Jules a profité des vœux pour renouveler son invitation.
Aller chez l'amant, c'est un peu lui livrer ma femme...un complément à la perversité de nos jeux, une sorte de soumission acceptée d'emblée. D'ailleurs dès notre arrivée il la traite en hôte privilégiée, je suis le valet. Muriel se coule volontiers dans ce jeu que j'accepte sans rechigner. Ma princesse à la merci de ce Don Juan.
Jules m'avait suggéré une tenue pour Muriel, afin qu'elle lui plaise aux mieux de ses intentions lubriques, sans oublier un bandeau pour les yeux.
Muriel s'amuse, me titille du regard tout en aguichant Jules, sourires malicieux aux deux hommes. Sa sensualité est éclatante. Ils partagent une coupe, j'en ai une à part. Elle porte un boléro sur son bustier, un string sous sa jupe à volants, des dimup habillent ses jambes terminées sur ses escarpins, numéro 5 pour le standing bon chic bon genre.
Il la fait danser et me fait servir les petits fours. Ils rigolent, un peu plus fort à chaque pas, les mains de Jules glissent sur sa silhouette.
"J'adore vos seins, qu'elle croupe ma chère" le vouvoiement confère une note encore plus érotique à la scène.
"Tiens JF, pose le bandeau sur les yeux de ta femme, Muriel laissez vous guider belle dame, rêvez et profitez, votre mari sera témoin de vos plaisirs."
Il l'entraîne vers la chambre, je les suis à distance. Un grand lit, la pièce dans la pénombre, plus quatre psychés qui permettent une vue sous tous les angles, encens et musique douce....
Jules embrasse les mains de Muriel, encore debout, en remontant lentement sur ses bras, l'un après l'autre, jusqu'aux épaules. Il retire le boléro, embrasse les épaules, le cou, avant un baiser entre les seins soulevés par le bustier.
Que ma femme est belle ! Comme je bande ! Eh lui donc, le pantalon tout déformé !
Il entreprend de dégrafer lentement le bustier et dépose un baiser sur chaque sein a chaque fois qu'ils apparaissent plus nus et libres. Muriel souffle et gémit frissonnante. Il les enveloppe, les palpe dès qu'ils sont libres. Il reste debout près d'elle, l'enlace, ses mains font tomber la jupe et caressent ses fesses avec délicatesse avant de les saisir d'un coup ferme qui la fait crier et balancer son pubis tout contre celui de Jules. Il descend en s'agenouillant, fait tomber le string, bouffe la fente et retire progressivement les dimup. Elle est nue face à un Jules qui la contemple et la complimente de mots érotiques.
"Votre peau frémi, vos seins aux tétons pointus, votre sexe déjà luisant, votre cul bien rond, j'ai envie de vous Muriel"
"Ta femme me fait bander JF"
Il se met à poil, son membre tout raide part à la conquête, prêt pour l'assaut, il la veut, il le proclame fièrement, il va la pénétrer.
"Allongez vous ma délicieuse amie, laissez vous porter par le plaisir, votre mari vous regarde et moi je vous désire".
Allongé contre elle, il embrasse et caresse tout son corps.
" Ecartez vos cuisses, Montrez vos lèvres humides...hum"
"Je goûte la mouille de ta femme JF, une liqueur...."
Il la tourne sur le côté, prend ses fesses à pleines mains et plaque sa queue contre son ventre. Il roule sur le dos, sa tête enfouie dans la poitrine de Muriel, il écarte ses fesses et a même une phalange dans son anus. Elle geint avant un cri de surprise acceptée.
"T'aime ça ma salope..! T'aime ça hein?!"
"Allonge toi sur le dos, ouvre tes lèvres avec tes doigts montre nous ta chatte bien ouverte"
Muriel, soumise et dominée, langue pincée entre ses lèvres nous exhibe son orifice rose, palpitant, où se forme les gouttes et les bulles de mouille.
Jules tapote, goûte, lèche, fouille, toute la fente et le clito.
"Que ta femme est bonne !"
"Je te veux Muriel, je te veux !"
Il guide son membre vers et dans le ventre de Muriel qui se donne et le reçoit.
Ils baisent maintenant. Comme des bêtes en rut, ils partagent, échangent plaisirs et excitations. Rouges et en sueur ils font l'amour, dessus dessous liés par leur sexe. Il ne l'a quitte pas des yeux, regarde sa queue entrer et sortir. Elle, se secoue agitée, accrochée au drap, au matelas. Il grogne, elle crie ou gémit. Ils baisent, se réjouissent l'un de l'autre. Je vois ses seins se balancer, ses fesses se soulever, sa bouche sur la sienne, ou encore les deux en 69 salive et jus abondands et la queue brandie. Je me tripote, me retiens, mais me libère entre mes doigts.
"Alors JF t'a rien gardé pour ta femme...." "Je vais te prendre ma belle laisse moi te servir..."
" Oui oui continue, viens, encore, viens prends moi " soufflé avec tant d'envie.
Il la baise encore, encore un peu et il gicle, elle crie, il la prend enfoncé à fond, vrillé, chevillé à son ventre.
Leur petite mort qui s'éternise, c'est la prise de conscience de mon cocufiage.
Elle hôte enfin
le bandeau, regarde la queue longue encore, à peine ramolie de Jules,
" Boudiou, c'est toi qui m'a fait tout ça...."
"Quelle femme délicieuse tu es ... " Il ajoute, à mon intention :
"une vraie bonne salope qu'on a envie de faire jouir, c'est ce que tu voulais JF....non ?..."
"Mon pauvre chéri c'est vrai ? Tu n'as plus de force on dirait... dans ce cas sers nous une coupette, les extases donnent soif... bonne fatigue quand même..." Dit avec un regard souriant à Jules.
Elle se redresse dans le lit et reste nue, s'exhibe sans aucune pudeur devant nous. Quelle est belle et comme elle sait qu'elle captive nos regards. Jules bande de nouveau et je commence egalement à retrouver mon énergie. Cette vision nous inspire. Ses lèvres au bord de la coupe, un discret sourire, ses seins plus lourds, encore dans les suites de l'orgasme, la naissance de la fente luisante, tout comme les traces des liquides de l'amour sur le pubis, ses aines et ses cuisses... Cette femme vient de baiser et serait prête à recommencer....
Là je bande ! Envie d'elle et envie de la voir encore prise par Jules.
Lui, ne se pose aucune question, il l'enjambe, pose la coupe, l'embrasse et lui fait l'amour une fois encore.
Cette fois je suis bien décidé à me retenir pour un après éventuel...
Ils sont de nouveau allongés, Jules dans son dos, Muriel me fait face. Elle écarte ses cuisses et guide le membre vers sa vulve. Elle me fixe, langue pincée, me fixe encore jusqu'à ce qu'il rentre, sans cligner, bouche pointue, un léger sursaut, il est en elle. Sa main roule les boules, lui, il serre un sein. Il la baise encore... et elle prend son pieds en petits souffles saccadés. Toujours ses yeux fixés aux miens. C'est terrible de contenir mon envie. Je me masturbe tout près de son visage. Elle ouvre sa bouche... une invitation....? Mon gland sur ses lèvres pendant que la queue de Jules la pompe énergiquement.
Son amant la bourre pendant que je me masturbe au contact de sa bouche. Elle me suce même. Whaou, quelle sensation !!!
C'est trop pour moi ! Mon jus coule entre mes doigts et sur ses lèvres, un peu sur sa langue... elle avale avant de ne se consacrer qu'à son amant.
Il la roule sur le ventre et la baise dressé sur son cul. Le visage dans les draps, les bras tendus vers la tête de lit où elle s'accroche en criant. Elle est rouge, essoufflée, tremblante, grimaçante. Les sons du piston de la queue qui coulisse dans le vagin dilaté et trempé, quel aphrodisiaque extrême ! Le parfum de sexe qui émane des deux corps, un scandale vulgaire de sincérité. Elle est prête, au niveau sublime pour que l'orgasme éclate.
Il doit venir, la prendre là, maintenant, elle le veut.
Ils jouissent, jouissent, s'accouplent, s'etreingnent .... le jus s'étale en elle,
Apaisement de la petite mort, encore.... Jules s'allonge sur Muriel appuyé sur ses coudes pour ne pas l'écraser. Ils soufflent en cœur, lentement et profondément....
Il sort enfin, bite trempée en berne.
Muriel ne bouge plus. Elle s'endort. Je sais qu'elle a le goût de ma semence dans sa bouche, le jus de Jules qui s'écoule de son orifice, entre ses cuisses si chaudes à peine entre ouvertes...
Quel sujet de conversation entre l'amant qui vient de sauter l'épouse et le mari cocu ..? ben, la Belle somme toute, endormie, épuisée, assouvie, satisfaite....
"Quelle chance tu as d'avoir une femme pareille ! Non seulement elle est belle mais vraiment quelle femelle ! Tellement réceptive, tellement réactive.... elle est vraiment bonne, vraiment....."
"Ouai elle est belle et c'est une bonne amante, ces réactions me font craquer.."
" Ça j'ai vu...
, elle ne t'en veux pas de ne plus pouvoir après ?"
"Arrive toujours le moment pour nous deux...un candauliste sait attendre, c'est même ça qui nous excite tu comprends..."
" Oh sûrement.... enfin moi la prendre en premier ça me va bien.... je recommence quand tu veux...si elle est d'accord évidemment...eh pis te faire cocu avec ton accord c'est quand même pas mal..."
"Elle reste ma femme et en fait je lui offre des orgasmes à travers les amants que je lui offre..."
"Ok ok, ben offrons lui encore, je suis dispo, à votre service comme étalon. D'autant qu'elle a l'air d'aimer ça...."
"On le fait qu'avec son accord, il faut qu'elle ait envie, envie de le faire..."
"Ça se ressent et c'est encore plus jouissif ! Y a pas de contrainte, elle donne tout, c'est génial"
"Ça te surprend ?"
"Les femmes sont surprenantes...si vous souhaitez, je peux organiser une soirée très lubrique, elle serait la reine d'un soir, exhibée, réjouie, un niveau d'excitation au top, je serai le seul à la pénétrer devant des regards envieux, une veritable exhibition.
..Une femme qui le fait pour suivre son mari.... c'est triste.... ta Muriel, elle aime le cul ! "
"J'en suis fière"
"Et fière d'être cocu.... tout de même..."
"Je ne sais pas si on peut dire que je suis cocu, puisque je suis d'accord et présent"
"Ben je baise ta femme qui en a envie et qui se donne avec énergie....tu es juste d'accord pour être cocu... c'est l'histoire de votre couple, elle ne se cache pas pour niquer avec d'autres, c'est tout..."
" Sauf qu'on est totalement fusionnel en sentiments"
"Je vous laisse cet aspect amoureux, c'est juste le sexe qui m'intéresse...baiser ta femme et la prendre devant toi... puis si on se croise en public, encore une petite sensation particulière...se dire : tiens je baise sa femme .... et ils aiment ça... Mais je suis d'accord, je pense que si je l'avais reçue comme patiente elle serait restée très distante... c'est ta présence qui lui ouvre cette liberté...."
"Tu vois on est d'accord....
... je la réveille puis je te rappelle pour ta proposition...."
Trop de fatigue cette nuit là pour entreprendre autre chose, on est rentré.