- 21 juil. 2020, 13:23
#2439833
Mon épouse Nadia, 30 ans, se consacre entièrement au foyer. En intimité, elle aime faire l’amour et porte toujours de la belle lingerie sexy. Elle apprécie tout particulièrement les hauts talons.
Un vendredi, elle me dit que sa copine Fatima lui a proposé de sortir en boîte avec elle. Je lui dis qu’elle devrait le faire et que cela pourrait lui faire un peu de changement. Finalement, elle me répond qu’elle n’en a pas envie.
En début de soirée, le téléphone sonne, c’est Fatima qui lui demande si elle se joint à elle pour la soirée. Devant mon insistance, elle accepte. Peu avant l’heure du rendez-vous, elle monte vite se changer. Elle a opté pour un jeans moulant, un pull avec un léger décolleté et des chaussures à talon de 10 cm. Elle m’embrasse en me disant qu’elle ne rentrera pas tard. Fatima l’attend déjà devant la maison avec sa bruyante Clio.
Pour ma part, je profite de ma soirée devant la télévision avec un bon film d’action. Ma femme m’appelle pour me dire que c’est une soirée avec des tubes des années 80 et qu’il y a peu de monde. Je lui dis que pour, une fois qu’elle sorte, qu’elle en profite, ajoutant que je vais me coucher tôt pour rattraper mes heures de sommeil en retard.
Vers quatre heures du matin, j’entends un bruit de voiture mais manifestement pas celui de la Clio. Quelques minutes plus tard, ma femme déverrouille la porte palière, se rend dans la salle de bain puis me rejoint au lit. A moitié endormi, je l’embrasse et me rendors tranquillement. Au réveil, elle me confirme qu’elle a passé une bonne soirée et qu’éventuellement, elle prévoit de ressortir dans quelques semaines.
Plusieurs jours après cet épisode, je croise Ahmed, le mari de Fatima. En discutant de tout et de rien, j’apprends que sa femme, le fameux soir, est rentrée vers une heure du matin. Du coup, je me rappelle bien avoir entendu un bruit de voiture avant l’arrivée de mon épouse mais ce n’était pas celui de la Clio de Fatima. Des fois, quand on est à moitié endormi, on ne sait plus trop. Je ne sais plus quoi penser. Je décide d’attendre et d’être attentif aux moindres détails. Les jours se succèdent normalement. Je profite même de consulter le téléphone mobile de mon épouse mais il n’y a rien de douteux.
Deux semaines plus tard, elle m’annonce que Fatima lui a demandé de l’accompagner dans la même discothèque que la dernière fois et qu’elle lui a dit oui. Elle me demande si j’y vois un inconvénient. Je lui dis de profiter de sa soirée mais, ce soir j’en aurais le cœur net.
En fin d’après-midi, elle met beaucoup de temps à se préparer, elle qui est assez rapide habituellement. Finalement, elle choisit sa jupe portefeuille en cuir noir, un chemisier gris satiné et des chaussures plates. Je suis un peu surpris de la voir avec des ballerines et lui en fais la remarque. Elle me répond qu’elle ne veut pas mettre des hauts talons pour ne pas faire trop salope. En partant, elle prend sa voiture car elle n’a pas envie de rentrer tard, contrairement à sa copine Fatima.
Malgré tout, je me pose beaucoup de questions et j’ai des doutes.
Vers minuit, je décide de me rendre dans cette discothèque. D’abord, je fais le tour du parking et je trouve la voiture de Fatima ainsi que celle de mon épouse qui est garée un peu plus à l’écart. Ensuite, je paye et rentre enfin dans cette boîte. Je reste un peu vers l’entrée afin de ne pas me faire voir. Je trouve une place dans un coin du bar où une lampe fait défaut. De la sorte, je ne peux pas être vu ou reconnu. Je scrute toutes les tables et reconnais Fatima. Elle est habillée comme une véritable pute. Elle se trouve entre deux gars qui s’occupent de la peloter et de l’embrasser. Quelle salope, si son mari savait ! Il y a encore deux autres types à table avec eux.
Je cherche toujours ma femme mais je ne la vois pas, ni à une table, ni sur la piste de danse. Finalement, je distingue, vers l’accès aux toilettes, la silhouette de ma dulcinée qui se dirige vers les tables. Je suis fort surpris de la voir perchée sur ses talons de 15 cm alors qu’elle avait quitté le logement avec ses ballerines. Pire, je vois qu’elle tortille son joli petit cul avant de rejoindre la table de Fatima et de prendre place entre les deux messieurs inoccupés.
L’un d’eux se lève, prend mon épouse par la main et l’entraîne sur la piste de danse. Je vois qu’il s’agit d’un homme de 50 ans environ, basané, bien de sa personne. Il tient mon épouse par la taille, descend ses mains par moment sur ses fesses et sa poitrine, sans qu’elle ne réagisse. Au contraire, elle se colle encore plus à lui. Il l’embrasse dans le cou et il la fait rigoler.
Il lui roule même une pelle qui dure un bon moment tout en la caressant par-dessus les habits. Ensuite, il la ramène à table bras dessus, bras dessous. Fatima ne se trouve plus à table, elle a dû partir avec ses deux amis. Ma femme a juste le temps de boire un verre que le deuxième type l’invite à son tour sur la piste. Il ne se gêne pas pour lui mettre la main aux fesses et elle lui répond uniquement avec un sourire. De retour à table, toujours entre les deux, elle se fait passablement peloter et embrasser. Ils arrivent à mettre leurs mains sous sa jupe et à découvrir son petit trésor.
D’où je suis, je peux voir qu’elle porte des bas…Je suis noir de rage et j’hésite à intervenir mais curieusement, je suis aussi excité par ma salope de femme. De toute façon, le mal est déjà fait, alors je veux voir jusqu’où elle ira !
Visiblement, elle apprécie les caresses et met sa tête en arrière comme pour s’abandonner. Elle est sous leurs emprises et ces deux salauds ne s’en privent pas. Totalement impudique, elle se laisse tout faire et à la voir bouger son bassin, elle doit avoir une main coquine sous son string. Elle écarte encore plus ses jambes. Après un bon moment de ce traitement, je pense qu’elle a joui, elle qui est si sensible du clitoris.
Soudain, les deux gars, visiblement bien plus âgés qu’elle, la prennent par la main pour l’aider à se mettre debout. Elle réajuste sa tenue malgré les mains baladeuses et quitte la discothèque toujours entourée par ces opportunistes. A peine elle a franchi la porte que je sors à mon tour au cas où elle prendrait sa voiture. Je la vois traverser le parking, s’arrêtant pour embrasser l’un ou l’autre de ses cavaliers. Elle peine à tenir sur ses hauts talons. Elle est continuellement caressée. Tous les 3 prennent place dans un break stationné à côté du véhicule de mon épouse. Je me dépêche de reprendre mon véhicule et je les attends un peu plus loin pour les suivre. Comme ils n’ont pas passé, je descends de ma voiture et me dirige vers celle de ma femme qui dispose de vitres teintées. A travers celles-ci, je peux les observer sans me faire voir.
Là, je découvre mon épouse à quatre pattes, vêtue seulement de ses bas, un porte-jarretelles et ses talons. Elle est prise en levrette et essaye de sucer la queue qui se présente à elle. Le gars qui la lime lui impose une cadence impressionnante et en plus, il est particulièrement bien doté par la nature. J’en suis presque jaloux. J’entends même mon épouse crier son plaisir, mais rien n’y fait, ce salaud continue son rythme ! Celui qui se faisait sucer a sorti son filmer la scène. Pendant presque 50 minutes, ils se relaient pour la baiser comme une chienne ! Elle crie son plaisir pour leur montrer qu’elle aime ça. Ils la traitent de tous les noms et elle leur dit de continuer, que c’est une salope. Je ne la reconnais plus ! Elle a joui comme jamais !
A bout de ressources, ils arrêtent la séance et sortent tous les trois de la voiture.
Moi, je bande comme un fou et je me dépêche de regagner la voiture pour rentrer avant elle, à la maison.
Environ 20 minutes après, je l’entends qui rentre. Elle prend une douche et me rejoint discrètement dans le lit. Je lui demande si elle a passé une bonne soirée et commence à la caresser. Elle essaye de se dérober, mais finalement, fou d’excitation, je la baise comme un malade et elle jouit encore !
Surpris par mon ardeur, elle me dit que si chaque fois qu’elle sort, je la baise de la sorte, alors elle va ressortir en boîte !
Un vendredi, elle me dit que sa copine Fatima lui a proposé de sortir en boîte avec elle. Je lui dis qu’elle devrait le faire et que cela pourrait lui faire un peu de changement. Finalement, elle me répond qu’elle n’en a pas envie.
En début de soirée, le téléphone sonne, c’est Fatima qui lui demande si elle se joint à elle pour la soirée. Devant mon insistance, elle accepte. Peu avant l’heure du rendez-vous, elle monte vite se changer. Elle a opté pour un jeans moulant, un pull avec un léger décolleté et des chaussures à talon de 10 cm. Elle m’embrasse en me disant qu’elle ne rentrera pas tard. Fatima l’attend déjà devant la maison avec sa bruyante Clio.
Pour ma part, je profite de ma soirée devant la télévision avec un bon film d’action. Ma femme m’appelle pour me dire que c’est une soirée avec des tubes des années 80 et qu’il y a peu de monde. Je lui dis que pour, une fois qu’elle sorte, qu’elle en profite, ajoutant que je vais me coucher tôt pour rattraper mes heures de sommeil en retard.
Vers quatre heures du matin, j’entends un bruit de voiture mais manifestement pas celui de la Clio. Quelques minutes plus tard, ma femme déverrouille la porte palière, se rend dans la salle de bain puis me rejoint au lit. A moitié endormi, je l’embrasse et me rendors tranquillement. Au réveil, elle me confirme qu’elle a passé une bonne soirée et qu’éventuellement, elle prévoit de ressortir dans quelques semaines.
Plusieurs jours après cet épisode, je croise Ahmed, le mari de Fatima. En discutant de tout et de rien, j’apprends que sa femme, le fameux soir, est rentrée vers une heure du matin. Du coup, je me rappelle bien avoir entendu un bruit de voiture avant l’arrivée de mon épouse mais ce n’était pas celui de la Clio de Fatima. Des fois, quand on est à moitié endormi, on ne sait plus trop. Je ne sais plus quoi penser. Je décide d’attendre et d’être attentif aux moindres détails. Les jours se succèdent normalement. Je profite même de consulter le téléphone mobile de mon épouse mais il n’y a rien de douteux.
Deux semaines plus tard, elle m’annonce que Fatima lui a demandé de l’accompagner dans la même discothèque que la dernière fois et qu’elle lui a dit oui. Elle me demande si j’y vois un inconvénient. Je lui dis de profiter de sa soirée mais, ce soir j’en aurais le cœur net.
En fin d’après-midi, elle met beaucoup de temps à se préparer, elle qui est assez rapide habituellement. Finalement, elle choisit sa jupe portefeuille en cuir noir, un chemisier gris satiné et des chaussures plates. Je suis un peu surpris de la voir avec des ballerines et lui en fais la remarque. Elle me répond qu’elle ne veut pas mettre des hauts talons pour ne pas faire trop salope. En partant, elle prend sa voiture car elle n’a pas envie de rentrer tard, contrairement à sa copine Fatima.
Malgré tout, je me pose beaucoup de questions et j’ai des doutes.
Vers minuit, je décide de me rendre dans cette discothèque. D’abord, je fais le tour du parking et je trouve la voiture de Fatima ainsi que celle de mon épouse qui est garée un peu plus à l’écart. Ensuite, je paye et rentre enfin dans cette boîte. Je reste un peu vers l’entrée afin de ne pas me faire voir. Je trouve une place dans un coin du bar où une lampe fait défaut. De la sorte, je ne peux pas être vu ou reconnu. Je scrute toutes les tables et reconnais Fatima. Elle est habillée comme une véritable pute. Elle se trouve entre deux gars qui s’occupent de la peloter et de l’embrasser. Quelle salope, si son mari savait ! Il y a encore deux autres types à table avec eux.
Je cherche toujours ma femme mais je ne la vois pas, ni à une table, ni sur la piste de danse. Finalement, je distingue, vers l’accès aux toilettes, la silhouette de ma dulcinée qui se dirige vers les tables. Je suis fort surpris de la voir perchée sur ses talons de 15 cm alors qu’elle avait quitté le logement avec ses ballerines. Pire, je vois qu’elle tortille son joli petit cul avant de rejoindre la table de Fatima et de prendre place entre les deux messieurs inoccupés.
L’un d’eux se lève, prend mon épouse par la main et l’entraîne sur la piste de danse. Je vois qu’il s’agit d’un homme de 50 ans environ, basané, bien de sa personne. Il tient mon épouse par la taille, descend ses mains par moment sur ses fesses et sa poitrine, sans qu’elle ne réagisse. Au contraire, elle se colle encore plus à lui. Il l’embrasse dans le cou et il la fait rigoler.
Il lui roule même une pelle qui dure un bon moment tout en la caressant par-dessus les habits. Ensuite, il la ramène à table bras dessus, bras dessous. Fatima ne se trouve plus à table, elle a dû partir avec ses deux amis. Ma femme a juste le temps de boire un verre que le deuxième type l’invite à son tour sur la piste. Il ne se gêne pas pour lui mettre la main aux fesses et elle lui répond uniquement avec un sourire. De retour à table, toujours entre les deux, elle se fait passablement peloter et embrasser. Ils arrivent à mettre leurs mains sous sa jupe et à découvrir son petit trésor.
D’où je suis, je peux voir qu’elle porte des bas…Je suis noir de rage et j’hésite à intervenir mais curieusement, je suis aussi excité par ma salope de femme. De toute façon, le mal est déjà fait, alors je veux voir jusqu’où elle ira !
Visiblement, elle apprécie les caresses et met sa tête en arrière comme pour s’abandonner. Elle est sous leurs emprises et ces deux salauds ne s’en privent pas. Totalement impudique, elle se laisse tout faire et à la voir bouger son bassin, elle doit avoir une main coquine sous son string. Elle écarte encore plus ses jambes. Après un bon moment de ce traitement, je pense qu’elle a joui, elle qui est si sensible du clitoris.
Soudain, les deux gars, visiblement bien plus âgés qu’elle, la prennent par la main pour l’aider à se mettre debout. Elle réajuste sa tenue malgré les mains baladeuses et quitte la discothèque toujours entourée par ces opportunistes. A peine elle a franchi la porte que je sors à mon tour au cas où elle prendrait sa voiture. Je la vois traverser le parking, s’arrêtant pour embrasser l’un ou l’autre de ses cavaliers. Elle peine à tenir sur ses hauts talons. Elle est continuellement caressée. Tous les 3 prennent place dans un break stationné à côté du véhicule de mon épouse. Je me dépêche de reprendre mon véhicule et je les attends un peu plus loin pour les suivre. Comme ils n’ont pas passé, je descends de ma voiture et me dirige vers celle de ma femme qui dispose de vitres teintées. A travers celles-ci, je peux les observer sans me faire voir.
Là, je découvre mon épouse à quatre pattes, vêtue seulement de ses bas, un porte-jarretelles et ses talons. Elle est prise en levrette et essaye de sucer la queue qui se présente à elle. Le gars qui la lime lui impose une cadence impressionnante et en plus, il est particulièrement bien doté par la nature. J’en suis presque jaloux. J’entends même mon épouse crier son plaisir, mais rien n’y fait, ce salaud continue son rythme ! Celui qui se faisait sucer a sorti son filmer la scène. Pendant presque 50 minutes, ils se relaient pour la baiser comme une chienne ! Elle crie son plaisir pour leur montrer qu’elle aime ça. Ils la traitent de tous les noms et elle leur dit de continuer, que c’est une salope. Je ne la reconnais plus ! Elle a joui comme jamais !
A bout de ressources, ils arrêtent la séance et sortent tous les trois de la voiture.
Moi, je bande comme un fou et je me dépêche de regagner la voiture pour rentrer avant elle, à la maison.
Environ 20 minutes après, je l’entends qui rentre. Elle prend une douche et me rejoint discrètement dans le lit. Je lui demande si elle a passé une bonne soirée et commence à la caresser. Elle essaye de se dérober, mais finalement, fou d’excitation, je la baise comme un malade et elle jouit encore !
Surpris par mon ardeur, elle me dit que si chaque fois qu’elle sort, je la baise de la sorte, alors elle va ressortir en boîte !