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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Phildulux
#2203025
Nous avions décidé avec mon épouse de nous rendre sur l'Ile du Levant pour découvrir ce site paradisiaque ou toute la population est nu qu'ils soient de passages ou résidents, des naturistes, mais aussi, des voyeurs et exhibitionnistes, en couple ou seul, libertin ou pas, les règles de l'ile étaient simples, le respect de la nature et des autres.
J'ai toujours fantasmé à l’idée de voir ma nymphe offerte au regard des autres, elle qui avait toujours refusée de se mettre nue sur une plage, de par son éducation stricte.
Après avoir pris la navette maritime au départ du Lavandou, cette dernière était particulièrement vide, fait rare en été, peut-être dû au dernier jour scolaire. A l'arrivé sur l'ile, nous sommes descendus sur le ponton, deux chemins de part et d'autre s’offraient à nous, et le sentier côtier de droite menait à la petite crique sableuse familiale, et à gauche le sentier des douaniers, ce dernier longeait la mer au plus près, plus escarpé, des plates formes naturelles de roches plates y étaient disposés naturellement, suivant les genres, le site pouvait réserver quelques bonnes surprises. Une fpetite fourgonnette était présente pour nous transporter jusqu'a notre lieu de villégiature.

Notre lieu de réservation était un somptueux hôtel libertin en bordure de la falaise, tout était fais dans le sens de l'érotisme, de la piscine à la décoration de l'ensemble du site . Nous avons déjeuné au bord de la mer sur la terrasse avec d'autres personnes plus aux moins habillés, puis nous avons enfin pu rejoindre notre chambre, tout était splendide et majestueux, la terrasse et l’ambiance de bien être qui y régnait. Après nous étre installés, nous sommes déshabillés Doris se couvrant d'un paréo, un nœud au-dessus de sa poitrine laissait le tissu ouvert en V, laissant le galbe de ces petites lèvres roses intimes de sa chatte apparentes.
Nous sommes sortis de l’hôtel et avons suivis le sentier qui menais à la mer...
Au fur et à mesure de notre avancée, le littoral devenait de plus en plus escarpé, nous croisions de plus en plus de monde, des couples nus, toujours rasés intégralement, à la peau cuivrée par le soleil, ainsi que quelques hommes qu'y nous exposaient leurs queues, parfois même en érection, les glands hors de leurs membrane de protection, quelques-uns avaient des mensurations hors normes, ils nous fixaient, le regard plus ciblé sur mon épouse, ça n'échappa pas à Doris, que je sentais habitée d’un sentiment mêlé de gêne, mais aussi d’excitation d'étre ainsi courtisée.
Pour bien la mettre en condition, je commentais systématiquement le physique des mecs qui se redressaient à notre approche, dans tous les sens du terme… « il t'a vu celui-là, tu as l'air de lui faire de l'effet ... » Ma chérie n’en perdait pas une miette, ne cherchait pas à presser le pas, d’autant plus que nous ralentissions régulièrement notre progression pour admirer les paysages idylliques. Sur les rochers légèrement en contre bas, à un moment, nous avons aperçu plusieurs couples posés sur leurs serviettes de plage étendues sur les immenses roches plates, l'ensemble était parsemés de quelques hommes seuls. Mais un couple trentenaire attira notre attention, elle, blonde, de jolies fesses, ses gros seins tombaient un peu, l'homme, un beau brun, assez fin et légèrement musclé, tous les deux étaient couchés, ce qui différaient de leurs voisins, était dans leurs attitudes, ils se masturbait mutuellement, ouvertement et sans gênes, les bras croisés, leurs mains et leurs doigts de parts et d'autres s'activaient activement sur les sexes de l'autre, tantôt coulissant ou pénétrant, les brillances ne dissimulaient pas leurs plaisirs de l'instant. Des hommes c'étaient approchés à bonne distance pour les observer, leurs mains coulissaient bien posées sur les bâtons de chair tendu.
Nous nous sommes posés, un peu plus loin, dans une petite crique, un renfoncement, entourée de rochers plats, lieu idéal pour rester à l’abri des regards du sentier, nous nous sommes installés à la vue des occupants déjà présents sur les lieux, il y avait là une femme seule, en teeshirt mais rien en bas, un couple étrangers germanique, deux couples de français, un hommes d'un trentaine d'année, un couple sur notre droite qui ne cessait de s'embrasser et de se caresser, et de deux gars d'une quarantaine d'années, ils ne sont vraisemblablement pas venus ensemble mais, vu leur bronzage intégral, les rendaient adeptes de la pratique consistant à exhiber leurs épidermes à l’air libre.
Alors que nous étions toujours debout, j'ai sorti la lotion de crème solaire, c'était plus excitant et plus pratique de l'appliqueren étant debout, j'ai pris bequcoup de plaisir à l'étaler sur tes seins et tes cuisses, lui provoquer des frissons, quand mes mains ont parcouru ses fesses devant tellement de monde, et puis ce fût son tour, et tendrement m'appliquer de la lotion sur mon pénis qui s’est encore un peu dressé et sur mes testicules qui ainsi ont rougi d’excitation et non d’un coup de soleil. Après que nous nous soyons bien huilés, nous nous sommes finalement assis.
Doris commençait à observer plus attentivement notre entourage, mains dans la main, sa chatte bien à la vue de tous, notamment les mâles, cela nous avait vraiment excité de voir que les personnes la mataient si directement, j'avais du mal à ne pas avoir d'érection, ma femme profitait et en jouait, le sourire aux lèvres, de mon anatomie changeante, plus elle me regardait, plus ma queue se raidissait, et plus j'écartais les jambes en offrant mes bourses bien gonflées et ma tige raide à cette femme qui est mienne.
Je détachais son paréo pour la laisser apparaître dans sa splendide nudité, marquais même un temps d'arrêt pur l’admirer totalement nue, Je n’aurais jamais pensé oser qu’elle puisse s’exhiber ainsi, mais son regard complice m’y avait incité, c’est trop jouissif… Après, une baignade dans la grande bleu, régulierement collé amoureusement, l’un à l’autre, de baisés sensuelles, de poses au soleil et de petites siestes de lézard.
J'ai argumenté à un moment sur le fait que des mecs qui étaient passés devant nous, avaient bien maté sa moule et qu'il y avait de quoi affoler un honnête mâle, lui avouant même mon excitation à l'idée que ces hommes la regardent et se caressent en la voyant nue, pour illustrer mon propos je lui indique un des hommes assis sur un rocher au bord de l'eau à 5 mètres de nous, on pouvait deviner sa main glissant le long de sa tige, il nous faisait face, je lui souriais, maintenant qu'il avait vu que j'étais complice, il ne se cacha plus et se masturba en fixant Doris… Je ne connaissais pas les codes du site, mais le fait de sourire et de me caresser en les fixant du regard avait fini de casser les barrières psychologiques.
Mon épouse s’est redressée légèrement sur ses coudes, du coup elle ne vit pas un autre voyeur, un petit râblé genre rugbyman à la queue très épaisse, en arrière de nous, admirateur de sa féminité, ils étaient maintenant deux à se caresser en contemplant ma sirène... Je me caressais aussi, c'était très bon, ma main glissait sur le corps de mon épouse, je lui palpais les seins, Dieu qu'ils étaient durs, elle était dans un état second, je descendais ma main le long de son ventre, explorer plus bas, progressivement de sa vulve exposée entre ses cuisses, lui effleurait plusieurs fois, je survolais son intimité ce qui provoquaient chez elle des frémissements de plus en plus intenses, et finissais par poser mes doigts sur son sexe et commença à lui masser lentement son clitoris. Doris soupira et écarta d’avantage les jambes pour marquer son consentement, je roulais mon index latéralement sur son bourgeon, elle écarta une nouvelle fois, outrageusement les cuisses, ses lèvres perlées par la chaleur ou l’excitation, s’entrouvraient en un bâillement, et j’y glissais mon majeur en constatant qu'elle est trempée, sa chatte humide ouverte de ses chairs roses faisait face aux admirateurs, mes doigts caressait son corps. Elle ondulait doucement, chaque parcelle de sa peau s’aventurait sur le chemin du plaisir et je m’enhardissais, elle allait au-devant de mes effleurements. Je poursuivais le jeu, de murmures en murmures, de soupirs en soupirs. Sa chevelure approchait de mon visage, cheveux par cheveux… Elle gémissait, mes mains s’emparaient avec délicatesse de ses seins et sa bouche se posait sur la mienne, je fermais les yeux. Le plaisir était plus fort, les sensations… exacerbées. Sa langue frôlait la mienne, toute vibrante de contentement, nos salives se mélangeaient.
A proximité de nous, la femme d’un couple avait embouché son homme, elle le pompait avec frénésie et application, tous deux regardaient la scène devant eux…
L’homme en face de nous, était sacrément bien monté, il n’avait rien à envier aux hardeur, son gland violacé témoignait de son excitation extrême… un signe de ma main pour lui dire d’approcher, en réitérant cette invitation à l’homme présent dans notre dos, ce qu’ils firent tous deux, sans cesser leurs branlettes ... je glissai à l’oreille de ma salope : « tu vas avoir droit à un bel arrosage, ils ne vont pas tarder à éjaculer ! » Elle s'écria suppliante « non, pas sur moi, en moi. ! » J'avais allumé la mèche, il fallait maintenant faire parler la poudre, et c'est sans aucune pudeur que ma femme allait m'offrir ses trois orifices... écartant encore plus ces cuisses, elle plaça ses mains au creux de ses genoux ramenant ses jambes sur ses épaules... le plus grand des deux branleurs prit la place tant convoitée et s'affaira à faire entrer et sortir sa longue queue avec une amplitude maximale dans le sexe hyper-dilaté de ma compagne, j’étais aux premières loges, entre chaleur et jouissance le teint de ma coquine avait viré au rouge vif !
Le mec me regardait, alors que son gros gland ouvrait les deuxième barrière intimes, déjà posé entre les lèvres charnues gonflée par son désir. Il se plaça devant l’entrée de son petit con d’amour, sous les yeux écarquillés de ma chérie, sa menotte serra fort la mienne. D’une brève petite poussée l’homme venait de la pénétrer. D’abord le gland épais qui distendais ses chairs intimes, puis ressorti, son gland démesuré couvert de la gluance liqueur de la fentine de ma femme, pour le repousser encore plus en avant, et la tige noueuse s’enfonça... Doris poussa un soupir rauque, un autre, puis un autre encore. D’une dernière poussée, l’homme venait de lui entrer toute la longueur démesurée. Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer aux dimensions imposantes de son membre, il la pistonnait de suite, la baisait à grands coups de reins. Sous lui, ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations de son chaudron bouillonnant que lui procurait ce gros membre qui la prenait, s’animait. Elle lâcha ma main, s’accrocha au cou de l’homme qui la chevauchait puis elle joignit ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle, allait à sa rencontre de son bassin, décollait ses fesses du sol pour se l’enfoncer plus encore, il faisait des miracles et sa rondelle se dilatait sous la diabolique insistance. Ils baisaient ensemble, moi je ne comptais plus... Moi, je regardais et je bandais… je bandais comme jamais cela ne m’étais arrivé. Les grosses fesses bronzées, ceintes des cuisses blanches de ma douce s’élevaient, puis s’abaissaient en cadence. Ma femme geignait toujours plus fort à chacune des poussées de l’homme. Gémissements un peu plaintifs et timide au début, puis de ravissement plus grandissant...
Le deuxième homme c’était approché, la queue entre ces doigts, à quelques centimètres du visage au yeux clos de Doris, dans une lueur d’esprit visuelle, elle opina de la tête, les yeux mi-clos elle emboucha naturellement le phallus de cet homme et essaya d'obtenir un résultat rapide, elle y mis toute son énergie pour lui procurer la meilleure des fellations qu’elle était capable d’effectuer, en même temps qu’elle tournait sa langue autour de son gland turgescent, elle le branlait à la base de sa queue, avec sa main. Tenir cet homme par son bâton de joie bandé étais un plaisir indescriptible pour Doris, cela se sentais. Elle lui caressait les testicules que je devinais bien durs sous ses doigts, lui suçait la pine avec délectation, de plus en plus vite, sa salive coulait le long de sa tige mêlée au pré-sperme cela créais des stalactites sous ses bourses qui allaient s’écraser sur la roche.
Tous en aidant l’autre partenaire en accompagnant ses saccades, il était impressionnant de sentir sa protubérance si bien gonflée, monté avec un pieu à défoncer le fond de son vagin, elle si belle au soleil, transpirante et haletante, les orgasmes la frappaient successivement comme jamais je ne l’avais vue, quel pied mon épouse prenait...
Je sentais que les pensées de ma femme s’enflammaient, je là laissais s’envahir en totale liberté, troublée, je ne sais pas pourquoi, à ce point, jamais avant… au fond de moi… Ce n’est pas possible que ce soit elle, celle qui se fraye un passage pour réclamer tant l’exubérance, de hardiesse. Elle ne résistait pas, ne luttait pas pour refuser son envie de dérive, bien au contraire, je la sentais basculer vers des suppliques débordements sexuels. Pourtant la petite voix sucrée et insistante dans ma tête me disait d’accepter, de m’abandonner pour notre…son désir profond…
Je ne sais pas si elle avait envie qu’il lui gicle dans la bouche, toutefois elle continuait sa fellation, j’étais bien conscient moi même que l’instant fatidique arrivait… et… cet instant arriva, lui aussi devait être fortement excité et je devinais ces contractions qui montaient le long de sa verge au moment fort ou il lui baisait la bouche. Doris retira sa bouche au moment propice, il éjaculait violement tout en étant branler par la main de ma muse, pour qu’il puisse prendre son plaisir bien mérité, un filet de sperme coulait à la commissure de ses lèvres. De longs jets épais et brulant évacuaient de cette queue pour lui flagellaient le visage, la frénésie passée, il appuya de sa main, légèrement sur la tête de Doris pour lui réclamer une nouvelle fois la chaleur mouillée, son envie de s’engouffrer dans son fourreau, ce qu’elle s’empressa de ces lèvres, créant un O, comme le feraient ses nymphes, elle lui goba le vît entaché de restant de foutre coagulé, il resta blotti au fond un instant, le visage de ma belle était maculé de foutre, elle se délectait de son jus, la satisfaction se lisait dans ses yeux, il lui faisait aller et venir doucement la tête sur la queue comme pour lui baiser la bouche.
Avec virilité des mains précises et efficaces la faisait basculer sur un homme allongé sur le sol, le dos de ma chérie était sur lui. Il lui écarta les fesses, d’autres venu de nulle part, l’aidaient. Ses globes étaient tiraillés et la dilatation était totale. Sans brusquerie, mais fermeté, il s’introduisait dans son anus. Le premier homme repris sa place et la chevaucha alors et s’empala d’un coup sec. Elle était remplie pour la première fois de sa vie en double pénétration, Incroyable comme je la voyais se délecter de ces sensations, elle aimait ça. Une envie que la défonce s’intensifie ce faisait sentir, une nécessité, très vite obsessionnel, ils l’aidaient tous pour que les coups de reins en cadences la pilonnent davantage de ses deux orifices. Ses parois étaient laminées de l’intérieur et son vagin dilaté au maximum en réclamait encore plus. Comment demander, comment expliquer? Elle exultait, elle frémissait, elle vibrait, elle criait de plaisir. Les avancées de son corps une fois par les bras, une fois par les pieds l’aidaient… délicieuses frictions répercutées de ses mains à leurs canons prêts à cracher leurs feux… Des geignements… les pulsions. Ils se cambraient, gémissaient. Explosions… les mains… du sperme tout chaud. Le temps furtif d'apercevoir un filet blanchâtre s'échappant des orifices, et déjà la place est prise, un rythme rapide et violent secouait le ventre rebondi et les nibards de ma belle... Deux autres queues… Oui ! Tout recommençait, continuais, cyclique, la vie des sexes, la puissance des mâles, l’orgueil des hommes à qui en fournirais le plus. C’était bien pour elle, le jus coulait abondamment sur sa chatte. Fulgurant ! Les déferlements de spasmes lui remontait des entrailles.... Les ondes brûlantes au fond de son ventre et de son cul. Son orgasme venait de partout. Ils s’éternisaient, puis ils repartaient vers une autre pointe de jouissance quand d’autre hommes venu de je ne sais d’où lui remplissaient les puits, hurlant en même temps une fièvre plus folle, frénétique la happait. L’envie orgasmique… encore là, tenace, impératif. Les hommes changeaient, son corps s’adaptait, les étendards se brandissaient et s’engouffraient, ses mains se remplissaient, sa mappemonde les accueillait, la chaleur était en elle, elle embrassait ses étalons qui gueulaient tour à tour en se déversant partout leurs jets en rafales. Elle ouvrait la bouche, avalait, se léchait les lèvres, c’était chaud, ça collais. Un goût de sel chez l’un, puis une pointe d’amertume chez un autre. Les lances s’engouffraient une après l’autre et l’empêchaient de parler. D’ailleurs elle n’avait rien à dire à par des sons inaudibles du plaisir qu’elle exprimait, juste à recevoir les jouissances et à s’en délecter. Elle était vorace ! Sa bouche était pleine, elle avalait, suçait… elle lapait, léchait, comme une chienne après son os, excitée et pas partageuse du tout. La serviette de bain sous elle était mouillée et gluante de tant de foutre et les embruns n’y étaient pour rien. Sa chatte et son cul débordaient, ils recevaient de belles enfournées. La cadence, malgré la fatigue, elle la réclamait, plus fort, plus vite ! Impressionnante. Ces amants, en synchronisation parfaite, l’un dessous, l’autre dessus. Avant, arrière, encore ! Des jets sur son ventre, ses mains glissantes et toutes les autres mains qui étalent les giclées. Des mains, leurs mains, sur elle, partout. Exaucée, comblée, badigeonnée entièrement de sperme ! Machinalement je jetais un regard circulaire, toujours pas d'autres voyeurs à vider à l’horizon, j’étais presque soulagé, la fin du gang-bang me réjouissait.
Après la libération de son dernier assaillant, ma femme se colla à moi, ventouser de toute cette liqueur qui enveloppait son corps contre le miens, nous nous embrassâmes tendrement, longuement, je n’en pouvais plus, ma queue me brulait de trop d’envie, je pénétrais son intimité bafoué de tant de foutre et y déposais ma semence sans avoir eu besoin d'effectuer le moindre aller et retour... Doris me fit comprendre qu'elle n'en pouvais plus, trois complices qui c’étaient vidé en elle se masturbaient, l’un par sa femme, je me relevais et les accompagnais, pas rassasié de ce trop pleins de désir, quelques minutes suffirent, je m'approchais du visage écarlate de ma femme à genoux, les voyeurs acteurs en faisaient de même, le grand se plaçant derrière elle, je giclais le premier suivi de près par les deux autres..., elle attrapait les queues ramollies par les efforts consentis qu'elle léchait goulûment, elle passa ses lèvres d’un gland à l’autre, elle nous suça et nous branla de l’instant à tour de rôle. Quand nos regards se croisaient, de ses éclats, ils pétillaient de bonheur, je croyais que ces scènes n’existaient que dans les films pornos ou dans les fantasmes des plus lubriques d’entre nous, et bien non ! Aucun de nous n’avaient eu envie de quitter la scène de baise, des organes venaient de retrouver de la virilité, le petit costaud suait sang et eau, je crois qu’il allait encore gicler … effectivement, une petite saccade secoua son pénis et quelques gouttes s’écoulaient de son orifice dans la main de Doris, j’avais le privilège à cet instant de recevoir une fellation ; de voir le deuxième comparse éjaculer à son tour me fait cracher ma liqueur séminale dans la gorge de ma chérie … le temps de tourner sa tête de côté pour s’essuyer le bord des lèvres, ils sont tous partis, d’autres posés par ci par là sur cette plage… Nous n’avions pas l’intention de chercher des réponses et préférions nous satisfaire du moment vécu.
Ma femme se leva dans l'intention d'aller se rincer dans la mer, je l’accompagnais, main dans la main, les yeux rivés au siens … Nous nous frottions mutuellement comme pour effacer les traces de notre libertinage, un instant immobile, nous éclations de rire en constatant que l’un comme l’autre avions pris de bons coups de soleil…

J’ai eu la fierté ce jour de voir la femme que j’aime le plus au monde, de la voir s’assumer… salope… elle avait osée, enfin.

A suivre…

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