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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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L’histoire que je vais vous raconter débute dans un grand magasin, mon mari et moi, étions en train de faire quelques courses, je choisissais dans le rayon lingerie fine un ensemble très sexy avec le regard très approbateur de mon compagnon, depuis un moment, nous nous étions rendu compte dans un sourire de connivence, qu’un homme élégant un plus jeune que nous, seul et du genre séducteur tournait autour de nous, visiblement plus intéressé par moi, mes fesses lorsque je penchais, que les articles qui ne lui servait que de prétexte, devant lui, nous nous en amusions tous deux, commencions même à nous en amuser… Nos esprits échauffés se délectaient au milieu des cintres et des tourniquets qui proposaient ces petites choses affriolantes.
Après avoir choisi quelques dessous et robes courtes couchées sur le bras, nous nous sommes dirigés tous deux vers les cabines d’essayage, dans le même temps, je savais exercer un certain magnétisme pour être désirer, séduire d'avantage faisait parti des règles de notre couple, je fixais un peu provocante dans la direction du mâle solitaire, comme pour lui montrer la femme provocante que je pouvais être, gêné, il rougit même lorsque mes yeux se sont obliqué au niveau de sa braguette, puis détourna son regard, pris une autre direction dans une allée divergente, mon homme s’amusait de me voir ainsi, il a lu dans mes yeux mon acceptation, mes envies peut-être d’oser, à trop bien ressentir mon désir d’aller vers le franchissement de nos fantasmes.

J'ai des yeux superbes et un visage très doux, blonde foncée avec des cheveux mi-long, de grands yeux verts qui vous fixent avec une telle intensité que les hommes en sont presque gênés, la quarantaine passée, la personne qui m’accompagne et mon mari, la cinquantaine, plutôt du genre bcbg, assez sérieux, mais aussi très joueur, à vouloir toujours me repousser dans mes retranchements, les limites de nos jeux sexuelles sont en perpétuelles constructions, il a compris tout le mode d’emploi de mes zones érogènes qu'il utilise à la perfection et il m'a ouverte sur le vie et mes fantasmes. La machine à orgasmes démarre sans besoins de révisions, j’aime le sexe oui, j’aime l’excitation, le trouble des désirs ; j’adore ces moments intenses ou l’on ne contrôle plus rien... et sans équivoque, nous nous aimons énormément.

Après être rentré dans une alcôves du fond, je posais avec soin les morceaux de tissu qui me semblaient de plus en plus légers. Je me décidai enfin à ôter mon pantalon par de lents mouvements latéraux des hanches puis mon haut, me saisissais d’une robe bleue très évasée, elle dévoilait très haut mes cuisses mais me donnait une allure de Lolita. Mon homme ouvrait une partie du rideau et admirais le résultat, il me suggéra d‘enlever mon soutien-gorge, je défi l’attache et l‘accrochai à une patère, l’étoffe rouge vif tomba, il le ramassa et le garda la main, mon homme rentra comme pour laisser passer quelqu’un, refermait le rideau doucement derrière nous, juste dans l’instant ou j’ai aperçu, l’inconnu un pantalon à la main, s'installer dans la cabine opposée un peu en amont. Le rideau de notre cabine n’était pas très bien refermé, je savais que c’était volontaire, il n’était pas difficile de me voir me déshabiller. C’est trop tentant et je ne pouvais m’empêcher d'imaginer cet homme essayé de m'observer, sachant que j’apercevais le rideau voisin en léger mouvement d’ouverture, je soulevais la robe légèrement, un petit hochement de tête en fermant les yeux lui signifiais mon accord, roulais mon string avant de la glisser sur mes cuisses, continuant le strip-tease improvisé en projetant de mon pied droit le frêle tissu. S’ensuivait un enchaînement de postures, voulant me montrer à la hauteur de la situation et avant tous, excité mon homme par tous les moyens. Debout, assise, courbée, arc-boutée, écartant les bras ou les cuisses dans la direction de l'inconnu, corrigeais l'attitude des petits tissus de lingerie, une amplitude, touchant mon corps là où il le fallait, me cambrais, une main sous le string, en haut des fesses pour retenir et l’autre main entre mes seins pour pousser. Le majeur juste dans le début du sillon, le petit doigt sur un téton… hasard du geste… il va de soi que les doigts ne se retenaient pas d’effleurer mes zones les plus érogènes libérant mes effluves intimes. J’étais provocante, une profonde adepte de l’exhibitionnisme et tous comme mon mari, j’aimais ça.
Mon mari se retourna brutalement, devina son regard sur le coté du rideau, l’homme me matait allègrement à la grande surprise de l'inconnu, au lieu d’avoir une expression furieuse, le visage de mon mari s’épanouit et il lui lançait même un sourire. Puis mon homme entrouvrit un peu plus le rideau, il me provoquait délicieusement, je me devais lui répondre, me retournais dans la direction de notre voyeur pour finir de me déshabiller de mon dernier essayage. Il ne se cachait plus vraiment, je le voyais déglutir, un peu de honte de son acte de voyeurisme, mais cette invitation est trop tentante pour qu'il ne détourne son regard sur mon corps, mon époux me caressait du bout des doigts le dos jusqu’aux fesses, ses doigts, électrisée par le contact, remontaient et descendaient le long de mes bras, tandis que mes yeux faisaient la navette entre la statue de cette homme, modèle vivant qui était là, à deux pas de moi, et mon chéri qui me souriait et m’observait avidement. Quelle sensation bizarre, étrange, mon trouble était visible…

Voyant que nous en avions terminé, l'homme referma le rideau sur lui, à aucun moment il n’avait osé croiser nos regards de près, il était très mignon, il a du nous entendre rire. Nous sommes sortis de ce cagibi et mon chéri m'arrêta devant le rideau fermé, puis me fixa délicieusement, le sourire aux lèvres, et sans quitter mon regard, il écarta le rideau clos, pris mon bras et le passa sur le côté, et nous nous sommes mis à parler comme si de rien, de banalités concernant une soirée entre amis. Ma main ne reste pas inactive, j’avais compris l’attente de mon chéri, je mimais le fait de branler un homme, rien ne bougeais à l'intérieur, osant le tout pour le tout, de mon index, je lui demandais de s'approcher, le bruit de tissus se fit enfin entendre, je savais déjà que j'avais gagnée, quelques chose d'humide vint au contact de mes doigts qui le réclamaient, je pris possession du gland poisseux, découvrais l’état de cette tige toute aussi suintante, collante… Ma main l'empoignait fermement, découvrais le gabarit massif de sa circonférence, je commençais à le branler doucement avec une maîtrise et un savoir-faire, le truc qui en dit long sur l’expérience de femme pour les hommes, le truc si bon, qu’aucun mâle ne résistent pas bien longtemps à ces mouvements de va-et-vient. Un liquide chaud frappa mon avant bras, suivi d’un petit râle étouffé de plaisir masculin. Ma main continuait de le caresser, mes doigts s’enroulaient autour de son gland, couverts de son foutre accentuant une petite pression sur le frein qui fit tressauter la queue. Puis je retirais mon bras, plus rien ne bougeait à l’intérieur, mon mari, le regard tendrement amoureux me prit dans ces bras, puis la bouche, m'embrassa passionnément.
Mon homme s’écarta de moi, sorti une de nos carte de visite, griffonna rapidement sur le dos de celle-ci, tendit en ouvrant légèrement le rideau une carte de visite avec nos coordonnées et il lui lança un " A ce soir! ", refermions le rideau, le laissant la bite pendante encore gluant de sperme avec notre carte de visite à la main que j'imaginais à s’empresser de lire. Notre noms et adresse y figuraient, et au dos de la carte, mon chéri avait écrit avec hâte "Tu nous plais, rejoins-nous ce soir vers 20 heures à l’adresse indiquée".

Vers 19.45 heures , la sonnerie de notre jolie petite maison ce fit entendre...
Vêtue de la jolie robe boutonnée sur le devant que j'avait essayée dans le salon d'essayage je le fit entrer, me serra la main puis refermais la porte derrière lui, lui prenais le bras pour le diriger vers le salon. Le store de la fenêtre est baissé, les clips musicaux et romantiques du moment défilaient sans interruption sur le grand écran. Mon homme vint vers lui, lui tendit la main, et essaya de le détendre de suite cette inconnu s'appelle Jean, il est discret, élégant, séduisant en fait... Il me fit très vite beaucoup d'éloges... Il nous observes avec courtoisie et pourtant mais il me détaillait avec finesse, me félicitait, complimentait « l’artiste » et sa plastique. Un vrai charmeur, sans exagération, la tranquille séduction..
Je sais trop bien que Phil mon amoureux, me connaît beaucoup, il avait compris depuis longtemps mes désirs et mon ressenti d’aller vers le franchissement de nos fantasmes. Alors après avoir bu une coupe remplie de bulle, sur une musique d'une chanson nommée " ", mon mari m’invitait à danser. Lentement je me collais à son corps, ses mains, son sourire amoureux et son visage me posaient comme une question : « ça va ? On continue ? » Il compris mon accord. Ses caresses sont alors plus orientées vers le bas de ma robe qu’il relevait pour caresser mes fesses sous le regard de Jean qui osait un petit « quelles jolies jambes, jolies fesses aussi » . Mon mari continuait de me faire danser langoureusement, cette fois en se plaçant derrière moi. Toujours sous le regard de notre invité, il défit les quelques boutons sur le devant de ma robe, qui tombait au sol, puis sur le fauteuil. Phil me prit mes seins au travers du soutien gorge comme pour les présenter à Jean, je fermais les yeux, renversais la tête en arrière sur l'épaule de mon mari, je sentais mon cœur battre, la moiteur de mes mains, tout en continuant de chalouper sur les notes D'Ed, des doigts supplémentaires frôlèrent mes hanches, des cheveux passaient sur mon ventre. Les mains caressaient mes seins, le rythme de mon cœur est déjà celui du désir, comme pour mon homme, à la raideur de son membre dans mes reins le confirmait. Des bruits de chaussures, de vêtement savamment enlevés et des doigts glissaient maintenant sur mes cuisses pour rouler mes bas ; je ne reteins pas un léger tressaillement. Pour la première fois de ma vie deux hommes, quatre mains, me touchaient, me caressaient en même temps.
Je me retournais et me déposais dans les bras de mon chéri qui dégrafait mon soutiens-gorges, nous nous sommes embrassés longuement, tendrement. Les mains sur mes hanches ont fît fait glisser mon string, délicatement. J'étais maintenant nue, dos effleurant le corps de Jean sous le regard de mon mari, qui fît descendre la lumière. Phil suivait le rythme musical en me balançant discrètement et je sentais les membre raides dans mes reins, et sur ma chatte, fébrilité, émotion, ma main partie en arrière, touchèrent les cuisses et remontèrent à la recherche de la chose tant désirée mais sans y parvenir. Mon homme m'embrassait un sein, puis les deux, les léchait tout le tour et je gémissais un peu, je caressais ses cheveux d’une main, puis il me retourna délicatement, et, sans ouvrir les yeux, je reprenais ma précédentes position, la tête en arrière, posée dans le cou et l'épaule de mon homme.
Une bouche, une langue descendait le long de mon ventre jusqu’à l’ouverture de mon sillon. Il s’appuyait sur mes cuisses avant de commencer les baisers ardents sur mon sillon, mes seins emprisonnés par les mains de mon homme, son souffle était court dans ma nuque, ses caresses agréables déjà, je gémissais d'une forte envie sous cette langue, d’une main je forçais la tête à s’appuyer sur ma fente, et de l’autre attirais les fesses de Phil pour sentir son membre dur. Mes cuisses étaient trempées de mes liqueurs mélangées à la salive de Jean, je geignais et m’agitais sans contrôle, mes seins fermes dans les paumes de mon mari qui me déposait quelques baisers sur mon cou. Tremblante, gémissante, incontrôlée, je profitais de ces moments les yeux fermés, des doigts sur mon clito et une langue à l'entrée de mon vagin. Appuyée sur Phil, je suis arc-boutée pour tendre mon ventre, le corps tendu dédié à mon mari, et je jouissais debout la vulve complètement ouverte, offerte, face à Jean, dans les bras de mon homme, situation extravagante, inouï, et, je l’avoue, terriblement excitante de ces plaisirs nouveaux, de ces deux bouches en plus des quatre mains.
Les mains de mon amoureux vinrent appuyer sur mes épaule, je tournais la tête, ouvrais les yeux, l'embrassais comme si je découvrais l'amour, et me retournais, découvrant cet homme nu, à quelques centimètre de moi, je m’agenouillais consentante devant lui, les cuisses largement ouverte et le con baillant, je découvrais sa monumentale érection, je tendais la main sans réfléchir, la caressais, le malaxais avec un regard de coquine, découvrais cette grande queue épaisse très courbée qui se dressait devant moi, pleine de vigueur, je posais mes mains sur ses bourses imberbes comme si j'avais eu peur de recevoir une décharge électrique, troublée par le contact de cette dure virilité, je les soupesais d’une main et de l’autre, je prenais possession du spécimen, je décalottais le gland pour le découvrir nappé de liquide séminal, un goutte transparente de dernière fabrication émergea de son méat, je la recueillie d'un doigt et la porta à mes lèvres, j’aimais le goût dans ma bouche, je ne pouvais m’empêcher de la serrer d’avantage, sentant au creux de ma main battre l’intensité bestiale du désir de l’homme. Comme un besoin essentiel, par évidence, ma langue sortie de ma bouche, je déposais la pointe au niveau du frein, puis comme sur un chemin tous tracé, je partais vers le bas, arrivais à l'interception des deux bourses assez grosses pour y tendre fermement la peau, je me suis mise alors à les laper, les lécher l’une après l’autre, la queue restée dans ma main ne tarda pas à gagner une taille encore plus triomphale, le rostre dressé par de désir était long, mais aussi, doté d'une épaisseur énorme, presque monstrueuse en dessous du phallus en forme de champignon. J'activais doucement des va-et-vient sur celle-ci. Mes lèvres désireuse de le prendre dans ma bouche dessinèrent un O, sa queue est entrée dans ma bouche grande ouverte, j'ai salivé du mieux que je pouvais afin de l’exciter au maximum.
J'allaient et venaient sur son gland emplissant totalement la cavité goulue, je me régalais de cette nouvelle texture, de cette magnifique queue imaginée dans mes rêves érotiques ou lors de mes masturbations solitaires. Jean s’animait en rythme avec moi, la coordination parfaite qui me permettais de goûter la caresse voluptueuse de ma gorge percutée par son gland, je lui imposais de petites pressions et rotations, à sentir battre le flux sanguin dans le gland tendrement compressé par la paroi de mon pharynx. Le ressortais, un filament de ma bave accouplé à son pré-jus formais un pont entre mes lèvre et sa bite, je passais la langue dessus, il gémit de plaisir sous mes caresses impudiques. Je jouais avec son prépuce, le tétais et le pompais ainsi pendant quelques instants, ce qui me semblaient durer une éternité. J'étais maintenant complètement trempée, ma chatte baignait dans mon jus, je ronronnais, grognais, je ne sais pas très bien, alors que lui me besognait la bouche offerte, variant le tempo, modifiant l’amplitude, j'avais l’impression qu’il allait jouir de ma gorge tant son jus coulait sur ma langue, j'avalais avec délectation ces petites vagues qui affluaient.
Une queue plus familière se rapprochait de moi, Phil dressait la sienne devant moi pour une deuxième entrée, je passais ma bouche d’une queue à l’autre et lui servais exactement le même traitement. Des queues bonnes, humides comme il le fallait, Je changeais et suçais à nouveau la queue de Jean, cette fois en y tournant sporadiquement ma langue, je changeais encore pour offrir la même chose à mon mari, à adorer cette alternance de forme de gout. J’adorais savoir goulument que l’un d’eux attendais impatiemment que je revienne sur sa queue pendant que je prenais entre mes papilles l’autre.
Phil m’incita à me redresser et à m’allonger sur le canapé, se baissait et commence à me lécher la chatte, Jean attendais derrière lui, je lui fît signe de s’assoir à côté de moi, il s’exécutait. Dès qu’il se trouva à ma portée, je me remis à le sucer. Mon homme continuait à me lécher les lèvres inférieures et le clitoris. C’était bon !! Sa langue me délivrais des délicieuses sensations. Il me dégustait avec patience et minutie. Je butinais la queue de notre invitée avec douceur et jeu de langue. Me faire lécher par mon homme pendant que je suçais une nouvelle queue m’excitait énormément. Je m’arrêtais parfois pour savourer le plaisir orgasmique de mes nymphes vibrantes, Phil s’arrêtait parfois pour me regarder sucer Jean, puis me glissait deux doigts dans la chatte en continuant à me lécher le clitoris, Jean me caressait les seins d’une main pendant que ma bouche titillait le contour de son phallus avec ma langue. Je ne voulais pas me l’avouer vraiment, mais j'avais un telle envie de cette queue au plus profond de moi....
Je me retrouvais les cuisses écartées bien à fond, le visage de mon partenaire disparaissant entre mes jambes encore gainées de noir. Il collait ses lèvres contre mon sexe et je sentais sa langue qui m’ouvrait en deux, m’arrachant un frisson de bonheur. Il ouvrait mes nymphes et débusquait mon clito qu’il suçait adroitement. Sa langue râpeuse s’engouffrait de temps à autre dans mon trou et me remplissait presque entièrement l'entrée de ma caverne inondée. Je tenais sa tête et lui faisais comprendre que je voulais me sentir encore mieux comblée, il me lapait c’est bien au creux de mes reins que surgit la tornade, irradiant mon bassin, alors qu'il imposait une langue des plus vif rythmée tournoyante, de mon bourgeons rouge sang.
Mon homme quitta son poste, se redressa et me pénétra je m’arrêtais de sucer tout en gardant le gland dans ma bouche pendant que je ressentais un engloutissement de la queue de mon chéri en moi dans ma fente humide. Il était en moi, me dominait totalement et observait les plaisirs buccaux que je délivrais à Jean. Ses a-coups étaient rapides et énergiques, à sentir la puissance de sa queue me traverser la chatte tel un conquérant affirmant sa suprématie sur son territoire conquis. La queue dans ma bouche étouffait mes gémissements de plaisir à ses allers retours vigoureux, un point culminant de mon fantasme.
Phil me releva m’embrassa tendrement, puis me retourna vers Jean qui me pris par les hanches, me releva une jambe, je le lui grimpais dessus, plaçais son bassin entre mes cuisses et pointe le bout de son chibre sur ma fente que mon homme venait de si bien préparer. Son gland poussait sur mes lèvres de chatte impatiente et je compris qu’il s'immisçait en moi, il s’y était engouffré avec une facilité qui m’a surprise... Quel bonheur ! À ce moment-là, je me trouvais tellement chienne, je passais ma main entre mon ventre et sa queue pour constater qu'il n'était pas encore rentré que de la moitié, je me suis toute de même sentie remplie bien comme il le fallait, debout, une jambe en l'air, je suffoquais presque maintenant de cette introduction, il était tellement large que je sentais mes parois se distendre, il était puissant, invincible, je ne me forçais pas pour me mettre à ahaner, à haleter le souffle cour, doucement au rythme de son avancé, de sa prise de possession. Mon homme lui avait offert la chatte de sa bien aimé, il m'avait guidée dans cette offrande, par amour, par découverte de notre plaisir, je m'abandonnais totalement dans la confiance de notre union. Puis commença des mouvements de va et viens puissants, entrant et sortant de plus en plus fort entre mes babines. Maintenant, je n’arrêtais plus de crier, il se mit à me limer de plus en plus vite, mes jambes sont ouvertes à 180 degrés pour offrir ma volupté bouillonnante mieux encore à mon suborneur , je me tenais tant bien que mal à sa taille pendant qu’il me bourrait comme si il s'agissait d'une saillie, il me tringlait comme une truie, il me limait de fond en comble. Le bout de l’engin butait parfois contre ma matrice et m’arrachais des cris plus fort de plaisir, à chaque nouvelle butée, mon pied resté au contact du parquet ne touchait parfois plus le sol, à chaque coup de bite, réglés comme des métronomes, mon trou cherchait la pénétration profonde et lui, cherchais à m'ouvrir plus, il me faisait jouir avec une intensité affolante au point que perdant toute retenue, sa bite largement enduits de mousse allaient et venaient en moi, c’était fulgurant, cela me coupait en deux, me laissant interdite de l’espace régulièrement. Jean était déchaîné. Au bout d’un moment, il se retira dans un bruit de clapotis du sexe, me retourna, il me mit sur le ventre puis m’obligea à m’agenouiller. Mon cul était cambré au maximum et je lui offrais sans aucune résistance, une cible idéale. Pas par courtoisie conjugale, mais vraiment par amour, je fit signe à mon homme de s'approcher pour prendre son sexe dans ma bouche, il ne refusa pas ma gâterie mais s’assit devant moi sur le canapé, face à ma bouche et, les yeux dans les yeux, il me prit un seins dans sa main, ses lèvres prirent possessions des miennes, nos langues se mélangeant de leurs salives abondantes, d'une main libre, il me titilla le clitoris baveux, les lèvres entrouvertes, les yeux mi-clos, son autre main glissa tendrement dans mes cheveux, l'ensemble, obtenant en retour un soupir de remerciement. La grosse pine vint de nouveau frotter contre ma moule, il la fit passer tout au long de ma fente, du clitoris jusqu’au trou du cul. Je crains un instant qu’il ne décide de m’enculer. Heureusement, c’est dans mon fourreau vaginal qu’il s’enfila une nouvelle fois, je ressentais beaucoup mieux son membre hyper-tendu qui du fait de la position de mon baiseur, décrivait un arc de cercle dans mon, sexe, il me prenait encore plus à fond qu’avant, il me fourrait sa pine. Son ventre cognait contre mes fesses et ma tête frottait sur les cuisses de mon chéri, sa queue se baladait sur mon visage, laissant comme un escargot les traces de son désir sur ma peau. Je ne retenais plus mes hurlements de plaisir, je cherchais même à absorber par les pulsions gourmandes de mes hanches le phallus en moi, je me sentais comme écartelée, déchirée de plaisir. Il me tenait par les fesses et me pilonnait bestialement, je sentie son gland grossir, et des contractions dans sa verge, devinant qu'il allait bientôt se vider. À cette heure, j'étais un animal, à tel point que lorsqu’il sortit de moi, juste avant de jouir, je ne pu m’empêcher de me retourner, me couchant devant son énorme piston ou j'avais laissée des traces blanchâtres d'écume, il se finit sur mon corps, la grosse mandibule a la main, il se mit à se branler de ces deux mains, le chibre pointé vers moi, moi qui tressautais toujours comme une carpe hors de l’eau, bouche ouverte, complètement déboussolée, il cracha de son méat de grande quantité liquoreuse, l’éjaculation était plus que copieuse, le sperme onctueux se perdait dans de longues giclées brulante qui vinrent de leurs puissances s’écraser sur mon visage, le premier geyser s’octroyant un droit de passage entre mes dents sur mes lèvres entrouvertes, à l’initiative de ma langue au contact de ma bouche souillées de son plaisir, j'étalais de mon appendice sa crème brulante contre le palais, je le gouttais, je me penchais sans pouvoir m'y empêcher pour l’avaler le flattant de mes lèvres au passage, une certaine petite quantité sur la langue, je dégustais son éjaculation proportionnelle à la taille de sa queue, surprise de moi même de cette réactivité à me voir lécher une bite étrangère à mon couple... je lui rendait un aspect neuf, nettoyant même le contour de mes lèvres, les restes éparpillés qu’il m’avait réservé, ma poitrine, mon ventre était baignée de sa semence visqueuse, le jus, par gravité atteignait même ma chatte glissant naturellement entre mes lèvres baillantes au corneille, je me caressais avec, l'étalais sur tous mon corps, sur mes lèvres intimes, allant même de mes doigts glisser dans mon vagin, dans un ultime effort, plusieurs doigts gluants sur mon clitoris, me déclenchais de dernier soubresaut, jouissante une dernière fois de tous mon être sans que je ne sache combien de fois j'avais eu d'orgasmes avant que mon amant ultra membré ne se retire.
Mon mari et moi, avons refais l'amour cette nuit là, plusieurs fois, il c'est vidé dans ma chatte me créant un ultime orgasme, puis, nous nous sommes endormis enlacés après nous être embrassés tendrement.

J’ai osé, j’ai donné, j’ai reçu, je suis contente, contente de moi, contente de notre offrande mutuelle avec mon mari. Contente que notre libido de couple en sorte plus puissante encore. Contente des plaisirs extrêmes reçus. Contente d’avoir été désirée par deux hommes et d’avoir assouvie leurs envies. Contente de cette chance d’avoir enfin osée.

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