©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 34
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2195601
cple36 a écrit :belle histoire de complicité

Oui, avec le recul, je suis d'accord. Mais à l'époque (il y a un mois, hi hi), j'étais surtout frappée par la nouveauté de ce type d'acte, et j'ai eu envie d'en garder le souvenir en écrivant.
Maintenant que j'ai eu cette expérience, que je sais qu'elle peut se reproduire, alors je dégusterai sans doute plus la complicité du moment.
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2195608
@Michel3132
Ne serait-ce pas cela que l'on appellerait en Art contemporain "Une performance"... :?
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2195620
Le visage à mains de la Nymphette... (photo déjà publiée)
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
arthurz92, canda a liké
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2195643
@Nymphette
Je ne suis pas surpris que vous vous trouviez jolie ma chère puisqu'il ne s'agit pas de vous mais de la... :?
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2195646
@Michel3132
Intéressant... Tu interprètes cette photo comme un acte volontaire de la Nymphette de se "cacher" alors qu'il ne s'agit absolument pas de ça... ;)
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2195656
PateL a écrit :@Michel3132
Intéressant... Tu interprètes cette photo comme un acte volontaire de la Nymphette de se "cacher" alors qu'il ne s'agit absolument pas de ça... ;)

D'une certaine façon, c'est volontaire pour ne pas finir aveugle ... Soleil couchant pleine face. Mais la gestuelle est jolie, j'avoue :oops:
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2195658
@Nymphette
Très chère vous venez de me "planter" mon quizz pour le cadeau du jour... :) Désolé @Michel3132 ...
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2195663
PateL a écrit :@Nymphette
Très chère vous venez de me "planter" mon quizz pour le cadeau du jour... :) Désolé @Michel3132 ...

Désolée :oops: Je me tais :???:
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2195667
@Nymphette
Et voilà elle boude à présent... Plus qu'une solution pour la "débloquer" : "Elle avait ENVIE de se faire prendre enfin au lit !" (private joke..., je précise...)

PS : c'est le titre de son futur recueil d'histoires... (P'tain le teasing... :))
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2197048
- AU JARDIN -

Après le repas, ils avaient coutume de prendre leur café au bout du jardin, confortablement installés sur une balancelle.
De là, ils profitaient d'une vue magnifique sur le paysage. La maison étant située en haut d'une petite colline, on dominait le vallon, devinant la rivière en contrebas. La colline d'en face avec ses pâturages et ses champs entrecoupés de bosquets formaient un tableau charmant et reposant, servant de socle à l'immensité du ciel pur.

Sans un mot, ils finissaient leur tasse, écoutant le gazouillis des oiseaux qui se préparaient au repos nocturne. La Nymphette avait les sens particulièrement ouverts ce soir-là. Elle ne fut pas surprise de voir une main se poser sur sa poitrine et commencer à jouer négligemment avec. Continuant à observer le paysage, elle s'installa un peu plus confortablement pour profiter de l'instant.

Sa robe devenait peu à peu une gêne, l'empêchant de sentir les doigts de son amant. Elle la retira, simplement, pour se retrouver nue sous la lumière du soleil déclinant.
Elle put alors s'abandonner pleinement aux caresses du vent léger sur ses cuisses, sentir les doigts jouer avec la pointe de ses petits seins. Vint le moment où la bouche entra en jeu, pour lécher ses tétons avec une grande délicatesse et beaucoup de raffinement. La Nymphette adorait ces façons de faire, terriblement sensuelles, et le faisait savoir par ses soupirs prolongés. Ce petit jeu se prolongea jusqu'à ce qu'un désir plus grand se fasse sentir.

Pour remercier son généreux bienfaiteur, la Nymphette déshabilla légèrement son amant, le juste nécessaire pour dégager la pointe de son sexe déjà bien dressé. Elle commença par y donner quelques coups de sa petite langue pour amadouer son mâle. Les râles qui suivirent l'incitèrent à continuer son ouvrage, et sans prévenir, elle absorba délicatement l'ensemble de son gland si doux et si ferme, comme si elle avalait un fruit d'été. Gémissements, soupirs, elle répétait son ballet au gré des réactions sonores de son amant. Le sexe de plus en plus raide, large et coloré, ne cessait de l'exciter.

"Viens avec moi", lui dit-il soudainement. La Nymphette le suivit, nue dans le jardin, sans aucune crainte. Son amant l'emmena dans un coin abrité des regards par de grands arbres, où se trouvait une table qui servait quelque fois pour les repas.
Il souleva sa Belle sans peine, l'installa sur le bord de la table, défit complètement son pantalon. La Nymphette eut juste le temps de voir son sexe prêt à exploser avant de le sentir rentrer en elle avec fermeté. Son corps se cambra sous la décharge de plaisir et elle ne put retenir un long gémissement.

Leur étreinte fut courte, l'installation était peu confortable ... on avait oublié les coussins ! Pour prolonger leur plaisir, la Nymphette descendit de son piédestal et se mit debout, de dos, pour proposer sa croupe à son amant, les jambes écartées pour qu'il puisse venir déguster son miel. Une fois rassasié, il entreprit de se masturber afin d'arroser les reins de sa Belle. Sentant ses intentions, elle resta en position tout en se caressant pour prendre elle aussi du plaisir. Le soleil couchant baignait le corps de la Nymphette d'une lueur dorée. Après quelques minutes, la jouissance vint dans une parfaite synchronisation.

Le soleil avait disparu sous l'horizon, un frisson parcourut la Nymphette ... un moustique venait de s'en prendre à sa jolie cuisse. Il fallut rentrer pour soulager son mal.
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2197128
Belle à croquer ?
Une petite pause, s'imposait... ;)
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2197132
@Nymphette Désolé, erreur de fil de ma part... Il est temps que je file me coucher moi... ;)
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2197134
PateL a écrit :@Nymphette Désolé, erreur de fil de ma part... Il est temps que je file me coucher moi... ;)

Oui, je cherchais vainement le rapport avec le moustique :)
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2197699
- AU PARC -

Ils avaient décidés de passer un moment ensemble et profiter des quelques derniers beaux jours. Une promenade au parc, un grand parc avec plein d'allées, de bosquets, de bancs dans des recoins pour se câliner un peu à l'abri des regards indiscrets. La Nymphette s'était apprêtée comme pour un rendez-vous de séduction, mais juste pour son homme, pour lui donner envie d'elle. Au moment de partir, il avait déjà le regard qui brillait.

Une fois sur place, il leur fallut slalomer entre les touristes nombreux à cette saison. Mais assez rapidement, ils surent trouver des allées un peu moins fréquentées. Il l'embrassa longuement pour lui signifier qu'il était simplement heureux. Il marchait en lui tenant la taille, geste terriblement érotique pour la Nymphette. Ils arrivèrent dans une allée tranquille et c'est là qu'il commença à lui caresser doucement la pointe des seins à travers son chemisier qui les cachait à peine. Rapidement, une main passa sous la jupe et commença à jouer avec ses lèvres d'en bas. Bien entendu, la Nymphette ne portait rien sous ses vêtements, habitude récente mais tellement plaisante pour eux deux.

Après cette première prise de contact, ils continuèrent leur promenade en direction d'un bosquet abritant une statue en son centre. Tout autour se trouvaient des bancs installés dans des enfoncements, à l'abri des regards. Ils s'installèrent au premier qui était libre. La Nymphette était déjà bien montée en température, elle prit soin de rendre sa croupe accessible en s'asseyant un peu de côté. Son époux commença par l'embrasser tout en lui caressant les seins, mais la Belle avait d'autres envies. Elle prit sa main droite, la plaça sous ses fesses pour que ses doigts puisse glisser directement dans son antre bien ouverte. La jupe ample cachait complètement ce geste coquin. Quant à sa main gauche, elle la fit glisser dans la fente de son chemisier, pour qu'il accède directement à ses têtons durcis par le désir, là aussi en toute discrétion.

Ce fut alors un long moment de caresses intimes et de baisers, dans le calme du bosquet, s'interrompant seulement lorsque des touristes passaient, souvent accompagnés d'enfants. Leurs regards heureux reflétaient leur plaisir mutuel. Qu'il est doux de se câliner à l'extérieur. Par moment, le vent coquin soulevait la jupe de la Nymphette qui ne faisait rien pour l'empêcher. Le temps filait vite, ils décidèrent de rebrousser chemin, en empruntant toujours des allées tranquilles. À chaque fois qu'ils se retrouvaient seuls, il l'embrassait voluptueusement, passait ses mains entre ses cuisses ou attrapait un têton. Les caresses étaient de plus en plus intenses, la Nymphette eut besoin de s'asseoir pour reprendre ses esprits.

Un banc isolé, la chaleur du marbre sur ses fesses et ses cuisses, le vent insolent qui soulevait sa jupe, la Nymphette avait du mal à contenir son désir. Elle le regarda les yeux plein d'envie, lui montra son sexe en écartant les cuisses, signe qu'elle avait très envie qu'il la lèche. Ce n'était pas possible, un autre banc en vis-à-vis, trop de passage. Alors elle fit sortir un petit sein par la fente de sa chemise et lui offrit. Il s'en délecta goulûment pendant de longues minutes.

Il fallait rentrer maintenant. Assise dans la voiture, au moment où il démarrait, la Nymphette souleva complètement sa jupe, dévoilant son sexe humide, en le regardant amoureusement. Il lui dit "on va faire un détour pour rentrer". Elle se doutait de là où il l'emmenait, ce parking dans une zone d'activité, désert le dimanche. Durant le trajet, elle se délectait des moments à venir, sentant son désir inonder son fruit déjà bien trempé. Une fois garé, il sortit, la fit descendre de la voiture et commença à la caresser énergiquement, partout. Délaçant sa chemise, il sortait ses petits seins, soulevait sa jupe, enfouissant ses doigts partout, la Nymphette grognait de plaisir tout en déboutonnant sa chemise pour lui caresser le torse.

N'y tenant plus, il se mit à genoux puis à demi allongé pour la lécher par dessous car il savait qu'elle en raffolait, surtout en extérieur. Elle l'inondait de sa liqueur tout en caressant ses cheveux. Pour le remercier, la Nymphette défit don pantalon, libéra son sexe et commença à le frotter sur son clitoris. Elle sentit le plaisir monter très vite, mais elle voulait encore profiter de ses instants délicieux. Alors elle stoppa ses caresses et pris son sexe dans sa bouche, juste le bout et fit ses petits mouvements de succions dont il raffolait. Cette fois, c'est lui qui lui demanda de ralentir le rythme. Finalement, aucun des deux ne voulaient interrompre leur moment érotique par la jouissance.

La Nymphette n'avait plus qu'une envie en tête : se faire pénétrer. Mais il était tard, et on avait dit un petit câlin ... Alors ce serait pour une prochaine fois. Le retour à la maison fut silencieux, chacun étant encore plongé dans sa bulle de plaisir. Les regards complices, les mots tendres, tout exprimait ce nouveau lien qui les unissait : partager pour mieux se retrouver.
Avatar de l’utilisateur
par multipass
#2198922
Je ne remettrais pas en cause les capacités littéraire de la nymphette, ce serait hérésie vue la qualité de sa prose. Juste d'un point de vue du lecteur la première personne est beaucoup plus excitante. Elle invite à la proximité alors que la troisième invite à la prise de distance. Lire des "je" nous permettrait de ressentir plus d'intimité, et pour tout bon candauliste la compréhension des désirs personnels sont hautement appréciés. ;)

En dehors de ce détail dialectique le récit est délicieux et on en veut plus. :)
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2198974
multipass a écrit :Je ne remettrais pas en cause les capacités littéraire de la nymphette, ce serait hérésie vue la qualité de sa prose. Juste d'un point de vue du lecteur la première personne est beaucoup plus excitante. Elle invite à la proximité alors que la troisième invite à la prise de distance. Lire des "je" nous permettrait de ressentir plus d'intimité, et pour tout bon candauliste la compréhension des désirs personnels sont hautement appréciés. ;)

En dehors de ce détail dialectique le récit est délicieux et on en veut plus. :)

Point de vue fort intéressant et qui me pousse à réfléchir à ma démarche.

Déjà, il faut savoir que j'écris à la première personne mais dans un cadre privé. J'échange avec quelques hommes depuis quelques semaines, mois, et là, le je est de mise dans nos jeux érotico-virtuels. Ces récits restent entre nous, car ils sont écrits pour une personne en particulier.

Mes histoires ne sont pas des compte-rendus mais des histoires (même si souvent je ne raconte que la stricte vérité). Ce sont, pour le moment, des sortes de prises de recul par rapport à ce que je vis, ce que je ressens. Autrement dit, j'écris plus pour moi que pour être lue. Mais un homme m'a suggéré de mettre mes textes en visibilité, et j'ai trouvé que ça pouvait m'être utile, et si en plus ça peut faire plaisir, j'en suis ravie.
L'usage de la troisième personne est donc lié à cette prise de recul. En outre, il y avait au départ un côté "j'assume-j'assume-pas" qui induisait l'éviction du je. C'est peut-être un peu moins vrai aujourd'hui (il y a eu tellement de changements en 2 mois ...).

Alors, comme l'évolution se poursuit, peut-être en viendrais-je au je ? Je laisse venir !es choses, et cette petite remarque aura son influence.

Une nouvelle histoire arrivera dans la journée, avec une petite nouveauté par rapport aux précédentes. Mais chut ! Je ne dis rien.
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2198983
Nymphette a écrit :
Une nouvelle histoire arrivera dans la journée, avec une petite nouveauté par rapport aux précédentes. Mais chut ! Je ne dis rien.

Je donne juste un indice : il sera question de queues et de boules :)
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2198994
@Nymphette
Moi je saiiiiiiiiiiis.... 8-) :x :roll:
Aussi, j'ajoute un indice à la liste des indices précédents : il sera aussi question de "Je" euuuuh de "Jeu" voulais-je dire... :D
Avatar de l’utilisateur
par PateL
#2198998
Nymphette a écrit :Point de vue fort intéressant et qui me pousse à réfléchir à ma démarche.[...]

Attention tout de même ma chère dans votre réflexion sur votre démarche : regardez bien devant vous où vous posez vos pieds !!!... :)
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2199016
PateL a écrit :@Nymphette
Moi je saiiiiiiiiiiis.... 8-) :x :roll:
Aussi, j'ajoute un indice à la liste des indices précédents : il sera aussi question de "Je" euuuuh de "Jeu" voulais-je dire... :D

Un grand classique désormais ;)
Avatar de l’utilisateur
par Nymphette
#2199017
- LA PARTIE DE BILLARD -

La journée avait été particulièrement chaude. Tous les trois avaient erré dans les différents endroits de la propriété à la recherche d'une relative fraîcheur, naviguant entre intérieur et extérieur. Ce n'est que tard dans la soirée que la température commença à baisser un peu. La Nymphette était sortie observer la lune déjà haute dans le ciel et qui éclairait la maison comme un projecteur.

Ils avaient été peu actifs en journée, aucun d'eux n'avaient sommeil. La Nymphette proposa d'aller faire une partie de billard dans la grange. Son époux et son amant la suivirent, en profitant de sa démarche souple le temps de se rendre jusqu'au bâtiment.
Les équipes furent formées : les hommes contre la Nymphette, qui jouerait donc deux fois par tour. Ils lui laissèrent le privilège de commencer la partie.

Son époux fut le premier à sortir une boule. Les règles avaient été fixées : à chaque réussite d'une équipe, un gage était donné à l'autre. La Nymphette fut donc contrainte de se débarrasser d'un vêtement. Le souci, c'est que par cette chaleur, elle ne portait que sa petite robe noire à bretelles qui cachait à peine ses petits seins insolents. Elle se retrouva donc entièrement nue, dans cette pièce poussiéreuse, sous les yeux de ses deux hommes aux yeux brillants.
La partie continua et la Nymphette réussit enfin à sortir une boule. Elle exigea que ses hommes ôtent leur tee-shirt. Un frisson de plaisir la parcourut lorsqu'elle vit ses deux mâles torse nu.

La réussite revint du côté des hommes. La Nymphette dut alors se laisser caresser les seins par ses amants avant de pouvoir reprendre la partie. De nouveau, ayant réussi quelques jolis coups, elle parvint à dénuder entièrement ses hommes. Elle contempla alors la scène : eux trois entièrement nus dans cette grande pièce étrange, tournant autour d'un billard, les corps s'évitant ou se frôlant dans un curieux ballet.

La partie se poursuivit mais le niveau de jeu diminua fortement tant la concentration était difficile à maintenir. Quand les hommes jouaient, la Nymphette prenait un malin plaisir à les aguicher en s'asseyant sur le bord du billard ou en arborant fièrement son triangle noir à proximité de la boule qui était visée. De leur côté, les hommes ne se privaient pas d'exhiber leur sexe devant leur Nymphette ou de se caresser pour le faire durcir. Elle eut bien du mal à jouer correctement alors que les hommes, forts de leur succès, multipliaient les gages : à tour de rôle, ils promenaient leurs doigts un peu partout dans la Nymphette, l'embrassaient fougueusement ou la caressaient avec délicatesse. Ils finirent par remporter la partie.

Les vainqueurs réclamèrent leur trophée. Alors, La Nymphette s'allongea sur le billard protégé par quelques coussins défraîchis, écarta les cuisses et offrit son sexe largement ouvert à ses deux hommes. Chacun leur tour, ils venaient pénétrer leur Nymphette, doucement ou activement et prenaient plaisir à la voir se tortiller de plaisir. Le vert du billard faisait ressortir la blancheur de sa peau mais aussi la rougeur de son sexe échauffé.
La Nymphette ouvrit les yeux pour profiter de la vue de son amant planté en elle tandis que son époux lui caressait les seins, jouant avec ses pointes durcies.
Le regard qu'elle lui porta lui fit perdre sa contenance, il accéléra ses va-et-vients en réclamant que sa Nymphette continue à le regarder et à gémir. Son souffle était de plus en plus court, sa voix perdait en intensité, son corps tendu était au bord de la rupture. La Nymphette aimait par-dessus tout cet infime instant juste avant que son amant ne jouisse. Elle le guettait, et s'employait à provoquer l'explosion par un mouvement de bassin ou un regard selon les circonstances. Ce fut alors un déluge de gémissements, de souffles rauques tant le plaisir était intense pour lui.
Ce fut ensuite le tour de son époux de profiter pleinement de sa Nymphette. Le sexe gonflé comme jamais, il fit néanmoins durer son plaisir le plus longtemps possible, tout en observant ce petit corps si désirable qu'il était en train de posséder. L'amant, une fois remis de ses émotions revint s'affairer sur les seins de sa Belle avec sa bouche. La Nymphette qui savait que cette position ne lui permettrait pas de jouir décida de se caresser pour prendre sa part de plaisir.
La tension était à son comble, les corps arc-boutés, les souffles rapides dans le silence de la nuit et soudain, la décharge électrique s'abattit sur eux, puissante, ample. Elle résonna de longs instants dans leurs muscles avant de laisser le calme revenir.
Le silence se fit, à peine entendaient-ils leur propre respiration calme, apaisée.
Ils se rhabillèrent en échangeant sourires et regards heureux. Ils ressentaient tous les trois une grande satisfaction du moment passé ensemble. Ils savaient qu'ils allaient pouvoir s'endormir avec de belles images dans leur tête.
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 34

Notre boutique candauliste 100% sécurisée