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par Phildulux
#2277484
Je le veux, il est partout dans mes pensées. Je veux qu'il m'embrasse sauvagement, me plaque contre un mur et enserre mes poignets de ses mains. Je veux me sentir à sa merci, je veux sentir le désir irrésistible que je lui inspire. Mon souffle s'accélère, les battements de mon cœur, il m'embrasse fougueusement, un tel baiser qui ne me fais penser qu'a une chose : le plaisir futur, son sexe qui va bientôt me pénétrer. Ce baiser est une promesse sensuelle et violente. Il me suçonne la lèvre comme si son désir ne pouvait être plus contenu, il a besoin de me marquer, de me faire sienne, je suis à lui. D'une de ses mains, il enserre mes poignets et de l'autre, il parcourt mon corps dans une lenteur infinie, il veut me frustrer et faire enfler mon désir à son paroxysme. Je sens sa main effleurer mon sexe sur l'intérieur de mes cuisses, je tends mon bassin vers lui mais, il se retire, je gémis mais, il me bâillonne de sa bouche. Il continue ses caresses. Je perds la tête puis, sans crier gare, il me jette sur le lit, il me domine mais ne me touche pas, je le veux, je veux qu'il m'embrasse encore, je veux son sexe, je veux ses doigts, je veux sa langue, je le veux. Il prend mes mains et les dispose en croix puis, me demande de ne pas bouger, se lève et revient avec deux foulards. Il m'attache les mains et me couvre les yeux, mon désir est tellement grand que je sens mon sexe inondé, je vais être totalement sienne. Cela me rend totalement folle d'envie. Il commence par prendre mes seins dans ses mains, ce n'est pas une caresse douce, on sent son empressement. Il me pince le téton, je pousse un petit cri de surprise. Il vient m'embrasser puis, bouge vite pour m'enfoncer sa bite dans la bouche, c'est lui qui dirige le mouvement, je ne suis qu'un trou béant. Au début, je le suce avec talent, je l'aspire, je fais jouer de ma langue et de mes lèvres puis, je le sens plus pressant, il veut me baiser la bouche, je le laisse faire ses va-et-vient, il va de plus en plus profondément dans ma gorge, je sens qu'il aime ça, il gémit, j'aime l'entendre gémir, j'aime son plaisir. Il se retire et me dit qu'il adore ma bouche, je l'imagine me lançant un regard de braise, de ce regard, il parcourt mon corps, des millions d'idées me traverse la tête, mon corps m'inspire toute sorte de chose qu'il s'imagine me voir faire. Je sens que son désir est à son paroxysme mais, il a visiblement pas décidé de me faire jouir avant de me pénétrer. Il m'embrasse de tout partout, je me tortille dans mes liens, je le supplie de venir en moi mais, il n'entend rien, il est comme en transe, il se rapproche dangereusement de mon entre-jambe, de ses dents il fait descendre mon string, dans un mouvement lent, toujours aussi lent puis, il couvre mes cuisses de baisers, il effleure délicatement mon sexe parfois mais sans jamais ne paraître s'y intéresser puis, sans que je ne m'y attende, il me pénétre de deux de ses doigts, je suis tellement trempée qu'il n'a même pas besoin de me préparer. De ses doigts, il va directement à l'essentiel, il appuis et caresse cette zone si sensible dans mon vagin. Ensuite, il se met à embrasser mon clitoris, il passe sa langue partout autour, il le suce, il m'embrasse le sexe et continue de ses doigts, c'est tellement bon, je crie, je bouge dans tous les sens, je jouis presque, je sens mon sexe se contracter autour de ses doigts mais, il ne s'arrête pas, il continue pendant ce qui me parait être une éternité, je n'ai plus conscience de rien si ce n'est de mon sexe bouillant et de ma pré-jouissance, de mes petits orgasmes qui ne cesse de venir me surprendre, j'ai aussi conscience de mes poignets fermement enserrés et de lui entre mes jambes qui s'amuse de ma jouissance. Je le veux en moi, je le veux tellement en moi, je crie, il me traite de coquine, me dit qu'il adore me voir jouir, qu'il ne peut s'en lasser, qu'il adore sentir mon sexe tressaillir sous ses coups de langues. Je sens son érection, dure, son gland gonflé, laisse des trace mouillées à chacun de ses contactes avec ma peau, je sais qu'il me veut aussi mais, il s'en va, je ne comprends pas, puis il réapparaît, il me bâillonne, il détache mes mains puis, me prend dans ses bras, je sens qu'il me fait traverser la maison mais, je ne sais pour aller où... J’ai confiance en lui... soudain, il me jette contre un mur, je ne sais pas lequel, je ne sais pas où je suis puis, il me prend sauvagement par derrière, il tire mes cheveux et pousse mon bassin vers devant, je m'appuis sur le mur, enfin il me prend, la pénétration est bestiale, il est gros, même très gros, j'aime ça, je l'aime, j'aime son animalité puis, pendant qu'il me baise, j'entends qu'il me traite de chienne vulgairement, je ne comprends pas, il ne l'a jamais fait, meme sa vulgairitée est toujours très douce dans ses paroles, j'entends cette voix et, je me rends compte que cela n'est pas lui. Pendant un court instant, je panique, je stress, puis, je reprends mes esprits, je sens une légère brise parcourir mon corps, je comprends que nous sommes sur le balcon, à la vue de tous dans la nuit, mon excitation repart, je me fais baiser par un inconnu sur un balcon d’hôtel, un inconnu vulgaire et animal et qui baise sacrement bien, pendant qu'il s'acharne dans mon sexe, une de ses mains me pince fort les seins et, de l'autre, il me titille le clitoris. Je suis secouée de spasmes auxquels je ne cherche pas à résister et je tremble de partout sous l'assaut de ce feu intérieur qui me fait couler. Ma cyprine s'échappe maintenant de mon ventre, elle coule abondamment, et je suis sur un petit nuage. Je veux appeler mon homme, je veux savoir s'il est là mais mon bâillon m'en empêche, je décide alors de me laisser aller à mes sensations, si je suis là en train de me faire monter sauvagement, c'est surement ça qu’il le veut, ça l'excite. Mon corps frémi de la tête aux pieds, je tremble comme toutes les feuilles d'un arbre sous l'effet du vent et soudain, dans un grand soupir, je pars vers un autre ciel. L'homme ne s'arrête plus de faire aller sa queue entre mes lèvres et la caresse me transforme en véritable furie. J'adore, j'aime cet instant où plus rien n'existe, que cette embrasement de tout mon être, je ne fais plus rien pour stopper ce plaisir. J'ouvre et ferme les cuisses, emprisonnant la bite qui me donne du plaisir, l'homme a du mal de continuer ses frictions. L'homme qui me baise continue de me traiter de salope, que je suis la pute gratuite de mon maître, je sens que je commence à aimer cela. Ce soir, je serais grande prêtresse des sexes que le spectacle inspire, une salope, une putain de mon mari alors, au travers de mon bâillon, je le pris de baiser plus fort, je lui dis que j'aime sa grosse bite, on me libère de mon bâillon, je continue, je ne peux m'empêcher de respirer plus fort et plus vite. J'ondule le bassin afin de prolonger cette sensation, je lui dis que j'adore sentir ses couilles taper contre mon clitoris, que j'aime sa sauvagerie, que je le veux plus profondément, il me malaxe la poitrine de plus en plus fort, c'est à la limite entre jouissance et douleur, j'adore énormément, puis soudain, il me pince le clitoris, fort, il le compresse... Je hurle à qui veut bien entendre, je jouis, je mouille, je décharge sans discontinuer mon jus sur la chair en moi, je la sens couler le long de lui, cette lave qui bouillonne, coule le long de mes cuisses, la transpiration s'insinue en suivant la raie de mes fesses. Il me retourne, me couche sur un sol mou, me reprend la chatte avec sa queue, il me besogne de nouveau, approche son visage du mien, me saisit par le cou, il nous attire l'un contre l'autre et dans la fougue qui m'anime, comme une automate, surprise d'un nouveau coît, j’ouvre la bouche et un incroyable baiser nous unit, je laisse finalement ma langue aller à la recherche et répondre à ce baiser, sa langue tourne dans ma bouche, bute contre mes dents, s'enfonce davantage et j'apprécie cette manière d'embrasser. Il me traite de trou à bites, il me repousse, je ne comprends pas ce qu'il veut puis, il m'ordonne de me mettre à quatre pattes, comme une chienne, ma tête touche le sol froid du balcon, mes fesses sont tendues vers le ciel, attendant sa venue mais, il ne vient pas, ma chatte aguicheuse et humide, prêts à le recevoir, mais il se contente de recouvrir mes fesses et ma fente de sperme puis s'en va, me laissant seule sur mon balcon. Enfin, j'entends des voix autour de moi, probablement l'homme qui vient de me baiser dit « Putain elle est bonne ta femme » puis, un autre dit « Oh oui, j'ai failli en jouir dans mon pantalon de ses cris de chienne. », putain mais, combien ils sont ? toujours dans cette position offerte, j'attends puis, je sens qu'on prépare mon cul tout en me doigtant avec le sperme, c'est bon, une autre main caresse mes seins, une bouche m'embrasse sur la bouche, il a une langue très agile et experte! Il m'embrasse le coup pendant que des mains caressent mon ventre, mon corps, je sens qu'un homme s'allonge sous moi et me pénètre la chatte, mon cul restant offert, je pousse un râle de plaisir. Il me baise la chatte très baveuse de liqueurs mélangées à grand coup de reins, jouant sur le mouvement de balancier qu'il m'imprime pour me pénétrer un peu plus profond à chaque fois. Une queue me frôle la bouche, bien raide et droite comme si la gravité n'existait pas, elle veut être sucée, je m'exécute avec plaisir, je souffle fort et devant cette queue dure, j'entrouvre les lèvres. Le gland s'engouffre dans cette brèche que je viens d'ouvrir, je veux prendre mon pied par tous les trous, sentir le sperme m’envahir, me couvrir, je suis totalement folle. Ma main sur cette queue comme un peu surprise par sa taille, ma bouche s'abat sur l’énorme chibre pour le gober, son gland est baveux de sécrétion, lisse, décalottée comme naturellement, un peu aplatie, déjà plus large que mon poignet, comme si c'était une pêche gonflée de jus beaucoup trop mur, je me régale de cette liqueur, sa respiration est grave et profonde, je la sens trembler de plaisir, je jouis intérieurement de plaisir de sentir cette hampe veineuse si longue entrer et sortir de ma bouche, je lèche sa queue et tantôt la suce, l’aval à fond de gorge, d'une gorge profonde si experte que je ne pourrais nier l'avoir longuement pratiqué, le fluide séminal dégouline au fond de ma gorge, je le déguste surprise par cette saveur. Je commence à prendre plaisir à me faire baiser la bouche... Quel spectacle j'ai envie de leurs donner à tous… je sens la verge dans mon vagin qui ne va pas tarder à jouir, alors je le contracte afin de procurer de meilleures sensations à cette colonne charnue qui coulisse dans mon cylindre. Je sens les puissants jets de sperme frapper ma matrice, me rendant complètement folle et je jouis avec lui. Il me mordille l'oreille puis me baise si vite que je sens à peine ses va-et-vient, avant de me quitter dans un flop. Une autre nœud pourpre se pose sur mon anus, me prend le cul, force mon petit trou, entre difficilement, j'ai mal au début puis, ça me passe vite. Ma divine couronne l’aval gourmande, mon sphincter s'ouvre et se détend, la hampe avance lentement mais inexorablement je sens la queue disparaître en moi, laissant la place à mes mains que je pose sur les fesses nerveuses de l'homme qui m'encule pour l’attirer à moi, il stoppe son avancée, je suis soulevée sans qu’il me quitte, puis on me redescend, la sensation est intense quand je rentre en contact avec un corps musclé sur lequel je suis déposée, saillant, son gland se glisse sans difficultés entres mes lèvres intimes qui s’entrebâillent à son passage, ma fente déjà bien baveuse et gluante de sperme l’accueille avec plaisir: être enculée pendant que le vagin est pénétré, avec cette queue qui coule de plus en plus sur ma langue. Je suis totalement remplie, je deviens malade, d'envie, de désir, mon ventre se creuse, ma bouche se laisse baiser par ce sexe qui n'en demande pas plus, ils bougent tous en mesure, je module en fonction de l'avancée dans mon ventre des mouvements du sien, je happe ces hampes qui viennent flirter avec mon corps et je laisse mon imagination vagabonder. C'est moi finalement qui suce avec cette ardeur que je me connais. C'est moi aussi qui donne de grands coups de reins, me laissant frémissante à chaque aller et retour des engins qui me lamine mes trous. C'est toujours mes mains que s’attardent sur leurs corps et partout elles s'attardent... Les tiges de chair chaude entrent et sortent, et glissent entre la fine peau qui les séparent, l'une contre l'autre à l'intérieur de moi sous mes plaintes de plaisir. Des orgasmes partent dans mon ventre comme autant de fusées, une odeur de foutre, de corps en chaleur et de transpiration m’enveloppe comme aphrodisiaque. Dans des grognes de plaisir, on éjacule de jet chaud mon visage qui viennent se mélangée avec la bite que je pompe, ce dard qui prend encore, comme si c'était possible, du volume, j’excite le gland et la tige mouillées par la semence écumeuse d’un autre avec ma langue, cette odeur, cette saveur m'excite maintenant, je me régale, me sens salope et j’adore ça. Je parcours les différents endroits en essayant de l'enfoncer dans le méat central, puis le ressort furtivement pour laper les couilles imberbes animées de spasmes que je ressens y compris dans ma bouche. Je me remets à pomper cette queue en maintenant un rythme lent mais cadencé, j'ai souvent remarqué que le rythme lent donnait beaucoup de plaisirs aux hommes. Cette queue si longue, tape parfois au fond de ma gorge, je comprends que le plaisir monte, il parle de façon incompréhensible, ses muscles des jambes et des abdominaux se raidissent, il me pétrit de temps en temps la chevelure, j'accélère le rythme, je veux qu’il crache sa semence, je fantasme sur leurs semences, je veux leurs venins, je suis une videuse de couilles. J'éprouve dans ces moments un sentiment de domination car finalement les hommes sont fragiles! Il veut me palper les seins, il y parvient, ses jambes s'agitent, je continue imperturbable. Le sexe est vraiment raide, soudain le corps se fige, il pose ses deux mains sur ma tête, râle puissamment et au moyen de trois ou quatre jets m'emplit la bouche de son sperme à la fois âcre sucré et chaud. Je suis toute secouée par mes derniers spasmes de la volupté qui ébranle mon corps, leurs grandes endurances continuent de me fourrer sans s'arrêter ce qui me provoque orgasme sur orgasme. J'ai l'impression que tout plein de zone dont je n'avais même pas connaissance sont touchées, je jouis encore et encore, je ne peux plus m'arrêter. C'est trop bon puis, la bite enfournée au plus profond de mon vagin, ils éjaculent en moi, C'est ensemble que leurs semences viennent terminer le feu d'artifice de nos corps en folie et toi aussi tu viens participer au festin en me crachant ton sperme sur le visage alors que l'un gicle dans ma bouche et que l'autre éclate dans mon cul, sur ma chatte qu'il vient de quitter précipitamment avant d’y replonger. ils se cambrent et se mette à remplir mes orifices de leurs spermes puissants. Les bites se convulsent à chaque éjaculation, je sens leur semence chaude glisser hors de mes trous, j'adore.
Ils me laissent pantelante, souillée, dégoulinante d'un jus visqueux à l'odeur forte puis, mon homme me rejoint, m'embrasse, me dit qu'il m'aime, je l'aime pour cette soirée orgasmique. Il s'allonge sur moi et sa queue trouve toute seule le chemin baigné de sa plus tendre maison.
FranclovX78 a liké

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