Il joue ainsi un petit moment puis reprend son va et vient de croisière.
Elle glisse sa main entre ses cuisses et commence à se caresser le clitoris sans ménagement.
Cela dure quelques minutes puis Marie est prise de spasme brutaux qui la font ruer, essayant de se dégager mais Dan est costaud et parvient à continuer de la besogner au milieu des cris et des essoufflements. Elle prend un pied d'enfer!

Dan l'a bien compris. Il se retire, aide Marie à s'asseoir sur le bord du transat, arrache sa capote et commence à se branler vigoureusement.

- Ouvre la bouche salope, et tire la langue!... Et continue de te branler le clito...

Il lui tient fermement la nuque tout en se branlant, le gland à quelques centimètres de la bouche grand ouverte. Marie lève les yeux pour le défier du regard.

Le premier jet de sperme arrive droit dans la bouche. Bravo l'artiste. Le deuxième, plus violent encore, projette un long trait blanc en travers du visage.
Le troisième se répand sur la langue.
Les suivants lui servent surtout à étaler le sperme sur le visage de Marie, avant de s'enfoncer dans sa bouche en lui intimant l'ordre de le nettoyer comme il faut.

Marie s'exécute avec application tandis que Dan débande doucement. Sa tache accomplie, elle se lève et lui fait une bise.

- Merci Dan, c'était super!

En terme de laconisme, on peut difficilement faire mieux...
Puis elle vient se jeter dans mes bras pour m'embrasser à pleine bouche.

Un peu plus tard, Dan est parti après une douche et un rafraichissement. Mais je ne suis pas sûr qu'il ait tout bien compris.
Mais c'était un type bien, redevenu parfaitement courtois dès lors que la baise était terminée.
Il n'a pas cherché à savoir si on pouvait se revoir, signe d'un savoir-vivre certain.
Il m'est arrivé, heureusement rarement, de devoir mettre les points sur les i à des olibrius qui ne savaient pas faire la part des choses.
Quand Marie est en mode salope, il n'y a aucun problème pour s'en servir comme d'une salope. C'est même fait pour ça. Mais quand elle revient dans la vraie vie, là, il faut la respecter.

Nue sous une robe légère et le maquillage refait à neuf, elle a proposé qu'on aille récupérer sa bagnole.
Nous sommes redescendus sur la côte, dans un petit resto sympa où on croise plus de gens du coin que de touristes, pour un diner fortement chargé en regards évocateurs et complices.

Sur le chemin du retour, je me suis garé sur un parking un peu à l'écart de la route. Elle m'a suivi. Quelques camping cars sont là mais pas âme qui vive dehors.
Je m’approche de sa vitre baissée et j’extrais une bite déjà bien raide de mon pantalon.

- Suce!

Elle ne se fait pas prier, se penche par la fenêtre et s'exécute sans un mot. Je lui baise la bouche sans ménagement.

- Sors... et vire moi cette robe!

Elle est à poil sur le parking. Je lui fais passer le haut du corps dans sa voiture par la fenêtre et lui écarte les jambes . Je passe ma main sur sa chatte, elle est trempée. Je la pénètre sans ménagement.
Je suis tellement excité depuis la fin d'après midi que je viens très vite. Je me vide en elle. Elle se dégage de la fenêtre et finit de me nettoyer la bite.

- Merde, Marie! Qu'est-ce que tu fous à poil sur ce parking à 1h du matin?...Allez, remets ta robe et rentre à la maison. Demain tu vas encore t'envoyer en l'air.

- Comment ça???

- Demain, tu montes derrière moi et je t'emmène survoler le Briançonnais. Au moins je t'aurais à l’œil!...
Dionysos06, Bernard68, david59 et 5 autres a liké

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