- 07 févr. 2019, 23:49
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en cas de souci je pourrai toujours aller la voir. Je mis donc cette cage. Ma femme me posa le cadenas et je me retrouve enfermé. Elle donne une clé a Valérie. Je me sens diminué, soumis. J'ai honte de moi. Cette cage me serre car bizarrement je suis excité. La cage étant effectivement un peu grande, une moitié érection est possible. Je n'ai pas jouis ce soir. Je lui demande de me laisser jouir j'ai trop envi. Un non claque violemment . Toujours nue, elle s'approche de valerie et commence a l'embrasser très amoureusement. Leurs langue de fouillent mutuellement la bouche. Leurs seins se touchent, leurs fesses ondule sous les caresses de l'une l'autre. je veux me toucher le sexe et ma main rencontre ma cage. Je la fais bouger en tous sens. Je sentais, malgré ma cage monter le plaisir. Après 20 minute de se traitement, de voir ma femme caresser et se faire caresser par une autre, j'ai enfin éjaculer dans ma cage. Quand ma femme s'en ai aperçu elle ne dit rien. Je pensais être tranquille et que sa domination n'était qu'un jeu. Nul fut le cas. Elle me lança de nouveau un regard et me demanda d'aller me nettoyer. Je devais faire disparaître toutes traces de sperme sans retirer la cage. LA douche fut suffisante. Quand je revins dans la pièce, elles étaient toutes deux montées dans la chambre. Elles étaient allongées nues dans le lit, enlacé.
elle: va chercher le lit pliant et tu l'installe a coté. Tu dormira la ce soir.
moi : et ma cage?
elle; tu la garde.
la nuit fut difficile. Cette cage n'était pas de bonne qualité. elle me faisait mal, me pinçais la peau des testicules...
le lendemain, j'étais de mauvaise humeur. Je voulais qu'elle me libère de cette cage, reprendre le cours de ma vie normalement. Quand enfin elles se réveillent elles me demandent de leurs apporter le café au lit. J'obtempérais très vite, espérant le retrait de cette maudite cage.
Quand j'entre dans la chambre, elles sont toujours nues, assises leurs poitrines généreuses bien en vu. je pose les tasses de café et pour toute recompense j'ai le droit a un sourire et un "merci demi nouille".
valerie: j'espère que tu as bien dormi
elle : ta cage ne t'as pas géné
moi : trop trop non et si elle me pince la peau des testicules.
elle : ben fallait pas jouer avec. si tu es sage ce soir je te l'enlève.
bien avant la soirée la cage est partie toute seule. Malgré le fait qu'elle me pinçait, la rétractation de mon sexe, le froid sur mes testicules elle devint vraiment trop grande.
le soir, cette vision déchaina ma femme. Elle me fit comprendre quele jeu que j'avais amener m'obligeais a respecter les règles. Qu'elles étaient simples je devais me soumettre aux désirs et demandes de ma femmes.