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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par PateL
#2220932
Puisque la Nymphette évoque les aspects informatiques de nos échanges et les problèmes qui leurs sont liés, je reviens sur une de tes remarques précédentes :
gentilvoyeur a écrit :On ne voit pas les signatures sur les posts avec les téls et tablettes, j'ai dû allé voir sur ton profil pour la découvrir... késako ce medallion :?

Question : sur ton terminal (tablette ou téléphone) dans quel mode consultes-tu le forum ? En mode portrait ou paysage ?
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par croclavie82
#2220973
@Nymphette , c'est passé ? Bientôt ? Votre anniversaire ? On ne me dit jamais rien...
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par Nymphette
#2220988
croclavie82 a écrit :@Nymphette , c'est passé ? Bientôt ? Votre anniversaire ? On ne me dit jamais rien...

"Techniquement" un anniversaire est toujours à la fois passé et à venir ...
Le mien, le sien, le nôtre, un peu des trois ...
Il y a matière à écrire un récit, mais pour le moment, je considère ce moment comme relevant de l'intimité, la mienne, la sienne, la nôtre ...
Plus tard peut-être ...

Je vous embête hein :P <3
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par croclavie82
#2220994
Vraiment oui, mais je respecte votre choix de préserver votre vie privée
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par Nymphette
#2220997
croclavie82 a écrit :Vraiment oui, mais je respecte votre choix de préserver votre vie privée

Tout de même, ce que je peux dire ouvertement, et c'est sans doute le plus important, c'est que cet anniversaire restera gravé dans ma mémoire comme un moment extrêmement agréable, qui a fait tomber encore quelques barrières, et qui, je l'espère de tout cœur, amènera d'autres moments tout aussi heureux.
Voilà qui devrait satisfaire un peu votre curiosité :)
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par PateL
#2221010
croclavie82 a écrit :@Nymphette , c'est passé ? Bientôt ? Votre anniversaire ? On ne me dit jamais rien...

Moi je peux dire peut-être... :D
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par PateL
#2221011
Allez @Nymphette ! J'ai hâte... Quand je pense à toi... (Ooooooh le teasing de ouf..., si, si... !!!!)
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par PateL
#2221017
Quand je pense à toi... Je suis Pat à hââââââte... Quand je pense à nous... Je suis... etc : https://www.youtube.com/watch?v=e2Qp86Tl79w
Bon sinon, moi ce que je peux donner comme indication, c'est qu'il s'agit d'anniversaires pluriels... Autrement dit, la question "ton" anniversaire devrait davantage être "tes" anniversaires... Et c'est comme ça depuis un certain nombre d'années voir depuis un nombre d'années certain... Là, je crois que comme ça, tout est plus clair à présent... :)
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par croclavie82
#2221028
C'est très clair, mais dis-moi, es tu obligé de faire un élevage de poissons pour en noyer autant ?
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par PateL
#2221029
@croclavie82
Je te confirme, c'est très clair... ;)
Je m'en retourne à la quête de mon médaillon... 0=)
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par gentilvoyeur
#2221041
PateL a écrit :Ceci étant, mon cher @gentilvoyeur j'observe que vous avez une interprétation très personnelle de l'Histoire... ;)
Tenez, un exemple tout frais de l'actualité à venir... Ce n'est donc pas encore du passé, vous en conviendrez, je pense... Donc, certes, il n'y a plus de mur en Allemagne MAIS pour autant la contestation est là et Mme Merkel pourrait bien l'apprendre à ses dépens d'ici peu...

Je crois qu'il est préférable pour ma santé mentale d'arrêter d'essayer de déchiffrer tes palimpsestes :???: :)
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par gentilvoyeur
#2221043
PateL a écrit :Question : sur ton terminal (tablette ou téléphone) dans quel mode consultes-tu le forum ? En mode portrait ou paysage ?

Les deux mon capitaine! :???:
Pour naviguer dans le forum on est obligé de se mettre en paysage, pour écrire ou pour le tchat en mode portrait sinon le clavier masque presque la totalité de l'écran... c'est une véritable galère depuis les deux dernières versions
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par gentilvoyeur
#2221046
Nymphette a écrit :Ça me fait penser qu'une des prochaines pourrait bien s'intituler "Bon anniversaire" :)

PateL a écrit :Bon sinon, moi ce que je peux donner comme indication, c'est qu'il s'agit d'anniversaires pluriels...

Euh... mais comment savez vous que j'ai fêté le mien il y a peu? :oops:
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par Nymphette
#2221061
L'histoire à 4 mains se poursuit, et justement, les mains entrent en action ...


La Nymphette s'est abandonnée aux caresses expertes de ces deux mâles. Elle ne réalise même plus le caractère insolite et surréaliste de la scène : elle, debout entre deux hommes, à moitié dévêtue dans un parc public, en train de se faire câliner de toutes parts. Elle garde toutefois les yeux ouverts, peut-être par crainte de s'abandonner totalement, mais aussi car elle est hypnotisée par les beaux yeux de son inconnu.

Son sexe est investi par les doigts de ses deux complices, elle ne distingue plus qui fait quoi, ça n'a plus d'importance. L'un s'occupe maintenant de sa porte arrière, son époux probablement. Pour lui faciliter la tâche, elle redresse le buste et cambre un peu les reins. Les doigts qui fouillent en elle avec agitation la font frissonner violemment, ses jambes ont de plus en plus de mal à la porter. Sous l'effet des frissons, ses seins durcissent, ses pointes s'allongent encore, excitant l'homme qui joue déjà avec, face à elle.

Elle sent d'autres doigts jouer avec sa petite fleur. Elle est si excitée que c'en est presque douloureux. Elle prend l'initiative de poser sa main sur celle de son partenaire pour la guider vers son antre dégoulinante. Il s'exécute et vient placer ses doigts juste à l'entrée. C'est à peine tenable, elle sent les contractions de son vagin qui appellent la pénétration. Il joue avec ses lèvres, contourne, effleure et soudain, il entre. Dans un gémissement, elle exprime son soulagement autant que son plaisir : enfin, elle est pleine.

Les deux hommes agitent leurs doigts, presque en rythme, faisant soupirer la Nymphette de plus en plus bruyamment. Elle écarte un peu ses jambes pour leur laisser plus de liberté et pour se stabiliser car elle sait ce qui va arriver. Les doigts s'agitent de plus en plus vivement, écartant ses chairs, assouplissant ses muscles. Elle sent cette contraction si particulière arriver, le flot monter des profondeurs de son corps, son ventre se serre tandis que son vagin se libère ... La cascade coule, dans un flot continu et abondant. Les mains de l'inconnu sont trempées mais il continue son ballet frénétique. Elle sent le liquide chaud couler le long de ses bas, les gouttes rebondir au sol dans la flaque qui est en train de se former. Elle gémit sans reprendre son souffle jusqu'au cri, signe qu'elle n'en peut plus.

Les deux mâles comprennent et arrêtent leurs mouvements pour la laisser reprendre son souffle, ses esprits, possession de son corps. Elle se sent toujours un peu gênée lorsque cet étrange phénomène se produit, et là encore plus du fait de la présence de cet inconnu. Mais elle lit dans ses yeux un sentiment mêlant fierté, affection et amusement. Elle sourit alors, regarde ses cuisses, la flaque au sol et dit qu'il faudrait peut-être faire un peu de nettoyage.
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par croclavie82
#2221070
Chère @Nymphette , comme il est question dans cette suite d'accélérer le mouvement, je vous la livre telle que, dans la foulée lol

Nous rions tous les trois de bon cœur de ce petit désagrément, et de la réaction timide de cette femme qui vient tout simplement de lâcher prise entre les mains de son mari, et d’un parfait inconnu. En bon mâle que je suis, je me sens flatté de cette fontaine, signe qu’elle a pu passer outre toutes ses réticences pour s’abandonner totalement aux caresses conjuguées de son mari et de cet inconnu.
J’invite ma douce complice à venir s’asseoir quelques instants sur le banc situé à proximité. Elle est là, devant moi, le buste nu, ses seins dressés et sa jupe remontée. Assise sur ce banc, elle tient ses jambes écartées, offrant à ma vue cette toison surmontant son antre luisant du plaisir qu’elle vient de connaître. J’en ai envie, je ne peux lutter contre cette pulsion qui m’attire vers elle. Ses yeux à nouveau plantés dans les miens me le réclament également. Sans un mot, je me place entre ses cuisses ouvertes, m’accroupis pour être à bonne hauteur, et dépose sur son ventre un baiser. Je joue, je titille, je descends doucement vers le graal. Ma langue parcoure le haut de ses cuisses, son pubis, libérant au passage quelques petits frissons qui m’indiquent que le jeu a assez duré. Je décide de partir à la conquête de son plaisir, en solitaire. A ce moment, je ne sais plus ou est son mari, mais ma langue a trouvé le sillon chaud et humide qui marque l’entrée de son intimité. Je visite, m’attarde sur chaque endroit exploré, pour finir par libérer ce clitoris gonflé d’excitation. Ses reins se tendent, se creusent, elle réagit à mes coups de langue par de petits gémissements, et de longs soupirs.
Soudain un petit cri de plaisir, accompagné d’une contraction plus intense, me font lever les yeux. Son époux est là, posté derrière elle, il l’embrasse à pleine bouche et s’amuse avec ses tétons raidis d’excitation. Je reprends mon jeu de langue en étant plus précis, en accélérant les mouvements sur son bouton. Elle se cambre, sa respiration s’accélère et ses soupirs de plus en plus aigus.
Quelques instants, je ralentis pour la laisser se poser un peu, puis je reprends de plus belle pour la faire remonter. Ce petit jeu dure quelques minutes avant que cette fois, je ne m’arrête plus. Ma langue s’agite frénétiquement sur ce clitoris, son plaisir monte, son corps se contracte, elle ne va pas tarder à jouir pour la seconde fois de l’après-midi.
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par Nymphette
#2223012
- UNE CIGARETTE, SUITE -
Petite suite inventée par @croclavie82 et @Nymphette


LUI

C’est la fin de l’après-midi, j’aime me promener dans le parc du château voisin pour y trouver un peu de du calme que la nature peut nous apporter. Je déambule dans les allées, m’adonnant à mon occupation préférée, observer…

Au détour d’un chemin, je découvre une scène pour le moins étrange. Une charmante femme est en train d’embrasser un homme, dissimulée dans un petit bosquet. Ce dernier semble avoir trouvé de ses doigts une zone sensible de la dame, qui se tortille de plaisir. Non loin de là, un autre homme semble faire le guet, et là je me rappelle ces histoires de candaulisme que j’ai lues ça et là. Le mari serait en train de guetter pendant que cet inconnu trousse sa femme ? Je suis très excité, mais je ne veux pas déranger. Je les observe de loin, guettant moi-même à ne pas être dérangé par des passants.

La dame, n’en pouvant plus de plaisir, se laisse aller et prend un plaisir immense sous l’effet des caresses de son partenaire du moment. L’homme qui semble être son mari s’approche, se place derrière elle et relève délicatement son petit débardeur, laissant ainsi apparaître une petite mais très jolie poitrine, offerte au regard de l’invité.
Je n’en peux plus de les regarder, j’ose quelque chose d’insensé. Je m’approche de ce trio, et ne sachant comment entamer une conversation, je demande :

- Excusez-moi, vous n’auriez pas une cigarette ?

Les trois regards se tournent vers moi, qu’est-ce que je viens de faire ? j’ai mis fin à ce moment de plaisir partagé ! imbécile que je suis. Ils me font « non » de la tête, et restent les yeux braqués sur moi.

- Je suis vraiment désolé de vous avoir interrompus, mais ce que je vois est tout simplement incroyable.

Ils me sourient timidement, mais je sens bien que j’ai arrêté quelque chose. Alors j’ose encore.

- Si ça ne vous dérange pas, je vais reprendre ma place d’où je vous observe depuis quelques minutes, vous pourrez continuer sans être dérangés, et je ferai pour vous le guet.

La situation est pour le moins étrange, mais je vois dans les yeux de cette charmante ingénue, un petit sourire coquin qui semble acquiescer.

De retour à mon poste d’observation, je remarque que le trio a repris où il s’était arrêté. Le mari, placé derrière son épouse, l’embrasse tendrement dans le cou, lui caresse les hanches, le dos, la nuque pendant que l’invité se délecte de ces petits seins qui lui sont offerts. Elle semble s’être à nouveau relâchée, et profiter des attentions qui lui sont offertes.

La dame saisit le visage de son partenaire d’un soir, l’embrasse et lui murmure quelque chose à l’oreille. Elle se retourne, place ses bras autour du cou de son mari, et se cambre, tendant ainsi à l’autre homme son intimité, comme une invitation. Elle a envie, Elle veut qu’il la prenne maintenant. Ce dernier ne se fait pas prier, et sort de son pantalon un sexe tendu d’une taille plus que raisonnable. Le couvre d’un préservatif et présente son gland entre les jambes ouvertes de la dame. Il se frotte quelques instants à elle, jouant de son gland pour titiller la porte magique. Elle se tortille, se déhanche, elle le veut, elle a envie de le sentir en elle !

Notre homme cesse ce petit jeu et pousse progressivement son sexe en elle. Elle pousse un râle de plaisir et de contentement, relève la tête et regarde son mari droit dans les yeux, saisissant de sa main droite son sexe raidi d’excitation. L’homme accélère progressivement ses mouvements de reins, pour finir par une levrette à la limite de la sauvagerie, La dame gémit, elle lâche prise, essaie de retenir ces petits cris qui pourraient attirer des passants, mais certains lui échappent. Elle tient fermement au cou de son mari de son bras gauche, et de sa main droite le masturbe avec la même frénésie que son amant la prend.

L’homme ne tarde pas lui non plus à grogner et se laisser aller à une jouissance intense, il a pris soin de saisir sa partenaire par les hanches et de la plaquer au plus près de lui pour jouir au plus profond d’elle, qu’elle puisse le sentir malgré le préservatif. Le mari, à la vue de ce spectacle ne peut lui non plus se retenir et se déverse dans un râle de plaisir sur la jolie petite poitrine de son épouse.

Ils sont épuisés, tous les trois ont pris un plaisir intense. L’endroit, la situation semblent avoir multiplié les sensations. Mais certainement ont-ils peur d’être vus, et s’empressent un peu de se rhabiller, de se remettre les cheveux à peu près correctement.

Leurs visages sont souriants, ils ne se parlent pas mais échangent des regards complices. La dame se place naturellement entre ses deux mâles du moment, et ils reprennent leur balade, passent devant moi en me souriant et le mari s’adresse à moi :

- Merci d’avoir fait le guet pour moi ! bonne soirée.
- Merci pour la vue, c’était magnifique.

C’est tout ce que j’ai pu répondre. Je les regarde s’éloigner, joyeux, heureux, et j’ai vraiment vécu un moment inoubliable.

ELLE

Une fois rentrée à la maison en compagnie de mon époux, je suis toujours sur un nuage après la fin d’après-midi que je viens de vivre. J'ai peine à croire que j'ai pu me livrer à un presque inconnu, dans un parc public ou j'aurais pu être surprise à tout instant. Mais le plaisir ressenti était à la hauteur des risques, et je viens de connaitre une jouissance nouvelle, intense, qui laisse maintenant place à un grand bien-être.

Une douche, une tenue légère, et me voici blottie contre mon homme, la tête sur ses genoux, me laissant aller aux caresses de ses mains dans ses longs cheveux. Une fin de journée tout en douceur.

Une idée cependant commence à hanter mon esprit. Cet homme à la cigarette, l’inconnu du parc, qui était-il ? pourquoi est-il resté ? Pourquoi n’a-t-il pas essayé de profiter plus de cette situation, pour son propre plaisir ? toutes ces questions se bousculent, et elles n’ont pas de réponses. Faisant part de ces interrogations à mon homme, je me rends compte que j'ai envie de savoir, de comprendre, mais comment faire ? Cet homme était certainement là par hasard, et comment le retrouver, je n'ai ni numéro, ni aucun début de renseignement qui puisse me permettre de le retrouver. C’est avec ces pensées, et dans les bras de mon homme que je m’endors et profite d’une nuit paisible et reposante.

Au matin, une idée me vient. Si cet homme était là dans ce parc, c’est qu’il doit y avoir ses habitudes, du moins c’est ce que je pense à ce moment. Alors je me redresse dans le lit, me colle à mon homme qui se réveille doucement, et lui fait part de mon idée de retourner au parc pour retrouver « l’inconnu ». Lui sait qu’il ne sert à rien de vouloir me dissuader, de m'expliquer que c’est comme chercher une aiguille dans une meule de foin, que cet homme ne recroisera certainement jamais nos chemins. Je suis bien trop obstinée, et j'irai au bout de mon idée, alors autant m’accompagner. Et comme le temps ces derniers jours est clément, ce sera dès ce soir, nous retournerons chercher cet homme dans le parc.

Le soir venu, comme convenu, nous arpentons les allées du parc, celui-là même où nous sommes venus la veille. Les échanges sont guillerets, et selon les endroits où nous sommes passés le jour d’avant, quelques petits mots viennent redonner vie à des souvenirs encore frais qui nous mettent le sourire aux lèvres. Après plus d’une heure à marcher dans ces chemins boisés, point d’inconnu. Il faut se rendre à l’évidence, il sera certainement difficile, voir impossible de croiser à nouveau cet homme. Nous décidons alors de rentrer, non sans avoir ri une dernière fois sur les lieux du « crime », Mon époux s’amusant même à glisser sa main sous ma robe pour goûter de ses doigts mon intimité mouillée de désir en se remémorant la scène.
Alors que nous nous apprêtons à quitter le parc, je me fige et retient mon homme par la main que je tenais dans la mienne. Il est là, à quelques mètres, assis sur un banc, seul face à un bassin du parc.

*********

Je ne suis pas certaine que ce soit lui mais il me semble. Il faut dire que la veille mon attention était mobilisée par quelqu'un d'autre et l'effet de surprise ne m'a pas permis d'être très attentive. Hier il était debout, là il est assis. Je le vois de loin, il ne regarde pas dans notre direction ... Comment savoir ? Tout va très vite dans ma tête. Certes je suis venue pour le croiser de nouveau mais jamais je n'oserai l'aborder, contrairement à mon époux qui est bien plus avenant. Et si j'avais l'audace d'aller lui parler et que ce n'était pas lui, je passerais pour une idiote. Je dois trouver une solution, vite, ne pas rester plantée là.
Nous nous trouvons sur une place à la croisée de plusieurs allées. Au centre, un bassin au milieu duquel quatre nymphes batifolent au bord de l'eau. Autour, des bancs. Alors je tire son époux par le bras pour l'emmener s'asseoir de l'autre côté du bassin avant que l'inconnu ne nous remarque. De là, je pourrai l'observer plus discrètement.

Une fois assise, je reprends mes esprits et retrouve mon calme. Avec cette situation inattendue, l'excitation revient. Il fait encore doux en plein soleil. Je me laisse aller, et mon époux accompagne ma détente de quelques caresses dans mon cou. Je suis si jolie dans la lumière qui fait rayonner ma peau. Très vite, il dégage un sein pour jouer avec, très délicatement. J'en profite pour jeter un coup d'œil furtif en direction de l'homme toujours assis. Il ne semble pas nous regarder. Un peu déçue, je me dit que je me suis peut-être trompée, excitée par mes envies et mes souvenirs.

Les caresses se poursuivent et je me laisse de plus en plus aller. Aucune crainte d'être dérangés, à cette saison les touristes ne s'aventurent plus dans cette partie isolée du parc. Mon époux continue à me dénuder, dévoilant un deuxième sein, ne s'occupant nullement de savoir s'il était observé. Il avait déjà son opinion sur la question. Il aventure une main sur mes cuisses, remontant vers ma toison à l'air libre. Je ferme les yeux, ne pense plus à rien, me livre tout entière à mes sensations.

- Peut-être auriez-vous besoin d'un peu d'aide Monsieur pour vous occuper de votre charmante femme ?

Je sursaute, je ne l'ai pas entendu s'approcher tant je suis enveloppée dans ma bulle de plaisir. Cette fois, pas de doute, c'est lui, j'ai reconnu sa voix ...

- Bien sûr, je suis très partageur.

LUI

Vous êtes là, assise devant moi. Ma voix vous a sorti de la torpeur dans laquelle vous étiez quelques secondes auparavant, et la réponse de votre mari vous a figée. Vous tentez tant bien que mal de faire bonne figure mais vous êtes gênée et ça se voit. Vos mains tentent de replacer votre jupe pour masquer votre intimité découverte, et vous en oubliez que vos petits seins sont offerts à ma vue. Vos tétons sont encore tendus des caresses qu’ils ont reçues peu avant. Mais oui ! vous rougissez, c’est touchant, et vous n’osez pas me regarder.

La réponse de votre mari a cependant sonné pour moi comme un signe d’approbation. Hors de question de laisser passer une telle occasion. Même si je n’en mène pas large non plus, Il est hors de question de me dégonfler maintenant que j’ai réussi à vous aborder. Je vous tends la main, comme pour vous inviter à la saisir et à vous lever. Vous pouvez la refuser et mettre ainsi fin à ce moment et à mes espoirs. Ou vous pouvez la saisir et vous abandonner à moi, sous l’œil approbateur de votre époux qui semble attendre votre réaction.

Vous levez les yeux, regardez ma main, et sans dire un mot, relevez votre main droite pour la joindre à la mienne. Je suis ravi, et comme pour que vous ne changiez pas d’avis, je vous invite d’une petite traction à vous lever et à me suivre. Nous marchons doucement vers une petite allée qui part de ce rond, elle est bordée de haies assez hautes et se termine quelques dizaines de mètres plus loin en cul de sac circulaire. Au centre, une statue de femme regarde vers le chemin, sur les côtés et au fond, trois bancs. Votre mari qui nous a suivi à quelques pas s’installe sur celui du fond, face à l’allée, comme pour veiller à ce que personne ne vienne nous déranger. Vous êtes face à lui, je vous laisse faire un pas vers l’avant pour me placer derrière vous. Mes mains écartent vos cheveux tombant dans votre dos pour dégager votre cou. J’y dépose un doux baiser délicat, puis saisit vos hanches. Je sens un frisson parcourir votre corps, vous êtes encore tendue, mais votre homme vous regarde en souriant, et vous adresse un clin d’œil. L’effet est immédiat, vous fermez les yeux et vous détendez.

Ma main gauche dégage à nouveau vos cheveux, alors que la droite glisse délicatement vers votre ventre pour vous plaquer contre moi. J’attrape entre mes lèvre le lobe de votre oreille, je le pince légèrement. Ma langue tourne doucement autour, puis derrière. Je sens que vous voudriez vous retourner pour me faire face, mais pas encore. Ma main droite remonte doucement le long de votre ventre, puis de votre poitrine pour venir s’amuser avec un de vos petits seins restés offerts jusqu’à maintenant. Vous penchez la tête en arrière, vous abandonnez à mes caresses, ça y est, vous vous détendez enfin. C’est le moment que je choisis pour attraper à nouveau votre main et vous faire retourner. Vos yeux s’ouvrent et cette fois, ils se plantent dans les miens…

ELLE

Je découvre de près ce visage qui m'intrigue depuis la veille. Un visage doux, mais délicieusement masculin, des yeux marrons qui me transpercent et me font rougir un peu. La situation me semble surréaliste mais pourtant je soutiens ce regard car je sais mon propre regard profond. Et puis cet homme est venu à moi, c'est bien que je dois lui plaire un peu. Nous restons ainsi quelques instants, sans bouger, osant à peine respirer, comme si cette scène pouvait disparaître par magie.

La tête en arrière, je vois son visage se rapprocher de moi peu à peu. Je fixe sa bouche, ses lèvres qui appelle les baisers. J'y vois un début de sourire qui me fait sourire à son tour. Je goûte ce petit instant délicieux où l'on attend un baiser, où l'on anticipe la sensation des lèvres qui s'effleurent, des langues qui se frôlent. Un baiser est toujours un moment hautement érotique. Je finis par fermer les yeux juste avant l'instant tant attendu ... et reçoit un baiser au coin des lèvres, suffisamment appuyé pour me faire frissonner mais aussi frustrant pour attiser mon désir de la bouche de cet inconnu.

Il passe une main derrière ma tête pour soulager la tension et la maintenir dans la position qui lui permet de poursuivre son petit jeu cruel. Je me laisse faire, garde les yeux fermés, sentant le savoir-faire de cet homme. Je sens ses lèvres errer sur mes joues, venir frôler mes oreilles, redescendre vers mon menton, contournant soigneusement ma bouche que j'ai entrouverte. Le supplice se poursuit, ne faisant qu'attiser mon envie de sentir sa langue plonger en moi, avec fougue. Je tiens bon, résiste à mon envie de précipiter les choses, me doutant que je ne pourrai pas contrecarrer la volonté de mon partenaire.

Suspendue dans cette atmosphère sensuelle, je n'entends pas mon époux s'approcher derrière moi. Je sens soudainement ses doigts me pénétrer sans hésitation, visant droit au but, ce qui me surprend toujours. Je ne peux retenir un minuscule gémissement qui me fait ouvrir un peu plus la bouche. C'est ce moment que choisit l'inconnu pour la pénétrer de sa langue habile. Un baiser long, ferme, doux et puissant à la fois, comme je les aime. J'ai besoin de sentir le désir de l'homme par cette partie du corps, à la fois extérieure et intime, à la fois tactile et gustative. Je me régale de faire sa connaissance, et me délecte d'être câlinée en même temps par mon époux, décuplant mes sensations et mon plaisir.

A l'issue de ce long baiser, j'ouvre les yeux et retrouve le regard perçant que j'avais quitté, il s'est teinté d'une pointe de satisfaction. L'homme me caresse la joue tendrement, pose une main sur ma taille, ce qui me fait inévitablement frissonner tant cette partie de mon corps est sensible.

LUI

Que ce baiser fut bon, à la fois délicat et fougueux. Ce baiser qui donne une indication du désir qui envahit cette femme face à moi. Ce baiser qui dit « j’ai envie de vous, monsieur ». Ce baiser qui s’arrête toujours trop tôt.

Nos yeux sont maintenant rivés, je remarque ce petit rictus, presque imperceptible, qui vient souligner ce que le baiser m’avait suggéré. Je vois dans ce regard, dans ce sourire, la gêne qui s’est dissipée et qui laisse place au désir.

Ma main droite remonte vers votre visage, que je saisis comme pour vous intimer l’ordre, sans dire un mot, de garder vos yeux dans les miens. Votre époux derrière vous semble avoir trouvé un point sensible de votre anatomie, et quelques petits râles, encore discrets, viennent perturber le silence qui s’est installé. Je ne quitte plus vos yeux, mais mes mains entament une lente descente. Sur votre cou tout d’abord, mes pouces remontent votre menton, et je quitte un court instant votre regard pour venir poser légèrement mes lèvres sur les vôtres, avant de reprendre place au fond de votre profond regard. La descente se poursuit, délicatement, chacune de mes mains atteint vos épaules, faisant glisser ce qui reste de votre chemisier ouvert vers votre taille qui le retient. Je caresse délicatement vos omoplates, votre nuque du bout des doigts, puis une redescente vers l’avant, du bout des doigts j’atteins enfin ces deux auréoles qui me sont maintenant totalement offertes. Par des petits mouvements circulaires, je tourne autour de chacun de vos tétons, sans les toucher encore. Vos yeux parlent, trahissent votre désir et votre impatience. J’approche alors ma bouche de la vôtre, qui s’ouvre pour m’accueillir, et nous partageons un nouveau baiser, plus fort, plus intense, vos mains attrapent ma nuque, les miennes attrapent vos tétons si tendus par l’envie. Je les fais rouler entre mes doigts, j’aime sentir ce plaisir monter en vous, aidé par les mouvements de votre époux.

Pris à mon propre piège, c’est moi maintenant qui ai envie de plus. Ma main gauche revient se placer derrière votre nuque, alors que la droite rejoint votre toison, s’aventure dans les sillons de votre intimité, à la recherche de votre petit bouton. Votre sexe est trempé, des frissons vous parcourent au rythme de mon exploration, puis un râle, une contraction de plaisir, il est là, je l’ai trouvé…

ELLE

Je me suis abandonnée aux caresses expertes de ces deux mâles. Je ne réalise même plus le caractère insolite et surréaliste de la scène : moi, debout entre deux hommes, à moitié dévêtue dans un parc public, en train de me faire câliner de toutes parts. Je garde toutefois les yeux ouverts, peut-être par crainte de m'abandonner totalement, mais aussi car je suis hypnotisée par les beaux yeux de mon inconnu.

Mon sexe est investi par les doigts de mes deux complices, je ne distingue plus qui fait quoi, ça n'a plus d'importance. L'un s'occupe maintenant de ma porte arrière, mon époux probablement. Pour lui faciliter la tâche, je redresse le buste et cambre un peu les reins. Les doigts qui fouillent en moi avec agitation me font frissonner violemment, mes jambes ont de plus en plus de mal à me porter. Sous l'effet des frissons, mes seins durcissent, mes pointes s'allongent encore, excitant l'homme qui joue déjà avec, face à moi.

Je sens d'autres doigts jouer avec ma petite fleur. Je suis si excitée que c'en est presque douloureux. Je prends l'initiative de poser ma main sur celle de son partenaire pour la guider vers mon antre dégoulinante. Il s'exécute et vient placer ses doigts juste à l'entrée. C'est à peine tenable, je sens les contractions de mon vagin qui appellent la pénétration. Il joue avec mes lèvres, contourne, effleure et soudain, il entre. Dans un gémissement, j'exprime mon soulagement autant que mon plaisir : enfin, je suis pleine.

Les deux hommes agitent leurs doigts, presque en rythme, me faisant soupirer de plus en plus bruyamment. J'écarte un peu mes jambes pour leur laisser plus de liberté et pour me stabiliser car je sais ce qui va arriver. Les doigts s'agitent de plus en plus vivement, écartant mes chairs, assouplissant mes muscles. Je sens cette contraction si particulière arriver, le flot monter des profondeurs de mon corps, mon ventre se serre tandis que mon vagin se libère ... La cascade coule, dans un flot continu et abondant. Les mains de l'inconnu sont trempées mais il continue son ballet frénétique. Je sens le liquide chaud couler le long de mes bas, les gouttes rebondir au sol dans la flaque qui est en train de se former. Je gémis sans reprendre mon souffle jusqu'au cri, signe que je n'en peux plus.

Les deux mâles comprennent et arrêtent leurs mouvements pour me laisser reprendre mon souffle, mes esprits, possession de mon corps. Je me sens toujours un peu gênée lorsque cet étrange phénomène se produit, et là encore plus du fait de la présence de cet inconnu. Mais je lis dans ses yeux un sentiment mêlant fierté, affection et amusement. Je souris alors, regarde mes cuisses, la flaque au sol et dit qu'il faudrait peut-être faire un peu de nettoyage.

LUI

Nous rions tous les trois de bon cœur de ce petit désagrément, et de la réaction timide de cette femme qui vient tout simplement de lâcher prise entre les mains de son mari, et d’un parfait inconnu. En bon mâle que je suis, je me sens flatté de cette fontaine, signe qu’elle a pu passer outre toutes ses réticences pour s’abandonner totalement aux caresses conjuguées de son mari et de cet inconnu.

J’invite ma douce complice à venir s’asseoir quelques instants sur le banc situé à proximité. Elle est là, devant moi, le buste nu, ses seins dressés et sa jupe remontée. Assise sur ce banc, elle tient ses jambes écartées, offrant à ma vue cette toison surmontant son antre luisant du plaisir qu’elle vient de connaître. J’en ai envie, je ne peux lutter contre cette pulsion qui m’attire vers elle. Ses yeux à nouveau plantés dans les miens me le réclament également. Sans un mot, je me place entre ses cuisses ouvertes, m’accroupis pour être à bonne hauteur, et dépose sur son ventre un baiser. Je joue, je titille, je descends doucement vers le graal. Ma langue parcoure le haut de ses cuisses, son pubis, libérant au passage quelques petits frissons qui m’indiquent que le jeu a assez duré. Je décide de partir à la conquête de son plaisir, en solitaire. A ce moment, je ne sais plus où est son mari, mais ma langue a trouvé le sillon chaud et humide qui marque l’entrée de son intimité. Je visite, m’attarde sur chaque endroit exploré, pour finir par libérer ce clitoris gonflé d’excitation. Ses reins se tendent, se creusent, elle réagit à mes coups de langue par de petits gémissements, et de longs soupirs.

Soudain un petit cri de plaisir, accompagné d’une contraction plus intense, me font lever les yeux. Son époux est là, posté derrière elle, il l’embrasse à pleine bouche et s’amuse avec ses tétons raidis d’excitation. Je reprends mon jeu de langue en étant plus précis, en accélérant les mouvements sur son bouton. Elle se cambre, sa respiration s’accélère et ses soupirs de plus en plus aigus.

Quelques instants, je ralentis pour la laisser se poser un peu, puis je reprends de plus belle pour la faire remonter. Ce petit jeu dure quelques minutes avant que cette fois, je ne m’arrête plus. Ma langue s’agite frénétiquement sur ce clitoris, son plaisir monte, son corps se contracte, elle ne va pas tarder à jouir pour la seconde fois de l’après-midi.

ELLE

Je suis prise dans un tourbillon de sensations tout à la fois voluptueuses et intenses. Le plaisir vient de toute part, arrive par vagues, de plus en plus amples. Je tente d'en maîtriser la montée, mais c'est de plus en plus difficile. Je décide de m'abandonner à cette bouche qui dévore mon intimité, je me concentre sur cette toute petite zone si sensible, rassemblant toute mon énergie accumulée afin de la libérer brutalement dans une explosion de plaisir.

Mon orgasme est intense et m'arrache un long râle et des secousses nombreuses. Mon corps se crispe sous les contractions, je sens les deux hommes me soutenir afin que je ne tombe pas du banc. Je laisse les vagues ralentir, chacune moins intense que la précédente. Le calme revient, le silence aussi.

J'ouvre les yeux et mon regard tombe sur celui de l'homme qui vient de me faire jouir. Il est accroupi, à mes pieds, serein et visiblement satisfait, je lui souris, aucun mot ne vient à mon esprit, pas même merci. Je me contente de lui caresser le visage et de passer ma main dans ses cheveux, j'ai besoin de le toucher. Je sens les mains de mon époux sur mes épaules, je me retourne pour attraper aussi son regard et lui tendre mes lèvres, qu'il embrasse doucement.

J'ignore depuis combien de temps nous sommes là tous les trois, mais je sens la fraîcheur du soir tomber, le soleil est passé derrière les arbres, nous sommes à l'ombre désormais; un léger frisson me parcourt ... j'ai si chaud. Les deux hommes m'aident à remettre mes vêtements en place afin que je ne prenne pas froid, ils sont adorables.

Peu à peu, mon esprit s'éclaircit. Je réalise qu'il va nous falloir quitter le parc, revenir chez nous, quitter cet inconnu. Mais je n'ai pas envie d'en rester là. J'aime prendre du plaisir, mais j'aime par dessus tout en donner. Je voudrais poursuivre nos ébats avec ces deux hommes, les câliner comme je sais le faire, leur offrir mon intérieur pour qu'ils y trouvent un plaisir intense à leur tour. Mais j'ai peur de demander, de proposer, je reste muette, les yeux grands ouverts, appelant mon époux à la rescousse. Il comprend.

- Je crois que vous appréciez ma Nymphette monsieur, mais je pense que vous auriez envie de la connaître un peu plus. Elle recèle bien des trésors, dit-il avec un sourire malicieux

- On la surnomme donc ainsi ... Nymphette ? C'est mignon et cela lui va très bien.

Je baisse timidement les yeux, en entendant ce compliment.

- En effet, j'aimerais la revoir, ou plus exactement, vous revoir tous les deux, car j'apprécie beaucoup ce type de complicité. Je vous laisse mon adresse mail et mon numéro de portable; pour nous contacter, ce sera plus facile que d'errer au hasard dans les allées du parc.

- Entendu, je vous dis à bientôt alors.

Nous sommes maintenant debout tous les trois, nous dirigeant vers la sortie du parc, sans parler. Je tiens mon époux par la main, mais je n'ose prendre celle de celui qui reprend son statut d'inconnu. J'ai envie de lui parler, de le toucher, mais je n'ose pas. Arrivés à la porte du parc, nous nous apprêtons à nous séparer. Les deux hommes se serrent la main. Moi, je ne sais pas ce que je dois faire. L'embrasser de façon conventionnelle ? Je trouve ça idiot, compte-tenu de ce qui vient de se passer entre nous. L'embrasser amoureusement ? Nous ne nous connaissons pas assez pour cela, il n'en a peut-être pas envie ... mais j'ai si envie de retrouver ses lèvres, sa langue. Je me donne un petit coup de pied aux fesses et j'ose. Je lève la tête, me mets sur la pointe des pieds pour atteindre sa bouche et l'embrasser une dernière fois. C'est délicieux, il s'abandonne à ma bouche, je sens mon odeur intime sur lui ce qui provoque un sursaut d'excitation.
Il faut se séparer mais mon visage face au sien, dans un dernier souffle, je lui demande :

- Comment vous appelez-vous ?

- Ça, je vous le dirai la prochaine fois, chère Nymphette

*** à suivre ***
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par croclavie82
#2223016
Merci beaucoup chère @Nymphette pour ce travail de remise en forme (du texte).
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par Nymphette
#2223019
croclavie82 a écrit :Merci beaucoup chère @Nymphette pour ce travail de remise en forme (du texte).

Merci à vous d'avoir pris au mot :) ma provocation et d'en avoir tiré cette histoire sensuelle.
<3
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par croclavie82
#2223021
Ce fut un réel plaisir...
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par croclavie82
#2223129
gentilvoyeur a écrit :Un récit qui donne envie de sortir plus souvent en extérieur et déambuler sur des chemins discrets de parcs et jardins :D

Merci @gentilvoyeur , il semble qu'on puisse y voir des choses intéressantes effectivement
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par Nymphette
#2223411
gentilvoyeur a écrit :Un récit qui donne envie de sortir plus souvent en extérieur et déambuler sur des chemins discrets de parcs et jardins :D

croclavie82 a écrit :Merci @gentilvoyeur , il semble qu'on puisse y voir des choses intéressantes effectivement

En effet, si l'on est attentif, on peut y débusquer une Nymphette cachée derrière une statue ou dans un labyrinthe, la jupe retroussée, en train d'être câlinée par son homme.
Ou encore assise la jupe relevée, sans culotte (elle n'en porte que rarement), sur un banc de marbre blanc aussi doux que sa peau.
Il paraitrait même que par son désir, elle déclenche parfois le jaillissement de quelques fontaines ...
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par croclavie82
#2223417
Nymphette a écrit :Il paraitrait même que par son désir, elle déclenche parfois le jaillissement de quelques fontaines ...

Mais dites-moi ou se trouve ce parc où l'on peut voir jaillir les Nymphettes en fontaines ?
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par Nymphette
#2223433
croclavie82 a écrit :
Nymphette a écrit :Il paraitrait même que par son désir, elle déclenche parfois le jaillissement de quelques fontaines ...

Mais dites-moi ou se trouve ce parc où l'on peut voir jaillir les Nymphettes en fontaines ?

Chut ... Seul ceux qui côtoient la Nymphette de près connaissent cet endroit 0=)
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