On croise Benoît à la terrasse d'un café, accompagné d'un ami, Antony.
Muriel et moi constatons les sourires appuyés du garçon envers Muriel qui s'en amuse.
L'audacieux se lance après que la discussion évolue autour des relations amicales que nous entretenons avec Benoît.
"je dois vous dire que Benoît m'a raconté un peu vos soirées.... il a vraiment de la chance ... Muriel vous êtes charmante... vous êtes un couple original..."
Le silence s'installe, Benoît très mal à l'aise.
"Donc cela vous choque ? " Demande Muriel et elle continue " bravo Benoît, quel savoir vivre !....j'aurais dû me douter que tu ne saurais pas tenir ta langue...tais toi JF avant de faire de mauvaises plaisanteries...."
L'humour sauve parfois de situations critiques.
Je prends conscience à cet instant que cet Antony est certainement au courant pour la cage et que j'apparais devant tous comme le cocu de service. Il contemple Muriel et j'ai l'impression qu'il regarde ma braguette pour y apercevoir les silhouettes des cercles métalliques.
Benoît tente de se dépatouiller et de s'excuser maladroitement. C'est Muriel qui le sauve
"c'est pas si grave, va.... j'assume ma vie....et toi aussi mon chéri, non ?"
" Bien sûr qu'on assume ... sans qu'on ait envie de le crier sur les toits pour autant..."
Difficile d'oculter cet échange et de reprendre une discussion banale.
C'est pourtant Muriel qui s'y colle.
"Finalement tu en penses quoi, toi, de ces jeux d'adultes ?"
Forcément le mec trouve ça génial, que Benoît a une sacrée chance....etc...etc ..
En quelques échanges de regards complices, Muriel me fait comprendre son attirance pour ce beau métisse, une évidence.
Au moment de se séparer, je lui glisse mon numéro de portable.....
La messe est dite, Benoît est détrôné par Antony. Il l'a fait tout seul....
De retour chez nous :
" dis donc il te plaît ce garçon. ...et toi tu es à son goût.... pas de doute.. ."
..."c'est notre couple qui intrigue mon chéri.."
" mouai c'est ça....ton petit corps de princesse c'est tout !"...
"penses tu ...."
"On verra bien quand il sera là"
" tu l'as déjà invité ? "
" Non pas déjà quand même"...
." Ben traîne pas trop alors... oups je rigole"..
."je te connais ...je savais..."
"Dis donc...tu en penses quoi si je t'enlevais la cage là maintenant..."…
La suite subtile et sublime de l amour émoustillé par l'avenir...
Peu de temps plus tard Antony passe sans prévenir.
J'avais parlé avec lui et il n'a pas résisté a devancer l'invitation. Je l'accompagne auprès de Muriel en tenue d'Ève au bord de la piscine.... Sans aucune pudeur elle se redresse pour échanger deux bises de bienvenue.
L' Antony matte clairement mon épouse qui minaude sans excès. Elle n'a pas besoin, ses courbes, ses formes parlent pour elle. Je suis certain qu'il bande déjà... moi aussi.
"Ben mets toi à l'aise, il fait beau et l'eau est bonne.." en silence je pense qu'il n'y a pas que l'eau....
"JF tu vas chercher les coupes ...profites en aussi pour mettre ta cage...mon chéri.."
Quand je reviens Antony est à poil contre ma femme...la cage me contient.
Elle les choisi toujours beaux gosses et celui-ci ne fait pas exception...
" Mon chéri, montre ta cage à Antony, il n'a jamais vu ça".
Forcément je ne suis pas à mon avantage...en baissant le bermuda ma bite se rétracte totalement, les couilles pendent, minable....
"Hou la je comprends...ça doit gêner ? Ça te fait mal ?..."
"Ça l'oblige à être sage quand moi je ne le suis pas...
....et toi Antony on dirait que ce modèle serait bien petit pour ton anatomie... d'autant que ma présence à l'air de t'émouvoir..." Et Muriel pose une main sur le sexe du visiteur en lui sussurant de lui étaler un petit peu de crème solaire... C'est parti, ils vont faire l'amour devant moi.
Quel corps, quel sexe, ma femme une liane enlacée par cet amant. Ils sont beaux, se plaisent, s'attirent, se désirent...La cage me condamne physiquement et moralement, alors que lui bande comme un âne, le salaud...! Que Muriel est lascive et offerte, belle, si belle. Réactive et participative ... déjà...
" Regarde Antony, comme mon mari est coincé " avant de continuer de prodiguer une fellation a son amant.
"Putain elle suce bien ta meuf.!!..hum.... continue"
Je ne m'habitue pas à cette prison, toujours envie de bander et donc de souffrir, toujours besoin de matter les amants. Je détaille les évidences de leurs envies...les sexes humides, le rouge aux joues, les souffles courts et profonds, les crispations des mains des orteils, la poitrine tendue de ma femme, le sexe de son amant qui se raidi, se redresse. Les gémissements, les couinements qui accompagnent les plaisirs féminins. Ils mélangent leur langue en s'embrassant, elle qui masturbe Antony, lui qui la fouille...
"Viens rentre..."
" T'entends, ta femme veut que je la pénètre... ça te fait pas bander ? !"...
Je serre les dents, je grimace aussi...et il en rajoute.
" Écarte bien tes cuisses ma belle, ouvre ta chatte... whaou bien mouillée dis donc..."
"Vas y rentre ...!"
"T'en veux hein ! He le mari regarde ! Je baise sa meuf ....ça t'excite pas, tu restes tout mou..."
Et il lui, rentre tout son gros sexe qu'elle reçoit en couinant, langue pointant entre ses lèvres serrées...
Ils baisent en vrai. Il la pilonne, pelote sa poitrine ou empoigne les cuisses puis les fesses. Elle se tortille en gémissant tellement....un rythme effréné...puis retour au calme le temps de la digestion de son premier orgasme....
"T'es trop bonne toi !!"
Il sort son membre, retourne Muriel comme une plume et la prend
en levrette..." Quel cul ! quel cul !"
Une tache de mouille sur la serviette, le sexe luisant, coulant.... j'assiste douloureusement impuissant....
Il la baise à nouveau, lime et regarde son pieu coulisser. Je suis fasciné, en souffrance, enfermé...
Muriel toute rouge profite, joui, et se donne. Elle me lance quelques regards perdus dans le plaisir.
Elle balbucie " c'est bon, encore, oui continue..." Et pour moi dans ma cage
" t'as vu comme il bande ...!"
De fait il bande le salaud ! Quelle queue !!!
" T'es bonne Muriel ! Je te veux !"
Encore des coups de reins, encore...
Les doigts de ma femme se ferment sur la serviette, le dos creux elle tend son cul au mandrin.
Il la prend, ils jouissent, partagent leur orgasme....et doucement s'effondrent.... ... quelle frustration, du lubrifiant suinte au bout de ma nouille...sur le métal...
Lui a éjaculé au fond de ma Muriel et cela se voit sur sa queue quand il se retire pas encore debandé...je veux voir aussi les traces s'écouler de la vulve de ma femme, la soumission va jusque là....
La douleur, l'impossibilité de bander et pourtant ce besoin candauliste de matter, de voir les traces physiques des étreintes.
"Whaou, bien Antony... bien...,.wahouf..JF tu nous passes une coupette, ça donne envie de bulles... tout ça"
"Merci Muriel t'es vraiment ... vraiment.....incroyable.....".
"Ah ouai...? Je te plaîs....
.."
Elle minaude en délicieuse perverse...
Tous trois, verres en main,
" alors on trinque messieurs...?"
" A toi la belle...a toi le cocu..!"
Que dire ....je dégluti...
" L'heure de ta satisfaction arrive ....si.si...fais le, là maintenant ... jusqu'au bout mon chéri... jusqu'au bout...."
L'heure de la masturbation publique est arrivée.... humiliante.... un soulagement frustrant.
Je ne bande pas de suite bien que je tente de me tripoter....je me masturbe quand je regarde ma femme faire l'amour, mais se donner en spectacle c'est autre chose... Ils m'observent... ça me bloque.
" C'est un peine à jouir ton mari ...?"
"Pense au spectacle qu'on vient de s'offrir mon chéri...tu vas y arriver..."
De fait des images me reviennent, je bande timidement, mes mains font le reste...
Je suis là, debout, devant ma femme et son amant entrain de me tripoter à deux mains...je bande enfin, mes couilles se rétractent ma queue durcie.... Ils me mattent et m'humilient ensemble.
" Oui mon chéri vas y ...vas y..."
" Regarde moi regarde moi quand tu vas jouir...yeux ouverts..si si.. allez !"
Je souffle fort, le cœur battant tout rouge et grimaçant.
Je sens, sans trop tarder, la sève monter.
Ma femme est figée elle aussi, rouge, elle serre convulsivement dans sa main la queue d'Antony. Lui aussi fixe ma bite et mon visage grimaçant.
" Doucement mon chéri doucement.... arrête ... pas déjà...retiens toi encore, arrête je te dis !"
J'obéis et ma tension se calme, la bandaison de même alors que mon lubrifiant suinte au bout de mon gland..et mon envie si proche d'aboutir.
Courbée sur les cuisses de son amant elle se met à le sucer cul relevé, parfaite salope indécente.
....ha bon dieu quelle salope !! J'étais au bord de jouir et me voilà contraint à la vision de son spectacle pornographique ... Elle, elle profite..et lui donc ..! Moi, ça me redonne la trique. Je bande douloureusement ....retenu si près du but...et maintenant frustré.
Antony se laisse faire tout en fouillant à pleins doigts la foune trempée et offerte de ma femme. Il retire sa main, goûte le jus et y retourne en se léchant les lèvres pour me narguer. Ses cheveux à elle, cachent son visage mais elle continue de pomper. Elle se redresse et s'empale. Elle est rouge, cheveux collés de sueur, de bave, des fluides du sexe, totalement salope et dominatrice " aller mon chéri reprend...oui ... regarde ma chevauchée", et de fait elle monte et descend sur le pieu d'Antony. Ils baisent en s'excitant de ma masturbation. Les deux visages qui m'observent sont allucinants. Ma jouissance arrêtée juste avant la limite me bloque maintenant. Je peine à jouir, tout rouge mais bloqué. Je me paluche maladroit et honteux. Lui donne de grands coups de bassin bruyants, sexe contre sexe. A califourchon, Muriel s'empale avec force.
" Si si mon chéri tu vas y arriver...tu dois.."
" Putain il va pas jouir... éjacule putain !! Je veux voir ça .., !! Suis au bout moi ! J'vais prendre ta femme !"
A bout de résistance, rien ne vient, je continue à l'extrême, rouge feu, mâchoires crispées, je dégouline de sueur et martyrise frénétiquement mes couilles et mon membre meurtri. Mâchoires serrées, cuisses et fesses tétanisées par l'effort, j'insiste, je me branle sans compter, ça doit venir. Ma femme veut me voir jouir, ses yeux plantés sur ma queue que je tripote comme un malade. Antony continue l'orgie dans son ventre. Ils n'en peuvent plus, se veulent l'extase doit venir, il doit la posséder...
Enfin mon jus sort... la libération arrive, en sueur et dégoulinant, épuisé, les spasmes salvateurs....entre mes doigts gluants.
"Han han han ... tiens prend prend ça... prends ! ..." Grogne Antony a chaque fois qu'il se vide dans le corps de Muriel en extase.
Les deux amants ne bougent plus, juste une trace du sperme d'Antony s'écoule à peine le long de sa queue encore enfoncée dans la vulve rose....
"Eh bien voilà mon chéri.... voilà... ça soulage non..?... oups...heu toi aussi Antony ... j'ai tout pris... dis donc..!..oups... qu'elle honte de parler comme ça....mais c'est de ta faute mon chéri tu m'as trop dévergondée.... ".
Muriel se dégage d'Antony et passe sous la douche de la piscine. Sans pudeur on la voit se laver tout le corps, sexe inclus, elle y fait entrer l'eau pour en évacuer la semence d'Antony. Incontestablement elle jubile de son audace impertinente.
"Sèche moi donc mon mari, je vois bien que je ne risque plus rien" en lorgnant sur ma quéquette ramollie....
Antony et moi passons à notre tour sous la douche.
"Pose ta cage, Antony va la fermer je suis certaine que ça va l'amuser....non ?... sourire".
Sans trop de précaution il m'encage et laisse retomber le paquet, pas si à l'aise que ça en fait.
"Muriel ... j'avais jamais fait ça..."
" He alors...? "
" T'es une drôle toi....".
.."c'est mon mari chéri le drôle... candauliste et soumis..."
J'ai droit à un clin d'œil et Antony a une tape sur les fesses.
La soirée ne fait que commencer...je reste nu, cage en vue, à servir les amants. Muriel en chasuble fendue jusqu'aux hanches et lui en bermuda régulièrement déformé par son sexe en érection.
Ils flirt, se tripotent, plus ou moins loin dans les gestes de l'amour.
Antony semble inépuisable...ce qui enchante Muriel de se sentir autant désirée...
Les voilà qui baisent avec ardeur. Ils se déchaînent encouragés par mon impuissance forcée.
Que ma femme aime ça !! Comme
elle participe, se donne et réclame. Et lui toujours efficace, remet ça, attentif au rythme il lui donne des orgasmes éblouissants.
Je suis là, ensuite pour le repos des amants....avec bulles et petits fours.
Quels jeux pervers ! Oh combien excitants !
Nos retrouvailles en couple tellement attendues, tellement amoureuses... paradoxe candauliste....