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- Le Voisin -
La lumière de cet après-midi était chaude et belle, elle les incitait à faire une séance de poses en extérieur. De plus, ils souhaitaient tester un nouveau meuble, une méridienne de style empire, d'un vert défraîchi qui s'harmoniserait bien avec les teintes claires de la Nymphette.
Son époux installa la banquette dans cette partie du terrain qui jouxtait le jardin des voisins, abritée des regards par les dépendances de la maison. Les enfants étaient partis se baigner à la rivière en contrebas, les voisins n'étaient pas là, la séance de pose s'annonçait créative.
La Nymphette avait choisi une robe claire très simple, rehaussée d'un simple collier de perles, ses sandales à talons hauts qui ne servaient que pour les photos. Pendant que son époux préparait son matériel, elle réfléchissait à la façon d'utiliser ce nouveau siège, plus bas et moins long qu'un canapé. Elle devrait prendre des poses inhabituelles, cela ne lui déplaisait pas, au contraire.
Elle commença debout, de dos, une main posée nonchalamment sur un des côtés de la méridienne. Moment d'échauffement, de concentration, pour investir son corps, l'ouvrir à ses sensations, ses intentions. Aucun bruit ne venait troubler ces instants en dehors du bruissement des feuilles sous l'effet d'un léger courant d'air qui leur évitait d'avoir trop chaud.
Elle poursuivit en s'asseyant, de face. Le siège étant très bas, la position était peu confortable, ses genoux remontant assez haut, elle se sentait engoncée. Assez vite, elle écarta les cuisses pour être plus à l'aise et donner à sa pose une tournure plus érotique, elle ne portait rien sous sa robe légère. Son époux pouvait apercevoir sa toison noire dans l'ombre de ses cuisses blanches.
La Nymphette sentit son désir monter. La douce chaleur lui suggérait d'ôter sa robe. Nue, seulement parée de son collier de perle et de ses chaussures noires qui se résumaient à quelques brides enlaçant ses pieds menus, elle prenait possession de la méridienne par des poses de plus en plus suggestives. Elle écartait son sexe délicatement, offrant son intimité la plus profonde au regard de son époux et des futurs spectateurs de leurs photos. Elle adaptait les postures de son corps pâle avec les formes anguleuses de cette méridienne, relevant les jambes, s'allongeant à demi ou se mettant de dos à genoux, offrant ainsi sa croupe qu'elle savait désirable.
Les poses s'enchaînaient, la complicité silencieuse entre le photographe et son modèle avait rarement été aussi intense. La Nymphette, de plus en plus excitée, attirait son époux par ses regards amoureux et plein d'appétit. Il finit par laisser son appareil de côté et venir embrasser sa Belle, sur la bouche d'abord; puis lui ouvrant les cuisses, il vint goûter son fruit offert, dégoulinant de plaisir. Elle gémissait doucement, ouvrant ses lèvres avec ses doigts pour s'offrir entièrement.
Difficile de résister à pareille situation ... Il dégrafa son pantalon et pénétra sa jolie femme vigoureusement, lui à genou, elle allongée sur la méridienne, les jambes largement écartées, leurs regards pouvant ainsi se fixer l'un sur l'autre, la vue du désir de l'un attisant le plaisir de l'autre. Il grognait, elle soupirait, quand soudain il releva la tête et regarda en direction du jardin du voisin.
- Le petit coquin, il est en train de se rincer l'œil.
En disant cela, son excitation monta d'un cran et la Nymphette en perçut immédiatement les effets. Elle sentit son sexe un peu plus large, ses mouvements un peu plus vifs, et vit son regard briller un peu plus. Un partenaire venait d'entrer dans leurs ébats.
- Approchez ! N'ayez pas peur !
Voilà maintenant qu'il invectivait le mystérieux voyeur, l'incitant à venir plus près. Il pénétrait toujours plus vivement la Nymphette, lui expliquant les allées et venues du voisin qui n'osait pas s'approcher.
- Venez goûter ! Je vous l'offre ! Elle est bonne !
La Nymphette n'en croyait pas ses oreilles. Son époux invitait maintenant le voisin à les rejoindre, en vue d'un partage improvisé. Elle se sentait aussi gênée par cette situation inédite qu'excitée par l'envie d'en profiter. Sous les assauts ininterrompus de son homme, elle se demandait si elle aurait le courage d'assumer la venue d'un partenaire inconnu. Elle finit par conclure que oui.
Le voisin avait disparu, son époux était un peu déçu. Ils riaient tous les deux de la situation, se demandant ce que l'homme avait bien pu penser de la situation, quand ils entendirent la sonnerie de la grille d'entrée retentir. Dans un silence soudain, ils se demandèrent qui cela pouvait être, les enfants ayant leur propre clef. Son époux se rhabilla et traversa le terrain pour aller voir. La Nymphette nue sur son siège, seule, échafaudait mille hypothèses. Si c'était le voisin, et qu'il répondait à l'invitation qui lui avait été faite, qu'allait-elle dire ? Que souhaitait-elle faire ?
Son époux tardait à revenir et elle n'osait pas se lever pour aller voir ce qu'il se passait. Elle se sentait excitée et apeurée à la fois, ne sachant si elle serait déçue ou soulagée quoi qu'il se passe. Elle entendit les pas de son époux dans l'herbe sèche, il lui semblait distinguer deux personnes marchant mais elle n'en était pas certaine. La tête lui tournait.
- Ma Belle, je te présente Vincent. Il te trouve très jolie alors je lui ai proposé de profiter un peu de tes charmes.
La Nymphette n'en croyait pas ses yeux. Par un réflexe de pudeur, elle mit un bras sur ses seins et croisa ses jambes. Elle dévisageait cet inconnu, un grand gars au regard doux, au visage souriant. Il avait l'air très à l'aise, contrairement à elle. Son époux aussi semblait trouver la situation tout à fait normale.
Elle réussit à prononcer un minuscule bonjour en rougissant, tout en le fixant du regard. Elle n'osait pas bouger ne sachant pas ce qu'elle devait, pouvait faire. Son époux vint débloquer la situation en l'embrassant et en lui caressant les seins tout en lui murmurant à l'oreille qu'elle pouvait peut-être faire usage de sa bouche.
- Ne vous inquiétez pas, ne vous sentez obligée de rien. Si vous le souhaitez, je peux continuer à vous regarder en m'éloignant un peu pour ne pas vous perturber. Vous êtes si jolie quand vous faites l'amour.
Cette petite phrase donna confiance à la Nymphette. Elle n'avait pas un tempérament exhibitionniste et ne se voyait pas reprendre ses ébats tout en étant observée. Elle préférait agir. Elle tendit les mains à Vincent pour lui signifier de s'approcher d'elle, ce qu'il fit, visiblement satisfait. Toujours assise, elle l'attrapa par les hanches pour le positionner face à elle, et ouvrir son pantalon. Elle n'osait plus le regarder, se concentrant sur ce qu'elle s'apprêtait à faire.
Lorsqu'il fut dévêtu, elle put constater que le spectacle de ses ébats avait déjà produit son petit effet, son sexe étant déjà tendu. Mais elle savait qu'elle pouvait obtenir bien mieux. Elle commença par quelques douces caresses sous et autour de ses bourses, jouant de ses doigts et de ses ongles pour faire frémir son partenaire. Puis elle avala son gland encore protégé. Avec sa petite bouche elle adorait en sentir la forme sous la peau, exercer de petites pressions contre son palais, lécher l'extrémité pour le dégager très progressivement. Elle savait que toutes ces petites attentions étaient très agréables et elle prenait grand plaisir à les prodiguer à son partenaire.
Après ce long prologue, elle dégagea complètement le gland afin de poursuivre ses baisers de façon plus directe. Elle prit quelques instants pour observer et caresser ce sexe inconnu, elle le trouvait beau et avait une grande envie de lui procurer beaucoup de plaisir. Alors elle le reprit dans sa bouche, sans le maintenir avec ses mains désormais. Tout en l'aspirant à rythme régulier, elle utilisa ses mains pour caresser ses fesses, ses hanches avant de remonter le long de son torse. Sa bouche, sa langue s'activaient, elle sentait le plaisir de son partenaire monter, elle adorait cette situation, ce qui la faisait saliver et gémir discrètement.
Elle sentit deux mains chaudes se poser sous ses seins, c'était son époux qui, par ce geste, offrait ses seins à Vincent. Celui-ci n'eut qu'à avancer les mains pour saisir ces deux petites pointes déjà bien dressées. Il put jouer avec et sentir la Nymphette se dandiner de plaisir sous les doigts habiles de l'inconnu. Cette fellation était d'un grand érotisme pour eux trois.
Vint le moment où elle eut besoin de reprendre son souffle et ses esprits. Elle lâcha doucement le sexe de son partenaire, se recula un peu pour le regarder. Elle lui sourit, sentant ses joues rougies par le plaisir cette fois.
- Merci, c'était délicieux, vous faites cela vraiment très bien, votre époux a beaucoup de chance
Toujours assise, la tête relevée, elle inclina son buste vers l'arrière tout en ouvrant les cuisses. Elle offrait son antre à qui voudrait bien la prendre, tant elle était excitée. La voyant totalement offerte, son époux fit signe à Vincent qu'il pouvait en profiter le premier en lui tendant un préservatif. En un éclair, la Nymphette se demanda comment son époux avait pu être aussi prévoyant mais elle quitta vite ses réflexions quand elle se sentit pénétrée. Ce sexe large qu'elle avait façonné de sa bouche, elle l'accueillait entièrement, sans crainte, avec délice. Il se promenait en elle avec fougue mais aussi avec beaucoup de retenue. Elle sentait l'envie de cet homme de ne pas en perdre une miette. Son époux l'accompagnait en lui caressant les cheveux, le visage, les seins.
Elle ne souhaitait plus qu'une seule chose, le faire jouir. Elle hésita à changer de position mais choisit de rester allongée, face à lui. Elle releva les genoux pour enlacer son bassin avec ses jambes. Ainsi plaquée sur lui, elle bougeait à son rythme, amplifiait ses mouvements pour le faire monter, monter encore, jusqu'au bord de l'explosion. Elle bascula ses bras au-dessus de sa tête, dans une posture de confiance et d'offrande totale. La vue de ce petit corps ainsi offert, cette toison naturelle le fit jouir, longuement, intensément, dans un long râle. La Nymphette était fière d'elle.
Ils entendirent des voix enfantines au loin. Les enfants remontaient de la rivière. Vite, il fallait se rhabiller et renvoyer le voisin chez lui, mais pas par la grille d'entrée car il tomberait nez à nez avec eux. Heureusement, le grillage séparant les deux terrains n'étaient pas très haut, une chaise de jardin permit à Vincent de l'enjamber et de rentrer chez lui en toute discrétion. Dans la précipitation, il n'avait pas prit le temps d'embrasser cette jolie femme et le regretta. Il lui jeta un dernier regard en se disant qu'il trouverait le moyen de réparer cet oubli.
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et des progrès.... je compte bien en faire longtemps 
avec de si charmantes modèles..... 
