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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Qsdf
#2218996
Bonjour,
Je vais publier ici l'histoire de nos aventures libertines qui ont duré 6 mois il y a quelques années.
Compte tenu de la longueur du texte (ben oui 6 mois y a de quoi raconter) je vais le découper en 4 parties. Vous pourrez aller directement aux parties qui vous intéressent ;)

- Présentations et débuts côte a côtiste
- Glissement vers le mélangisme
- Vers l'échangisme
- Vers le triolisme et le candaulisme

Bonne lecture :D
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par Qsdf
#2218997
Par où commencer pour raconter cette histoire ?
C’est aussi simple que compliqué, alors je vais commencer par le début et faire les présentations d’usage.


Mariés depuis quinze ans. Ma femme Carla est un petit bout de femme de 1,55 m, pleine d’énergie, blonde aux cheveux mi-longs, toujours apprêtée, maquillée et parfumée. On la dit pétillante, ne perdant jamais une occasion de rire, aimant faire la fête. D’un naturel tactile, smackant depuis toujours ses meilleurs ami(e)s pour leur dire bonjour, elle attire la sympathie et rayonne dès lors qu’elle se sent en bonne compagnie. Sur le plan physique, quelques kilos superflus installés avec les années se font largement oublier lorsqu’on plonge le regard dans son décolleté composé de très jolis seins à la forme généreuse et surtout bien ronds (95 E). Pour ma part, Éric, je suis un peu plus grand, 1,70 m, mince, et n’ai jamais eu de problème pour séduire les femmes, en bref je suis d’un physique normal. À l’aube de la cinquantaine, on dit que nous paraissons plus jeunes que notre âge, donc inutile de préciser ceux-ci.


Nous avons une vie sociale plutôt nourrie, beaucoup d’amis, des passions et des activités professionnelles très différentes qui laissent du temps libre à Carla et, pour ma part, qui m’occupent la plupart du temps. Quand je suis au bureau, il ne se passe pas un jour sans que Carla ne m’envoie des SMS ou MMS qui peuvent s’avérer parfois très coquins surtout lorsqu’elle sait que je suis occupé et risque d’être troublé en les recevant. C’est un petit jeu entre nous. Nous n’avons pas de problème de couple, et nous nous entendons à merveille.


Lorsque nous nous sommes rencontrés, nous avions déjà vécu une vie chacun de notre côté et n’avons jamais eu de sentiment d’inaccomplissement comme pourraient en avoir des personnes se rencontrant trop tôt. Pour ne pas laisser la routine s’installer, nous nous réservons de temps à autre une sortie nocturne souvent initiée par un bon restaurant et que nous prolongeons par des spectacles, théâtre, ou des promenades nocturnes dans les rues de la capitale.


Côté sexe, nous avons une activité tout à fait normale, Carla n’ayant jamais été coincée là-dessus, ne me refusant aucune pratique pour peu que celle-ci soit réalisée avec douceur. Quand nous nous sommes connus, elle m’a raconté comment s’était passée la fois où, à l’âge de dix-neuf ans, elle a passé une nuit torride avec une copine. Sa conclusion sur cet épisode était que, si rien n’égale la douceur et les caresses d’une femme, au bout d’un moment il leur a manqué quelque chose pour finir en apothéose. Dieu que j’aurais aimé voir cela et y participer, j’aurais peut-être pu pallier le manque ressenti. Parfois nous regardons un film porno pour nous mettre en appétit. Les scènes à deux couples et les trios m’excitent bien plus que les scènes à deux, cela n’échappe pas à Carla. Lorsque nous faisons l’amour, nous aimons « délirer » en nous parlant, en fantasmant à voix haute. Dans ces moments, je demande à Carla de m’avouer qu’elle a aimé jouir et faire jouir cette femme, qu’elle aimerait recommencer, qu’elle accepterait de me faire participer, lui demande si elle me prêterait à sa copine… Elle entre toujours dans le jeu connaissant les réponses qui m’excitent ce qui nous entraîne assez vite tous les deux vers l’orgasme.


Pour ajouter un peu de saveurs et de chaleur sous la couette, nous avons, comme beaucoup de couples, fini par introduire dans nos jeux quelques gadgets achetés au retour/détour de nos soirées. Parmi ces gadgets, il en est un que nous apprécions plus que les autres, car sa forme, son volume, son aspect sont très réalistes et je ne souffre pas de la comparaison. J’aime la faire jouir avec ma langue tout en introduisant ce gode en elle. Elle ne tarde généralement pas à m’attraper le sexe pour l’engloutir dans sa bouche et me branler son but étant de me faire jouir avant que je ne lui fasse perdre tous ses moyens. Il nous arrive également que je l’allonge sur le dos, les jambes bien remontées, et que je m’introduise en elle par la porte de derrière et que j’introduise son sextoy dans sa petite chatte humide. Pendant que je la prends comme ça, j’aime lui demander de me dire qu’elle apprécie, si elle voulait aussi essayer avec un deuxième homme. J’aime l’entendre gémir plus qu’à son habitude, se tordre sous mes assauts. Dans cette configuration, prise des deux côtés, je gagne toujours à la faire jouir avant moi, mais je reste frustré de ne pas sentir son plaisir fondre directement sur mon sexe. Il faudra que je trouve le moyen un jour d’inverser les rôles…


C’est ainsi qu’un soir, après avoir eu ce genre de délire, elle m’a dit un peu gênée.


• — Tu sais, c’était pour délirer que je t’ai dit que j’aimerais un deuxième homme.


Profitant de ce moment d’hésitation, je lui répondis :


• — Oui, je sais. Tu préférerais une femme ?
• — Ben non, car je ne veux pas te partager avec une autre.
• — Oui, mais si tu n’avais pas à me partager, si je devais seulement regarder ?
• — Ben qui s’occuperait de cette femme quand nous serons trop excitées ?
• — Son mari !
• — Comment ça, je ne comprends pas ?
• — Ben imagine que nous fassions l’amour côte à côte avec un autre couple et que les échanges de caresses soient exclusivement entre femmes
• — Ça ne va pas dans ta tête !
• — Si si, très bien
• — Mais je n’oserais pas. Et puis je ne veux pas risquer de me faire peloter par un autre homme.


La discussion s’était arrêtée là. Quelques jours plus tard, trop content d’avoir trouvé cette idée, j’attendis qu’on se mette au lit et qu’on se fasse notre câlin des soirs sages. Alors que nous nous apprêtions à nous endormir, je revins à la charge.


• — Alors, que penses-tu de mon idée ?
• — Quelle idée ?
• — Ben tu sais… celle dont je t’ai parlé. Faire l’amour côte à côte avec un autre couple
• — Je ne sais pas. Et puis je ne vois pas ce que cela nous apporterait et en plus je ne vois pas avec qui.
• — Ben moi, je pense que ce serait excitant de voir un autre couple à côté de nous, et de te voir avec une femme.
• — Ah bon ? Mais cela ne change rien au fait que je ne vois pas avec qui, car je ne voudrais pas que ce soit avec des amis, cela risquerait trop de changer nos relations avec eux.
• — Donc, tu n’es pas contre ?
• — Je n’ai pas dit ça.
• — Pourtant, je suis sûr que cela te rappellerait de bons souvenirs. Et puis cela nous permettrait de sortir un peu et de nous fabriquer de bons souvenirs pour quand on sera vieux !
• — Pff ! Tu es bête !
• — Tu sais, on pourrait aller voir comment ça se passe sur les sites de rencontres échangistes.
• — Ça ne va pas non ?
• — Ben, au moins aller voir. On ne risque rien derrière un écran. Et puis on ne connaît personne sur ces sites.
• — Allez dors, maintenant tu dis n’importe quoi.


C’est ainsi que j’ai commencé à me renseigner sur internet sur les clubs échangistes, et sur les risques que prennent les couples qui s’aventurent dans ce genre de sexualité. J’ai aussi lu des témoignages d’expériences réussies, mais aussi d’expériences décevantes. Enfin, j’ai surfé sur les sites de rencontres pour couples libertins. Quelques jours plus tard et alors que j’estimais être suffisamment documenté, au moment de passer au lit, je proposai à Carla qu’on regarde ensemble sur l’ordinateur portable les sites que j’avais sélectionnés, ce qu’elle a accepté.


Je me dépêchai de brancher le portable et nous commencions nos visites de sites. C’est ainsi que nous découvrîmes ensemble les différentes définitions de ce petit monde. Le « côte-à-côtisme » pour les couples qui, comme le terme le suggère, font l’amour côte à côte avec parfois quelques échanges de caresses entre couples même si celles-ci sont exclusivement réservées entre femmes. Le mélangisme pour lequel les caresses entre couples et partenaires sont acceptées y compris les plaisirs saphiques (pas de pénétration hors couple). L’échangisme où il y a échange de partenaires et pénétration hors couple, le 2 + 2 pour lequel il y a échange de partenaire dans des pièces/lieux séparés, ou encore le candaulisme pour les couples dont l’homme ne fait que regarder sa femme se faire prendre par un autre homme, etc. Si aucune de ces pratiques ne semblait plaire à Carla, aucune ne semblait la choquer au point de mettre un terme à cette soirée d’information. Une fois arrivé sur le site d’annonces afin obtenir toutes les fonctionnalités comme consulter les fiches, accéder aux filtres de recherche, au tchat, ou encore aux webcams, il fallait prendre un abonnement. Je tentai donc :


• — On prend l’offre d’abonnement pour trois mois ? Cela semble plus avantageux. Et puis on n’a pas le choix si on veut voir ce qu’il y a dans ces sites ?
• — Ben effectivement, on n’a pas le choix, me répond-elle en se lovant sur mon épaule.


J’étais surpris de sa réponse aussi je ne perdis pas une minute pour entrer les numéros de la CB et valider l’abonnement avant qu’elle ne change d’avis. Le lendemain, nous complétions notre fiche par un petit texte décrivant nos souhaits (côte-à-côtisme) en précisant bien que nous étions encore très hésitants, de quelques photos à partir desquelles nous ne pouvions être reconnus, et consultions nos premières annonces. Nous avons vite trouvé les filtres de recherche, que ce soit par tranches d’âge, de géographie, de pratiques. À notre grande surprise, malgré nos filtres restrictifs, il y avait beaucoup plus de fiches que nous ne l’aurions anticipé correspondant aux critères que nous nous avions renseignés.


Nous avons passé quelques soirées sur ce site, et nous avons vite eu pas mal de visites/contacts soit par des couples, soit d’hommes seuls directement blacklistés, car ils n’avaient manifestement pas lu l’annonce. Sur le tchat, nous décelions assez vite les couples correspondant peu ou pas à nos critères. Les approches trop directes du genre « bsr, dispo ce soir ? » étaient immédiatement écartées. Cependant nous avions aussi parfois des contacts sympas avec certains couples. Carla n’aimait pas trop regarder les exhibitions dans la partie Webcam, mais moi j’aimais bien voir et commenter ces exhibitions. On y trouvait autant des couples aux pratiques exhibitionnistes (parfois gore avec fist et compagnie…), des transsexuels, des trios, des partouzes, bref, il y en avait pour tous les goûts. Regarder ces couples s’exhiber m’excitait et cela n’échappait pas à la bienveillance de mon épouse qui en profitait bien après.


Après bien des contacts par tchat, nous avons fini par rencontrer de visu quelques couples, de préférence en lieu neutre autour d’un verre ou d’un dîner au restaurant. Si leur fiche sur le site semblait nous convenir, en réalité, à chaque fois quelque chose coinçait. Avec Carla nous avions mis en place un code pour écourter la rencontre si quelque chose ne nous convenait pas. En effet, si l’un de nous deux se mettait à parler sport alors nous comprenions qu’il fallait habilement écourter le rendez-vous. Je me souviens d’une fois où à peine le couple est-il arrivé que je me suis mis à parler de foot (alors que j’ai horreur du foot) tellement il y avait d’écart entre le physique réel de ces personnes et les photos de leur fiche (qui devaient dater de plus 10 ans !).


Grâce à ce site, nous avons rencontré Robert et Martine, couple dans nos âges, se définissant comme mélangistes et échangistes si affinité. Ils étaient bien plus expérimentés que nous dans le libertinage. Martine était une jolie femme blonde, mince, la cinquantaine, pas très grande, perchée sur de hauts talons, et s’habillant de robes fendues hyper sexy. Martine n’était pas attirée par les femmes ou alors pour faire plaisir à son mari. En fait, Martine était suiveuse de son mari dans cette aventure. Robert était sympa, d’allure normale, plutôt bien conservé, un physique quelconque, ni beau ni moche, mais très bavard. Il ne s’est rien passé avec eux probablement par timidité de notre côté, mais aussi parce qu’ils avaient déjà leur réseau de couples d’amis échangistes qu’ils voyaient régulièrement. Le côte-à-côtisme n’était plus vraiment dans les pratiques qui pouvaient leur plaire. Malgré cela, le feeling passait bien entre nous, c’est pourquoi nous les avons revus plusieurs fois.


Ils pouvaient comme nous se permettre de sortir dans de bons restaurants (lui était chef d’entreprise) et leur compagnie tout comme leur conversation étaient très agréables. Ils étaient tous les deux tombés sous le charme de Carla qui illuminait nos soirées de ses étonnements, de ses rires, de sa façon de raconter sur le ton de l’humour certaines de nos rencontres les plus épiques. Si nos discussions tournaient souvent autour de nos premiers pas vers la réalisation de mon fantasme encore irréalisé, de leurs soirées débridées en club, nous parlions aussi de tout autre sujet très librement. Robert et Martine nous parlaient beaucoup d’un couple d’amis à eux désireux, mais encore hésitants à se lancer dans le libertinage. Robert et Martine aimaient beaucoup recevoir et c’est ainsi qu’ils organisèrent un dîner chez eux pour nous présenter Yves et Corinne et éventuellement finir dans un club pour nous faire « visiter ». Le rendez-vous était fixé au samedi suivant.
C’est ici que commence cette histoire qui a duré environ six mois.


Attendre le samedi suivant a été très long pour moi. Le jour J m’a paru encore plus long que la semaine tout entière. Pour l’occasion, Carla s’était préparée dès la fin de l’après-midi, douchée, parfumée, maquillée, passé de la crème sur tout le corps. J’avais interdiction de monter à l’étage le temps qu’elle se prépare. Lorsqu’elle est descendue, elle était vêtue d’une robe noire au décolleté impressionnant, moulant son corps et soulignant ses fesses. Ainsi habillée, elle ne faisait pas sexy aguichante, mais glamour. Un bandeau coloré ornait son front et passait dans ses cheveux. Je savais qu’elle ne laisserait personne de marbre. Mon dieu qu’elle était belle. Je m’approchai d’elle et la complimentai sur sa tenue :


• — Hum, tu es belle mon amour.


Je tentai de la prendre dans mes bras et l’embrasser.


• — Merci, mon amour, mais pas touche, tu vas devoir attendre. Je suis prête, on y va ? Nous avons de la route…


Le voyage était interminable, dans la voiture, aussi j’essayais de caresser ses jambes


• — Fais attention à la route, d’habitude tu n’aimes pas parler en conduisant, me dit-elle en saisissant ma main pour la reposer sur le volant, alors reste concentré s’il te plaît.


Et pour bien faire, nous étions pris dans les embouteillages en raison de la pluie et de ce temps gris de janvier. Un petit sms à Martine pour prévenir que nous aurions un peu de retard et tout était arrangé.


Enfin arrivés chez Robert et Martine, nous sonnions, Robert est venu nous accueillir avec un grand sourire :


• — Entrez, il fait si froid dehors. Yves et Corinne sont déjà arrivés.


Je donnai à Robert une bouteille de champagne tandis que Carla offrait des fleurs à Martine.


• — Donnez-moi vos manteaux et entrez, nous enjoignit Martine.


Lorsque Carla eut retiré son manteau, Robert ne put s’empêcher de dire à Carla qu’elle était magnifique et nous installa dans le salon. Les présentations faites, nous nous assîmes dans les canapés en face d’Yves et Corinne.


Yves était un peu plus grand que moi, 1,80 m environ, bien charpenté, des cheveux courts châtain, mais je remarquais surtout son regard rieur d’un bleu électrique. Corinne était plus grande que Carla, 1,70 m environ, brune aux cheveux courts, des yeux aussi bleus que ceux de son mari, de jolis traits fins, ronde, mais de ces rondes que l’on trouve jolies et sexy. Sexy on peut dire qu’elle l’était, ce soir-là, dans sa robe qui moulait ses formes et offrait un décolleté semblable à celui de Carla.


Nous avons tout de suite compris aux échanges de regards que le feeling serait au rendez-vous.


Robert et Martine entrèrent directement dans le vif du sujet en servant une coupe de champagne à chacun :


• — Nous sommes très contents de vous recevoir tous les quatre ce soir. Nous n’avons jamais caché à nos amis proches notre goût pour le libertinage. Avec Yves et Corinne, nous nous connaissons depuis plusieurs années et c’est assez naturellement qu’ils se sont tournés vers nous lorsqu’ils ont voulu en savoir un peu plus sur ce sujet. Éric et Carla sont comme vous, encore hésitants et désireux de choses très soft. Nous avons donc pensé que le mieux était de vous faire rencontrer.
• — C’était une très bonne idée, répondit Corinne en dévorant Carla des yeux
• — Allez, on trinque, enchaîna Martine.


L’apéritif et le dîner nous ont permis de faire plus ample connaissance avec Yves et Corinne. Nous apprenions que Yves et Corinne travaillaient dans le milieu médical, que Yves était champion de lutte lorsqu’il était plus jeune, que Corinne avait vécu quelques mois avec une femme avant de rencontrer Yves, mais surtout qu’ils avaient en projet de quitter la France dans les six prochains mois pour partir s’installer au Canada. De son côté, Carla était intarissable sur ses activités artistiques et je sentais que les regards de Corinne ne la laissaient pas indifférente. Après le dessert, Robert nous a dit :


• — Nous avons des amis qui vont en club sur Paris, ce soir, et ils nous ont proposé de les rejoindre. Est-ce que cela vous tenterait tous les quatre que nous allions les rejoindre ?
• — Je suis effectivement curieuse de voir ce qu’il se passe dans ces clubs alors pourquoi pas, répondit Corinne
• — Aller en club en groupe m’intimiderait moins, alors oui dit Carla en souriant à Corinne
• — Super, moi aussi je suis partant, me dit Yves en me tendant la main pour que je tape dedans
• — OK, c’est fait !


C’est ainsi que nous décidâmes tous les six de partir en club.


Une fois arrivés devant la porte, nous avons sonné et quelques instants plus tard un vigile à la carrure imposante nous ouvrit la porte. Manifestement, il connaissait bien Robert et Martine puisqu’il leur fit une bise à tous les deux. Nous entrâmes dans le vestiaire où nous devions impérativement laisser manteaux, sacs et téléphones (pour éviter les photos nous explique Robert). La jeune femme au vestiaire nous demanda si c’était notre première fois dans l’établissement.


• — Oui, ça se voit tant que cela ? dis-je un peu étonné
• — Non, mais c’est la première fois que je vous vois me répondit-elle en souriant. Mais vous êtes bien accompagnés, donc tout devrait bien se passer. Il n’y a pas trop de monde pour le moment, je pense que tout le monde va arriver d’ici peu. Cela vous laisse le temps de visiter.
• — Nous nous chargeons de faire la visite, dit Martine avec un regard amusé.


Robert et Martine nous ont invités à les suivre, nous leur emboîtâmes le pas et je fermai la marche. Nous avons emprunté un couloir au bout duquel, sur la droite, nous arrivâmes directement au bar. Robert nous expliqua que nos consommations seraient notées sur une fiche à nos deux prénoms et que nous réglerions tout à la sortie. Il nous entraîna un peu plus loin et nous montra une piste de danse assez grande, surplombée de banquettes. Dans la continuité de la piste de danse se trouvait une plate-forme sur laquelle il y avait une autre piste de danse et le fumoir. Un escalier sur le côté de la plate-forme nous emmenait vers d’autres espaces disposant de banquettes. Nous avons ensuite emprunté un autre couloir totalement vitré surplombant la grande piste de danse puis un nouvel escalier nous ramenant au bar.


• — Voilà pour la partie « discothèque » nous dit Robert. Je vais maintenant vous emmener dans la partie « câlins ». Passer ce rideau est interdit aux hommes non accompagnés lors des soirées exclusivement couples comme ce soir. De même, les verres ne peuvent être emmenés dans cette partie de l’établissement.


Carla sembla rassurée par ces propos : moins de risques de tomber sur un homme seul un peu lourd.


Il nous montra alors une première pièce assez petite dans laquelle il y avait un lit entouré de miroirs.


• — Cette pièce peut être fermée de l’intérieur nous dit-il en nous montrant le verrou, mais comme vous pouvez le voir, il y a près de la porte un miroir sans tain, ce qui permet à ceux qui sont à l’extérieur de la pièce de vous regarder sans que vous les voyiez. Vous pouvez aussi la laisser ouverte si vous le souhaitez, et serez probablement rejoints.


Je regardai Carla avec un grand sourire et lui glissai à l’oreille


• — Ça commence bien.


Nous avons poursuivi la visite, un peu plus loin, sur la gauche se trouvait un grand salon à la décoration gréco-romaine avec un immense lit central rond et des banquettes tout autour. Un peu plus loin sur la droite, nous arrivions dans une pièce assez sombre avec une immense banquette assez haute et au fond de la pièce, une cage et une croix de Saint-André.


• — Ici, c’est pour attacher vos femmes si elles ne sont pas sages, nous dit Robert en regardant Carla et Corinne tout en souriant.
• — Si ce n’est pas moi qui attache mon mari, lui répond Corinne du tac au tac.
• — C’est comme vous voulez, nous dit-il en riant.


Nous avons poursuivi la visite, et avons emprunté un couloir dans lequel se trouvaient plusieurs alcôves, puis nous sommes arrivés dans une très grande pièce dans laquelle se trouvaient deux immenses lits jumelés dont un était entouré de barreaux.


• — Si vous vous installez dans un de ces lits, il est possible que vous ayez des mains qui passent au travers des barreaux. À vous d’accepter ou non. Mais vous pourrez aussi rester hors du lit et regarder ce qu’il s’y passe, c’est souvent très excitant et chaud.


La dernière pièce de la visite était une pièce immense dans laquelle se trouvait un lit de taille impressionnante pouvant accueillir au moins dix personnes.


• — Ici, ça peut être très hot, nous dit Martine. C’est plus pour des couples expérimentés et échangistes. Et pour finir nous allons vous montrer le dernier coin coquin au fond de cette salle. La boîte noire à trous. Mais attention, messieurs, ce ne sont pas toujours des femmes qui sont à l’intérieur !


Nous rigolions bien à la plaisanterie de Martine, puis elle nous proposa d’aller prendre un verre au bar en attendant que le club se remplisse un peu et que leurs amis arrivent.


Nous sommes restés au bar une bonne heure à discuter, la piste de danse s’était petit à petit remplie, Robert et Martine étaient déjà rejoints de leurs amis. Certaines femmes étaient vêtues de tenues ultra sexy, bas visibles, robes légères recouvrant à peine leurs fesses, c’était un régal pour les yeux. Corinne proposa que nous allions danser, ce que nous acceptâmes avec plaisir et nous nous retrouvâmes sur la piste au milieu de dizaine de couples. J’enlaçai mon épouse dont les mouvements langoureux me firent déjà de l’effet.


• — Tu as l’air de bien t’entendre avec Corinne.
• — Oui, je la trouve super sympa.
• — Et c’est tout ? Que sympa ?


Pour toute réponse, je n’ai eu droit qu’à un sourire et un baiser poursuivi d’un :


• — Idiot !


Corinne et Yves dansaient un slow à côté de nous et Corinne lança :


• — Ben voilà, on fait du côte-à-côtisme !
• — Oui, mais c’est très soft, j’espère quelque chose de plus hot.
• — Tu es bien coquin mon cher Éric.
• — Mais moi aussi, répondit Yves.


Puis Yves proposa que nous allions faire un tour voir ce qu’il se passait dans les coins coquins qui devaient s’être remplis. Nous décidâmes d’y aller tous les quatre. La petite pièce aux miroirs était encore libre. Dans le salon gréco-romain, un couple était allongé sur le lit, l’homme léchait la chatte d’une femme tandis que quelques couples assis sur les banquettes les regardaient en se caressant. Yves reprit les couloirs, nous le suivîmes, passant le long des alcôves jusqu’à ce qu’il s’arrête brutalement et que Corinne et Carla ne lui rentrent dedans. Dans une des alcôves, Martine suçait avec la femme de leur couple d’amis le sexe de leur ami tandis que Robert besognait cette femme en levrette. Nous les laissâmes tranquilles et poursuivîmes jusqu’à la grande salle où déjà plusieurs couples étaient en action. Impossible de définir parmi ces couples, qui étaient en train de baiser sa moitié ou un/une autre partenaire. Je me souvins d’une femme qui se faisait prendre en levrette par un homme pendant qu’elle suçait un autre homme. Lequel était le mari, lequel était l’amant ? Où était la femme du second ? Peu importe, mais ces questions me taraudaient l’esprit.
Nous restions tous les quatre à regarder ce qui se passait, je pris Carla dans mes bras, l’embrassai et lui caressai les fesses. Puis je me positionnai derrière elle, mes mains remontèrent le long de ses cuisses pour atteindre son string.


• — Ça t’excite de voir cela ?
• — Chuuut, continue.


J’aventurai un doigt dans sa fente qui était toute mouillée. Un coup d’œil vers nos amis et je m’aperçus que si Yves et Corinne ne perdaient pas une miette du spectacle qui s’offrait à nous, ils nous observaient tout en faisant la même chose que nous. Tous ces corps enchevêtrés, ses soupirs, ces gémissements, cette ambiance nouvelle pour nous me faisait bander comme un âne et je me frottai contre les fesses de Carla qui passa son bras derrière elle pour tâter la bosse de mon pantalon.


• — Ben mon chéri, on dirait que ça te fait de l’effet, je sens ta grosse queue.
• — Oui, j’adore, pas toi ?
• — Si, c’est très excitant.
• — Yves aussi bande très fort nous dit Corinne, je sens que sa queue est dure comme un bâton.
• — Et si nous allions dans la salle aux miroirs, proposa Yves.


Je n’eus le temps de répondre que c’est Carla qui répondit :


• — Oui avec plaisir, mais on ferme la porte pour rester ensemble.
• — OK, répondit Corinne.


Corinne prit Carla par la main et l’entraîna se frayant un chemin dans les couloirs et entre les couples de voyeurs. En passant, j’ai bien senti quelques personnes, femmes ou couples, profiter de notre passage pour se frotter incidemment contre nous, j’ai même senti une femme poser ses mains sur mon torse au moment où je la croisai. Nous sommes arrivés jusqu’à la pièce aux miroirs, miraculeusement encore libre. Une fois entrés, je fermais le verrou et lorsque je me suis retourné, Corinne avait déjà pris les choses en mains.


Elle avait collé le dos de Carla au mur et posé ses lèvres sur celles de Carla. Elle tenta d’introduire sa langue à l’intérieur de la bouche de Carla qui résista probablement en raison de la surprise. Lorsque ses mains descendirent sur les seins de Carla, elle fit une nouvelle tentative pour investir sa bouche et Carla répondit avec fougue à son baiser. Elles s’embrassèrent et se caressèrent avec vigueur, je regardais les mains de Corinne glisser le long des hanches de ma femme, puis passer entre les cuisses pour venir caresser sa vulve. Corinne chuchota quelque chose à l’oreille de Carla que nous ne pouvions entendre, mais la réponse de Carla elle fût très claire à mes oreilles.


• — Caresse-moi, dit-elle dans un soupir tout en écartant légèrement les jambes pour lui donner accès à son intimité.


Elle ne se fît pas prier, je vis la main de Corinne disparaître sous la robe de Carla, m’imaginant ses doigts parcourir sa vulve et ses lèvres. Les gémissements de Carla me prouvaient que mon imagination n’était pas débordante, sa langue parcourait ses lèvres pour humidifier ses muqueuses et mieux embrasser Corinne. Corinne fit glisser une à une les bretelles de la robe de Carla, et la lui ôta en la faisant glisser le long de son corps pour la déposer à ses pieds. Carla était restée adossée au mur, les bras et les mains plaqués le long de celui-ci. Elle semblait s’abandonner à Corinne. Corinne s’accroupit face à Carla pour déposer un chaud baiser sur les tissus de son string qu’elle envoya vite rejoindre la robe. Dans la foulée, le soutien-gorge prit la même direction. Puis Corinne invita Carla à s’allonger sur le lit, ce qu’elle fit sans mot dire. Corinne monta sur le lit et plongea sa tête entre les cuisses outrageusement ouvertes de ma femme. Je me décalai pour mieux voir, Carla fermait les yeux et me semblait partie ailleurs. Corinne plongea sa langue dans la fente de Carla passive, mais ô combien réceptive. Puis, toujours avec sa langue, elle lécha son clitoris. Corinne prenait son temps, s’appliquant, faisant monter petit à petit l’excitation de Carla afin de lui donner du plaisir dans la longueur.


Elle introduisit un doigt, puis deux dans la chatte déjà bien humide. Elle faisait des va-et-vient plus ou moins rapides, plus ou moins profonds auxquels Carla répondait par des gémissements plus ou moins forts. Elle aventura un doigt dans son anus tout en continuant de lui fouiller la chatte. Sous ces doubles caresses, Carla ondulait de plus en plus le bassin, ne parvenant plus à étouffer ses gémissements. Corinne était devenue maîtresse de Carla. Après quelques minutes de ce traitement, je vis Carla se cambrer et pousser un cri qu’elle ne contrôlait plus. Prise de convulsions violentes, elle se redressa en jouissant très fort avant de retomber sur le lit, le bras sur les yeux comme pour se cacher de la lumière de son orgasme, et cherchant sa respiration.


Corinne remonta lentement le corps de Carla pour l’embrasser à pleine bouche. Carla peinait à reprendre ses esprits. Corinne retira doucement sa main de la fente de ma femme, ses doigts étaient trempés de cyprine et je vis une tache importante sur le lit trempé. Manifestement, Carla nous avait fait une jolie fontaine. Petit à petit, Carla retrouvait ses esprits, ouvrant à nouveau les yeux remplis de bonheur, elle souriait et embrassait tendrement Corinne qui s’était allongée près d’elle. Carla se mit à caresser Corinne, et lui demanda de retirer elle aussi sa robe, ce qu’elle fit. Carla entreprit alors d’enlever les sous-vêtements de Corinne, mais lui laissa ses bas.


Carla, cette fois ne restait pas passive. C’est elle qui se jeta sur ses seins dont elle lécha les pointes jusqu’à ce qu’elles s’érigent. Elle les embrassait, les caressait, les léchait, c’était d’un érotisme torride. J’étais tellement dur et à l’étroit dans mon pantalon que mon sexe me faisait mal. Mes jambes tremblaient, tellement j’avais imaginé, attendu cet instant. Yves n’était pas en reste, il dévorait le spectacle des yeux et la bosse formée dans son pantalon n’avait rien à envier à la mienne. Lorsque j’ai à nouveau regardé la scène, Carla s’était placée entre les jambes de Corinne qui lui prit la tête pour l’amener entre ses cuisses. Carla devait bien se débrouiller, car Corinne ne mit pas longtemps à émettre des gémissements de plaisir. Corinne continuait de guider la tête et la bouche de Carla tantôt sur sa vulve, que je devinais humide, sur son clitoris ou sur son cul. Carla avait introduit deux doigts dans la chatte de Corinne et son bras exerça des mouvements de va-et-vient, rendant la monnaie de sa pièce à Corinne dont l’excitation montait crescendo.


Corinne se releva et pivota sur elle-même pour se retrouver placée au-dessus de Carla en 69. Elles s’occupaient de leurs intimités respectives alternées de petits cris qui font que ni Yves ni moi ne pouvions rester spectateurs plus longtemps. C’est Yves qui le premier s’approcha du lit en direction de sa femme pour regarder de plus près ce que faisait Corinne pour mettre ma femme dans cet état. Je fis de même. Carla ne prêtait plus attention à moi, tant les caresses de Corinne lui procuraient du plaisir. Corinne s’arrêta lorsqu’Yves qui avait sorti son sexe le lui présenta. Elle nous regarda tour à tour et nous adressa un grand sourire avant d’attraper la queue de son mari qu’elle attira jusqu’à sa bouche pour l’engloutir. Carla qui ne voyait pas ce qui se passait en haut, continuait de lécher et de fouiller la vulve de Corinne qui suçait et branlait son mari devant moi. Carla accélérait le rythme de va-et-vient de ses doigts dans la chatte de Corinne tout en lui dévorant le clitoris. Je voyais que Corinne avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la bite de son mari qui aurait probablement explosé un peu vite si la situation avait perduré. Corinne s’abandonna alors à Carla qui mettait toute son énergie à atteindre le point de non-retour de Corinne et obtenir son jus au moment de l’orgasme, ce qu’elle obtint rapidement dans un cri qui a dû s’entendre bien au-delà de la petite pièce dans laquelle nous étions. Corinne s’allongea et invita Carla à venir dans ses bras pour un tendre câlin permettant à chacune de reprendre ses esprits. Yves et moi n’en pouvions plus, mais ne voulions pas interrompre ce moment de tendresse. Nous nous sommes approchés d’elles et nous nous sommes allongés près d’elles les laissant toutes les deux au milieu. Nous prenions part aux caresses de nos femmes respectives qui se souvenaient petit à petit que nous existions. C’est Carla qui a réagi la première :


• — Nos hommes ont été très sages tu ne trouves pas ? Cela mérite peut-être une récompense, qu’en penses-tu ?
• — Oui je suis bien d’accord avec toi. Allez hop messieurs, à poil et allongez-vous sur le lit, répliqua Corinne tout en se relevant et en commençant à enlever le pantalon d’Yves.


Carla fit la même chose et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, nous nous retrouvions nus comme des vers, allongés côte à côte sur le lit.


• — Eh bien quelle forme messieurs, dit Corinne en admirant nos bites dures et raides comme la justice !
• — De vrais gourdins, répliqua Carla en riant. On dirait que cela leur a plu.


Chacune se mit alors à nous branler doucement et à nous lécher le gland. Du coin de l’œil, j’observais Corinne et pour la première fois, je réalisai qu’Yves avait une queue de taille honorable, semblable à la mienne. En se regardant, les filles continuaient de nous branler tout en s’embrassant, jouant de leur langue. Puis chacune d’elle finit par engloutir une queue au fond de la bouche, prêtant une attention toute particulière à ne pas nous faire exploser trop vite, tout en maintenant une tension extrême. Je regardai alternativement la bouche de Carla monter et descendre le long de ma queue, et la bouche de Corinne faire la même chose sur la bite de Yves. Le fait qu’elles marquent de temps à autre une pause pour s’embrasser nous donnait un peu de repos jusqu’au moment où je me suis dit que Corinne devait avoir le goût de ma bite dans la bouche de Carla et inversement et qu’au final, elles devaient avoir le goût de nos deux sexes mélangés. Cette pensée me fit monter dans les tours et il fallait que je prenne les choses en main pour ne pas jouir trop vite.


• — Et si vous vous mettiez à quatre pattes l’une en face de l’autre ? Vous pourriez en profiter et nous aussi ?
• — Bonne idée, dit Yves.
• — Oh oui, très bonne idée, enchaîna Corinne.


Les femmes se mirent alors en position, Yves se plaça derrière Corinne, et je prenais place derrière ma femme qui avait déjà attrapé la bouche de Corinne. Yves et moi nous introduisions doucement et en même temps dans les volcans enflammés de nos femmes qui nous accueillaient en soupirant de concert à chaque centimètre introduit en elles. Yves et moi avions la bonne position pour nous faire signe et coordonner notre rythme afin qu’elles ne se cognent pas.


Je remarquai les épaules musclées et le reste d’abdos de Yves qui, je l’avoue, étaient enviables. Yves s’activait de plus en plus à pilonner Corinne. Quand son rythme s’accélérait, je m’arrêtai laissant à Carla la possibilité de dévorer la bouche de Corinne dont l’excitation s’intensifiait. Yves a vite compris notre petit jeu et nous avons alterné ces séquences. Quand je m’enfonçais au plus profond de la chatte ruisselante de Carla et que j’accélérais le rythme, Corinne se vengeait en l’embrassant à pleine bouche. Je sentis Carla m’inonder la queue de son jus. Je ne tardais pas à exploser au fond de sa chatte envoyant tout mon foutre au plus profond d’elle tandis qu’une vague de plaisir se répandait entre nos jambes et coulait le long de nos cuisses. À nous voir ainsi prendre notre pied, Yves ne tarda pas à se retirer de Corinne qui se retourna, attrapa sa queue pour le branler et recevoir son foutre dans sa bouche qu’elle finit par avaler. Elle fit disparaître cette queue au fond de sa bouche, jusqu’au fond de sa gorge avant de la ressortir lentement en l’aspirant. La verge d’Yves en ressortit toute propre. Puis Corinne se retourna et vint embrasser tendrement Carla qui, par là même, dut via la bouche de Corinne prendre connaissance du goût du sperme de Yves.


Pendant nos ébats, nous avons entendu plusieurs fois que quelqu’un essayait d’ouvrir la porte, probablement des gens qui voulaient venir voir de plus près ou participer. Nous reprenions doucement nos esprits et après quelques minutes, nous nous rhabillâmes afin d’aller prendre un verre au bar et libérer la salle pour d’autres couples qui pourraient en avoir besoin.


C’est le regard trouble, tous les quatre plus très bien coiffés, y compris Carla qui, dans la bataille avait perdu son bandeau dans les cheveux, mais je ne saurais dire à quel moment, les jambes plus très sûres que nous arrivâmes au bar. Cette première expérience nous a tous un peu bousculés et le verre de champagne que nous prenions s’annonçait salvateur pour nous remettre doucement sur pieds. Nos sourires et nos échanges de regards en disaient long sur le niveau de plaisir atteint par chacun de nous.


Nous fîmes un dernier tour du club pour tenter de retrouver Robert et Martine qui avaient disparu, nous apprîmes le lendemain qu’ils avaient quitté les lieux avec leur couple d’amis un peu plus tôt que nous, et que c’est eux qui avaient tenté d’ouvrir la porte. Ils n’avaient rien perdu puisqu’ils avaient pu profiter de nos ébats à travers le miroir sans tains.


Nous décidâmes de rentrer, car il était très tard ou très tôt le matin au choix, et nous nous quittâmes heureux de cette première soirée.
Arrivés à la maison, nous nous sommes vite mis au lit. Les lèvres de Carla avaient goût de sexe, était-ce le goût de la chatte de Corinne, le goût de la queue de Yves, de son sperme, d’un mélange de tout, je ne sais pas, toujours est-il que dès les premiers baisers, des images-chocs me revenaient en tête et nous avons refait l’amour comme des damnés, assez rapidement je l’avoue.
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par Qsdf
#2218998
En route vers le mélangisme

Le lundi matin au bureau j’avais du mal à rester concentrer tant les images du week-end m’embrouillaient l’esprit. Mais ce qui me perturba le plus fut ce SMS de Carla :


• — Coucou, mon chéri, j’ai reçu cela ce matin, je pense que c’est Corinne. Qu’en penses-tu ?

« Coucou, ça va ? Bien rentrés ? Nous avons passé une soirée inoubliable en votre compagnie et espérons que vous aussi. Nous aimerions vous revoir et recommencer si cela vous dit. Si oui, seriez-vous disponibles samedi prochain pour dîner à la maison ? »


Je m’affairai donc à répondre par SMS :

« Comment ont-ils eu ton numéro ? J’en pense que c’est une proposition qui a le mérite d’être directe. Si tu ne travailles pas, ça pourrait être sympa. »


La réponse ne se fit pas attendre :

« Martine m’a demandé dimanche par sms si elle pouvait donner nos numéros à Corinne et Yves, car nous avons oublié d’échanger nos numéros, et j’ai dit oui. Elle m’a envoyé par retour les coordonnées d’Yves et de Corinne. Normalement je travaille samedi, mais je peux me faire remplacer.»


Heureusement que j’étais assis. J’étais en train de comprendre que ma femme était tentée pour recommencer ce que je pensais être une simple parenthèse qui n’irait pas plus loin même si au fond de moi je souhaitais vraiment que cela se reproduise. Je décidai de répondre dans l’affirmative à cette proposition.


Ce fut là le début d’une série de beaucoup de soirées, en club, à l’hôtel, chez eux ou encore chez nous, au cours desquelles cela finissait toujours par une partie de jambes en l’air à l’image de la première soirée, c’est-à-dire centrée sur les plaisirs entre filles, et à base de côte-à-côtisme. Nos soirées se faisaient très souvent en deux rounds. Souvent, à tour de rôle, l’un de nous était désigné pour orienter les actes de chacun afin de faire partir la soirée.


À mesure des soirées, quelques caresses inter couples étaient timidement avancées et acceptées. Carla s’abandonnait totalement aux caresses et à la langue de Corinne et se laissait désormais caresser les seins, le dos, les jambes par Yves. Je ne me privais pas pour faire les mêmes choses avec Corinne. Une fois rentrés, lorsque nous faisions l’amour, nous parlions et revenions sur la soirée qui venait de s’achever afin d’attiser notre excitation. Nos propos devenaient de plus en plus tendancieux. Parfois je demandais à Carla de me décrire le goût de la chatte de Corinne, si elle était étroite, chaude, si elle aimait que Corinne la lèche, si Corinne la faisait jouir avec sa langue et ses doigts, si elle aimait recevoir les caresses de Yves… Bref, nous baisions presque tous les soirs en nous excitant toujours plus. Nous n’allions plus sur le site, fini les rencontres foireuses ou infructueuses, nous avions trouvé les complices que nous attendions.


Mais tout cela restait relativement soft jusqu’à ce fameux soir où…
Ce soir-là, nos maisons respectives étaient illégalement occupées par nos enfants, mais ni Yves et Corinne, ni nous n’avions envie d’annuler la soirée prévue. Nous décidâmes de dîner au restaurant et de réserver une chambre pour 4 personnes dans une chaîne d’hôtels se trouvant juste à côté du restaurant.


Lorsque les cafés ont été servis, c’est Corinne qui lança les hostilités :


• — Je ne sais pas si c’est ce café irlandais, mais j’ai hâte que nous allions nous amuser. Pas vous ?
• — Oui moi, aussi rétorqua Carla.
• — Il faut battre le fer tant qu’il est chaud, je vais payer et on y va ?
• — Mais on espère bien que ce sera chaud, dit Corinne en regardant malicieusement son mari qui, pour accélérer les choses, se levait pour aller demander payer l’addition.


Je lui emboîtais le pas jusqu’au comptoir. En attendant que la serveuse s’occupe de nous, je me lançai.


• — Tu sais, Yves, je ne sais pas pour vous, mais depuis qu’on se connaît je dois avouer que notre libido a explosé.
• — Nous aussi, c’est un truc de fou. Corinne devient de plus en plus demandeuse de sexe et c’est plusieurs fois par jour !
• — Je dois te dire que c’est pareil pour nous. Mais en plus il faut que tu saches que vous êtes dans nos pensées à chaque fois que nous faisons l’amour, on n’arrête pas de parler de vous dans ces moments.
• — Vous êtes aussi dans tous nos fantasmes et Corinne me parle parfois de ton sexe.


La serveuse s’avança vers nous mettant ainsi fin à la conversation. Elle nous donna l’addition que nous avons réglée alors que les femmes nous rejoignaient. Plus le temps de reprendre notre conversation. Bras dessus dessous, nous marchions tous les quatre de front en direction de l’hôtel.


Nous avons un peu cherché la chambre au fil des couloirs. Arrivés devant la porte, je donnai à Yves le code à composer pour ouvrir. La chambre était assez grande, composée d’un grand lit à deux places et de deux lits jumeaux. Pendant que les femmes sortaient les coupes et la bouteille de champagne, installaient la musique d’ambiance avec une petite enceinte Bluetooth, Yves et moi nous employions à déplacer les deux lits jumeaux pour les juxtaposer au lit double. Je solidarisai le tout avec des rilsans aux pieds de lit. Au final, nous nous retrouvions avec un lit de taille impressionnante, pas loin de quatre mètres sur deux cela devait nous suffire…


• — Bon, qui commande ce soir ? demanda Corinne. La dernière fois c’était moi.
• — Je propose Éric, dit Yves.
• — Ah oui c’est vrai cela, tu n’as pas encore commandé, mon amour, cela devrait être à toi, logiquement.
• — OK, si vous voulez. Alors tout le monde pose son verre, et tout le monde tout nu avec moi sur le grand lit !
• — Déjà ? me dit Corinne.
• — C’est moi qui commande ce soir, alors exécution !


Et à ma grande surprise, tout le monde s’exécuta, en quelques instants nous étions tous nus au milieu du lit. Nous nous retrouvâmes Yves et moi, côte à côte, debout sur le lit, les femmes face à nous.


• — Pour commencer, Corinne je veux que tu suces Yves et que tu le rendes bien dur et Carla tu dois me faire la même chose.


Nos femmes pour une fois obéissantes se mirent à genoux face à nous et commencèrent à nous sucer et nous branler gentiment. Les deux filles échangeaient des regards complices et rieurs à défaut de pouvoir sourire la bouche pleine.


• — Elles vous plaisent nos queues ?
• — Hummm hummm hummm moumme hummmm… oui répondit Corinne en retirant la bite de son mari de sa bouche avant de la reprendre en bouche.
• — Dis-moi mon Yves, si nous nous mettions l’un en face de l’autre, et les femmes chacune d’un côté, qu’en penses-tu ?
• — Très bonne idée !


Debout l’un en face de l’autre, Carla se plaça à genoux sur ma gauche face à Corinne également à genoux sur ma droite.
Très près l’un de l’autre, les femmes n’avaient d’autre choix que de nous lécher sur toute la longueur de nos sexes bandés. Lorsqu’elles arrivaient en même temps sur nos glands, leurs langues se confondaient. Elles en profitaient pour s’embrasser et se rouler des pelles avant de reprendre leur succion. Leurs mains n’étaient pas en reste et elles nous branlaient de plus en plus vite. Quand les femmes s’embrassaient, je sentais le souffle de Corinne et de Carla sur mon gland, j’ai même à plusieurs occasions senti la langue de Corinne effleurer mon gland, j’étais raide comme une branche d’arbre et Yves aussi.


• — Et maintenant, on change de queue !


Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire cela. Lorsque j’ai réalisé ce que je venais de dire, je ne voyais plus que les cheveux de mon épouse qui avait déjà fait disparaître la queue d’Yves au fond de sa bouche et commençait un va-et-vient sur son membre.
Corinne tenait ma queue dans sa main, la regardant les yeux plein d’envie, fit quelques allers-retours sur ma queue avec sa main, puis m’a regardé droit dans les yeux en me disant :


• — C’est donc ça que tu veux ?


Tout en fixant son regard dans le mien et sans attendre ma réponse, elle engloutit ma bite au fond de sa bouche puis la retira lentement prenant soin d’y laisser sa salive chaude, puis sortit sa langue pour faire plusieurs fois le tour de mon gland, et fit à nouveau disparaître ma queue au fond de sa gorge. Puis elle continua de me sucer et de me branler un bon moment.


J’observai Carla et Yves. Celui-ci semblait apprécier ce que lui faisait Carla qui y mettait autant de passion qu’avec moi. Yves présentait une queue bien gonflée. Nous mettre dans un tel état devenait intenable et c’est Yves qui le premier se retira de la bouche de Carla. Il s’accroupit face à elle, l’embrassa timidement, mais tendrement, puis l’invita à s’allonger. Elle s’exécuta sans même me regarder, et écarta les jambes comme pour montrer à Yves l’objet de ses convoitises. Yves se pencha et introduisit deux doigts dans la chatte déjà toute mouillée de ma femme et approcha sa bouche de son abricot. Je vis sa langue sortir et venir titiller le clitoris de Carla tandis que ses doigts fouillaient et masturbaient l’intimité de ma femme.


Je me retirai de la bouche de Corinne et l’invitai à s’allonger en sens inverse de Carla. Elle écarta les jambes pour que je lui donne le change de ce que son mari faisait à ma femme. Je m’approchai doucement de son clitoris que je léchai et aspirai tout en introduisant deux doigts dans sa chatte déjà trempée. Son vagin était plus serré que celui de Carla, mes doigts glissèrent tout seul dans cette grotte aux parois qui ne cessaient de produire un liquide glissant. J’entamais quelques va-et-vient en elle, elle se mit à onduler du bassin comme pour bien placer mes doigts en elle et se branlait littéralement sur mes doigts. Je me concentrais sur l’excitation de son clitoris, la laissant exciter son intimité sur mes doigts. C’était tellement excitant que ma queue pourtant à l’air libre me semblait comprimée.


Relevant la tête, je voyais ma femme les yeux fermés savourer les caresses qui lui prodiguait son amant, je m’approchais d’elle et l’embrassais tout en besognant Corinne de mes doigts. Elle ouvrit les yeux, me regarda et me dit :


• — Hummm, tes lèvres ont le goût d’une chatte que je connais bien, cochon.


Puis elle referma les yeux se concentrant sur le plaisir en gestation dans son bas-ventre.


Corinne saisit la queue d’Yves qui abandonna ma femme, et commença à le sucer.
Je rejoignais Carla, l’embrassait, puis la fit mettre à quatre pattes, je voulais la prendre en levrette et la défoncer, tellement mon excitation était à son apogée.
Je me positionnai derrière Carla, présentai mon gland entre ses lèvres trempées, et m’introduisis entièrement en elle d’un coup de rein lent et ferme jusqu’à ce que mon bas-ventre soit bloqué contre ses fesses. Je restais immobile au fond de sa grotte, sa chatte était chaude, trempée, Yves l’avait bien préparée. Je commençai alors des va-et-vient profonds et lents, puis j’accélérai petit à petit, me cramponnant à ses hanches, car ses coups de bassins en arrière pour mieux s’empaler sur ma queue auraient pu me désarçonner. Sa chatte se liquéfiait sous mes assauts et m’inondait les couilles ainsi que les cuisses. Ses gémissements de plaisir n’étaient plus contenus, et elle jouissait sans discontinuer et heureusement, car, à ce rythme, je n’aurais pas résisté longtemps. Corinne et Yves s’étaient arrêtés pour nous regarder. Je ralentissais le temps que Carla retrouve un peu son souffle et ses esprits, et cela me permettait aussi de repousser un peu plus loin le point de non-retour. Yves et Corinne nous souriaient en nous regardant.


• — Yves, viens m’aider, mets-toi devant Carla, et toi Corinne, viens donc voir comment je prends bien Carla. Ça te plairait de voir ma bite glisser dans sa petite chatte ?


Yves qui n’avait pas perdu de sa vigueur se positionna devant Carla et lui présenta sa queue bandée qu’elle attrapa d’une main pour la guider jusqu’à sa bouche alors que je poursuivais mes allers-retours dans sa petite chatte qui s’est immédiatement remise à mouiller. Corinne s’est approchée de moi, a passé une main sur mon épaule, l’autre main sur mon torse et regarda ma bite trempée entrer et sortir de la chatte de Carla. Puis elle m’embrassa, me roulant une pelle mémorable. Occupée à sucer le bâton d’Yves, Carla bougeait moins, et je pouvais lâcher ses hanches pour passer une main dans l’entrecuisse de Corinne qui continuait de me dévorer la bouche.
Puis Corinne me chuchota à l’oreille :


• — Fais-la jouir pour moi, j’aime l’entendre.


Je repris alors mes va-et-vient profonds et en accélérai le rythme. Carla ne lâchait pas la queue d’Yves qu’elle dévorait quand mes assauts le lui permettaient, le branlait à d’autres moments. Je ne mis pas longtemps à refaire grimper Carla aux rideaux et après quelques minutes je ne pouvais plus me retenir, j’envoyais mon foutre au plus profond de son ventre tandis qu’elle se cambrait au maximum pour mieux me recevoir, délaissant son amant quelques instants. Son vagin en se contractant me renvoyait une vague de jouissance qui me réchauffait toute la queue. Je restais en elle le temps de reprendre mes esprits. Corinne était revenue contre moi pour m’embrasser. J’introduisais deux doigts dans sa fente et entrepris de la masturber. Les souffles rythmés de son plaisir qu’elle m’envoyait au visage m’informaient qu’elle appréciait la situation et mes caresses. J’entrepris également de caresser son clitoris qui s’était dressé sous l’excitation. L’alternance de mes caresses sur ces deux zones érogènes lui arrachait des petits oui de plus en plus rapprochés et très vite son visage s’est crispé, sa respiration s’est retenue puis dans un souffle libérateur elle s’est liquéfiée sous mes doigts. La tête posée sur mon torse, elle dégustait son orgasme le temps de reprendre ses esprits.


C’est à ce moment que j’ai réalisé que Carla n’avait pas lâché l’affaire et continuait de branler et de sucer Yves. Sa main allait de plus en plus vite sur la queue d’Yves qui de toute façon n’avait aucune chance d’en réchapper sain et sauf. Je l’ai vu fermer les yeux et jouir dans un râle de plaisir envoyant de longs jets de sperme dans les cheveux et sur les joues de Carla qui le finissait à la main avant de le nettoyer avec sa langue experte.


Épuisés, nous nous retrouvions allongés sur le dos tous les quatre sur le lit, chacun revivant probablement les instants qui venaient d’arriver, les envoyant vite dans les coffres-forts de nos mémoires pour ne jamais les perdre. Carla avait la tête posée sur le ventre d’Yves et Corinne s’était blottie dans le creux de son épaule. J’enlaçai Corinne en caressant son ventre et ses seins. Nous avons passé plusieurs minutes ainsi, puis c’est Carla qui interrompit ce moment


• — Je vais prendre une douche parce que vous m’en avez mis partout, bande de cochons.


Puis nous avons tour à tour pris une douche et vidé la bouteille de champagne comme si cette soirée avait été comme une autre, comme s’il n’y avait pas eu d’évolution dans nos pratiques. Pourtant nous venions de franchir une étape importante passant du côte-à-côtisme au mélangisme assez poussé.


Le second round fut tout aussi hard. C’est Yves qui a relancé les hostilités demandant aux filles si elles pourraient reconnaître sa queue ou la mienne les yeux bandés. Carla affirmait que oui et Corinne avouait ne pas en être sûre. Le mieux pour le savoir était d’essayer et comme j’étais le commandant de la soirée, j’ordonnai que nous testions tout cela.


C’est ainsi que nous avons pris nos écharpes pour leur bander les yeux, et les avons mises à quatre pattes en bout de lit.
Yves et moi leur présentions nos queues qu’elles devaient sucer sans y mettre les mains. Bien entendu nous avons commencé par « échanger » nos bouches légitimes, puis nous avons alterné. Elles ont été bien hésitantes, et si Carla avait retrouvé le bon ordre dans lequel elle avait sucé nos bites, Corinne s’était trompée. (Comme quoi mesdames ne soyez jamais trop affirmatives à ce petit jeu). C’était donc l’occasion pour Yves de donner un gage à Corinne.


• — Tu mérites un gage ! Tu vas devoir sucer Éric, et le faire jouir. Comme cela la prochaine fois, tu te souviendras de sa queue !
• — C’est injuste tu ne trouves pas ? dit Carla à Corinne. Crois-tu qu’eux reconnaîtraient nos bouches sur leurs queues s’ils avaient les yeux bandés ?
• — Non, je ne crois pas, répondit Corinne.
• — Bon, il n’y a qu’à essayer, dis-je par défi.


Les filles nous ont demandé de nous allonger sur le lit et nous ont bandé les yeux. Je sentis les filles monter sur le lit entre nous et se mettre en position quand d’un coup, j’ai senti non pas une, mais deux langues me lécher sur toute la longueur du sexe. Puis d’un coup et j’ai senti mon gland aspiré dans une bouche chaude, m’aspirant jusqu’au fond sentant les lèvres sur mon pubis. Quelques allers-retours plus tard j’ai senti qu’il y avait changement de bouche, une succion plus forte que la première, mais j’étais bien incapable de déterminer laquelle était celle de Corinne ou de Carla.


• — Ce n’est pas du jeu si vous le faites en même temps, je ne peux pas me prononcer !
• — Si c’est du jeu, alors laquelle t’a sucé en premier ?
• — Euh… je ne sais pas, peut-être faudrait-il recommencer ?
• — Dans tes rêves, on te laisse réfléchir, nous on passe à côté.


C’est ainsi que je me suis retrouvé seul allongé sur le lit tandis que je sentais le matelas bouger à côté de moi, et entendais des bruits de succion et les gémissements de plaisir de Yves qui me maintenaient en érection. Je suppose qu’elles recommençaient le même jeu qu’avec moi pour brouiller les pistes.


• — Alors Yves, laquelle t’a sucé en premier ? dit Carla.
• — Je ne sais pas, mais c’était super bon. Vous êtes admises à l’oral toutes les deux !


Éclat de rire général. Puis j’ai senti un corps se lever, m’enjamber et s’asseoir sur mon sexe. Ces ondulations de bassin, je les reconnaissais sans hésitation, je sentais ma petite femme frotter sa vulve sur ma queue, prenant soin de ne surtout pas s’empaler sur mon sexe raide de désir. Les mouvements que je percevais à côté de moi me faisaient imaginer que Corinne et Yves étaient dans la même position que nous. J’entendais également des bruits de baisers, était-ce Corinne et Carla ou était ce Corinne et Yves ?
Je posais mes mains sur les hanches de mon épouse, la caressai en remontant en direction de ses seins que je pris et malaxai à pleines mains.


J’ai senti Carla se relever légèrement, passer une main entre ses cuisses pour venir dresser mon sexe à l’entrée de sa chatte, puis elle s’est laissée descendre doucement expirant un long gémissement savourant chaque centimètre s’enfonçant en elle. Elle finit sa course une fois totalement assise sur ma queue, resta immobile quelques instants, posa ses deux mains sur mon torse et entreprit de basculer son bassin d’avant en arrière doucement. Je sentais mon gland au plus profond de sa grotte et sa chatte s’humidifiait de plus en plus. D’un geste, elle me retira l’écharpe et vint poser sa tête dans le creux de mon épaule. J’attrapai ses hanches et commençait à reprendre le commandement de la manœuvre, en accélérant le rythme de mes va-et-vient en elle. Son souffle dans mon cou s’accélérait comme mes coups de boutoir. Cela m’excitait, et m’encourageait à la prendre de plus en plus fort. Je savais qu’en maintenant ce rythme elle ne tarderait pas à jouir, que déjà des picotements prenaient naissance dans son ventre, alors je continuais de plus en plus vite. Son excitation montait de plus en plus, je le sentais bien sur ma queue qu’elle humidifiait de ses sécrétions, il ne fallait pas faiblir. Puis ce fut le feu d’artifice, elle s’est mise à jouir se crispant, en me serrant fort dans ses bras, et grimaçant de plaisir. Je m’arrêtai de la défoncer pour qu’elle finalise son plaisir en tournant son bassin elle-même sur ma queue.


Je jetais un coup d’œil à côté, Yves avait mis Corinne en levrette et la besognait ardemment. Reprenant ses esprits Carla me chuchota à l’oreille :


• — Hummm, c’était trop bon mon amour, tu m’as fait jouir comme une folle. Mais tu n’as pas encore joui ?
• — Non pas encore mon amour.
• — Mets-toi devant Corinne et présente-lui ta queue, je veux qu’elle aussi puisse profiter de vous deux comme moi tout à l’heure.


Il ne fallait pas me le demander deux fois, Carla est descendue de moi et je me suis mis à genoux devant Corinne qui a tout de suite ouvert la bouche pour me lécher le gland. À chaque coup de rein d’Yves, le corps de Corinne s’avançait et ma queue s’enfonçait dans sa bouche. Quand Yves n’y allait pas trop fort, elle en profitait pour me lécher, puis me reprenait en bouche. Carla est venue l’aider à me sucer, j’avais deux bouches, deux langues pour ma queue, dont une était contrôlée par les coups de reins d’Yves.
Lorsqu’Yves a commencé à cadencer son rythme de façon plus prononcée, Carla s’est mise à me branler pendant que Corinne me regardait la bouche ouverte, la langue sortie comme pour recevoir mes jets. Yves la pilonnait littéralement, Corinne avançait et reculait à chaque mouvement d’Yves. Yves s’est tout à coup raidi, bandant tous les muscles de son corps, et dans un râle de plaisir a envoyé toute sa semence dans l’antre de la chatte de sa femme. Carla me branlait avec une telle intensité que j’envoyai moi aussi mes jets de sperme en direction de Corinne qui les reçut dans le cou, avant que Carla ne m’embouche pour me finir avec sa langue et sa bouche chaude, le regard plein de malice planté dans le mien. Repus, nous nous sommes allongés sur le lit, et avons partagé un de ces moments de tendresse d’après acte. C’était doux, respectueux, et plein de plaisir.


Nous avons quitté l’hôtel au petit matin. Sur le chemin du retour, Carla luttait pour ne pas s’endormir et me tenir compagnie. À cette heure, le trafic était fluide et le trajet pour rentrer chez nous n’allait pas durer plus de trente minutes. En conduisant, je laissai ma main droite parcourir les cuisses de mon épouse et remontait lentement sous sa robe pour arriver jusqu’à sa fente encore tout humide.


• — Mon amour, si tu continues je vais te violer dans la voiture !
• — Quel appétit mon cœur !
• — Dis-moi sincèrement, tu as aimé que Corinne te suce ?
• — Sincèrement ?
• — Oui sincèrement.
• — Alors oui, j’ai aimé. Cela m’a vraiment excité même. D’autant que je te voyais sucer Yves avec une telle envie, un tel appétit que j’ai dû demander à Corinne d’arrêter de me branler sinon je crois que j’aurais joui bien trop vite.
• — Ah bon ? Cela t’a excité ?
• — Oui et tu n’imagines pas à quel point. Et toi qu’est-ce que ça t’a fait de voir Corinne me sucer ?
• — Honnêtement je pensais que je serais jalouse, mais finalement cela ne m’a rien fait.
• — Et tu as aimé sucer Yves ?
• — Oui, j’ai bien aimé, il a une bonne queue aussi.
• — Et qu’as-tu ressenti quand je te prenais en levrette et que j’ai demandé à Yves de se placer devant toi pour que tu le suces ?
• — J’ai adoré. Je ne pensais pas pouvoir faire cela un jour et puis voilà. J’avoue que c’était vraiment bien, une bonne expérience. Carla marqua un blanc puis reprit : et pour tout te dire, je crois que lorsqu’ils partiront définitivement ces soirées nous manqueront.
• — Ah bon ?
• — Oui je pense. Je trouve qu’on s’amuse bien tous les quatre, et j’ai bien aimé ce soir.
• — Alors il nous reste plus que trois semaines pour en profiter !
• — On peut voir les choses comme cela effectivement, car après leur départ, je ne veux plus faire de rencontres comme celles que nous avons faites au début. Ce n’était pas terrible et ça ne me plaît pas.


Nous sommes arrivés à notre domicile et sommes allés directement nous coucher. Dans le lit, comme à chaque retour de soirée, nos ébats à quatre fraîchement réalisés décuplaient notre excitation et nous refaisions l’amour en nous questionnant sur la soirée histoire de déculpabiliser d’assouvir nos fantasmes, nous rassurant inconsciemment l’un et l’autre, et nous donnant mutuellement un consentement de recommencement.


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par Qsdf
#2218999
Vers l’échangisme


Les soirées qui ont suivi s’étaient fortement rapprochées les unes des autres, une à deux soirées par semaine. Depuis cette fameuse soirée, j’ai pu constater que le centre de nos ébats s’était déplacé. Centrés sur les plaisirs saphiques entre femmes au départ, ceux-ci étaient devenus centrés sur de l’échange de partenaires pour les préliminaires et le mélange des corps pour le reste.


La dernière soirée avant le départ de Corinne s’est déroulée dans la même chambre de ce même hôtel, trois jours avant son départ.
Je ne sais pas si c’est pour que la soirée dure plus longtemps, mais les femmes avaient convenu que nous nous retrouverions directement dans la chambre d’hôtel vers 20 h 30, et que nous ferions un petit cocktail dînatoire dans la chambre. Corinne avait amené des quiches et des tartes au saumon, Carla s’était occupée du dessert et du champagne.


Nous étions arrivés les premiers, pendant que Carla s’occupait de disposer ce qu’elle avait amené sur la petite table de la chambre je m’occupais d’installer notre petite enceinte pour avoir une musique de fond. Yves et Corinne arrivèrent assez vite. Ils avaient les bras chargés et se dépêchaient d’entrer. Corinne déposa ce qui servirait de dîner sur la table et nous embrassa pour nous dire bonjour. Yves se chargea de déboucher la première bouteille de champagne alors que Carla commença à ouvrir les boîtes pour sortir les quiches.
Je proposai à Corinne de la débarrasser de son imperméable léger de saison qu’elle n’avait pas encore quitté, mais elle refusa.


• — Corinne nous a fait une surprise, me dit Yves avec un grand sourire
• — Ah bon quoi ?
• — Tu verras tout à l’heure.
• — Qui veut du champagne ? demanda Carla.
• — Ben tout le monde, je pense.


Les deux premières coupes vidées, la conversation battait son plein quand tout à coup Yves nous dit :


• — Alors vous voulez savoir pour la surprise ?
• — Oh oui répondit Carla
• — Vas-y ma chérie, dit Yves à Corinne.


Corinne se retourna et mit une musique douce, puis se retourna, retira le nœud de la ceinture de son imperméable, déboutonna un à un les boutons et jeta son imperméable à terre. Elle était seulement vêtue d’une guêpière et de bas. Elle entama une danse lascive devant nous en laissant ses mains devant son sexe.


• — Hum, mais tu es magnifique, ma chérie, dit Carla


Yves se leva et écarta les mains de Corinne pour nous montrer qu’elle ne portait ni culotte ni string. Puis elle attrapa Carla par la main, l’attira à elle, et lui roula une pelle à faire bander un mort.


• — Qui commande ce soir, demanda Corinne ?
• — Je propose que ce soit Carla ET moi dit Yves
• — Oh oui, dit Carla.
• — OK, c’est vous qui commandez.


Yves invita Carla à venir le rejoindre et s’asseoir à côté de lui, adossée à la tête de lit.


• — Je commence ? demanda Yves à Carla
• — Oui, vas-y.
• — Alors pour commencer, Éric et Corinne, vous venez sur le lit, et Corinne tu déshabilles Éric en rythme avec la musique.


À genoux sur le lit, l’un en face de l’autre, Corinne déboutonna un à un les boutons de ma chemise, en écarta les pans, puis posa ses mains sur mon torse pour me caresser. Elle approcha sa bouche près de la mienne, regarda mon corps, s’approcha de plus en plus près, je sentais son souffle sur mon visage. Nous n’avions jamais échangé de baiser sur la bouche en dehors de l’acte, et cela était d’un érotisme troublant. Je ne savais pas si je devais l’embrasser ou attendre. Puis elle fit glisser ma chemise le long de mon corps avant de la jeter à terre.


• — Ils sont beaux tu ne trouves pas ? demanda Yves à Carla
• — Oui je suis d’accord, ils sont excitants.
• — Ça te fait mouiller ?
• — Un peu et toi tu bandes ?
• — Oui, un peu.
• — …


Carla posa sa main sur le pantalon d’Yves et tâta l’endroit.


• — Je confirme que tu es déjà en forme.


Corinne a ouvert ma ceinture, retiré le bouton de mon pantalon, baissé la braguette et a plongé sa main dans mon boxer pour se saisir de ma queue qui bandait déjà.


• — Lui aussi est déjà en forme, dit Corinne.
• — Alors il serait temps que tu t’en occupes, répondit Yves


Et sans autre forme de procès, Corinne sortit ma queue de son logement, fit quelques allers-retours sur mon sexe avec sa main, et commença à me lécher le gland et me sucer. Yves et Carla nous regardaient, je remarquais que la main de Carla avait disparu dans le pantalon d’Yves qui ne perdait pas une miette de ce qu’il se passait.
Puis Corinne fit glisser mon pantalon et mon boxer jusqu’à mes genoux et m’ordonna de tout enlever, ce que j’ai fait en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.


Nous étions à genoux, l’un en face de l’autre, et Corinne reprit ses caresses sur mon corps. Je posai mes mains sur ses hanches, puis les fis remonter jusqu’à ses seins que je saisis, et en embrassai la pointe qui durcit. Puis mes mains remontèrent jusqu’à son cou, j’ai saisi sa tête entre mes mains, et l’ai approchée jusqu’à moi pour échanger un baiser doux et sucré pendant qu’elle tenait mon bâton, et le masturbait lentement. J’ai glissé une main entre ses cuisses, et aventuré deux doigts dans sa fente trempée, je glissai mes doigts entre ses lèvres brûlantes de désir. Sa main allait et venait sur ma queue au rythme de mes doigts dans sa petite chatte. Corinne passa ses mains dans mon dos, puis me m’attira contre elle, nos corps étaient collés l’un contre l’autre, mon sexe dressé se retrouvant entre ses cuisses se frottant de toute sa longueur entre ses lèvres chaudes. Corinne ondulait son bassin sur mon sexe, gémissant de plaisir au gré de ses mouvements, m’embrassant de plus en plus sauvagement. Pendant ce temps, Carla pipait et branlait Yves sans perdre une image de ce que nous faisions face à eux.


• — Tu te frottes contre sa queue ? demanda Yves à Corinne
• — Oui, répondit-elle.
• — Tu aimes sentir sa queue contre ta chatte ?
• — Oui.
• — Tu voudrais qu’il frotte son gland sur ton clitoris ?
• — Oui, dit-elle en gémissant de plaisir, la chatte bouillonnante
• — Et toi qu’en penses-tu ? demanda Yves à Carla
• — Si cela vous fait plaisir, je suis d’accord


Corinne s’allongea, écarta les cuisses et me tendit les mains pour m’inviter à entrer dans cette zone de danger et de forte turbulence. Je me suis avancé doucement entre ses jambes pour me rapprocher de son intimité, puis elle a attrapé mon sexe pour en diriger le gland contre son clitoris érigé, puis l’a glissé sur sa fente pour l’enduire de son désir, et l’a fait remonter contre son clitoris. Elle recommença l’opération plusieurs fois sans oublier de me branler au passage.


Yves et Carla avaient changé de position, Carla était désormais en position de levrette, la tête à côté de moi, et Yves profitait de la chatte offerte de ma femme pour frotter son gland entre les lèvres de Carla. À ses mouvements, ou plutôt à ses moments d’immobilité face aux mouvements de bassin de Carla, je devinais que, comme moi, Yves avait le gland planté à l’entrée de la chatte de ma femme. Corinne me regardait dans les yeux dans ces moments où le moindre courant d’air m’aurait projeté au fond d’elle.


Je sentis la main de Carla passer derrière moi et se frayer un chemin jusqu’à ma queue, le parcourant sur la longueur pour en deviner le gland coincé entre les lèvres de Corinne. Dans un bruit de chute, j’entendis Yves projeté en arrière, se cognant le dos contre la tête de lit. Il s’agrippa aux hanches de ma femme, et prit Carla d’un coup. Plus aucun doute, Yves était en train de pénétrer et de prendre Carla comme un adolescent, ne retenant pas ses émotions, il jouit très rapidement au fond du vagin de mon épouse.


Lorsque j’ai pris conscience de ce qu’il venait de se passer, le regard de Corinne dans le mien m’invitait à la prendre aussi. Sans un mot, je posai mes bras de chaque côté de ses épaules, positionnai ma queue à l’entrée de sa chatte. Elle ferma les yeux, et d’une main elle appuya sur mes fesses pour me faire entrer en elle, doucement, mais en une seule fois jusqu’à ce que mon pubis s’appuie contre le sien et n’arrête la course de ma queue en elle. Je restais immobile un moment en elle, et commençai mes va-et-vient doucement, mais fermement.


Ses gémissements s’accéléraient au rythme de mes coups de reins, nous n’étions plus que deux, et dégustions cet instant sous les yeux de deux amants qui avaient consommé avec trop de gourmandise leur moment. J’accélérai et repris la cadence de mon pilonnage selon l’approche ou non d’un point de non-retour. Je voulais faire durer ce moment. Lorsque j’y allais trop fort, Corinne ne retenait plus ses « oh oui, c’est bon, vas-y, ouiii, ouiiii », sa chatte ruisselait abondamment sur ma queue. J’étais déchaîné, je voulais que cet instant dure, mais mon excitation était à un summum rarement atteint, il m’a fallu beaucoup de contrôle pour faire durer un peu. Mais après quelques minutes de ce traitement, je ne pouvais plus me retenir, je la prenais avec force, du plus profond que je pouvais sentant la pression monter, je m’arc-boutais et jouissait en elle, sentant son plaisir se mélanger au mien dans son vagin. Nos corps se tordaient de plaisir l’un dans l’autre. Le moment d’inconscience de l’état de jouissance passé, elle m’a pris dans ses bras, me serrant fort pour finir de jouir et apprécier cet instant. Nous sommes restés unis de longues minutes, l’un dans l’autre, serrés, à retrouver nos sens. Carla et Yves nous regardaient, dans les bras l’un de l’autre. Le silence s’est ensuite installé le temps que chacun tente de remettre de l’ordre dans ses idées et du choc que nous venions de vivre. Carla venait se faire prendre devant nous par Yves et inversement, je venais de faire jouir Corinne devant son mari et ma femme.


Quelques minutes plus tard, je finis par briser le silence :


• — Je crois qu’on a tous bien dérapé ce soir.
• — Il fallait bien que cela arrive, depuis le temps qu’on joue avec le feu, répondit Carla toujours l’air pensif.
• — Oui, c’est vrai… reprit Yves marquant un temps d’arrêt puis reprit : Mais pour en avoir discuté avec Corinne depuis des mois, comme vous le savez, vous nous accompagnez très souvent dans nos fantasmes. Nous en avions envie tous les deux. Et nous nous étions dit que si cela devait arriver un jour, si nous devions un jour passer la frontière et pratiquer ne serait-ce qu’une fois l’échangisme, ce serait avec vous deux ou jamais.
• — Oui je sais, dit Carla. Pour moi c’est pareil. Ce qui est fait est fait.
• — Bien. Finalement tout le monde ici y a déjà pensé au moins une fois. Comme dit Carla, ce qui est fait est fait et n’est plus à faire. Est-ce que quelqu’un ici regrette ce qui vient de se passer ?
• — Non ! répondirent les trois en chœur.
• — Bien, on va pouvoir boire une coupe pour fêter cela alors !


Nous avons pris une douche, et avons commencé à manger. Nous n’avions pas vu l’heure, mais nous avions clairement passé l’heure traditionnelle d’un dîner et les estomacs s’étaient vidés surtout après tant de sport.


Une fois restaurés, la soirée continua et le second round fut bien plus soft, restant sur nos habitudes de mélangisme finissant, chacun avec notre partenaire.



Sur le chemin du retour, je repensais à tout cela dans la voiture. Cette fois, nous avions clairement dépassé nos limites. Je ne savais plus quoi penser. Certes, il fallait s’attendre à cette issue et je rejoignais le consensus sur le fait que si nous devions un jour tester l’échangisme, alors cela devait se faire avec Yves et Corinne. Carla ne semblait pas plus perturbée que cela.
Dans la voiture, sur le chemin du retour je me lançai :


• — On a un peu dérapé, non ?
• — Un peu beaucoup oui. Et par ta faute ! Quand je me suis approché de toi et Corinne pendant que tu frottais ta queue sur sa chatte, j’ai passé ma main en dessous pour tâter ta queue. J’ai senti que tu étais entré dans la chatte de Corinne, alors je me suis empalée sur la queue d’Yves. D’ailleurs il a été tellement surpris qu’il a été déséquilibré et s’est retrouvé projeté au mur !
• — Oui, j’ai vu et entendu quand Yves s’est retrouvé contre le mur ! Mais je n’étais pas dedans !
• — Si tu y étais !
• — Je t’assure que non. Tu pourras demander à Corinne si tu ne me crois pas.
• — Je lui demanderai, mais je suis sûre de moi. Et puis, honnêtement, tu en as plus profité que moi.
• — Explique-toi.
• — Ben tu as bien vu, Yves est parti au bout de dix secondes. Par contre, vous, vous en avez bien profité.
• — Tu es jalouse, tu m’en veux ?
• — Non, pas du tout. C’est juste que j’ai l’impression que cela était déséquilibré.
• — Ça t’a choquée de me voir prendre Corinne ?
• — Non je m’en fiche, car d’une j’étais présente et cela s’est passé devant moi et Yves, et de deux, elle part dans trois jours pour le Canada donc non ça ne me dérange pas. Et si en plus tu y as pris du plaisir, ben c’est encore mieux, car cela nous fait une expérience que nous n’oublierons pas. Ce n’est pas comme s’il y avait eu trahison au sein de notre couple. Donc non, ne t’inquiète pas, ce n’est pas grave. Mais il n’empêche que pour moi cela n’a pas été terrible. Et toi ? Cela t’a choqué de me voir prise par Yves ?
• — Non, ça ne m’a pas choqué, cela m’a excité au contraire. J’aurais préféré pour toi que cela dure plus longtemps et que tu y trouves aussi ton compte.
• — Oh ne t’inquiète, pas mon cœur, tout cela m’est bien égal.


En rentrant, comme à notre habitude, nous avons refait l’amour à la maison, mais là il n’était pas question pour moi de revenir sur la soirée passée. Alors que je la prenais dans la position classique du missionnaire, c’est Carla qui abordait le sujet :


• — Alors, tu as aimé baiser avec Corinne, vas-y dis le moi !
• — Oui.
• — C’était bon, dis-moi, elle a joui ?
• — Tu l’as bien entendu non ?
• — Mais l’as-tu sentie fondre sur ta queue ?
• — Oui.
• — C’était bon, hein, dis-le ! Tu as aimé salaud !
• — Oui, j’ai aimé.


Il était temps d’inverser la pression et de ne pas me laisser embarquer dans une culpabilité infondée.


• — Et toi tu as aimé te faire prendre par Yves ?
• — Trop court !
• — Mais si cela avait été plus long
• — À voir, mais ne change pas de sujet. Humm… oui, vas-y prends-moi plus fort salaud, fais-moi jouir comme tu l’as fait jouir elle !
• — Dis plutôt que tu veux que je te prenne comme tu aurais aimé être prise ce soir !
• — Oui, vas-y, défonce-moi si tu ne veux pas que je me venge.
• — Te venger, mais de quoi ?
• — D’avoir fait jouir une autre que moi ce soir.
• — Et comment te vengerais-tu ?
• — En me faisant sauter correctement par Yves !
• — Mais tu étais là, tu as tout vu tout entendu, et toi aussi tu t’es fait prendre !
• — Salaud, oh putain, tu me fais jouir salaud, vas-y continue, oui, ben alors tu verras oh ouiiiiii salaud ouiiiiiii encore oui oui oui hummmmmmmmmmmmm putain salaud hummmmm oui je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis


Je jouis en même temps que Carla. Je mis du temps à reprendre mon souffle et à rassembler mon esprit. Je ne savais quoi penser de ce que je venais d’entendre. Avais-je bien entendu ? Était-elle contrariée contre moi ? Je ne savais plus quoi penser.
J’enlaçai mon amour comme pour me rassurer et nous nous endormîmes en nous faisant un tendre câlin.
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par Qsdf
#2219000
Vers le triolisme et le candaulisme

Le lendemain, Carla faisait comme si rien n’était arrivé, j’en arrivais à la conclusion que Carla n’était pas fâchée, peut-être juste un peu frustrée de ne pas avoir eu le même niveau de satisfaction que moi.


Le lundi suivant, nous avions convenu d’un dîner avec Yves et Corinne, car Corinne prenait l’avion le mardi matin. Je craignais un peu ce dernier dîner, mais celui-ci s’est passé exactement comme les autres, dans la joie, la bonne humeur, et la complicité. Si dans la conversation nous sommes revenus sur cette dernière expérience pour bien clarifier les choses, Corinne confirmant que je ne m’étais pas introduit en elle et que le départ de tout cela était bien un quiproquo. Au final, aucun de nous n’exprimait de regrets, mais plutôt la satisfaction d’avoir réalisé cette expérience ensemble.


C’est au dessert que Corinne nous a exprimé sa tristesse de partir et nous a versé une larme. Elle n’avait pas d’autre choix que de s’envoler vers le Canada avec ses enfants, prendre possession de leur nouvelle maison et organiser l’installation. Son vol étant programmé très tôt, il n’y a pas eu d’extras ce soir-là. Yves devait rester encore deux semaines en France pour débarrasser leur maison de banlieue, et rendre les clés.


Corinne partie, nous avons revu Yves qui est venu dîner plusieurs fois à la maison. Je suis allé l’aider une journée pour livrer le plus gros des meubles vendus. C’était l’occasion rêvée de se retrouver « entre couilles » et d’avoir une discussion masculine sur la dernière soirée coquine. C’est à cette occasion que Yves m’a avoué avoir deux ressentis opposés de ce qui c’était passé. Tout d’abord le regret de ne pas avoir pu honorer et savourer correctement le moment passé avec Carla. Puis il m’avouait avoir toujours fantasmé sur le fait de partager Corinne ce que Corinne lui avait toujours refusé. Voir Corinne se faire prendre lors de notre soirée lui avait énormément plu et il en rêvait depuis longtemps. Depuis que Corinne était partie, il ne cessait d’y repenser et se refaisait le film de la soirée en se touchant le soir seul chez lui, s’imaginant prendre Carla pendant je m’occuperais de Corinne.
En rentrant à la maison, je racontais tout cela à Carla.


• — Tu sais, j’ai discuté avec Yves. Il me disait que comme toi, s’il a apprécié te prendre, il regrette que cela ait été aussi court.
• — Ah, ben alors je ne suis pas seule à avoir eu ce sentiment, ça me fait plaisir qu’il confirme.
• — Il me disait également que s’il le pouvait, il ferait en sorte que ce soit mieux
• — Et qu’a-t-il pensé de voir sa femme jouir avec toi ?
• — Il m’a dit avoir apprécié, car c’était un de ses fantasmes.
• — Et toi tu as ce fantasme de me voir avec un autre homme ?
• — Je ne sais pas, mon cœur.
• — Pourtant quand nous délirons, parfois tu me demandes bien si j’aimerais me faire prendre par un autre, non ?
• — Oui, c’est vrai.
• — Alors, tu aimerais ?
• — Peut-être… Pourquoi tu voudrais réessayer avec Yves ?
• — Je ne sais pas. Peut-être. Dans un sens oui, et dans l’autre non.
• — Explique-toi.
• — Ben je ne t’imagine pas planté devant nous à regarder tout seul, cela me bloquerait, et en même temps, je n’imagine pas le faire sans toi ça me bloquerait aussi.
• — C’est compliqué ton histoire, mon cœur.
• — Oui, je sais.


Nous en restions là de cette discussion.


Au fil des jours, la maison de Yves et Corinne se vidait, le tri des affaires devant partir par container et celles devant être vendues/données restait difficile. Si la tâche s’annonçait facile au début, elle se complexifiait à mesure que la date de départ approchait. Nous avions convenus qu’Yves viendrait dormir à la maison le vendredi soir afin que je l’amène le samedi matin à l’aéroport. L’avant-veille de son départ, nous prenions des nouvelles d’Yves pour nous caler. Yves nous faisait part de l’avancée de ses travaux. Il nous racontait s’être organisé avec son frère pour finir de débarrasser le seul meuble restant, à savoir le canapé du salon, et pour l’état des lieux après son départ. Il craignait de ne pas réussir à tout finir, car il lui restait encore à faire un sérieux coup de ménage et finir quelques cartons. Enfin, nous convenions que Carla irait le chercher dans l’après-midi du vendredi, et pour ma part je préparerai un barbecue sachant que j’ai la possibilité de finir un peu plus tôt le vendredi.


Le vendredi matin, j’étais au bureau, je consultais mon téléphone entre deux réunions, j’avais un sms de madame.

9 h 57 « coucou mon cœur, je suis sur la route, je vais aider Yves à finir ses cartons et son ménage ».


Ma gorge s’est nouée à cet instant, car j’étais pris d’un moment d’inquiétude, m’imaginant cinquante mille choses à la fois. Pourquoi cette décision soudaine ? Pourquoi y allait-elle ce matin alors qu’elle devait partir vers 16 h ? Y allait-elle pour vraiment faire des cartons et le ménage ? Je me mis à m’imaginer à la place d’Yves. Que ferais-je à sa place ? Je tenterais probablement quelque chose. Alors pourquoi ne le ferait-il pas ? Bref, j’étais pris de jalousie. Et en même temps, je me rassurais en me rappelant les propos de Carla qui me confirmait qu’elle ne pourrait rien faire sans moi. Je me décidai à l’appeler pour en avoir le cœur net.


• — Bonjour mon cœur, ça va ? Pas trop de monde sur la route ?
• — Non ça va, ça roule bien, ce matin.
• — Comment se fait-il que tu ailles ce matin chez Yves ?
• — Tu sais il m’a fait de la peine, hier soir, il me semblait tellement perdu avec tout ce qu’il lui reste à faire. Ce matin, il m’a envoyé par MMS les photos de tout ce qu’il lui reste à emballer et l’état de la cuisine. Alors je lui ai proposé de venir l’aider.
• — Ah ok.
• — Pourquoi qu’as-tu cru ?
• — Rien, je te fais confiance mon cœur, mais j’avoue que j’ai eu un petit coup de flip.
• — Ne t’inquiète pas mon cœur, comme on a dit, jamais l’un sans l’autre. On va juste faire des cartons ce matin, ce midi nous irons manger un morceau, et cet après-midi grand nettoyage de la cuisine.
• — Euh… le morceau que tu vas manger, j’espère qu’il ne sera pas contondant d’une longueur d’environ 17 cm et de 3 de diamètre !
• — Tu es bête, s’esclaffa-t-elle en riant de bon cœur à ma plaisanterie. Quoique, si tu insistes…
• — Bon, allez, je te laisse mon cœur, à plus tard, j’ai encore du travail ce matin.
• — OK, je te tiens au courant par SMS et MMS. Bisous.


Voilà, j’étais rassuré sur le moment. Il n’empêche que je passais le reste de la matinée à guetter l’arrivée éventuelle de SMS ou MMS sur mon téléphone qui restait muet jusqu’à l’heure du déjeuner.

11 h 48 « On n’a pas arrêté d’emballer. On fait une pause. »


À ce SMS étaient jointes deux photos en MMS, l’une d’une pile de carton, l’autre un selfie de Yves et Carla ensemble, tout sourire.


Je remarquais sur le selfie que Carla s’était légèrement maquillée, elle était vêtue d’un vieux survêtement dont la veste à demi fermée offrait une vue magnifique sur ses seins comprimés dans un soutien-gorge Marlies Dekkers.


Je répondis :

« Bravo, bon courage à vous. Bisous »


12 h 03 Nouveaux MMS reçus :
Premier MMS :

« Yves en train de rigoler avec un soutien-gorge de Corinne posé sur la tête, les bonnets sur les oreilles façon casque d’aviateur.»<t/ab1>

Second MMS :

« Carla qui se montre menaçante avec le balai comme si elle voulait frapper quelqu’un.»

Ces MMS me rassuraient et je répondis :

« Ben bravo, je vois que vous vous amusez bien.»

12 h 08 Nouveau MMS reçu :
Gros plan sur le décolleté de Carla

« Voilà qui est appétissant juste avant de déjeuner.» répondis-je.
« Oui très appétissant.», avec la signature d’Yves.

12 h 10 Nouveau MMS reçu, Carla en selfie, le regard plein de malice, la bouche semi-ouverte à hauteur de la braguette d’Yves accompagné du message suivant :

« Pour me mettre en appétit aussi.»
« Coquine ! allez je file déjeuner, car moi aussi tout cela m’a mis en appétit, mais soyez sages hein ! .»
« OK mon chéri, bon appétit.»

Pendant ma pause-déjeuner, je ne cessais d’imaginer ce que serait leur pause-déjeuner à eux et me posais mille questions. De quoi parleraient-ils ? Comment régirait-elle si Yves lui faisait des propositions ? N’y a-t-il pas eu déjà un risque de rapprochement quand ils faisaient ensemble les cartons ? Quels ont été les échanges de regards entre eux ? J’étais jaloux, horriblement jaloux, jaloux comme un pou, mais en même temps je me surprenais à bander à ces idées. Je me demandais si j’avais envie qu’il se passe quelque chose entre Carla et Yves ou si je ne le souhaitais pas. D’un côté, cela remettrait les compteurs à zéro, d’un autre côté cela me dérangeait. D’un côté j’en avais envie, d’un autre côté je ne le souhaitais pas.

Je décidai de rappeler Carla vers 14 h, mais elle n’a pas répondu. Plus je m’inquiétais plus j’imaginais ma femme en train de faire des choses avec Yves, et plus je bandais.

14 h 04 SMS de Carla :

« dsl je ne pouvais pas te répondre. Je suis aux toilettes. Ce midi Yves m’a parlé, il m’a dit qu’il adorerait me refaire l’amour et qu’il espérait bien être plus performant cette fois-ci. Tu lui as dit que j’avais été déçue ? »
« Oui je le lui avais dit. Et ? »
« Il m’a embrassée. »
« C’est tout ? »
« Oui c’est tout. Il vient de me dire qu’il avait très envie, mais je lui ai dit que sans toi ce n’était pas possible. »
« Tu en avais envie ? »
« Oui, nos délires m’ont un peu émoustillée »
« Tu veux le faire ? »
« Tu n’es pas là. »
« Je t’appelle en Facetime dans 10 minutes ;) »

Je fermai la porte de mon bureau, consultai mon agenda vide pour l’après-midi, et je rappelai Carla cette fois-ci en Facetime pour avoir l’image et le son. Carla a décroché, ils étaient debout dans la cuisine.

• — Ça va mon cœur ?
• — Oui et vous ?
• — Nous venons juste de finir de déjeuner.

À ce moment, Yves apparut par-dessus l’épaule de Carla en me souriant :

• — Salut, Éric, ça va ?
• — Oui et toi ? Et vous avez bien mangé ?
• — On s’est fait livrer « chinois », mais ce n’était pas très bon, me répondit Carla.
• — Dommage, vous sembliez être en appétit.
• — Les nems n’étaient pas terribles et on n’a pas encore mangé le dessert.
• — J’ai bien des boules coco à proposer en dessert, dit Yves.

Éclat de rire général. Même Carla riait de bon cœur à la plaisanterie d’Yves.

• — C’est vrai ça, mon cœur. Tu pourrais te rattraper sur le dessert avec les boules coco de Yves, renchéris-je.

À ce moment, j’ai vu Carla regarder Yves, puis me regarder sur son petit écran.

• — Tu es sûr de toi ?
• — Oui, lui répondis-je.

Carla orienta le téléphone pour me montrer qu’elle baissait la braguette du pantalon d’Yves, plongea une main dans son pantalon pour en extraire le sexe déjà raidi d’Yves, et commençait à le masturber, puis retourna l’objectif du téléphone vers elle.

• — Alors ? me dit-elle, toujours sûr de toi ?
• — Oui, mon cœur, si tu n‘as pas bien mangé, venge-toi sur le dessert !

Carla donna le téléphone à Yves pour être libre de ses mains.

• — Tiens, filme s’il te plaît.

Carla commença à lécher le gland d’Yves avant d’engloutir cette queue au fond de sa bouche. Elle le léchait avec gourmandise, l’aspirait, et le branlait. Yves faisait de son mieux pour que je ne perde pas une miette de la scène.
Les lèvres de ma femme glissaient sur la queue d’Yves et occupaient la quasi-totalité de mon écran. Je bandais comme un âne devant ces images et ne pouvais même pas me toucher de crainte que quelqu’un n’entre dans mon bureau. Je ne pouvais dériver mes yeux de l’écran, j’entendais les bruits de succion et les gémissements de plaisir de Yves. Ma queue était devenue si dure qu’elle me faisait mal trop à l’étroit dans mon boxer. J’aurai aimé me branler et étrangler le borgne, mais je ne pouvais pas.

Puis Carla ressaisit le téléphone et me demanda.

• — Alors mon amour ? Cela te plaît ? Est-ce aussi bien que les webcams que tu aimes tant regarder ?
• — C’est beaucoup mieux mon cœur. Et on dirait qu’Yves est en forme.
• — Oui, ça je peux t’assurer qu’il l’est. Regarde un peu comme il bande. Et toi, ça te plaît ? Montre-moi un peu.

Pour la première fois de ma vie, je sortis ma queue de mon pantalon dans mon bureau et montrai à Carla l’effet que me faisait la situation.

• — Mais tu bandes dur mon chéri, ça te plaît ? Que veux-tu que je fasse maintenant ? Profite, tu n’auras pas 2 fois cette occasion.
• — Je voudrais qu’Yves te lèche la chatte pour bien te préparer. Lui aussi a droit à une petite douceur après le repas.

Carla entraîna Yves dans le salon, posa le téléphone sur une pile de cartons de sorte que le champ de vision de la caméra soit orienté vers le canapé.

Me faisant face, elle a demandé à Yves de se déshabiller, ce qu’il fit rapidement, mais elle l’a arrêté au moment où il voulait baisser son slip souhaitant le faire elle-même. Au regard de Carla je devinai que Yves devait présenter un engin en grande forme. Pour ma part, je ne voyais que les fesses de sportif d’Yves.

• — Je ne vois pas grand-chose, dis-je.

Carla et Yves se mirent alors de profil, et ce que je devinais s’avérait être une réalité. Yves avait la queue dressée comme je l’ai rarement vue. Carla s’accroupit alors face à lui et reprit une fellation dont elle a le secret. Elle le branlait et frottait son gland contre ses lèvres, le léchait, Yves ne disait plus rien, mais savourait le moment. À cette cadence il n’avait aucune chance de résister très longtemps, il décida alors de reprendre les choses en mains pour ne pas à nouveau passer pour un mauvais coup. Yves prit la caméra et la posa sur l’accoudoir du canapé afin que je puisse suivre, et fit asseoir Carla dans le canapé afin de la déshabiller. Il commença par dézipper sa veste de survêtement qu’il envoya valser sur le sol, lui retira ses chaussures, puis fit glisser l’élastique de son pantalon jusqu’à ses chevilles. Carla était désormais en sous-vêtements face à Yves, cet ensemble Marlies Dekkers que je lui avais offert pour son anniversaire. Avec le recul, je suis désormais certain que cette escapade était inconsciemment prévue dans la tête de mon épouse. Carla prit les mains d’Yves et les posa sur l’élastique de son slip. Fébrilement il l’a fait glisser sur le sol. Elle écarta les jambes offrant son intimité tout entière à Yves. La scène que me renvoyait la caméra était d’une intensité folle.

Yves se pencha sur le ventre de Carla qu’il embrassa, puis descendit doucement. La peau de Carla devait frissonner au passage de son souffle sur son ventre et il atteint bientôt son pubis. Elle écarta franchement les cuisses offrant totalement son intimité à la bouche d’Yves. Sa langue se rapprocha progressivement de son sexe, jusqu’à ce qu’elle arrive enfin aux grandes lèvres qu’il lécha délicatement. Puis il introduisit un doigt dans sa chatte et commença à la masturber tout en titillant son clitoris de sa langue. Les yeux fermés, elle saisit sa tête pour la plaquer contre sa chatte, en essayant de s’ouvrir plus, afin qu’il déguste son plaisir. Aux gémissements de Carla, il est clair qu’elle avait oublié que je regardais et s’abandonnait à son plaisir. Je n’osais pas intervenir pour la laisser faire comme elle l’entendait, je voulais respecter ce moment comme elle avait respecté le moment que j’avais eu avec Corinne.

À mesure qu’Yves excitait Carla, celle-ci penchait dangereusement sur le canapé pour se retrouver totalement allongée. Yves quant à lui ne cessait pas de fouiller la chatte de ma femme en l’embrassant à pleine bouche. Elle l’enlaçait, le tenait par le cou, et l’attirait contre elle.

Puis ne résistant plus à l’appel de leurs corps, à ce besoin d’épiderme, il s’allongea sur Carla, l’a regardée dans les yeux, et s’est positionné entre ses jambes, le gland planté entre ses lèvres. Il était prêt à la pénétrer et, d’un clignement d’yeux, elle l’invita à s’introduire en elle, ce qu’il fit en une fois, d’un coup de rein puissant. Un mélange de surprise et de plaisir passa dans les yeux de ma femme qui poussa un petit cri au passage de ce membre dans son intimité.

Il est resté ainsi immobile un instant, l’a embrassée à nouveau. Dans un réflexe, Carla saisit les hanches d’Yves, pour mieux contrôler ses mouvements. Le sourire de Carla invitait Yves à commencer ses va-et-vient qu’elle contrôlait. Il allait et venait à un rythme progressivement plus rapide, pour finir après de longues minutes par la pilonner très vite. Elle se sentait remplie et possédée par le sexe son amant remontant ses cuisses au maximum pour mieux accueillir les assauts de celui-ci. Elle creusait son ventre pour amplifier ses sensations. Par moment, Yves ralentissait le rythme, je lisais sur son visage sa volonté de contrôle, son besoin de mâle de démontrer qu’il n’était pas ce mauvais coup de la première fois.

Je ne disais rien de peur d’interrompre ce moment, et si je mourais d’envie de soulager mon état d’excitation en me branlant vigoureusement, j’étais condamné à rester observateur. Je ne pouvais plus arrêter ce qui ce passait, et ne pouvais pas soulager ma queue devenue trop sensible. Un simple courant d’air m’aurait fait jouir et je ne pouvais risquer de m’en mettre plein le pantalon dans mon bureau.

Yves s’arrêta enfin de faire tordre ma femme de plaisir et lui demanda de se mettre à genou sur le canapé ce qu’elle fit en s’accoudant au dossier. D’une main elle écarta ses fesses pour offrir sa croupe à Yves et lui dit :

• — Prends-moi, fais-moi jouir encore.

Je vis Yves saisir son gourdin dur, puissant, luisant des secrétions de plaisir de ma femme, et le faire aller et venir entre ses fesses, le faire glisser de sa rondelle à sa fente plusieurs fois, puis s’introduisit à nouveau dans sa chatte d’un coup. Yves la prenait en levrette, position fatale pour Carla qui jouit toujours très vite en pareille circonstance.
J’étais rassuré de voir que Carla ne m’avait pas fait l’affront d’offrir son petit trou à Yves, car étant le pionnier de cette issue je souhaitais que celle-ci me restât réservée. Les cris de jouissance de Carla m’obligèrent à baisser le son de mon smartphone au minimum. Yves ne se retenait plus et la défonçait comme il en avait toujours rêvé. Carla se redressa et se cambra pour libérer un orgasme que je devinais bouillant et liquide aux cris qu’elle émettait. Puis elle se retira de la queue de Yves, se retourna, et saisit la queue de Yves pour le branler d’une main experte.
Elle le regarda droit dans les yeux et lui dit :

• — Vas-y, lâche-toi, je veux ton jus.

Elle continua ses mouvements, ouvrant la bouche, la langue tirée pour quémander sa récompense, Yves se crispa et lâcha sa semence sur le visage et dans la bouche de Carla. Elle le finissait en douceur en lui gobant le gland, en lui léchant le membre sur toute sa longueur sans oublier les boules tout en douceur. Yves, secoué par tant de plaisir, avait du mal à tenir debout sur ses jambes flageolantes et tenait la tête de Carla entre ses mains.

Quelques instants plus tard, Carla saisit la caméra, me regarda les yeux brillants de plaisir et me dit :

• — Merci, mon chéri.

Puis elle coupa la communication.

Ma vue devint floue, mes idées embrouillées, mes jambes tremblaient et la sensibilité de mon sexe dressé me figeait sur ma chaise ébahi, mon smartphone entre les mains. Étais-je contrarié ? Étant donné mon état, définitivement, non. Me sentais-je trahi ? Pas le moins de monde. Avais-je aimé voir ma femme se déchaîner ainsi ? Manifestement oui. Je revoyais ces images, et je n’arrivais pas à débander. Je décidais alors de me rendre aux toilettes pour soulager la crampe qui me saisissait tout le bas-ventre. La porte fermée, à peine avais-je posé ma main sur ma queue que mon sexe explosait et se vidait d’une quantité impressionnante de sperme. Après m’être essuyé, je m’asseyais le temps de recouvrer l’usage de la raison. Un quart d’heure plus tard, je décidai que quitter le bureau et de rentrer à la maison non sans envoyer au préalable un petit SMS de réconfort à mon épouse qui devait aussi se poser mille questions.

• — Merci, mon amour, j’ai adoré te voir prendre ton pied avec Yves et j’espère que cela effacera ta déception de la première fois.

Le retour ne se fit pas attendre.

• — Merci pour ton message mon amour. Je t’aime

Je rentrais à la maison et comme prévu et vaquais à mes occupations pour préparer la soirée. Pour l’apéro, j’avais préparé une sangria.
Yves et Carla arrivèrent finalement assez tôt, il faut croire qu’ils avaient bien bossé dans la matinée et qu’il ne restait plus grand-chose à faire dans l’après-midi. En arrivant, Carla se jeta dans mes bras, m’embrassa amoureusement et me dit :

• — Tu ne m’en veux pas ?
• — Mais non, ne t’inquiète pas.
• — Tu es sûr ?
• — Oui je suis sûr, je dois même t’avouer que j’ai aimé.
• — C’est vrai ?
• — Oui, je te dis. C’était une expérience inoubliable. J’ai même dû aller me branler aux toilettes du bureau tellement j’étais excité, c’est te dire !
• — Rhoooo… Coquin. Côté expériences, c’est vrai qu’on en a eu ces derniers mois.
• — Chuuuut. Allez viens, j’ai tout préparé, il ne reste plus qu’à amener les plats sur la table et commencer l’apéro avant de démarrer le barbecue.

Yves était resté en retrait. Je venais le saluer chaleureusement pour le mettre à l’aise et l’invitait à m’aider aussi.

Installés dans le salon de jardin la discussion nous ramenait sur le la fin du déménagement, l’installation de Corinne dans la nouvelle maison, la fixation de l’heure de départ pour l’aéroport le lendemain matin, mais ne revenions pas sur l’épisode de début d’après-midi. Yves nous montrait les dernières photos reçues de Corinne qui se débrouillait plutôt bien dans l’arrangement de la maison. Elle attendait avec impatience l’arrivée d’Yves pour acheter les derniers meubles les plus lourds.

Au cours du repas, Yves nous avoua que Corinne avait déjà la nostalgie de la France, et que ce qui lui manquait déjà, en dehors de son mari, c’étaient nos soirées agitées. Nous finissions de dîner vers 22 h 30 et prenions notre temps dans le jardin, mais la fraîcheur de la tombée de la nuit nous renvoya dans le salon à l’intérieur de la maison.
Yves et moi étions assis côte à côte dans le canapé, tandis que Carla s’était installée dans le fauteuil face à nous. Je me levais pour mettre un peu de musique d’ambiance. Sans y prêter attention, ni même le faire exprès, la première chanson de ma playlist était la chanson sur laquelle Corinne dansait dans la chambre d’hôtel lors de notre dernière soirée à 4.

• — Tiens ça me rappelle quelque chose cette musique, dit Carla.
• — Oui, moi aussi, répondit Yves en souriant.

J’invitai Carla à se lever et à venir danser avec moi ce slow. La tête posée sur mon épaule elle m’accompagnait dans cette danse que je tentais d’érotiser un peu. Je passais mes mains dans son dos, les faisais descendre sur ses fesses, puis je la faisais tourner sur elle-même par un pas de rock tout en douceur. Après quelques pas tels que ceux-ci, je la fis pivoter, et le bloqua le dos tout contre moi. Nous faisions tous les deux face à Yves et continuions notre slow dans cette position. Je sentis ma queue commencer à gonfler sous l’effet du frottement contre ses fesses. J’embrassai ma femme, dans le cou, et lui caressai le ventre avant de faire remonter mes mains sur ses seins que je malaxai. Je descendis la fermeture Éclair de sa veste pour mieux la caresser, et je fis un petit signe à Yves pour qu’il vienne nous rejoindre dans cette danse.

Yves se leva se mit face à Carla, posa ses mains sur les hanches de mon épouse, se colla à elle, et tournait avec nous. Il l’embrassait dans le cou, Carla fermait les yeux comme pour marquer son accord. À chaque pas, je sentais le bassin de Carla tantôt se frotter contre son partenaire de devant, tantôt contre mon sexe qui devenait de plus en plus vigoureux.
Carla passa une main derrière elle pour venir tâter la bosse de mon pantalon, et je vis son autre main faire de même devant.

• — Vous êtes en forme, messieurs, nous dit-elle.

La troisième chanson se terminant, j’entraînais Carla et la fit asseoir dans le canapé. Yves et moi nous posions chacun d’un côté, Yves à sa droite, moi à sa gauche. Carla posa ses mains sur nos braguettes, et nous caressa de concert.

• — Vous êtes quand même deux beaux salauds nous dit-elle. Vous bandez comme des ânes.
• — Ça ne te plaît pas ? lui demandai-je

Sans me répondre, elle laissa Yves, descendit ma braguette pour extraire ma queue et la faire disparaître fond de sa bouche. Elle me suçait et me branlait tandis qu’Yves lui caressait les fesses.

• — Alors comme cela tu as aimé me voir avec Yves, cet après-midi ?
• — Oui, mais l’écran était petit, je n’ai pas bien vu, répondis-je pour l’encourager.
• — Ah bon, me dit-elle, et donc tu voudrais voir en live alors ?

Sans attendre ma réponse, elle s’est retournée vers Yves pour libérer son sexe et le sucer.

Elle alternait, passait alternativement d’une queue à l’autre, mais la configuration n’était pas des plus pratiques pour elle.

• — Et si nous passions dans la chambre ? nous dit-elle.

Nous tenant par le sexe, elle nous entraîna dans la chambre d’amis et s’assit sur le bord du lit. Elle nous fit baisser nos pantalons et nous lui présentions nos sexes gonflés de désir en offrande. Elle les saisit, un dans chaque main, et nous masturba en nous regardant dans les yeux, puis se remit à nous sucer, chacun notre tour, sans jamais arrêter de branler le sexe délaissé par sa bouche. À un moment, elle joignit nos deux sexes pour en lécher les glands en même temps.

Yves passa une main entre les cuisses de ma femme, lui caressa le clitoris et introduisit un doigt dans sa fente. Pendant ce temps, Carla se concentrait sur ma queue. Son attention et ses mouvements étaient entrecoupés de moments d’inaction quand les caresses d’Yves devenaient trop appuyées. Je m’écartai légèrement pour laisser passer Yves qui s’était accroupi entre les jambes de Carla pour lui lécher son abricot. Je voyais sa langue s’agiter sur le bouton de Carla, puis s’aventurer entre ses lèvres et s’enfoncer dans sa grotte. Carla posait sa main gauche sur la tête d’Yves pour le guider et continuait de me sucer.

Lorsque je me suis reculé, Carla s’est allongée pour mieux savourer les caresses de la langue d’Yves, je me positionnai à côté d’elle pour la caresser et lui lécher les seins. Yves se redressa, et présenta son gland entre les lèvres de Carla, puis la pénétra. Carla écarquilla les yeux, ouvrit grand la bouche et poussa un long cri de plaisir. Il commença à la besogner, Carla agrippa les draps du lit, et savoura à nouveau cette queue qui l’avait déjà fait jouir un peu plus tôt. Elle tourna la tête vers moi, attrapa ma queue et me suça pendant qu’elle se faisait prendre de plus en plus vite. Puis Yves s’arrêta, je demandai alors à Carla de se mettre à quatre pattes sur le lit, je voulais à mon tour la prendre.

Je m’introduisis en elle, sa chatte était déjà trempée de plaisir, je devinai qu’elle libérait orgasme sur orgasme tant sa chatte dégoulinait sur mes couilles. Yves s’est planté devant Carla qui le suçait à mesure que je la pilonnais. J’étais dans un état d’excitation maximum, posséder ainsi ma femme suspendue à la bite de Yves me rendait fou, je dus ralentir la cadence pour ne pas exploser trop vite.

• — Vous êtes vraiment deux gros cochons, nous lança Carla.
• — Dis que tu n’aimes pas, dis-je en m’enfonçant au plus profond de sa chatte.
• — Oh que si, salaud, c’est trop bon.

Je portai mon index à ma bouche, l’enduisis de salive et le portai sur sa rondelle. Je fis tourner mon doigt sur sa rosette qui s’ouvrit toute seule, et je l’introduisis doucement. Yves s’était écarté et regardait la scène, la queue dressée comme un I.

• — Tu aimes mon doigt ici ? lui demandai-je
• — Ouiii hummmm.
• — Tu veux que je te prenne par ici aussi ?
• — Si tu veux, fais ce que tu veux mon amour.
• — Vraiment ?
• — Oui, tout ce que tu veux.
• — Et si je veux qu’on te prenne tous les deux en même temps ? Un devant, un derrière ?
• — Humm oui, allez-y prenez-moi, nous répondit-elle.

Je fis allonger Yves sur le lit la queue dressée et énorme. Carla l’enjamba rapidement, puis le corps bien droit, s’empala d’un seul coup sur lui. Les mains posées sur le torse d’Yves, elle fit quelques mouvements de bassin d’avant en arrière comme pour bien se caler sur ce membre. Puis elle se pencha en avant, la tête dans le creux de l’épaule d’Yves qui commença quelques va-et-vient. Je pouvais voir les lèvres de son vagin complètement distendues s’ouvrir et se refermer au rythme des coups de bite d’Yves. Carla passa une main sur ses fesses pour me montrer l’entrée de la petite porte. Elle tourna la tête dans ma direction et me dis :

• — Viens maintenant.

Je présentai ma queue sur son anus, et d’une légère poussée m’enfonçai doucement dans son fondement. Chaque centimètre gagné prolongeait son « ouiii » de bonheur. Une fois bien planté au fond d’elle, je restais immobile, à l’étroit dans son fourreau tandis que Yves entamait la reprise de ses allers-retours dans la chatte de ma femme. Je sentais la queue de Yves aller et venir le long de la mienne. Carla n’en finissait plus de gémir et de se tordre de plaisir. Je me mis à mon tour à aller et venir dans son petit cul, me calant sur le rythme d’Yves.
La sensation de ces deux pistons s’agitant en elle rendait Carla folle de plaisir.

• — Oui salauds, ouiiiii. Oh putain, vous me défoncez, oui oui ouiiiii encore… plus fort oui…

Nous donnions réalité à ses demandes en la prenant de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mon pubis claquait contre ses fesses à chaque coup de rein, ma queue disparaissait entièrement en elle. Ses instincts animaux animés par le plaisir nous renvoyaient des encouragements de plus en plus rapprochés

• — Oui, encore, encore, humm je jouis oh putain oui c’est bonnnnn ouiiiiii

Yves et moi essayions de conserver un minimum de coordination, mais ce n’était pas facile tant nous étions tous excités. D’un coup, je sentis ma queue se comprimer dans ce petit conduit, coincée par la queue gonflée de Yves qui jouissait et répandait son jus dans la chatte de ma femme. Je n’ai pas résisté à cette sensation envoyant moi aussi tout mon foutre dans le fonds du cul de ma femme qui se liquéfiait de plaisir en même temps que nous. Nous restions ainsi emboîtés les uns dans les autres quelques instants pour reprendre notre souffle et déguster ce moment. Je me retirai doucement, et m’allongeai à côté d’Yves. Carla avait la tête dans le creux de l’épaule d’Yves et restait inerte toujours empalée sur sa queue. Elle releva la tête, ouvrit les yeux et se pencha pour m’embrasser tendrement.

• — Merci mon chéri, me dit-elle avant de rouler sur le côté et s’allonger entre nous deux.

Nous sommes restés ainsi un bon moment, puis Carla se leva pour prendre une douche. Yves et moi restions figés sur le lit, les yeux fixant le plafond revoyant les images de ce que nous venions de faire.

Il n’y a pas eu de second round ensuite. Après sa douche, Carla est venue nous dire que nous l’avions épuisée et qu’elle voulait aller se coucher. Je pris congé de Yves, et rejoignis ma femme dans notre chambre où nous nous sommes endormis sans mot dire.

Le lendemain matin, j’emmenais Yves à l’aéroport. Dans la voiture nous ne sommes pas revenus sur la journée de la veille.

Après le départ définitif de nos complices, Carla a souhaité arrêter le libertinage. Ce fut pour nous une période d’essais à durée déterminée non renouvelable, une expérience inoubliable que nous avons appréciée et dont nous parlons parfois, mais en aucun cas un mode de vie. Des nouvelles que nous avons eues du Canada, nous avons compris qu’Yves n’avait jamais parlé de cette journée de débauche à Corinne. Cela fait maintenant deux ans et demi qu’ils sont partis et nos contacts se sont malheureusement espacés.

Notre gode a repris du service.
Avatar de l’utilisateur
par Qsdf
#2219255
@ptitereine
Des envies ? Oui, mais par dessus tout de très bons souvenirs.
La première règle consistant à respecter les envies de madame doivent rester intactes. Et puis honnêtement retrouver une complicité telle que nous l avions avec ce couple n est pas chose facile
par attraction95
#2223437
J'ai aussi adore vos recits, excellent, magnifique, quelle aventure! Merci mille fois et vivement d'autres histoires ;)

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