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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par croclavie82
#2215485
Nymphette a écrit :(Ouf, il y en a au moins un :) )

qui est tendu ? ou qui le dit ? lol parce qu'à mon avis, ça doit quand même faire de l'effet à d'autres que moi...
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par Nymphette
#2215488
croclavie82 a écrit :
Nymphette a écrit :(Ouf, il y en a au moins un :) )

qui est tendu ? ou qui le dit ? lol parce qu'à mon avis, ça doit quand même faire de l'effet à d'autres que moi...

Pour que je le sache, faut-il encore qu'ils !e disent ;)
Je crois que les hommes sont plus pudiques que je ne le pense. C'est ma petite réflexion du jour 0=)
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par PateL
#2215565
Nymphette a écrit :Pour que je le sache, faut-il encore qu'ils !e disent ;)
Je crois que les hommes sont plus pudiques que je ne le pense. C'est ma petite réflexion du jour 0=)

Votre petite réflexion du jour me conduit à me rappeler la leçon philosophique donnée par Tuco : Le monde se divise en deux catégories. Il y a les pudiques et de l'autre, les puducs... lol
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par Nymphette
#2215635
- ELLE ET EUX -

ELLE

Une jupe trapèze en lin bleu céruléum dévoilant un tiers de mes cuisses

Un caraco en satin noir, dont le dos est entièrement en dentelle. On peut ainsi s'apercevoir que je ne porte pas de soutien-gorge

Un gilet drapé en suédine noire pour couvrir mes épaules et mes bras aux trois-quarts

Des escarpins noirs velouté assez hauts

Des bas clairs, légèrement texturés, à peine visibles sauf si on observe les quelques plis au niveau de mes chevilles

Une culotte noire bordée de dentelle

LUI

La description de votre tenue du jour m’a ôté toute envie de dormir... Comment en profiterais-je si j’avais la chance que vous vous trouviez à mes côtés ?

Tout d’abord, cela commencerait par une longue séance d’observation contemplative : j’adore les escarpins à hauts talons - le contraire serait étonnant, certes - ainsi que les bas (j’ai beaucoup apprécié vos photos qui laissaient découvrir vos jolies jambes gainées de nylon, chère Nymphette...).

Ensuite, mes yeux remonteraient inévitablement vers l’ourlet de votre jupe, comme s’ils pouvaient à eux seuls le faire remonter assez haut pour pouvoir entr’apercevoir la partie haute de vos bas puis votre culotte...

La douceur de cet été indien m’aurait permis de vous proposer mon aide - totalement désintéressée bien sûr... - pour ôter votre gilet. Placé derrière vous pour cette délicate manœuvre, ma main gauche - qui n’a de gauche que le qualificatif anatomique - aurait, sans le faire exprès bien entendu, fait glisser de votre épaule gauche la bretelle de votre caraco... Et pendant que la pulpe de mes doigts aurait glissé de bas en haut sur votre peau pour remettre soigneusement en place cette fugitive bretelle, mes yeux auraient longuement profité du spectacle offert par la dentelle de votre caraco...

Je me serais ensuite placé face à vous afin de constater avec enchantement que vos seins apprécient leur liberté satinée... Je vous aurais ensuite proposé de vous asseoir afin de vous prodiguer un long massage des voûtes plantaires, généralement apprécié après une longue journée. Quel alibi idéal pour avoir la chance d’ôter moi-même vos escarpins, avant de sentir vos bas entre nos peaux respectives.

Mes mains n’auraient ensuite pas su résister très longtemps à l’envie de remonter progressivement le long de vos jambes, de façon à pouvoir atteindre tout doucement cette jupe qui cache depuis trop longtemps le haut de ces bas si excitants au toucher... et votre culotte que seul mon imagination peut voir à ce stade ! Mes mains ont enfin atteint la lisière de votre jupe, un regard interrogateur accompagné d’un sourire coquin vous demande, comme dans un chuchotement : « puis-je ? ». Vous prononcez alors un minuscule « non » avec des yeux rieurs qui disent « oui, qu’attends-tu idiot ? »...

Mes mains remontent alors votre jupe et mes yeux contemplent le spectacle qui s’offre alors à eux...

ELLE

Ma jupe remontée dévoile une culotte que j'ôte sans hésitation. Je vous dévoile ainsi ma toison sombre, mon écrin qui ne demande qu'à être visité. Je sens vos doigts la caresser doucement, stationnant un moment dans cette antichambre du plaisir.

Peu à peu, sans brusquerie, vous poussez plus avant votre visite dans les premiers replis qui se présentent. Ce nouveau territoire mérite d'être longuement découvert. Vos caresses m'incitent à écarter un peu les cuisses pour vous permettre de voyager en toute liberté dans ma vallée.

Mais prenez votre temps, laissons monter le désir. Vous serez parfois interrompu par un baiser que je ne pourrais m'empêcher de poser sur vos lèvres, comme une pause nécessaire à la poursuite de votre parcours.

Lorsque vous descendrez en direction de ma grotte, vous découvrirez un terrain humide et accueillant. Je vois alors vos yeux briller, votre bouche esquisser un sourire de satisfaction, me permettant de glisser ma langue entre vos lèvres. Je viens chercher votre langue, comme un écho à vos caresses. J'écarte un peu plus les cuisses, vous gémissez discrètement, je soupire de plaisir.

LUI

Vos doux baisers me rendent fou de désir, chère Nymphette... Les premiers, juste posés sur mes lèvres comme des flocons de neige sur les frondes d’une fougère, me font frissonner tout entier, comme le ferait un glaçon posé subitement sur ma nuque...

Et lorsqu’enfin entre mes lèvres s’immisce votre langue pour inviter la mienne à la rejoindre, mon cœur se met à battre à tout rompre ! Seule la délicieuse sensation que ce baiser me procure m’empêche de vous prendre sans plus attendre, de façon animale...

Vos deux mains, doigts croisés sur la base de mon crâne, m’incitent par ailleurs à faire durer ce divin baiser... Lorsque vos mains commencent à descendre sur mes épaules puis s’aventurent l’une sur mon dos et l’autre sur mon torse, je saisis l’opportunité pour reculer mon visage afin de contempler vos yeux qui pétillent et votre si doux sourire... et j’amorce une descente progressive jusqu’à votre Graal : d’abord une série de baisers dans le cou, accompagnée d’une habile et discrète manœuvre de mes mains pour passer sous votre caraco en vue de caresser vos seins et mesurer ainsi votre degré d’excitation...

Mon appréciation de la situation est concluante : je peux me permettre de faire glisser les deux bretelles de votre caraco dont la matière favorise alors son glissement sur votre taille, laissant apparaître vos seins, aussi beaux que promis par mon sens du toucher... Je ne peux m’empêcher d’en lécher et sucer avidement les aréoles et mamelons. Je vous entends gémir et je vous sens vous cabrer légèrement, cela m’incite à continuer... tandis que mes mains glissent tout doucement sur votre peau pour monter - ou plutôt descendre en l’occurrence - à l’assaut de votre citadelle !

Mes dix doigts se disputent le privilège d’accéder en premier au cœur de la citadelle : ils vont un peu trop vite en besogne, car il faudra déjà franchir la soyeuse défense passive qui se trouve en première ligne... Ma main droite part en éclaireur et survole la zone très très bas, tandis que ma main gauche fait diversion, en caressant de façon appuyée le bas de votre chute de reins puis vos fesses... Ma main droite s’est posée sur votre toison, et mon majeur et mon annulaire tentent une intrusion de la citadelle tandis que mon pouce fait des mouvements circulaires autour du corps de garde de la citadelle, anatomiquement nommé clitoris...

À leur grande surprise, ces deux précurseurs sont parvenus à pénétrer sans aucun problème ! Ils vont et viennent de façon arythmique, pour surprendre l’ennemi... Ma bouche et ma langue décident alors de venir en renfort : les doigts précurseurs cèdent la place, je commence à donner de nombreux coups de langue en surface et pas uniquement dans la zone clitoridienne, puis ma langue s’engage en profondeur dans la citadelle. Elle permet de goûter au Graal et d’analyser ses saveurs... mon excitation est à son zénith !

Votre respiration s’accélère et quelques gémissements se font entendre, il est temps d’investir en force la citadelle...

ELLE

Sentant votre désir brûlant de me prendre, je décide de retarder encore un peu ce moment dont j'ai, moi aussi, ardemment envie. Non pas que j'ai le besoin de vous torturer, mais au contraire, je poursuis le noble but d'accroître le plaisir que nous y prendrons.

Profitant d'un instant de répit dans vos caresses buccales, je m'écarte un peu de vous et vous redresse le torse. Je vous embrasse intensément, sentant ma propre odeur se mêler à la vôtre, ce qui ne fait qu'accroître mon désir de vous sentir en moi. Mais je résiste à la tentation et m'active pour défaire en partie votre pantalon.

Vous m'y aidez, pensant peut-être atteindre plus rapidement l'objet de votre convoitise. Dès que je le peux, j'écarte vos mains et prend le contrôle de la situation. Délicatement, j'extrais votre verge de son enveloppe, constatant qu'une partie de mon travail est déjà fait : elle est déjà bien raide et pointe vers moi comme l'aiguille d'une boussole. Mais je sais que je peux vous rendre encore plus désireux et je vais m'y employer. Je commence par quelques caresses très douces pour l'apprivoiser, pour établir un premier contact corporel. J'effleure de mes mains toute la longueur de votre sexe, puis mes caresses se font plus précises avec mes doigts. J'approche ensuite mon visage pour vous sentir avec mes joues, mon menton. Ma bouche n'est plus très loin, je sais que vous attendez cet instant avec impatience.

Je prends alors votre gland encore dans son écrin dans ma bouche, très délicatement. Je devine sa forme à travers la peau, avec ma langue, mes lèvres. J'ajoute parfois un peu de pression en le plaquant contre mon palais, ou encore en faisant de petits mouvements de succion. Je vous entends déjà gémir, ce qui me fait gémir à mon tour. Après quelques minutes de cette douce torture, je libère votre sexe de ma bouche et recommence quelques caresses plus appuyées cette fois. Des va-et-vients pour faire sortir votre fruit de sa cachette, très progressivement. Je viens quelques fois donner un coup de langue sur l'extrémité qui se profile, ce qui vous fait immédiatement réagir, votre dard se relève, animé par une force invisible et puissante. Vient le moment où tout votre sexe est dégagé, accessible, gonflé de désir, n'attendant qu'une action de ma part pour le satisfaire.

Alors je l'absorbe, délicatement toujours, pour sentir chaque parcelle avec précision dans ma bouche. Je salive de désir, et je sens aussi un flot humide se répandre entre mes cuisses. Vous émettez un râle mêlé de soupirs, ce qui me fait saliver encore plus. Je commence alors ce jeu qui consiste à vous déguster comme une sucrerie, tantôt en vous léchant, tantôt en avalant l'extrémité soyeuse, toujours dans des mouvements doux et appliqués. Mes mains accompagnent ces mouvements, en caressant vos bourses ou en saisissant un peu fermement la base de votre sexe pour le faire durcir encore un peu plus. Je vous vois vous tortiller de plaisir, ce qui me fait invariablement grogner de satisfaction.

Mon œuvre porte ses fruits. Votre verge est bien plus raide et gonflée que tout à l'heure, les veines saillantes, le gland violacé et très sensible. Je m'arrête et vous regarde en souriant, vos yeux brillent, je vous sens fébrile. Je vous laisse choisir la suite à donner, vous rendant le contrôle des événements.

LUI

Cette fois, l’excitation est trop intense, je ne peux plus attendre une minute de plus ! Vos caresses, votre bouche de velours et vos regards m’ont porté à un point de non-retour : je veux, je dois vous prendre ! En une fraction de seconde, je décide : c’est maintenant. Je vous guide jusqu’au sofa qui se trouve à quelques mètres de nous, mes yeux plongés dans les vôtres vous font comprendre qu’il n’est plus possible de faire machine arrière... Vous tentez de vous asseoir, je vous en empêche : ma main droite saisit fermement votre main gauche et vous fait faire un demi tour, puis ma main gauche glisse le long de votre dos pour vous inviter à vous incliner. Vous posez alors vos deux mains sur le sofa, offrant à ma vue votre si tentante cambrure et votre Graal déjà bien humide... Votre caraco est toujours sur votre taille, j’aime vous voir ainsi offerte.

Tandis que vous vous attendez à ce que j’investisse votre citadelle d’un instant à l’autre, je vous surprend en me mettant à genoux derrière vous, en apposant mes mains sur vos fesses, et en introduisant ma langue dans votre antre. Cette surprise induit un mouvement désordonné de votre corps et un gémissement très bref... Je me relève subitement, et je plaque mon gland contre vos grandes lèvres. Je le frotte délicatement sur votre clitoris, sur vos lèvres, le présente à l’entrée de votre vagin, je pousse à peine car je veux savourer ce moment... Je vous sens brûlante de désir, mon gland me permet de mesurer à quel point vous êtes prête à me recevoir. Vous me tutoyez alors pour la première fois :

« — Viens en moi !
— Non chère amie, il vous faudra patienter encore... ».

Je continue à frotter mon gland contre votre sexe inondé de désir... Alors, sans prévenir, vous imprimez à votre fessier un mouvement arrière qui fait subitement entrer mon sexe dans votre antre : quel délice ! Je tente de l’en sortir mais les va-et-vient de votre exquise croupe m’en empêchent. Par moment, je sors complètement de votre soyeux écrin et y rentre subitement, ce qui me donne le plaisir de vous entendre pousser de longs « mmmm ». Je vous tiens alors fermement : mes deux mains sont plaquées sur vos hanches, vous êtes mienne sans possibilité de vous soustraire à mes assauts ! Si je continue ainsi, je vais exploser en vous... Mais le plaisir que me procurent ces mouvements jouissifs et la vue de vos longs cheveux qui serpentent sur votre dos ainsi que de votre caraco qui oscille sur votre taille à chaque coup de reins, m’ôte toute volonté... Je ne veux pourtant pas jouir avant vous, je me l’interdis formellement ! Sentant peser ce risque, vous reprenez l’initiative de façon subite...

PAT

Contre toute attente, alors que j'étais resté jusque là en retrait du déroulé des évènements, je me dirige vers le sofamisol pour rejoindre la Nymphette à présent allongée sur le dos. Lentement, comme pour ne pas affecter l'atmosphère créée, je m'approche de son visage. Restant debout face à elle comme pour la dominer du regard, je déboutonne un à un, avec des gestes très lents, les boutons de ma chemise blanche. Je la fais délicatement glisser au sol. A présent torse nu, ma main droite s'affaire du côté de la ceinture de mon pantalon. J'en dégage son ouverture en abaissant d'un mouvement vif sa fermeture éclair. Afin de me positionner à une hauteur adaptée je décide de m'accroupir.

Le temps semble comme suspendu. Mon intervention inattendue a comme figé les acteurs de ces jeux libertins. Je place alors ma bouche à côté de l'oreille de la Nymphette. Je sais en effet depuis fort longtemps la sensibilité de cet organe à la musicalité de mes mots. Sans rien prononcer, toute en douceur, la pointe de ma langue dessine avec habileté le canal d'écoulement des flots de paroles. Mes lèvres se mettent à jouer en rampant le long de la courbe extérieure cherchant à produire un ou deux frissons. Elles en ont l'habitude. Reculant un peu ma tête je susurre une petite succession de mots à Ma Nymphette, mots qu'Il ne peut pas entendre : "Je vais te demander quelque chose Ma belle coquine !!!"

Dans un élan d'accumulation de gestes rapides, je décide alors de me relever, refermer ma braguette et reculer de trois ou quatre pas pour déclarer à voix haute : "Je crois me souvenir qu'Il apprécie vos pieds ma chère Nymphette. Peut-être pourriez-vous en faire bon usage pour lui faire connaître ces subtils plaisirs que vous maîtrisez à la perfection..."

ELLE

Surprise de cette intervention, je regarde ces deux hommes dévoués à mes charmes, debout devant moi, qui attendent un geste, un mot de ma part. Je m'assoie sur le sofa et retire ce qui me reste de vêtements. Par le regard et un petit signe de la main, j'invite mon complice à m'approcher au plus près, il s'exécute. Je m'installe confortablement, lève mes jambes et commence à lui caresser le torse avec les pieds sans le quitter des yeux. J'adore sentir les reliefs masculins par ce moyen. Au bout de quelques minutes, je cesse mes caresses et approche mon pied droit de la bouche de mon complice. Il s'empare alors délicatement de ce cadeau offert si gracieusement et commence à déposer de petits baisers un peu partout. Les baisers se font de plus en plus pressants, intenses, et bientôt sa langue vient s'insinuer dans tous les recoins à sa disposition, goûtant chaque orteil comme un bonbon, une sucrerie délicieuse.

Je gémis de satisfaction tout en jetant un regard malicieux à mon époux toujours un peu en retrait. Je sais qu'il est friand de ce plaisir et se réjouit de l'offrir à notre complice. J'offre maintenant mon pied gauche à sa bouche gourmande, replie ma jambe droite de façon à laisser voir mon entrejambe. A la vue de mon sexe ouvert et luisant de plaisir, les yeux des deux hommes brillent de tout leur éclat. Offerte dans cette position, la Nymphette est irrésistible et je le sais.

Je décide ensuite de reprendre le contrôle, ramène mes deux jambes contre moi, pose mes pieds de chaque côté du sexe de mon partenaire et commence des mouvements de bas en haut pour le masturber avec une extrême douceur. De temps en temps, je cesse mes mouvements et passe un pied entre les cuisses pour caresser ses bourses. Ces gestes particulièrement érotiques le rendent encore un peu plus fou de désir, son sexe plus tendu que jamais.
L
Ensuite je mets fin à ce petit jeu, je me relève, attrape mon complice par les mains et l'invite à s'asseoir à son tour. Je grimpe sur ses genoux, le chevauche et vient m'empaler sur sa verge gonflée. Je m'active doucement, car je sais que je suis au bord de la jouissance. J'offre mes petits seins à la bouche avide de mon partenaire, qui s'en délecte, passant de l'un à l'autre, alternant entre baisers et coups de langue sur mes pointes dressées.

Mon époux, sans faire de bruit, s'approche de nous et glisse rapidement ses doigts dans ma porte arrière grande ouverte. Le sentant en moi si ferme et décidé à décupler mon plaisir, j'accentue mes mouvements de bassin pour faire monter mon plaisir. Je gémis de plus en plus fort, tandis que les deux hommes halètent bruyamment pour m'exciter. Ce concert joué à mon rythme, me mène progressivement à la jouissance, une explosion intense et durable, qui part de mon vagin, remonte le long de mon buste et finit par un long râle que je ne peux empêcher de sortir de ma gorge, la tête renversée en arrière. Mon complice me tient par les hanches, se réjouissant de ce joli corps crispé par le plaisir, tandis que mon époux me caresse la tête et finit par m'embrasser goulûment lorsque l'orgasme est terminé.

LUI

La jouissance de La Nymphette a conduit l’entrée de son antre à devenir considérablement étroite... J’ai tenu bon et n’ai pas joui avant elle, je peux à présent m’abandonner... Tandis que La Nymphette et son époux s’embrassent fougueusement, je fais mine de vouloir sortir de son écrin à la fois étroit et très glissant... Mon sexe est à l’air libre, mon gland effleure les lèvres de ma jolie partenaire... Elle me regarde, étonnée, et au moment où elle entrouvre la bouche, avant même qu’elle me demande si j’ai également atteint l’extase, je réintroduis mon sexe dans sa citadelle dont l’entrée est à présent bien plus étroite que lors de la première intrusion... La Nymphette pousse un gémissement puis mords ses lèvres... Son époux recommence, de son côté, à faire jouer ses doigts dans la porte dérobée toujours aussi accueillante. L’étroitesse de l’écrin de ma partenaire rend mes va-et-vient extrêmement jouissifs... Je ne pourrais plus tenir bien longtemps ainsi, alors que j’aurais tant voulu que La Nymphette jouisse une seconde fois...

Alors que mon jugement s’embrouille de plus en plus, mon extase commençant à se faire sentir, La Nymphette reprend le contrôle en me demandant de cesser mes mouvements de bassin en vue de satisfaire une autre de ses envies...

ELLE

Je sais très précisément ce dont j'ai envie, un fantasme à réaliser. Je quitte mon partenaire en me relevant doucement. Je lui fais signe de se lever pour que je puisse m'allonger au bord du sofa. Je demande à mon époux de venir à mes côtés, puis dégrafe son pantalon pour accéder à sa verge. Immédiatement, je le prends dans ma bouche, goulûment, manifestant mon plaisir pour exciter notre complice.

J'écarte les cuisses, et sans avoir besoin de mots, il se met à genoux et me pénètre d'un geste vif. Chacun des deux hommes prend un plaisir inouï à mon contact, l'un dans mon vagin, l'autre dans ma bouche. Je les sens proches de la jouissance, à moi de décider lequel partira en premier. Sous les coups de reins de mon partenaire, je n'arrive plus à sucer correctement mon époux. Je le libère de ma bouche pour le masturber intensément tout en le regardant. Il me fixe de son regard perçant, ses pupilles s'élargissent, mon corps est secoué par les va-et-vient de plus en plus rapides, je le sens, il va jouir.

Ses yeux se ferment, il bascule sa tête en arrière, soupire bruyamment, je cesse mes mouvements pour tenir son sexe fermement et diriger son flot vers ma poitrine. Les jets puissants me tapissent de sa liqueur. A cette vision, mon partenaire explose de plaisir, plaquant son sexe au fond de ma grotte, s'agrippant à mes hanches et gémissant à son tour.

Mon regard passe de l'un à l'autre, je me délecte de voir ces deux hommes jouir simultanément grâce à moi. J'en suis émue, fière et heureuse. Le calme revient, je les sens épuisés, leurs corps n'aspirent qu'au repos. Chacun d'eux s'assoit sur le sofa, de chaque côté de moi. J'embrasse l'un puis l'autre, tendrement, avant de fermer les yeux à mon tour, en pensant : "je l'ai fait".
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par gentilvoyeur
#2215674
He bien! J'ai bien fait d'attendre, après avoir lu la première partie... j'aurais eu du mal à patienter entre deux épisodes. L'excitation est montée progressivement au cours de la lecture. J'ai été un peu surpris lors du passage où vous vous êtes sentie à devenir Reine 8-) Moi ça m'aurait beaucoup plu :D et encore plus plu de pouvoir goûter à votre savoir linguistique... :oops:
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par Nymphette
#2215737
gentilvoyeur a écrit :He bien! J'ai bien fait d'attendre, après avoir lu la première partie... j'aurais eu du mal à patienter entre deux épisodes. L'excitation est montée progressivement au cours de la lecture. J'ai été un peu surpris lors du passage où vous vous êtes sentie à devenir Reine 8-) Moi ça m'aurait beaucoup plu :D et encore plus plu de pouvoir goûter à votre savoir linguistique... :oops:

Merci d'avoir lu et commenter.
Oui, la Nymphette a plus d'un tour dans son sac, et pour autant, elle en apprend encore, pas tous les jours, mais presque !
<3
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par PateL
#2215799
@jeanrp
En ce moment, elle risque de parler un peu du "bé" mais bon cela restera compréhensible...
Elle en effet, sponsorisée par RhuMecX... :)
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par Nymphette
#2215815
jeanrp a écrit :J'aimerais entendre la @Nymphette lire son texte à voix haute sur l'estrade, alors que tournant autour d'elle peu à peu nous la dévêtirions la laissant nous charmer de ses mots et de ses charmes dévoilés....

Jeanquirêve :D

gentilvoyeur a écrit :@jeanrp et pourquoi pas d'essayer de la déconcentrer de sa lecture par des effleurements ou de subtiles caresses: à chaque interruption ou erreur de sa part, elle aurait un gage... :roll:

GVpartageurdidée

Ah, voilà des idées qui surgissent, chic !
Le concept me plaît beaucoup, mais je pense que je serais très gênée de lire mes propres textes. En revanche d'autres textes oui (pas spécialement érotiques), j'ai toujours aimé lire à voix haute.
Je crois aussi que je serais gênée d'être uniquement regardée, donc les caresses, oui et re-oui ! Les gages aussi, mais ça, avec le billard, je suis habituée ;)

J'aime beaucoup vos rêves messieurs <3
Surtout, si vous en avez d'autres, ne vous censurez pas 0=)
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par Nymphette
#2215820
jeanrp a écrit :Vous êtes gênée d'être regardée et moins d'être effleurée.... Mais le principe de l'érotisme est justement que votre gêne initiale se transforme en excitation :) Et n'oubliez pas mes crayons ;)

Jeanimpatient

Je ne crois pas fonctionner comme ça, la gêne me bloque (souvenez-vous du début de séance), et si je suis bloquée, il n'y aura pas d'érotisme, pas de Nymphette, juste un corps posé dans un coin. Toute la difficulté consiste à faire disparaitre cette gêne, soit de moi-même, soit par un tiers ... d'où mon assentiment pour les caresses et autres effleurements qui me rassureraient, j'en suis certaine ;)
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par gentilvoyeur
#2215925
Nymphette a écrit :Je ne crois pas fonctionner comme ça, la gêne me bloque (souvenez-vous du début de séance), et si je suis bloquée, il n'y aura pas d'érotisme, pas de Nymphette

Comment ça? Il y aurait déjà eu une séance de dessin et vous nous avez caché cela? :o :D
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par ericanna92
#2215937
Pour vous débloquer chère @Nymphette est-ce que des pulpes de doigts effleurant votre peau et de doux baisers déposés à plusieurs reprises sur votre cou sauraient être utiles ? ;)

Fin de la - très courte - récréation, je retourne à mon dur labeur... Je vous embrasse tendrement chère amie. PateL et les autres garçons devront se contenter d’une virile mais néanmoins cordiale poignée de main !
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par Nymphette
#2215943
PREMIÈRE FOIS -


Respire … concentre-toi sur ton souffle … relâche ton ventre si tendu … respire … voilà ce que je me dis depuis le début du trajet. Cette rencontre, nous la préparons depuis plusieurs semaines. Je l’ai espérée, redoutée, imaginée. Elle a failli être annulée à la dernière minute. Mais cette fois, nous sommes en chemin, réellement.

Une foule d’émotions contradictoires m’assaillent. Intriguée de la façon dont les choses vont se dérouler, inquiète de ne pas plaire, effrayée à l’idée de ne pas pouvoir parler, curieuse de découvrir celui avec lequel j’ai échangé des mots tendres et érotiques, impatiente de connaître de nouvelles sensations. Tout en respirant doucement, en rythme, je fais le tri entre toutes ces émotions pour les accepter, les vivre et les laisser repartir.

Puis, je décide de quitter cet univers intérieur pour me brancher sur l’instant, sur la finalité : partager un moment de plaisir charnel avec mon époux et un autre homme, pour la première fois. Dès lors, je m’interdis toute introspection pour me concentrer uniquement sur mes sensations. Mon homme m’embrasse, m’enlace, me caresse durant le voyage. Il est serein pour deux, tout à son rôle d’époux qui va partager sa délicieuse femme. Tout se passera bien, selon les désirs de chacun.

Arrivés sur place, la panique reprend le dessus. Je cumule les erreurs sur le plan, l'adresse … nous cherchons, montons, descendons … pour finir par appeler notre complice au secours. Nous finissons par trouver. Je hâte le pas dans l'escalier pour me trouver face à lui, enfin. Je bredouille une phrase en forme de reproche tout en essayant de sourire, trahissant ma gêne, ma timidité. Mon époux est bien plus aise.

Notre complice nous reçoit dans un grand local baigné de la lumière d'août. Une brise légère rend la chaleur supportable. J’aime tout de suite ce lieu si vide, si étrange, si grand, si lumineux. Je m’y sens toute petite et protégée.

Impossible pour moi de soutenir son regard, je fais tout pour l’éviter. Je demande à ôter mes chaussures pour me donner une impression d'intimité mais une sensation étrange me tenaille. Je marche, pieds nus dans cette grande pièce vide, sentant deux hommes m'observer, un qui m’aime depuis toujours, l'autre qui me découvre pour la première fois. Ils discutent entre eux, avec aisance. Moi, je ne peux pas parler tant ma gorge est nouée. Je ne pense qu'à ce moment terrible où il me faudra me dénuder.

Il y a très peu de meubles : une chaise que je devine destinée à notre hôte, un tabouret, une table basse et un matelas dans un coin. Le tabouret ne m’inspire pas, le matelas encore moins. Je finis par prendre place sur la table basse, en cherchant une position qui me convienne. J’ai l’habitude de poser pour mon époux, mais dans des fauteuils la plupart du temps. Ma créativité s’envole, le cœur battant, je me mets en place du mieux que je peux, sans souplesse et avec ma robe. La séance peut commencer.

Le cadre avait été posé quelques semaines auparavant. Notre complice, tombé sous le charme de nos photos, souhaitait me rencontrer depuis longtemps. Il a patienté, espérant que j’accède un jour à sa demande. Nos premiers échanges furent timides, puis je me suis enhardie, me libérant peu à peu de mes craintes, à l’écrit tout du moins.

Il était question de faire connaissance autour d'un verre, de poser pour une séance de dessin, et d'entamer une relation candauliste si les bonnes conditions étaient réunies. Je me sentais très inexpérimentée dans tous ces domaines : moi qui ai plus l'habitude de dessiner que d'être un modèle, qui ne sais pas faire la conversation surtout à de parfaits inconnus, qui n’ai jamais connu aucun autre homme que mon époux. Pour toutes ces raisons, le contexte de cette première rencontre ne me semblait pas approprié. Nous en avions beaucoup discuté avec mon époux, il a su me convaincre que notre complice serait la personne idéale pour une première fois justement, lui faisant entièrement confiance sur ses intentions et sa capacité à créer un climat favorable. J’ai accepté, malgré le sentiment d’étrangeté que m’inspirait la situation.

A cet instant, une seule pensée m’obsède : oserai-je me déshabiller ? Mon époux, pour me mettre à l’aise, enlève sa chemise. L’ambiance me semble surréaliste : je suis posée sur une table basse, mon cœur battant à toute force; mon époux est installé non loin de moi, torse nu ; un homme assis me dessine, l’air très concentré ; le tout dans une discrète ambiance musicale. Il faut que je me déshabille, je ne sais pas comment, je ne sais pas quand, mais je dois oser le faire.

La première pose se termine, les hommes commentent le dessin, mais je ne les écoute pas. Je ne réfléchis plus, je décide d'agir. Je m'assois en leur tournant le dos, je prends une très grande respiration et j'enlève ma robe d'un seul geste. Ils ne m'ont pas vu tout de suite, mais j'entends quelques remarques. Après un petit moment d'hésitation, j'enlève aussi ma culotte que je trouve incongru de conserver. Je suis soulagée, j'ai franchi une étape, je suis fière de moi. Je peux maintenant me consacrer aux poses.

Pour la seconde, je reste de dos, c'est plus naturel pour moi. Je me détends, je retrouve des sensations connues lors de mes poses avec mon époux. Je m'efforce d'exprimer quelque chose, dans une ambiance plus relâchée. Notre complice semble satisfait de ce deuxième dessin.

Pour la troisième pose, je reste de dos mais je tourne légèrement le buste pour dévoiler un sein, je sais qu'il le verra. C'est plus facile pour moi d'y aller progressivement. Je me concentre sur ma posture que je veux plus esthétique que les précédentes. Mon époux vient m'embrasser et me caresser la poitrine de temps en temps, comme pour me rappeler la raison pour laquelle nous sommes là. Il est vrai que je me suis installée dans mon rôle de modèle, que j'y suis bien et que je redoute d'en sortir.

La pose suivante, je brave mes craintes. Je m'installe de face, dans une pose plus complexe, laissant ainsi voir ma poitrine menue et ma toison, n'en ressentant aucune gêne. Ma posture est fatigante, je me concentre mais entends tout de même les discussions entre les deux hommes, chargées de sous-entendus complices. Je réfléchis à une cinquième pose, plus originale, je me sens bien, cette expérience me plaît. Mon époux s'approche de moi, m'embrasse très amoureusement en me caressant les seins. Je sens que c'est le moment de passer à autre chose mais je refuse de réfléchir, je me laisse porter par ce plaisir que je connais bien. Quand soudain ...

Je sens une main très douce se poser sur ma jambe, un effleurement délicat et attentionné, très subtil. Je n'ose pas bouger, pas regarder, je porte mon attention sur cette sensation qui remonte le long de ma jambe pour arriver à mes hanches et mes fesses. C'est doux, chaud, si tendre ... et terriblement érotique. Ses doigts viennent s'aventurer entre mes cuisses, toujours avec beaucoup de subtilité et de précaution. Je prends alors conscience que je suis câlinée par deux hommes et cela me transporte dans une bulle de plaisir intense, emportée par des sensations multiples sur son corps. Ces mains qui s'affairent, ces langues qui me goûtent, décuplent le plaisir et ne forment qu'un tout. La tension s'est envolée, tout ce qu'il se passe me semble normal, je ne suis que dans l'instant, accueillant avec ravissement chaque sensation.

Ce moment dure une éternité, j'ai perdu le sens du temps qui passe. Pour me soulager de la rudesse de la table basse, mon époux propose d'aller s'installer sur le matelas disposé dans un coin de la pièce. Sans savoir comment, je me retrouve debout, nue dans la chaleur de fin août, entre ces deux hommes qui me caressent simultanément. C'est une avalanche de caresses, de baisers, de doigts qui me fouillent, qui jouent avec la pointe de mes seins, de soupirs et de mots susurrés. Je ne distingue plus qui fait quoi et où, perdant tous mes repères. Le plaisir est intense, presque palpable. Les vagues de frissons se succèdent sans répit, ne me laissant qu'à peine le temps de reprendre mon souffle. Un instant, je me trouve adossée à mon complice et sens son sexe dur contre mes reins. Je réussis à murmurer "j'ai l'impression que je conviens" et pense immédiatement que ma remarque est idiote. J'ose passer mes mains dans ses cheveux alors qu'il est à genoux en train de goûter mon sexe dégoulinant.

Ce long moment érotique semblait ne jamais devoir finir, mais à force de plaisir, mes jambes ne me portent plus, j'ai besoin de m'allonger. Je reprends momentanément mes esprits et prends conscience que je désire ardemment être pénétrée. Cette envie irrésistible, je la connais bien, mais je me sens incapable de l'exprimer. Mon époux pense que beaucoup d'étapes ont déjà été franchies et qu'il serait peut-être temps de rentrer chez nous. "Mais moi ce n'est pas de ça dont j'ai envie" dis-je dans un murmure fébrile. Surpris, il s'assure que tout le monde est d'accord pour continuer.

Allongée sur le matelas, j'attends, ouverte mais anxieuse, les yeux fermés. Je considère ce moment comme un dépucelage, n'ayant jamais connu aucun autre homme en dehors de mon époux. Mon complice me pénètre avec douceur, ses mouvements sont très doux mais je suis décontenancée par sa morphologie, plus large que mon homme. Mais rapidement, nos sexes s'unissent dans un même mouvement et je découvre de nouvelles sensations. Trop peut-être, car je ne trouve pas le courage d'enlacer cet homme dont je ne connais ni le sexe, ni la peau, ni les formes. Je me rends compte que j'ai perdu le contact avec mon époux lorsqu'il vient me lécher les pieds alors que j'ai les jambes relevées. Instant curieux mais si plaisant, fantasmé depuis si longtemps.

L'installation du matelas à même le sol ne facilite pas la détente, occasionnant quelques instants de franche rigolade. Ayant toujours autant envie d'être prise et mais aussi de faire jouir mon partenaire, je décide de me mettre à genoux et de lui offrir ma croupe. Cette position, je l'adore, je la maîtrise, je sais ce qu'elle peut apporter comme plaisir charnel mais aussi comme satisfaction visuelle. Je me présente à lui sans avoir à soutenir un regard qui m'intimide toujours. Seul ses râles me guideront.

Il me pénètre de nouveau, plus facilement cette fois. Je sens alors son envie, sa fougue, ses mains sur mes hanches. Notre étreinte est maintenant plus dense, plus profonde, plus animale aussi. Mon époux, face à moi, m'embrasse par moment. Je voudrais qu'il soit plus actif, mais je suis trop débordée par mes émotions pour demander quoi que ce soit. Je me donne, entièrement, sans complexe. Il se plaque sur mon dos, humant mes longs cheveux, caressant avec gourmandise mon petit ventre maternel, prenant visiblement beaucoup de plaisir. Un tourbillon de sensations intenses m'enveloppe, je voudrais que cela ne s'arrête jamais.

Mais le temps passe, la dureté du sol met nos genoux à rude épreuve, il faut s'arrêter. Le tourbillon se calme, je me relève, je me sens si bien, entourée de tout ce désir, nue, libre, souriante, c'est comme une naissance, une libération. J'ai la possibilité de prendre une douche, je reprends contact avec la réalité. Ma nudité ne me gêne pas, au contraire.

Je n'ai pas envie de me rhabiller, pas tout de suite. Alors je prends mon temps. J'ajuste mon porte-jarretelles et j'enfile gracieusement mes bas roses, inaugurés pour l'occasion, je souris, ressentant un sentiment de bonheur parfait à être sous le regard coquin de ces deux hommes.

Je n'ai pas envie de partir, pas encore. Alors j'accepte de prendre un verre, ce qui me donne l'occasion de regarder les dessins. Je suis troublée, n'ayant pas l'habitude de me voir, mais je crois me reconnaître par endroit, une courbe, une posture. Nous discutons un peu, presque comme si rien ne s'était passé, c'est étrange. Je reviens peu à peu à mon statut d'épouse.

Au moment de partir, je prends congé en embrassant poliment mon complice, je fais un pas vers la porte puis brusquement, je me retourne et l'embrasse fougueusement, surmontant mon appréhension. Le besoin de sentir sa bouche était si fort ... qu'il en est surpris mais il se laisse faire. "Je reviendrai" lui dis-je dans un dernier regard.
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par Nymphette
#2216108
ericanna92 a écrit :Pour vous débloquer chère @Nymphette est-ce que des pulpes de doigts effleurant votre peau et de doux baisers déposés à plusieurs reprises sur votre cou sauraient être utiles ? ;)

Fin de la - très courte - récréation, je retourne à mon dur labeur... Je vous embrasse tendrement chère amie. PateL et les autres garçons devront se contenter d’une virile mais néanmoins cordiale poignée de main !

Comment résister ...

Vos propositions ont mis en marche la fabrique à histoires :D Je suis très inspirée par cette idée de lecture "en public" ...
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par ericanna92
#2216148
Merci chère @Nymphette pour ce délicieux récit - compte rendu devrais-je dire !

Il m’a excité à double titre, vous savez pourquoi, je n’ai pas besoin de développer...

Je me demande bien qui est ce chanceux dessinateur... ;) :)

À bientôt, lorsque je serai enfin libéré de mes obligations...
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par Nymphette
#2216149
ericanna92 a écrit :Merci chère @Nymphette pour ce délicieux récit - compte rendu devrais-je dire !

Il m’a excité à double titre, vous savez pourquoi, je n’ai pas besoin de développer...

Je me demande bien qui est ce chanceux dessinateur... ;) :)

À bientôt, lorsque je serai enfin libéré de mes obligations...

Merci, bon courage <3
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par croclavie82
#2216160
Je crois bien que tout le monde (ou presque) aura reconnu le chanceux dessinateur...

Vous avez raison chère @nymphette, ce récit est certainement le plus intense de tous ceux que vous nous avez donné à lire. Intensité de cette rencontre si bien retranscrite par vos mots, pour partager avec nous vos premiers instants de partage candauliste.
Merci, ce fut pour moi un très agréable dimanche matin, peu après le réveil et le café, dans ces instants ou la journée n'a pas encore vraiment commencé, et ou l'on peut encore s'imaginer vivre un rêve.
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par Nymphette
#2216168
croclavie82 a écrit :Je crois bien que tout le monde (ou presque) aura reconnu le chanceux dessinateur...

Vous avez raison chère @nymphette, ce récit est certainement le plus intense de tous ceux que vous nous avez donné à lire. Intensité de cette rencontre si bien retranscrite par vos mots, pour partager avec nous vos premiers instants de partage candauliste.
Merci, ce fut pour moi un très agréable dimanche matin, peu après le réveil et le café, dans ces instants ou la journée n'a pas encore vraiment commencé, et ou l'on peut encore s'imaginer vivre un rêve.

Merci.
Oui, ce texte est différent et j'ai eu du mal à l'écrire, beaucoup de travail, des relecteurs patients et avisés aussi ;)
Vous savez, quand je le relis, j'ai moi aussi l'impression d'un rêve tant tout ceci fut l'objet de craintes, d'angoisses pour se transformer en plaisir si intense. Je me demande même si j'ai fini de réaliser :)
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par croclavie82
#2216173
Nymphette a écrit :Je me demande même si j'ai fini de réaliser :)
Tout comme ma douce Miss qui souvent, lorsque je lui rappelle le lendemain matin ce qu'elle a fait la veille, elle me regarde et me dit "j'ai fait ça moi ?".
Tout est histoire de lâcher prise, et nul doute que lorsque vous aurez réussi, chère @Nymphette , à faire abstraction de toutes vos craintes, en ne laissant place qu'aux plaisir du moment, vous vivrez des moments d'une rare intensité qui raviront sans aucun doute votre @PateL adoré.
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par Nymphette
#2216244
croclavie82 a écrit :
Nymphette a écrit :Je me demande même si j'ai fini de réaliser :)
Tout comme ma douce Miss qui souvent, lorsque je lui rappelle le lendemain matin ce qu'elle a fait la veille, elle me regarde et me dit "j'ai fait ça moi ?".
Tout est histoire de lâcher prise, et nul doute que lorsque vous aurez réussi, chère @Nymphette , à faire abstraction de toutes vos craintes, en ne laissant place qu'aux plaisir du moment, vous vivrez des moments d'une rare intensité qui raviront sans aucun doute votre @PateL adoré.

Oui, je n'en suis qu'au tout tout début. Je me réjouis d'avance de tout ce que je vais découvrir.
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par Nymphette
#2216447
agico a écrit :@Nymphette , merci pour ce délicieux récit.

tigerbuffalo2001 a écrit :un texte qui emporte loin encore. quel sens du récit.

Merci à vous deux.
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par jeanrp
#2216625
Superbe texte, subtilement introspectif, élégant en même temps que fort impudique... Il y a tout, la lumière d'août, la chaleur, la @Nymphette pétrifiée, comme un marbre blanc trônant au milieu de l'atelier, puis ce moment des poses, sensuelles, mouvantes peu à peu, ces caresses si profondes et si lointaines en même temps, les regards et les effleurements de votre complicité... et surtout la promesse de revenir 8-)

Jeanquivientdevoirquilmanqueunpiedquiestpourtantfortjoli
viewtopic.php?p=2196783#p2196783
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par coupluni
#2216671
@Nymphette Je suis rarement resté scotché à ce point à un récit lu sur ce forum... Que dire.... On a l'impression d'y être, assis dans un coin de la pièce, totalement invisible mais pouvant parfaitement contempler ce doux spectacle. C'est excellemment bien écrit, on ressent la tension, la crainte, le dépassement de soi puis le fameux "lâcher-prise" qui permet de faire tant de choses... Bravo à vous et surtout merci d'avoir eu le courage de nous partager ce moment si intime. Le début me fait terriblement penser à ce que me dit ma douce lorsqu'elle pense à jouer les modèles pour ce si agréable dessinateur.
Encore bravo!
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par Nymphette
#2216851
dede58 a écrit :superbe récit, qui permet une immersion totale dans l'histoire vécue grâce à toutes ces précisions
merci

Merci pour votre commentaire.
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