"au fait, j'ai invité Antoine vendredi soir"
"Tu trouves ma libido en baisse?"
"En fait c'est qu'il a très envie de venir"
"En toi?"
"Oh monsieur fait de l'humour... et après tout pourquoi pas, ose dire que tu n'aimes pas nous voir jouer, mon chéri...?"
"Tu sais très bien comme je te trouve belle emportée par le plaisir"
"On va avoir à cœur de te combler, t'inquiètes... il m'a encore dit combien il me désir..."
"Et toi ?"
"C'est pour te plaire mon chéri, je veux combler ton fantasme, tu sais bien..."
Puis on s'est coquinement embrassés....
Le jour dit, au moment de l'apéritif, Muriel demande à Antoine de la faire danser. Pas de bustier, ni rien d'un tantinet gothique mais au contraire une robe écrue, légère, frivole, boutonnée devant, jambes nues, sandales aux pieds. Elle se frotte contre son cavalier, sa poitrine, son ventre, les deux mains posées sur les fesses d'Antoine pour que les sexes se collent.
"Mais tu bandes déjà dis voir..."
"Ben tu fais tout pour...."
"C'est possible après tout...."
Et elle se tourne face à moi. Elle entraîne les bras à la serrer, les mains à la peloter. Elle me fixe en souriant, coquine, narquoise, délicieuse. Tout en continuant d'onduler elle défait le premier bouton de la robe, puis pose sa main sur celle d'Antoine pour qu'il continue. Lentement il ouvre le tissu, caresse un sein puis les deux, pince délicatement les tétons puis enveloppe chaque globe et embrasse le cou que Muriel décline à sa bouche. "Hum.... j'aime ton sexe dans mes reins et tes mains aussi, continue..."
Quand la robe est au sol, les doigts d'Antoine effleurent, le ventre qui se creuse, les aînes qui font offrir la fente, les cuisses qui durcissent comme sa queue, j'imagine.
J'ai commencé à me tripoter au travers de mon pantalon.
"Mets toi à l'aise mon mari voyons que je vois ton envie de moi...toi aussi Antoine que je te sente tout bien dur. Allez messieurs...." Tout cela dans un sourire désarmant.
Je regarde ma femme qui s'offre à Antoine. Elle masturbe la queue, embrasse les pectoraux et se trémousse d'enfer. Je me masturbe en vrai, à poil aussi.
"Viens Antoine viens, fait moi l'amour"
Et elle s'allonge sur le canapé une jambe au sol pour que la chatte se présente entre ouverte... Antoine observe cette femme sublime qui se donne à lui devant son cocu de mari. La grande queue part à la conquête, à l'assaut de ma belle...
Il rentre d'un coup et dès lors la baise furieusement.
Il relève les jambes contre ses épaules pour bien lui défoncer la chatte. Il frappe en rythme une fesse puis l'autre.
"Oui continue, oui encore, c'est bon" et elle gémit, grogne, souffle, tend sa foune et ses jambes pour être bien baisée. Je vois la mouille qui s'étale sur ses cuisses et le ventre de son amant. J'entends les sons de la bite qui entre et sort de l'orifice en feu, j'arrive à retenir mon envie. Il prend son membre à pleine main et le frotte sur toute la fente en prenant bien soin d'écraser son gland sur le clito tout rose. Elle est cambrée à souhait et profite pleinement au bord de jouir.
Plus possible de se retenir.
Il rentre, se couche sur elle, l'étreint et jouit. Elle part avec lui.
J'ai lâché ma queue pour ne pas éjaculer. Elle lâche le canapé, se détend et laisse Antoine sortir.
"Boudiou Antoine, quelle énergie !, t'as vu mon chéri..? Je suis toute retournée... Antoine tu nous apporterais quelques bulles ..."
Puis elle s'allonge au sol, un coussin sous les reins et d'un sourire m'invite à la couvrir comme on aime. Je ne lui laisse pas vraiment le temps de l'orgasme mais nous voilà satisfait qu'elle ait au fond d'elle les deux semences...
Après le petit en-cas servit par Antoine nous voilà tous les trois dans la chambre conjugale.
"Je vais prendre une douche" dit Muriel en inclinant la tête vers Antoine. "Repose toi mon chéri je reviens vite.... le bruit de l'eau couvre les sons des ablutions, mon imagination fait le reste...
Quand ils reviennent, j'ai mouillé le lit de mon côté. On s'endort....
Je me réveille au jour, Muriel dort sur le ventre. Je glisse ma main vers ses fesses en remontant la cuisse, mais là, bien à plat, se trouve la main d'Antoine. Je retire la mienne prestement.
Le salaud, bien à l'aise, à dormi, sa main posée sur le cul de ma femme...
Non seulement ils ont baisés sous la douche avant de dormir mais voilà une autre intimité...!
Elle se réveille avec son si joli sourire, elle m'embrasse alors que la main d'Antoine est toujours posée sur elle et qu'elle le sait... Le cocu candauliste aux anges...
A peine plus tard, elle se tourne sur le dos, sa main à saisit ma queue toute raide au matin.
" Eh ben Messieurs, au garde à vous matinal....!... faut-il que je vous aide?"
Elle joint le geste à la parole et je comprends qu'elle nous masturbe tous les deux.... Elle glisse sous le drap et nous suce savamment, nous astique délicieusement... je ne tente pas le bras de fer avec Antoine, et me laisse aller bien avant lui entre les doigts de ma femme qui me goûte pourtant avec quelques léchouilles et avale un peu de ma semence..
Elle en termine enfin avec Antoine que j'entends grogner à chaque giclée qui agite le lit. Je comprends qu'elle lèche aux mouvements de sa tête.
Elle réapparaît, " petit déjeuner copieux somme toute... allez les garçons à la douche...heu chacun de son côté, on est sage maintenant..."
Je suis surpris par le ton grivois de Muriel, elle est généralement réservée, mais voilà qu'en plus des gestes, elle ose les mots. Elle s'amuse de mon trouble, me nargue, m'entraîne dans son jeu. Elle me fait sentir que je suis cocu et en parallèle nos jeux à deux sont chaque fois plus intenses, plus torrides, plus amoureux.
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Que c'est bon le candaulisme !!
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