- 09 avr. 2019, 07:45
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J’avoue que je ne savais pas trop comment enchaîner ensuite. Julie semblait au final apprécier ces jeux et paraissait par moments presque défiante. Elle semblait y prendre du plaisir mental, trop si je peux dire, dans le cadre de ce qui devait être une punition et qui, pour moi, devait venir avec un peu plus d’humiliation que ça pour elle. Elle avait beau porter mon foutre sur son visage et être privée d’orgasme pour le moment, je n’avais pas l’impression de trouver la bonne dynamique pour l’amener là où je voulais.
Finalement, je décide de la ramener au salon, et de lui servir son repas, mais par terre, le tupperware posé sur le sol. Elle a eu droit de manger, mais les mains toujours menottées dans le dos et les yeux bandés. Je lui ai imposé une limite de temps (5 minutes m’ont paru suffisantes) au-delà de laquelle je lui retirerais le plat. C’était assez amusant à voir car c’était un peu galère pour elle (c’était des pommes de terre grenaille avec des haricots verts, pas évident à manger sans les mains). Elle était agenouillée par terre, les fesses en l’air, et je me suis dit que c’était le bon moment pour lui remettre le plug dans les fesses. Les yeux bandés, elle n’a évidemment rien vu de ce que je préparais et a été surprise de le recevoir de nouveau. Elle n’a pas eu le temps de finir son repas avant que je lui retire, mais je l’ai quand même fait me remercier de l’avoir laissée manger un peu. Je lui retire alors son masque, la fais alors se relever et se placer face à la porte fenêtre, jambes écartées. « Tu as si bien aimé offrir ton corps de salope vendredi soir, les passants aussi devraient en profiter. Tu vas rester comme ça 5 minutes pour commencer, et si tu es sage, peut-être que je viendrai t’enlever de là pour baiser ton petit cul de nouveau. Sinon, prépare-toi à prendre une nouvelle fessée et rester 5 minutes de plus, est-ce que c’est clair ? » Oui, maître. Je m’attendais à ce qu’elle bouge pour me provoquer et recevoir ces fessées, mais non.
Je m’assoies derrière elle et l’observe comme ça jusqu’à ce que les 5 minutes soient écoulées. Je la félicite pour sa docilité et lui demande si elle a été une bonne fille.
- Ce soir, oui, maître, mais pas vendredi soir.
- C’est bien, tu as bien compris. Tu méritais ta punition, alors ?
- Oui maître.
- Tu serais prête à faire quoi pour te faire pardonner ?
- Je vous offre mes trous, maître, faites-en ce que vous voulez.
- Tu les a offert à des inconnus vendredi soir, je ne vois pas en quoi ce serait spécial pour moi.
- Vous avez raison, maître, mais je vous en supplie, faites-moi jouir au moins une fois.
- Je pense que tu ne mérites pas de jouir ce soir, mais uniquement que je t’encule de nouveau. Tu es une bonne chienne, et tu mérites qu’on te remplisse le cul, mais je ne pense pas que tu mérites d’être baisée autrement ce soir. Ou alors, à la rigueur, la bouche, mais c'est tout. Tu en penses quoi ?
- Je serai obéissante, maître, mais s'il vous plait, juste une fois.
J'hésite mais décide de la prendre au mot et de la faire jouir, mais bien plus que prévu. Je la laisse où elle est et vais chercher son Sona puis reviens au salon. Elle n'a pas bougé, et je la félicite pour son obéissance. « En guise de récompense, tu vas pouvoir jouir, mais tu as l'interdiction de bouger, sinon, tu sais ce qui t'attend. »
Je lui remet son masque, allume le stimulateur et, me plaçant derrière elle, je passe mon bras autour de son bassin pour le placer sur son clitoris et l'allume. Il ne lui faut pas bien longtemps pour jouir et je vois qu'elle se retient pour ne pas laisser ses jambes trembler. Je la félicite pour ses efforts en lui offrant le droit à un deuxième orgasme. Je rallume le stimulateur et le repose sur son bouton, et là encore, il ne lui faut pas longtemps pour qu'elle jouisse, mais je la vois se tortiller un peu (elle a toujours du mal à rester immobile quand on continue les caresses après qu'elle ait déjà joui). Je la guide jusqu'à la chambre, m'assoies au bord du lit, la fait se pencher sur moi et lui assène à nouveau une bonne fessée jusqu'à ce qu'elle s'excuse d'avoir bouger.
Je la rallonge alors sur le lit sur le dos, me place entre ses jambes pour ne pas qu'elle puisse les resserrer, puis replace de nouveau le stimulateur au bon endroit et l'allume mais le met puissance maximale (elle l'utilise d'habitude au niveau 4 sur 8, ce que j'ai fait précédemment). Elle se tord dans tous les sens, le visage rouge, mais se plie en deux lorsqu'elle jouit une troisième fois, le stimulateur faisant parfaitement ce pour quoi il est prévu.
Elle commence à me supplier d'arrêter là et a le souffle court et les jambes qui tremblent. Je lui répond qu'elle m'avait supplié de la faire jouir, qu'elle a donc ce qu'elle a demandé, et que de la même façon qu'elle ne s'était pas arrêtée à un seul mec pour la tringler, je ne m'arrêterai pas à un seul orgasme. J'ai arbitrairement choisi qu'elle irait jusqu'à 5, qu'elle en était à 3, et qu'il lui en restait encore deux (je me suis aussi dit dans ma tête qu'on avait convenu d'un mot de passe précisément si je devais pousser trop loin, et qu'en absence de son utilisation, je pouvais continuer). J'ai donc posé une nouvelle fois le stimulateur sur son clitoris rouge et gonflé comme jamais, puissance maximale, et l'ai laissé là le temps nécessaire. Je la voyais se mordre la lèvre inférieure, le bassin convulsant, les jambes tremblantes et la respiration hachée par des touts petits gémissements qu'elle ne semblait pas contrôler. Puis finalement, un 4e orgasme l'a traversée dans un cri mais cette fois-ci, je n'ai pas retiré le stimulateur et le 5e orgasme a suivi quasi tout de suite dans un autre cri.
Je l'ai alors enlevé de sa position et l'ai laissée reprendre son souffle tandis que tout son corps continuait de trembler. Je suis sorti quelques instants du jeu de rôles pour monter près de son visage lui demander doucement si ça allait et si elle voulait qu'on arrête là. Elle m'a confirmé que ça allait et m'a demandé ce que j'avais encore prévu pour elle. Je lui ai rappelé qu'on avait convenu plus tôt que je l'encule une nouvelle fois. Je pensais qu'elle utiliserait le mot de passe pour arrêter là, trop fatiguée pour continuer, mais non. Elle s'est retournée sur le ventre sans un mot pour m'offrir ses fesses une nouvelle fois. Je lui ai demandé si elle était sûre, et elle m'a confirmé que oui, en ajoutant Maître à la fin de sa phrase, ce qui ne m'a laissé aucun doute.
J'ai tiré ses fesses vers moi pour qu'elle se mette à 4 pattes puis me suis alors de nouveau introduit dans son petit trou. Elle tremblait de partout et avait du mal à tenir sur ses bras. Je l'ai attrapée par les cheveux et ai rapidement accéléré la cadence et la vigueur de mes coups de reins dans son cul, tandis que je lui promets de l'offrir de nouveau à plusieurs hommes à qui elle pourra servir, comme la salope obéissante qu'elle est devenue. Elle semble physiquement lessivée et je me dépêche de finir, l'enculant brutalement avant de sortir pour lui jouir dans la raie des fesses.
Elle est surprise du fait que je n'ai pas joui en elle mais je lui indique que si elle ne méritait pas que je la baise autrement que par le cul, je ne voyais donc pas pourquoi elle mériterait ma semence. Je la détache et lui ordonne de retirer son porte-jarretelles et son masque, puis d'enfiler une petite culotte sans se nettoyer les fesses, de sorte que mon foutre marque sa culotte et ainsi mon territoire.
On arrête là le jeu, et elle fond littéralement dans mes bras. J'avoue avoir moi aussi apprécié que cela se termine car ça a été relativement éprouvant à gérer (moins qu'elle à subir, certes, mais quand même). Cependant, vu l'intensité des jeux, je me concentre sur Julie pour m'assurer qu'elle redescend en douceur. Je lui demande si elle veut manger quelque chose (l'orange est là pour ça), si elle veut boire quelque chose, enfiler son pyjama, se mettre à l'aise. Elle a juste soif mais veut surtout s'allonger. Je m'installe alors avec elle et la félicite pour cette soirée. Je lui dis à quel point je l'ai trouvée terriblement sexy, surtout quand elle a enchaîné les orgasmes. Je lui demande si elle veut qu'on échange tout de suite plus longuement sur ce qu'elle a vécu et comment elle l'a ressenti. Elle m'a dit que oui, et on a alors surtout discuté de ce qui lui a plu ou déplu.
Elle a énormément apprécié quand je ne lui ai laissée que 60 secondes pour jouir en se caressant et la limite de temps pour manger, ainsi que le fait qu'elle mangeait dans un tupperware par terre. Elle a trouvé cette posture à la fois excitante et humiliante, tout en étant ludique et amusante (en un sens). Elle a aussi beaucoup aimé avoir les yeux bandés (moins avoir autant les mains attachées car il y a des fois où c'était vraiment pas pratique) et aimerait la prochaine fois que j'accompagne le bandage des yeux par des bouchons d'oreille.
Elle a aimé les mots crus et jouer à m'appeler maître, et que je fasse référence crûment à ce qu'elle a fait vendredi soir et lui fasse redire comment elle s'était faite baisée. Elle a aimé la frustration de l'orgasme, ainsi que les orgasmes forcés ensuite, mais 5 étaient vraiment de trop, même si elle a un peu aimé quand même le fait d'être dépassée là dessus. Elle a aimé les fessées au début, moins à la fin. Elle a aimé être exposée devant la fenêtre. Elle a aimé me sucer aussi longuement dans le canapé sans que je la regarde, et a aimé qu'on baise en levrette à même le sol devant la fenêtre.
Elle a peu aimé le tout anal car elle avait vraiment envie que je la pénètre vaginalement. Elle aurait aimé que je lui caresse plus longuement les fesses et son petit trou.
Elle n'a pas du tout aimé que je ne jouisse pas une seule fois en elle et lui dise qu'elle ne méritait pas mon sperme. Ca l'a fait sortir un peu du jeu, car elle l'a pris comme une véritable remarque sincère, et j'ai du la rassurer en lui disant que ça faisait partie du jeu et rien d'autre. Elle a cependant aimé que je jouisse sur elle, et aime beaucoup l'idée de porter mon sperme dans sa culotte, ce qu'on a convenu de faire plus souvent (par exemple, le matin avant qu'elle parte au travail pour qu'elle le porte toute la journée). On a cependant convenu que je pourrais tout aussi bien jouir en elle, et elle n'aurait qu'à enfiler sa culotte sans se nettoyer pour obtenir le même résultat.
Je lui ai ensuite demandé si elle avait des idées pour d'autres aventures dans la semaine. Elle m'a dit qu'elle avait clairement besoin d'au moins un jour de repos, mais que peut-être on pourrait aller au Blue Vision mercredi soir, en fonction de sa récupération.
Je lui ai demandé ce qu'elle pensait d'un scénario où je l'amènerais les yeux bandés et oreilles bouchées dans la chambre où l'attendraient Stéphane et ses 2 amis pour la baiser à tour de rôle sans qu'elle sache qui fait quoi et combien de fois chacun la baise, et elle m'a dit en rougissant que ça lui plairait bien.
Puis nous nous sommes longuement câlinés dans les bras l'un de l'autre. Je l'ai laissée doucement s'endormir le temps de passer ici puis l'ai rejointe.