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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Nymphette
#2279150
CoDeAgico a écrit :@Nymphette Joli récit d'un bel après-midi complice.
Merci pour cette histoire pleine de douceur et sensations <3

Merci. C'est un joli souvenir maintenant, même si nous avons revu le complice en question ... le récit de cette seconde rencontre viendra plus tard, je suis encore dans ma bulle de plaisir 0=)
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par Nymphette
#2280678
Après Un jour en mars, voici Un jour en avril ... sous forme de fragments de plaisir, avec le même complice.

FRAGMENTS DE PLAISIR

Lorsque je suis descendue dans les toilettes de ce café parisien pour changer mes bas, je savais que cela te ferait plaisir, même si l'idée avait été insufflée par Pat. J'ignorais ton goût pour les bas résille, cela faisait longtemps que je n'en avais pas portés, mais je n'ai pas hésité, je me suis absentée quelques minutes pour remplacer mes bas par ceux-là.
Seule, dans la pièce minuscule, j'ai pris le temps de les ajuster. Mais j'ai surtout pris le temps de rentrer dans ma bulle candauliste, de basculer dans cet état si particulier qui procure un plaisir intense et durable. Dans quelques minutes, nous serons enlacés, nus ou presque, pris dans un tourbillon de sensations. J'ai hâte, je savoure ce moment de seuil, lorsqu'on s'apprête à rentrer dans une pièce, à faire un geste, à prononcer une parole, et où l'on sait que cela va changer le cours des choses.
J'ai emprunté l'escalier étroit pour remonter à la surface du café, j'ai traversé la salle en déambulant entre les tables, je me sentais regardée, je me sentais attirante, avec ma robe bleu roy, mes bas résille et mes escarpins rouge. Pat avait vu juste (comme toujours), ces éléments s'harmonisent à la perfection, je m'y sens bien dedans.
Je suis prête, nous pouvons partir pour l'hôtel.

***

Seule dans la chambre, je vous attends tous les deux. J'observe les lieux, je m'y sens bien, le soleil inonde la pièce. La fenêtre donne sur la rue, je peux voir dans les appartements d'en face. Un homme assis dans un fauteuil, les jambes allongées, discute nonchalamment au téléphone. S'il savait ce qui se trame à quelques mètres de lui. L'idée me fait sourire.
C'est là que je veux que tu me découvres : allongée sur le lit, les pieds posées sur ce petit pouf en velours, baignée par le soleil d'avril. Tu n'auras qu'à t'approcher, soulever un peu ma robe pour dévoiler mes jambes, mon sexe nu, caresser mes pieds, je suis à toi pour quelques heures.

***

Te voilà devant moi comme je l'avais souhaité. Je sens ton empressement à retrouver mon corps. Très vite, tu soulèves ma robe, tu contemples mes jambes offertes, tu les caresses et tu remontes rapidement vers mon sexe qui n'attend que tes baisers.
Pat me caresse les seins, toi tu me lèches déjà les lèvres d'en-bas, je ferme les yeux, je sens le soleil me chauffer, j'aime cette lumière que j'associe au plaisir charnel.
Tu enlèves mes escarpins pour goûter à mes pieds, j'entends vaguement vos compliments à tous les deux, mais je suis déjà dans ma bulle, vos voix sont feutrées, vos paroles n'ont que peu de sens, seuls vos gestes me parlent.
Tu es à genoux, mes jambes passent autour de ton cou, de ton torse, ta bouche ne quitte plus mon jardin secret. Te retrouver est si doux, si bon. Tu te régales, je suis heureuse de te nourrir ainsi. Le soleil me chauffe toujours, je pourrais rester ainsi des heures.

***

Ma robe a disparu, je ne me souviens pas qui l'a ôtée, vous deux peut-être ... Pat continue de s'occuper de mes seins, tendre torture, il sait y faire.
Je perds le fil de vos caresses, je réalise qu'à un moment, vous vous occupez de mes pieds tous les deux, c'est ravissant de se sentir autant désirée et adulée.

***

Mes envies commencent à remonter à la surface. Envie de retrouver ton sexe dans ma bouche, mais autrement que la fois précédente. Tu es nu, je ne t'ai pas vu te déshabiller. C'est trop tentant. Je m'assois au bord du lit, tu es debout devant moi, offert, confiant. Alors j'avale ton gland et je sens ta surprise et l'intensité du plaisir que je te procure. Oui, c'est différent de la fois précédente. Je t'avais apprivoisé, maintenant, je veux te guider. Ma langue se fait tantôt douce, tantôt pressante. Mes mains te caressent les cuisses, effleurent tes fesses ou tes bourses. Tes râles me font plaisir, je mouille abondamment.
Je sais ce que je cherche : ouvrir tes sens, amplifier ton plaisir à venir. Je m'y applique.

***

Pat te donne quelques conseils pour jouer avec ta verge. J'aime qu'on la frotte sur mes seins alors tu t'y emploies. Tu es le premier homme en dehors de mon époux à faire ce geste. Je suis troublée, mais je me concentre sur mon plaisir.
Ton sexe est si près de moi, je ne résiste pas à l'envie de le reprendre en bouche alors que je suis allongée et toi à genou. J'aime cette position. Je goûte encore et encore ton parfum intime et je poursuis ta préparation au plaisir.
Tu changes de position, je ne comprends pas tout de suite ce que tu cherches. Quand je comprends, j'en suis très surprise. C'est une position que j'ai expérimentée récemment avec mon époux, c'est nouveau pour moi. Tu me chevauches, ton sexe au niveau de ma bouche. Je ne peux pas bouger, juste ouvrir la bouche et t'avaler. Ce n'est pas ma position préférée pour la fellation, j'ai trop peu de liberté, mais j'apprécie le côté très inconvenant. Tu aimes, j'aime, nous aimons, c'est bon.

***

Tes paroles directives me surprennent. Voilà que tu exprimes tes envies, et ça me plaît. Ton désir me transcende, tu veux me prendre en levrette. Je n'ai pas l'habitude de recevoir des "ordres", le mot est fort, mais Pat me demande rarement de faire telle ou telle chose. Quand cela arrive, j'en suis à la fois choquée mais délicieusement excitée. Je m'exécute, mais en moi-même, je pense "tu l'auras voulu". Je te tourne le dos, tu ne peux pas voir mon petit sourire malicieux.
Tu as réclamé, mais tu ne sais pas forcément ce qui t'attend. Moi, je sais ce dont je suis capable, dans cette position. A quatre pattes, toi à genou derrière moi, je viens m'empaler sur ton sexe tendu, d'une seule traite. Tu ne peux retenir un cri de surprise et de plaisir. Quelle satisfaction pour moi, car je sais que c'est intensément bon. Tu vas découvrir la Nymphette très coquine et un peu experte, tu ne l'as pas encore beaucoup vu à l'oeuvre.
C'est moi qui mène le bal, imprime le rythme, remonte et redescend le long de ta verge. J'entends toujours ta surprise et ton plaisir s'exprimer. Pat n'est pas surpris lui, et je crois qu'il s'amuse de voir l'effet sur toi. Je continue mes va-et-vient, changeant quelque fois l'angle pour modifier tes sensations, les miennes. Je glisse une main entre mes cuisses pour me caresser, mais c'est peu pratique, j'ai tendance à t'éjecter tant je suis humide.
Toi seul trouve la clef, tu es trop haut par rapport à mon bassin, tu descends du lit et c'est debout que tu viens de nouveau en moi. La hauteur, l'inclinaison, tout est parfait. Tu t'agrippes à mes hanches, et cette fois, c'est toi qui mène la danse de nos corps. Ton rythme est rapide, je suis emportée par ta fougue, je ne cherche pas à y résister. Je sais que je t'ai préparé au plaisir, je sens que tu vas jouir, je te sens monter petit à petit, j'entends tes paroles de plus en plus rapides, de plus en plus fortes.
Soudain tu exploses en moi, c'est intense. Je ne bouge plus, je t'accueille, j'accueille ta jouissance, je ne réalise même pas que c'est la première fois qu'un homme jouit en moi, en dehors de Pat. Je n'en prendrai conscience qu'un peu plus tard.

***

Debout, tu es radieux, émerveillé, fier de me montrer le préservatif remplit de ta semence. J'en suis émue, bouleversée, excitée. J'ai envie d'y goûter.
Toujours allongée, toi toujours debout, je m'approche de ton sexe et je commence à le lécher consciencieusement, récupérant les restes de ta liqueur. Elle est douce, légèrement sucrée, je m'en délecte. Je te surprends une fois de plus, j'imagine, à tes gémissements, que tu n'as jamais connu ces sensations. Je fais doucement car je sais le sexe de l'homme sensible après la jouissance, je ne veux pas que mes baisers te fassent mal.

***

Tu es maintenant allongé sur le lit, goûtant un peu de repos après cette jouissance intense. Pat est allongé aussi. Vous m'observez tous les deux. Moi, je suis toujours aussi excitée, ce n'est que le début des réjouissances.
Je m'allonge tête bêche, j'écarte les cuisses et je commence à me caresser. Je vous offre ce petit spectacle impudique, sans aucune gêne. Parfois, vos doigts rejoignent les miens. Plaisir à trois, je ne sais plus qui fait quoi, je m'abandonne.
Je n'ai pas atteint le plaisir ultime, mais je ne suis pas passée loin. Il aurait fallu que je me coupe momentanément de vous pour rentrer en moi, mais je ne le souhaitais pas vraiment, j'avais besoin de rester présente.

***

De nouveau, tu exprimes ton envie, tel un enfant. Ton envie de sodomie. C'est nouveau pour toi, tu l'as découvert il y a un mois à peine, et voilà que tu en redemandes. Je suis flattée de t'avoir fait découvrir ce plaisir qu'on dit interdit.
Il nous reste peu de temps, mais je ne résiste pas à ton envie, j'aime tellement ça aussi. A quatre pattes de nouveau, je te fais entrer en moi rapidement, je suis si ouverte. Tu t'installes en moi, avec aisance, et tu commences tes va-et-vient. Je glousse, je gémis, je m'abandonne. Tu tentes de varier la position en plaçant ton bassin au dessus du mien, prenant appui sur un pied. Cette position est particulièrement cochonne, et irrésistible pour moi. L'as-tu trouvée spontanément ? Ou bien a-t-elle été suggérée par Pat ? Je m'interroge mais peu importe, je suis emportée par les sensations intenses et les frissons violents. Mais tes muscles te trahissent, la position est fatigante pour toi. J'éclate de rire en me redressant. Je t'ai vaincu. Je me blottis tendrement contre toi, ravie de ma petite victoire, car la fois précédente, c'était mes muscles qui m'avaient trahie.

***

La douche est un passage obligé, presque un rituel pour nous. Cette fois, nous avons de la place, et nos envies ne sont pas éteintes, bien au contraire. La détente de l'eau chaude nous redonne de l'énergie. Derrière moi, tu me caresses le dos, les seins, mais bien vite, tes mains descendent entre mes cuisses et tes doigts viennent me fouiller.
Tu fais doucement, mais soudain tu accélères. Je te vois venir, tu as envie de jouer, d'expérimenter. Allons-y alors, j'ignore moi-même si cela est possible. J'écarte un peu les jambes, je penche un peu mon buste et je m'abandonne à ton désir. Tes doigts jouent de plus en plus vite, je sens la vague arriver. Oui, c'est possible autrement qu'avec Pat.
Le liquide s'écoule de mon corps et tu ris, spontanément, surpris alors que c'est ce que tu attendais, comme un enfant qui ouvre un cadeau qu'il attend depuis longtemps. Ta joie de vivre me fait fondre, en même temps que le plaisir s'écoule entre mes cuisses.
Ravie de ta découverte, tu recommences ... nouvelle expérimentation ? Les mêmes causes produisant les mêmes effets, tu fais de nouveau couler le plaisir entre mes jambes, et de nouveau, tu en es ravi et surpris.
Combien de fois as-tu recommencé ? Je ne sais pas. Mais c'était si bon.

***

Face à face, sous l'eau chaude, nos corps sont tendus. Je m'appuie sur le mur du fond, mon buste en extension, mon bassin ouvert à tes doigts qui me fouillent. Toi légèrement penché vers l'avant, dans une posture de fougue et d'énergie, tu te masturbes, rapidement, et tu m'informes que tu vas jouir. Je ne m'y attendais pas ... te faire jouir une seconde fois dans l'après-midi, je me sens honorée, fière, heureuse.
Tu m'arroses le ventre, le sexe de ta semence, et pour la première fois, j'ose regarder. Je vois ton sexe expulser ta liqueur, ta main crispée, ta jouissance est maintenant associée à des images dans mon souvenir.

***

Depuis la première fois où j'ai connu un autre homme en présence de Pat, j'ai pris plaisir, après les ébats, à me montrer nue aux hommes qui venaient de me câliner. Moi qui suis si pudique, si facilement gênée, cet état d'aisance et de plaisir à m'exhiber me surprend à chaque fois. La première fois, je l'ai découvert, et subi. Désormais, j'anticipe et je prends plaisir à organiser ce moment.
Je prends le temps de huiler mon corps, de le parfumer. Je me rhabille sans empressement, enfilant lentement mes bas, prenant soin de les ajuster convenablement, sous vos yeux à tous les deux. Je vois que vous y prenez plaisir et cela me comble.
Je pourrais remettre ma robe avant de finir de me préparer, mais je choisis de rester en porte-jarretelles pour me recoiffer. Je pousse le vice jusqu'à remettre mes escarpins vernis. Et ta remarque me fait fondre ... je suis irrésistible, c'est exactement ce que je voulais provoquer comme réaction.
Je pourrais rester ainsi très longtemps, déambulant à demi-nue devant vos yeux désireux et protecteurs. J'ai encore envie de faire l'amour, je suis pleine d'énergie, de vitalité. J'enfile tout de même ma robe, tu veux la boutonner toi-même, mais je t'en empêche. Une dernière fois, je prends tes mains, je les glisse sur mon corps pour sentir tes caresses et je viens me blottir contre toi, et t'embrasser.
Moment de douceur, d'érotisme, de plaisir que je voulais t'offrir.

***

Au café, mes envies ne sont pas éteintes. J'offre un pied à Pat sous la table. Toi, tu es à côté de moi. Je sais ce que je peux t'offrir, mais je ne veux pas te brusquer.
Je prends ta main, je soulève discrètement ma robe ample, et je la glisse dessous. Je n'ai pas remis de culotte (ce n'était pas prémédité), tes doigts peuvent venir caresser mon sexe comme tu le souhaites.
Je te vois surpris, ébahi, tu n'imaginais sans doute pas que ce soit possible. J'ai crains de t'avoir bousculé, je m'en excuse, mais tu me confirmes que tu veux bien continuer. Je pose ma main sur ta cuisse, je n'irais pas au-delà, je ne veux pas te mettre mal à l'aise.
Ces derniers instants de contact physique sont doux, tout comme notre baiser pour nous dire au-revoir.
Je crois que je t'ai dit à bientôt, car c'est bien ce que je souhaite.
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par PateL
#2280766
@Nymphette
Je découvre ce texte ici car je ne l'avais volontairement pas lu jusqu'à présent. Je m'étais seulement "contenter" de la lecture de la partie "adverse"...
Je dois dire que j'aime beaucoup cette forme fragmentaire du récit car il permet de mêler à la fois la "subjectivité" de ton point de vue (par comparaison au mien) tout en me permettant de reconstituer une vue "intégrale" de la scène en glissant dans les interstices laissés vacants, les éléments manquants que j'y ai vécu...
Par delà cet aspect des choses, j'apprécie cette forme car elle constitue pour moi un mode de représentation du réel découpé sous la forme de plans quasi cinématographiques avec lequel j'ai des "affinités"...
Je déplore juste l'absence de certaines scènes (que je vis comme des plans coupés au montage) comme par exemple l'échange de cadeaux au café non pas tant parce qu'ils se sont réellement passés alors même que tu n'y fais pas mention (objectif d'exhaustivité) mais parce qu'elle contenait une intensité émotionnelle d'une nature différente du jeu de complicité entre nous tous. Mais peut-être as-tu jugé ces éléments trop personnels ? La scène à l'arrivée de l'hôtel également avec l'imprévu de la chambre et les 2 jeunes hommes (hum hum...) "rencontrés" dans l'ascenseur...
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par durandale
#2280872
@Nymphette
"... C'est là que je veux que tu me découvres : allongée sur le lit, les pieds posées sur ce petit pouf en velours, baignée par le soleil d'avril. Tu n'auras qu'à t'approcher, soulever un peu ma robe pour dévoiler mes jambes, mon sexe nu, caresser mes pieds, je suis à toi pour quelques heures.
..."

Porteras-tu le collier de perles ?
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par Nymphette
#2280889
durandale a écrit :@Nymphette
"... C'est là que je veux que tu me découvres : allongée sur le lit, les pieds posées sur ce petit pouf en velours, baignée par le soleil d'avril. Tu n'auras qu'à t'approcher, soulever un peu ma robe pour dévoiler mes jambes, mon sexe nu, caresser mes pieds, je suis à toi pour quelques heures.
..."

Porteras-tu le collier de perles ?

Non, je ne portais pas ce collier ce jour-là, mais je le portais lors d'une autre rencontre avec un autre complice :
Je n'ai plus que mon porte-jarretelles sur moi, aussi je décide de l'enlever, pour me retrouver cette fois entièrement nue, en toute simplicité. Je n'ai gardé que mon collier de perle
C'était ici : http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=2277106#p2277106
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par Nymphette
#2280955
PateL a écrit :@Nymphette
Je découvre ce texte ici car je ne l'avais volontairement pas lu jusqu'à présent. Je m'étais seulement "contenter" de la lecture de la partie "adverse"...
Je dois dire que j'aime beaucoup cette forme fragmentaire du récit car il permet de mêler à la fois la "subjectivité" de ton point de vue (par comparaison au mien) tout en me permettant de reconstituer une vue "intégrale" de la scène en glissant dans les interstices laissés vacants, les éléments manquants que j'y ai vécu...
Par delà cet aspect des choses, j'apprécie cette forme car elle constitue pour moi un mode de représentation du réel découpé sous la forme de plans quasi cinématographiques avec lequel j'ai des "affinités"...

Comme toujours, nous partons de points opposés pour nous rejoindre au même endroit :D

PateL a écrit :Je déplore juste l'absence de certaines scènes (que je vis comme des plans coupés au montage) comme par exemple l'échange de cadeaux au café non pas tant parce qu'ils se sont réellement passés alors même que tu n'y fais pas mention (objectif d'exhaustivité) mais parce qu'elle contenait une intensité émotionnelle d'une nature différente du jeu de complicité entre nous tous. Mais peut-être as-tu jugé ces éléments trop personnels ?

En effet, je juge cette scène (ainsi que d'autres) trop personnelle. Je pense même que ces récits deviennent au fil du temps trop personnels pour être diffusés ... je me suis beaucoup interrogée pour celui-ci, je pense que pour les suivants, je ne me poserai pas la question, ça restera dans la sphère privée.


PateL a écrit :La scène à l'arrivée de l'hôtel également avec l'imprévu de la chambre et les 2 jeunes hommes (hum hum...) "rencontrés" dans l'ascenseur...

Celle-ci, je l'ai exclue pour deux raisons. 1° Elle ne concernait pas directement mon complice, or mon texte s'adresse à lui, donc ça ne collait pas avec le reste. 2° J'ai bien senti un "malaise" dans l'ascenseur, mais je n'ai pas su l'interpréter, ni sur le coup, ni après coup. :(
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par durandale
#2281030
"...scènes trop personnelles..." jusqu'à "...exclue pour deux raisons..." : le récit serait totalement rempli de tendresse et de "pudeur" ( ? ... c'est le mot qui me vient ) ... puis on trébuche sur le "malaise dans l'ascenseur..." dans cette tentative d'explication.

Le récit, même parcellaire, est suffisant.
Fort et sensuel, donné comme il semble avoir été vécu.
Il est un régal à lire et les images se créent d'elle-mêmes .

=> tellement femme
( qu'on a envie de prendre-protéger-caresser-dorlotter-choyer... avec force-passion-tendresse-détermination-attention... tous les mots conviennent, et dans n'importe quel ordre )
par sbe4
#2281031
Je ne trouve pas mes mots pour décrire ce que j'ai ressenti à la lecture du récit et décrire l'émoi qu'il a pu provoqué dans mes entrailles donc voila pour une fois je vais faire coure et me délecter simplement de ces quelques mot que @Nymphette nous a fait partager.
Merci encore
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par Nymphette
#2281143
durandale a écrit :Le récit, même parcellaire, est suffisant.
Fort et sensuel, donné comme il semble avoir été vécu.
Il est un régal à lire et les images se créent d'elle-mêmes .

C'est bien mon but, faire naître des images qui seront différentes pour chaque lecteur, et qui pour autant transmettent la façon dont j'ai vécu ces instants.

durandale a écrit :=> tellement femme
( qu'on a envie de prendre-protéger-caresser-dorlotter-choyer... avec force-passion-tendresse-détermination-attention... tous les mots conviennent, et dans n'importe quel ordre )

C'est beaucoup plus clair comme ça et je prends tout, dans n'importe quel ordre <3
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par Nymphette
#2281145
sbe4 a écrit :Je ne trouve pas mes mots pour décrire ce que j'ai ressenti à la lecture du récit et décrire l'émoi qu'il a pu provoqué dans mes entrailles donc voila pour une fois je vais faire coure et me délecter simplement de ces quelques mot que @Nymphette nous a fait partager.
Merci encore

:oops: ça me fait plaisir mais ça me trouble aussi. Je n'ai pas perçu que ce dernier texte pouvait contenir des choses qui n'étaient pas présentes dans les précédents, mais il semblerait que ce soit le cas.
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par PateL
#2281359
Nymphette a écrit :[...] sous forme de fragments de plaisir, avec le même complice.

FRAGMENTS DE PLAISIR
[...]

Tandis que certains conçoivent des récits fragmentaires... D'autres les images(inent)... ;)
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
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par Nymphette
#2282710
Erreur de fil ... ce texte est plus à sa place ici.

Retour sur une scène de l'automne dernier ...

J'étais intriguée par cette librairie, je me demandais bien ce qu'on pouvait y trouver et comment ce lieu pouvait être agencé. Un soupçon d'inquiétude me tenaillait aussi ... Était-ce une librairie comme les autres ou une façade, un prétexte pour cacher un lieu destiné à d'autres activités moins officielles ? Je sais que Pat ne m'emènerais jamais dans un traquenard, mais ça ne m'empêche pas de psychoter.

Arrivée sur place, je découvre un lieu assez petit, avec des livres du sol au plafond, sur les murs, et étalés sur des tables dans la partie centrale. Une librairie quoi. A la caisse, un homme plutôt jeune semble très occupé à des tâches administratives. Un client dans la boutique, un homme, seul, feuillette des livres dans le fond de la pièce. Rien ne laisse transparaître une ambiance coquine, si ce n'est le thème des livres qui y sont vendus.

Pat était venu à la recherche de livres de photos, qui se trouvent sur le mur de droite. Il s'y dirige donc. Moi, je ne suis à la recherche de rien, je commence alors à regarder un peu tous les rayons, par curiosité. Je finis par me dire que je pourrais y trouver des choses sur la littérature érotique qui pourraient m'inspirer ou nourrir mes propres récits.
Au début, je n'ose pas faire plus que de regarder les couvertures ou les tranches des livres. Je me sens gênée, comme si le fait de toucher un de ces livres équivalait à me mettre à nu. Je me sens aussitôt idiote de penser ça.

Après un long moment, je finis par prendre mon courage à deux mains, car le temps commence à me sembler long, à ne rien faire. Après avoir fait consciencieusement deux fois le tour des rayons, je choisis un livre de poche qui ne me semble pas trop sulfureux, des nouvelles coquines. Je lis quelques paragraphes, j'en suis assez déçue, c'est dans la même veine que les situations de mes propres histoires, mais en plus froid, avec moult descriptions très détaillées, sans doute destinées à aider le lecteur à visualiser la scène. Je préfère mes textes moins descriptifs mais plus émotifs.

Le premier livre en appelle en second. J'ai franchi le pas, je peux continuer. Je suis tout autant déçue, tous les livres se ressemblent, seul les thématiques changent. Un peu comme Oui-Oui à la mer, Oui-Oui à la montagne, etc ... on change de décor, mais le propos est toujours le même, de l'excitation garantie, plus ou moins pornographique, on sent que le client doit en avoir pour son argent. Je découvre un rayon littérature ancienne, tout petit. Il n'y a que quelques livres, qui sont surtout des analyses littéraires de certains auteurs ou de thématiques qui ne m'intéressent pas. Déçue de nouveau.

L'homme qui feuilletait les livres continue son périple, il semble très absorbé. Pat est toujours dans le rayon photo, absorbé également. Je décide de changer de rayon pour arriver aux manuels techniques. Je souris intérieurement ... Dans les grandes librairies commerciales, je finis irrémédiablement dans le rayon travaux pratiques, couture, broderie, peinture ... Finalement, ce n'est pas différent ici.
J'ai toujours été curieuse des positions pour faire l'amour, bien que je n'en ai jamais apprise aucune. Elles nous sont venues naturellement. Je me dis que je pourrais peut-être apprendre, découvrir des choses avec un livre bien fait. J'en trouve assez peu, et la plupart sont très succincts, les images ne sont même pas jolies, parfois ce sont juste des dessins. Nouvelle déception.
Finalement, j'analyse l'offre de livre qui s'étale sous mes yeux. J'y vois des romans de gare vaguement érotiques ou franchement pornographiques, des manuels pour aider les couples en péril et pas mal de bandes dessinées. Rien de tout cela ne m'intéresse.

Je rejoins alors Pat pour découvrir le rayon photo. Là encore, il me faut du temps pour oser prendre un livre dans mes mains, d'autant que le caissier est juste dans mon dos. Regarder un livre de photos coquines équivaut pour moi à un acte de voyeurisme, ce qui n'est pas du tout dans ma nature. De nouveau, je me sens idiote de penser cela. Grande respiration, et je choisis un ouvrage qui me semble assez sage. Je trouve ça joli, la vue des corps féminins mis en valeur me met à l'aise. Finalement, je m'identifie assez facilement aux modèles, il me vient même quelques idées de poses.

C'est à ce moment que Pat est venu jouer avec ses doigts sans trop de discrétion. Ce n'est pas la première fois qu'il joue à ce petit jeu qui me plaît, mais l'exiguïté du lieu et la proximité du vendeur m'ont mise mal à l'aise.

Pour ma part, je goûtais la gêne de la Nymphette et ce d'autant plus qu'elle était vraiment radieuse ce jour là... Les autres hommes (elle était la seule femme) lui jetaient des regards de désir assez agréables de mon point de vue d'homme partageur. Et puis, à un moment, j'ai glissé ma main sous sa robe et commencé à lui mettre mon doigt dans l'anus. La Nymphette m'a alors incité à tempérer mes "pulsions"...

Le temps passait et Pat avait une autre idée en tête. Il s'est dirigé au rayon DVD que je n'avais pas vu, ou inconsciemment évité. Il y passe un moment et finit par sélectionner un film. Je n'ose regarder de quoi il s'agit.
Nous voilà à la caisse pour payer. Je suis affreusement gênée, alors même que c'est juste un produit banal dans cette boutique. Ni Pat ni le vendeur ne semblent gênés. Je n'ai qu'une envie, c'est que ce moment passe vite et que nous sortions du magasin.

Epilogue

Je n'ai perçu aucun regard ni même la présence de personne en dehors du vendeur et de l'homme qui était déjà là quand nous sommes arrivés. Inconscient, je bloque toute perception qui pourrait me mettre mal à l'aise. Ce mécanisme de défense est si bien ancré en moi que je n'arrive pas à le faire sauter, alors que je voudrais être en capacité de jouer, d'interagir avec le regard d'autrui.

Le DVD contenait 3 films des années 70, réalisé par le célèbre Georges Fleury. :) Nous en avons visionné deux, péniblement. Pourquoi péniblement ? Parce que quand nous commençons à regarder ce type de film, confortablement installés dans notre lit ... je n'arrive pas à rester concentrée plus de 15 minutes avant de venir câliner mon époux tant je suis excitée. Il faut donc s'y prendre à plusieurs reprises pour que je vois le film en entier ... Mais ça c'est une autre histoire. 0=)
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par croclavie82
#2284958
Eh bien voilà ! après quelques temps d'absence ou de recul, j'avais un retard impressionnant à rattraper.
Je m'étais pourtant promis de garder le meilleur pour la fin, et c'est chose faite.
Quel plaisir de retrouver vos textes et de constater à quel point vous vous épanouissez chère @Nymphette . A chaque nouvelle rencontre vous vous ouvrez un peu plus aux plaisirs que vous apportent ces situations. Vous y goûtez avec gourmandise, reprenez des instants qui vous ont le plus réjouis, faites varier les situations et les sensations. C'est un véritable de vous lire dans votre évolution, et un grand merci de nous faire partager ces moments.
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par croclavie82
#2285013
croclavie82 a écrit :C'est un véritable ... de vous lire

j'ai oublié BONHEUR :)
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par Nymphette
#2285016
croclavie82 a écrit :
croclavie82 a écrit :C'est un véritable ... de vous lire

j'ai oublié BONHEUR :)

J'ai hésité, entre plaisir ... et bonheur :)
Je prends les deux <3
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par croclavie82
#2285127
Nymphette a écrit :J'ai hésité, entre plaisir ... et bonheur :)
Je prends les deux <3

gourmande ! 0=) ;)
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par croclavie82
#2285135
PateL a écrit :Tandis que certains conçoivent des récits fragmentaires... D'autres les images(inent)... ;)

Elle voit des nains (phettes) partout ! lol
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par Nymphette
#2285143
croclavie82 a écrit :
PateL a écrit :Tandis que certains conçoivent des récits fragmentaires... D'autres les images(inent)... ;)

Elle voit des nains (phettes) partout ! lol

Ça en fait plus pour les autres lol
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par Nymphette
#2285144
marc27 a écrit :Fantastique cette photo
La classe !

Qu'il n'y ait pas de méprise, il ne s'agit pas de moi.
Mais elle est chouette cette photo :D
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