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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Le week-end suivant, j'avais emmené avec moi un ami marocain, Chihab, connu dans les milieux libertins de la ville comme un bull sadique doté d'un membre impressionnant et couru par toutes les nymphomanes. Comme d'habitude, la bourgeoise se tenait à quatre pattes dans le hall. Chihab siffla d'admiration et lui donna quelques claques:
- bravo pour cette prise. Un beau fessier. Elle doit apprécier le martinet et la sodomie. Je les connais, ces putes avaleuses de chibres ! Répond à tes maîtres : tu aimes les gros et longs pénis?
- Oui, maître, je les aime...
Il la gifla :
- tu aimes quoi ?
- J'aime les gros et longs pénis.
- Voilà. C'est bien. Maintenant, ouvre ton cul avec tes mains.
Elle obtempéra. Maître Chihab inspecta la rondelle toute rose. Il cracha dans la raie et entreprit une fouille en règle. Il appela le cocu qui vint à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Il lui intima l'ordre d'ouvrir sa braguette, de tirer l'engin et de le mettre dans sa bouche, histoire de bien le mouiller et de le préparer à prendre d'assaut la belle. Impressionné, le cocu se hasarda à siffler. Ce qui déplut à maître Chihab qui donna deux puissantes claques au visage du travesti avant de lui fourrer le sexe dans la bouche :
- qui t'a autorisé à siffler ? Avale salope.
Il continuait à doigter le cul de l'épouse et quand il fut à point, il retira son chibre de la bouche du cocu pour l'enfoncer au plus profond du trou féminin. Océane hurlait de toutes ses forces. Elle n'a jamais reçu un engin de cette taille. Maître Chihab retirait de temps à autre son sexe pour le fourrer dans la bouche du cocu qu'il voulut ouverte pendant toute l'opération.
La dame est maintenant sous l'emprise de la domination du mâle qui va au plus profond d'elle. Elle crie de plaisir ! Je ne tiens plus. Je demande au cocu d'avancer son cul vers moi. Putain, quel admirable fessier. Je bande rien qu'à le voir. Je baise ce beau cul de femmelette et décharge rapidement. Maître Chihab continue de labourer les fesses de madame qui semble avoir perdu connaissance. Je l'arrête un moment et lui demande de voir si l'esclave 18 est dans son état normal :
- t'inquiètes, me répond-il. Réaction normale quand elles reçoivent le petit Chihab.
Puis, s'adressant à la pute :
- tu aimes ma verge, salope ! Dis, elle s'occupe bien de ton cul.
Il lui donne de vigoureuses claques sur les fesses :
- oui, maître, j'aime votre puissant zob, le meilleur de tous ! Il me donne beaucoup de plaisir au cul et partout... Baisez-moi encore. Enfoncez votre engin au plus profond de moi, je suis votre esclave, votre pute. Aaaah... Aaahhh!
Après quelques instants de repos, maître Chihab mène les deux putes au salon où il les dispose, cul en l'air, sur le divan. Il prend le fouet et commence à les flageller :
- salopes ! Culs de merde ! Recevez ce cadeau de maître Chihab. Vous me supplierez d'arrêter et je n'arrêterai pas !
Il fouettait les fesses offertes de plus belles. Le cocu et son épouse se trémoussaient, criaient, suppliaient le marocain d'arrêter, ce dernier, déchaîné, poursuivait sa flagellation. Il bandait comme un âne. Il baisa tour à tour le cocu et la femme. Ensuite, il déchargea sur les deux visages et ordonna aux deux esclaves de se nettoyer les visages à l'aide de leurs langues.
On s'est assis un moment au salon, nous faisant lécher les pieds par les esclaves quand on sonna à la porte. Chihab m'avait informé qu'il avait invité deux cousins à profiter des deux corps. Il ouvrit la porte et fit entrer deux maghrébins au teint basané sortis des cités de banlieue.
Salim et Ali viennent du milieu des marginaux qui vivent de larcins et de revente de drogue. Sans salamalecs, ils soulevèrent Océane toute nue et la palpèrent, s'attardant sur les seins qu'ils écrasèrent, arrachent à la dame un cri de douleur. Ali la gifla et lui donna des claques aux fesses :
- tais-toi poufiasse. Allez penches-toi en avant et ouvre tes fesses avec tes mains. Tiens, putain !
Il la gifla de nouveau et dirigea ses main vers les fesses. Il semblait heureux et très excité de profiter de la chair blanche de la haute bourgeoisie. Il tira son sexe et le planta dans la vulve de madame. Il ne pouvait attendre plus longtemps. Pendant qu'il la baisait sauvagement, maître Chihab s'occupa de sa bouche qui eut du mal à avaler le gros chibre.
Quant à Salim, il chevauchait le cocu en lui donnant de grands coups aux fesses. La lope, heureuse de recevoir un si beau sexe, ondulait des fesses. Elle les tendait ses à l'extrême, les collant au bassin de Salim qui s'enfonçait au plus profond de la pute. Il la chevaucha un bon moment avant de se retirer et de décharger dans sa bouche.
Ali se retira du vagin d'Océane et l'encula vigoureusement. Elle en redemandait. Il la baisa longuement avant de la céder a Salim qui la fit monter au septième ciel plusieurs fois. Ali baisa le cocu avant de le mettre sur le divan et de le fouetter longuement.
Après un bon repos, maître Chihab demanda au couple de s'habiller. Il choisit une mini-jupe en cuir très courte pour la pute et un fuseau transparent pour le cocu qui portera des talons aiguilles et un tee-shirt blanc. Nous descendîmes dans la rue et des passants sifflérent en voyant le couple dans ses tenues déshabillées.
Maître Chihab avait son idée. "Je connais un bordel clandestin à Ivry. C'est une villa tranquille où personne ne nous dérangera. On va profiter de ces deux putes d'autant plus qu'il y a un bon matériel sado-maso là-bas. En plus, on les offrira à des clients qui vont les baiser et les rebaiser.
Une fois arrivés, nous fûmes accueillies par une grosse matronne qui a dépassé la cinquantaine mais qui gardait des formes attrayantes. Le couple fut déshabillé rapidement et Salim s'occupa de nouveau de la dame alors que le cocu fut à nouveau fouetté par Ali qui le plaça sur une espèce de cheval en bois et cuir. Couché sur le ventre, il avait le cul bien exposé. Ali le baisa avant de nous inviter maître Chihab et moi, à le chevaucher. Nous déchargeames dans son cul qui dégoulinait de sperme.
Salim plaça ensuite Océane sur un lit et lui attacha les pieds à des anneaux qui tombaient du plafond. Elle avait les jambes bien ouverte et la vulve en vue. Ensuite, il tira un rideau qui cacha le visage de l'épouse, de telle sorte qu'on ne voyait que ses seins laiteux et son vagin bien exposé. Elle ne saura pas qui la baisera.
La matronne chercha quelques clients qui furent reçus par Ali. Ce dernier les dirigea vers le lit. Mais avant de monter la pute, il exigea de l'argent pour chaque passe, somme qu'il partagera avec la propriétaire. Océane, heureuse d'assouvir un vieux fantasme, mouillait à l'extrême. Le premier client, un vieux retraité paya et introduisit rapidement son sexe dans la fente qui s'offrait à lui. Il malaxa les seins et ne tarda pas à jouir. Il y eut beaucoup d'autres clients. A certains moments, il y avait la queue : les gars se tenaient l'un derrière l'autre, les verges bien tendus.
Quand au cocu, toujours exposé sur son cheval, il recevait d'autres clients qui profitèrent de son fessier royal.
La soirée se prolongea jusqu'à une heure tardive de la nuit. Ensuite, le couple fut placé au centre de la pièce et reçut nos jets de pisse sur toutes les parties du corps. Même la proprio s'agenouilla sur le visage d'Océane et lui offrit une bonne douche dorée.
Quant tout s'acheva, Océane demanda à cajoler nos sexes, comme d'habitude. Elle prit les engins de Chihab, Ali, Salim et le mien. Elle les embrassa, les fit passer plusieurs fois sur ses joues, se frappa le visage avec et dit :
- Faites de moi la pute la plus salope! Pour ces missiles de mâles alpha, je descendrai au plus bas de la déchéance. Souillez-moi, ne laissez aucune partie de mon corps propre. Vous êtes mes maîtres ! Occupez-vous du cocu. Offrez-le à une meute affamée de jeunes de ces cités. Il adore.
L'idée plût a Ali qui n'habitait pas loin. Sur le chemin du retour, il fit descendre le cocu et le présenta à une bande de beurs qui s'en occupèrent sur le champ, devant nous. Quant à Océane, elle nous faisait une fellation dans la voiture.

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