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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par lailatvx
#2439833
Mon épouse Nadia, 30 ans, se consacre entièrement au foyer. En intimité, elle aime faire l’amour et porte toujours de la belle lingerie sexy. Elle apprécie tout particulièrement les hauts talons.

Un vendredi, elle me dit que sa copine Fatima lui a proposé de sortir en boîte avec elle. Je lui dis qu’elle devrait le faire et que cela pourrait lui faire un peu de changement. Finalement, elle me répond qu’elle n’en a pas envie.

En début de soirée, le téléphone sonne, c’est Fatima qui lui demande si elle se joint à elle pour la soirée. Devant mon insistance, elle accepte. Peu avant l’heure du rendez-vous, elle monte vite se changer. Elle a opté pour un jeans moulant, un pull avec un léger décolleté et des chaussures à talon de 10 cm. Elle m’embrasse en me disant qu’elle ne rentrera pas tard. Fatima l’attend déjà devant la maison avec sa bruyante Clio.

Pour ma part, je profite de ma soirée devant la télévision avec un bon film d’action. Ma femme m’appelle pour me dire que c’est une soirée avec des tubes des années 80 et qu’il y a peu de monde. Je lui dis que pour, une fois qu’elle sorte, qu’elle en profite, ajoutant que je vais me coucher tôt pour rattraper mes heures de sommeil en retard.

Vers quatre heures du matin, j’entends un bruit de voiture mais manifestement pas celui de la Clio. Quelques minutes plus tard, ma femme déverrouille la porte palière, se rend dans la salle de bain puis me rejoint au lit. A moitié endormi, je l’embrasse et me rendors tranquillement. Au réveil, elle me confirme qu’elle a passé une bonne soirée et qu’éventuellement, elle prévoit de ressortir dans quelques semaines.

Plusieurs jours après cet épisode, je croise Ahmed, le mari de Fatima. En discutant de tout et de rien, j’apprends que sa femme, le fameux soir, est rentrée vers une heure du matin. Du coup, je me rappelle bien avoir entendu un bruit de voiture avant l’arrivée de mon épouse mais ce n’était pas celui de la Clio de Fatima. Des fois, quand on est à moitié endormi, on ne sait plus trop. Je ne sais plus quoi penser. Je décide d’attendre et d’être attentif aux moindres détails. Les jours se succèdent normalement. Je profite même de consulter le téléphone mobile de mon épouse mais il n’y a rien de douteux.

Deux semaines plus tard, elle m’annonce que Fatima lui a demandé de l’accompagner dans la même discothèque que la dernière fois et qu’elle lui a dit oui. Elle me demande si j’y vois un inconvénient. Je lui dis de profiter de sa soirée mais, ce soir j’en aurais le cœur net.

En fin d’après-midi, elle met beaucoup de temps à se préparer, elle qui est assez rapide habituellement. Finalement, elle choisit sa jupe portefeuille en cuir noir, un chemisier gris satiné et des chaussures plates. Je suis un peu surpris de la voir avec des ballerines et lui en fais la remarque. Elle me répond qu’elle ne veut pas mettre des hauts talons pour ne pas faire trop salope. En partant, elle prend sa voiture car elle n’a pas envie de rentrer tard, contrairement à sa copine Fatima.
Malgré tout, je me pose beaucoup de questions et j’ai des doutes.

Vers minuit, je décide de me rendre dans cette discothèque. D’abord, je fais le tour du parking et je trouve la voiture de Fatima ainsi que celle de mon épouse qui est garée un peu plus à l’écart. Ensuite, je paye et rentre enfin dans cette boîte. Je reste un peu vers l’entrée afin de ne pas me faire voir. Je trouve une place dans un coin du bar où une lampe fait défaut. De la sorte, je ne peux pas être vu ou reconnu. Je scrute toutes les tables et reconnais Fatima. Elle est habillée comme une véritable pute. Elle se trouve entre deux gars qui s’occupent de la peloter et de l’embrasser. Quelle salope, si son mari savait ! Il y a encore deux autres types à table avec eux.

Je cherche toujours ma femme mais je ne la vois pas, ni à une table, ni sur la piste de danse. Finalement, je distingue, vers l’accès aux toilettes, la silhouette de ma dulcinée qui se dirige vers les tables. Je suis fort surpris de la voir perchée sur ses talons de 15 cm alors qu’elle avait quitté le logement avec ses ballerines. Pire, je vois qu’elle tortille son joli petit cul avant de rejoindre la table de Fatima et de prendre place entre les deux messieurs inoccupés.

L’un d’eux se lève, prend mon épouse par la main et l’entraîne sur la piste de danse. Je vois qu’il s’agit d’un homme de 50 ans environ, basané, bien de sa personne. Il tient mon épouse par la taille, descend ses mains par moment sur ses fesses et sa poitrine, sans qu’elle ne réagisse. Au contraire, elle se colle encore plus à lui. Il l’embrasse dans le cou et il la fait rigoler.
Il lui roule même une pelle qui dure un bon moment tout en la caressant par-dessus les habits. Ensuite, il la ramène à table bras dessus, bras dessous. Fatima ne se trouve plus à table, elle a dû partir avec ses deux amis. Ma femme a juste le temps de boire un verre que le deuxième type l’invite à son tour sur la piste. Il ne se gêne pas pour lui mettre la main aux fesses et elle lui répond uniquement avec un sourire. De retour à table, toujours entre les deux, elle se fait passablement peloter et embrasser. Ils arrivent à mettre leurs mains sous sa jupe et à découvrir son petit trésor.

D’où je suis, je peux voir qu’elle porte des bas…Je suis noir de rage et j’hésite à intervenir mais curieusement, je suis aussi excité par ma salope de femme. De toute façon, le mal est déjà fait, alors je veux voir jusqu’où elle ira !
Visiblement, elle apprécie les caresses et met sa tête en arrière comme pour s’abandonner. Elle est sous leurs emprises et ces deux salauds ne s’en privent pas. Totalement impudique, elle se laisse tout faire et à la voir bouger son bassin, elle doit avoir une main coquine sous son string. Elle écarte encore plus ses jambes. Après un bon moment de ce traitement, je pense qu’elle a joui, elle qui est si sensible du clitoris.

Soudain, les deux gars, visiblement bien plus âgés qu’elle, la prennent par la main pour l’aider à se mettre debout. Elle réajuste sa tenue malgré les mains baladeuses et quitte la discothèque toujours entourée par ces opportunistes. A peine elle a franchi la porte que je sors à mon tour au cas où elle prendrait sa voiture. Je la vois traverser le parking, s’arrêtant pour embrasser l’un ou l’autre de ses cavaliers. Elle peine à tenir sur ses hauts talons. Elle est continuellement caressée. Tous les 3 prennent place dans un break stationné à côté du véhicule de mon épouse. Je me dépêche de reprendre mon véhicule et je les attends un peu plus loin pour les suivre. Comme ils n’ont pas passé, je descends de ma voiture et me dirige vers celle de ma femme qui dispose de vitres teintées. A travers celles-ci, je peux les observer sans me faire voir.

Là, je découvre mon épouse à quatre pattes, vêtue seulement de ses bas, un porte-jarretelles et ses talons. Elle est prise en levrette et essaye de sucer la queue qui se présente à elle. Le gars qui la lime lui impose une cadence impressionnante et en plus, il est particulièrement bien doté par la nature. J’en suis presque jaloux. J’entends même mon épouse crier son plaisir, mais rien n’y fait, ce salaud continue son rythme ! Celui qui se faisait sucer a sorti son filmer la scène. Pendant presque 50 minutes, ils se relaient pour la baiser comme une chienne ! Elle crie son plaisir pour leur montrer qu’elle aime ça. Ils la traitent de tous les noms et elle leur dit de continuer, que c’est une salope. Je ne la reconnais plus ! Elle a joui comme jamais !

A bout de ressources, ils arrêtent la séance et sortent tous les trois de la voiture.
Moi, je bande comme un fou et je me dépêche de regagner la voiture pour rentrer avant elle, à la maison.

Environ 20 minutes après, je l’entends qui rentre. Elle prend une douche et me rejoint discrètement dans le lit. Je lui demande si elle a passé une bonne soirée et commence à la caresser. Elle essaye de se dérober, mais finalement, fou d’excitation, je la baise comme un malade et elle jouit encore !

Surpris par mon ardeur, elle me dit que si chaque fois qu’elle sort, je la baise de la sorte, alors elle va ressortir en boîte !
Pussyaddict, Monsieur, can21 et 22 autres a liké
#2458917
pleasecuckme a écrit :J'ai déjà lu cette histoire.


Bien vu!! ;)
#2465135
A ma femme Nadia.
Je ne sais comment te remercier d’avoir accepté de m’épouser. Tu fais ainsi mon bonheur pour le reste de ma vie.
Je comprends, bien sûr, ce que mon rôle de mari m’impose: être cocufié encore et encore, me plier à tous tes désirs, accepter toutes tes humiliations. J’ai aussi bien compris que je suis ton mari, mais que ton amant est ton mâle et qu’à ce titre, il a le droit légitime de me dominer et de me considérer comme son serviteur docile, voire sa deuxième femelle.

Je m’appliquerai donc désormais à vous servir et à faciliter vos ébats. J’accepterai aussi, avec reconnaissance, que tu me soumettes aussi à tes autres amants. Je sais que je suis efféminé, que je n’ai pas une grosse bite mais un petit clitoris de 6 cm même bandé, que je suis un éjaculateur précoce et que j’aime être soumis et humilié mais si cela peut amuser tes amants, je n’offrirai qu’une servile résignation lorsqu’ils souhaiteront me faire subir leurs sévices.
En particulier, pour mieux nier mon statut d’homme, je revêtirai cette tenue de soubrette que tu laisses toujours à mon intention dans le garage, près de la paillasse où vous me faites dormir.
Je comblerai toujours tes désirs et ceux de ton amant, je me promènerai donc en porte-jarretelles et mini robe noire. Je suis reconnaissant à ton amant de bien vouloir baiser ma femme devant moi, pour bien me montrer à quel point je suis inadéquat comme amant.
Il est juste qu’il m’humilie en me pinçant les tétons jusqu’à ce que je pleure, puis en m’enfilant son superbe zob d’étalon jusqu’au fond de la gorge.
Il est également juste que vous refusiez désormais que j’aie la moindre relation avec toi, sauf lorsque tu me masturbes avec tes hauts talons.
Tu as exigé que je trouve moi-même les moyens de m’humilier davantage. Je demande donc la permission, lorsque ton superbe étalon te prendra, d’avoir l’autorisation de lui lécher le cul pendant qu’il te pénètre et te fait jouir. J’espère pouvoir lui être agréable, et à toi aussi, en essayant d’introduire ma langue d’esclave dans l’anus de ton amant afin de récolter les xxxxxxxxxxxxxx attention a ce que vous écrivez
Te voir onduler sous ses pénétrations, voir la longueur de sa hampe bien dure s’enfoncer dans ta chatte, me dire que désormais, celle-ci m’est interdite, tout cela comble mon esprit de cocu soumis. J’accepterai également toutes les humiliations publiques auxquelles vous voudrez bien me soumettre, comme lors de notre mariage où tu t’es offerte à tous les invités et tu m’as obligé à en faire de même.
J’ai hâte que tu sois de retour avec lui ce soir, pour que je puisse à nouveau entendre tes cris de jouissance et recueillir enfin, sur ma langue, le sperme de ton bel amant.
Peut-être daignera-t-il m’enculer ensuite en me faisant pleurer de joie devant la dureté de sa queue qui m’explose la rosette et vient buter dans le fond de mes entrailles ?
Karim, ton mari soumis et cocu.
Modifié en dernier par machaut le 10 oct. 2020, 13:37, modifié 1 fois. Raison : pas approprier les paroles(scato)
moi10270, dede58, Cocucornu et 2 autres a liké
#2465328
pleasecuckme a écrit :J'ai déjà lu cette histoire.


Entièrement d'accord ... Sa dernière intervention n'est toujours qu'un copier-coller, à peu de choses près, d'une histoire érotique SM intitulée "Incapable de la satisfaire, chapitre 5" publiée sur un autre site en ... 2011. La femme s'appelait Bénédicte ... 0=)

J'avoue que je ne vois pas trop l'intérêt de s'approprier des textes entiers, mais bon :x

Chacun appréciera à nouveau à sa manière
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