- 23 sept. 2018, 20:47
#2213214
- ELLE ET EUX -
ELLE
Une jupe trapèze en lin bleu céruléum dévoilant un tiers de mes cuisses
Un caraco en satin noir, dont le dos est entièrement en dentelle. On peut ainsi s'apercevoir que je ne porte pas de soutien-gorge
Un gilet drapé en suédine noire pour couvrir mes épaules et mes bras aux trois-quarts
Des escarpins noirs velouté assez hauts
Des bas clairs, légèrement texturés, à peine visibles sauf si on observe les quelques plis au niveau de mes chevilles
Une culotte noire bordée de dentelle
LUI
La description de votre tenue du jour m’a ôté toute envie de dormir... Comment en profiterais-je si j’avais la chance que vous vous trouviez à mes côtés ?
Tout d’abord, cela commencerait par une longue séance d’observation contemplative : j’adore les escarpins à hauts talons - le contraire serait étonnant, certes - ainsi que les bas (j’ai beaucoup apprécié vos photos qui laissaient découvrir vos jolies jambes gainées de nylon, chère Nymphette...).
Ensuite, mes yeux remonteraient inévitablement vers l’ourlet de votre jupe, comme s’ils pouvaient à eux seuls le faire remonter assez haut pour pouvoir entr’apercevoir la partie haute de vos bas puis votre culotte...
La douceur de cet été indien m’aurait permis de vous proposer mon aide - totalement désintéressée bien sûr... - pour ôter votre gilet. Placé derrière vous pour cette délicate manœuvre, ma main gauche - qui n’a de gauche que le qualificatif anatomique - aurait, sans le faire exprès bien entendu, fait glisser de votre épaule gauche la bretelle de votre caraco... Et pendant que la pulpe de mes doigts aurait glissé de bas en haut sur votre peau pour remettre soigneusement en place cette fugitive bretelle, mes yeux auraient longuement profité du spectacle offert par la dentelle de votre caraco...
Je me serais ensuite placé face à vous afin de constater avec enchantement que vos seins apprécient leur liberté satinée... Je vous aurais ensuite proposé de vous asseoir afin de vous prodiguer un long massage des voûtes plantaires, généralement apprécié après une longue journée. Quel alibi idéal pour avoir la chance d’ôter moi-même vos escarpins, avant de sentir vos bas entre nos peaux respectives.
Mes mains n’auraient ensuite pas su résister très longtemps à l’envie de remonter progressivement le long de vos jambes, de façon à pouvoir atteindre tout doucement cette jupe qui cache depuis trop longtemps le haut de ces bas si excitants au toucher... et votre culotte que seul mon imagination peut voir à ce stade ! Mes mains ont enfin atteint la lisière de votre jupe, un regard interrogateur accompagné d’un sourire coquin vous demande, comme dans un chuchotement : « puis-je ? ». Vous prononcez alors un minuscule « non » avec des yeux rieurs qui disent « oui, qu’attends-tu idiot ? »...
Mes mains remontent alors votre jupe et mes yeux contemplent le spectacle qui s’offre alors à eux...
... à suivre ...
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