©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
Avatar de l’utilisateur
par Phildulux
#2128733
Nous avons découvert, il y a peu, un plaisir très intense qui se passe dans nos têtes avant de se concrétiser sexuellement. Voir sa femme se faire baiser par d’autres hommes.

Pas la surprendre avec un amant, non, la voir se faire prendre devant soi par un autre, en ou sans l’avoir voulu, comme ça, par jeux pervers, au cours d’une banale petite soirée entre amis. Pas de l’échangisme non plus, elle était la seule femme pour plusieurs bites, un concours de circonstances, un hasard, depuis longtemps je fantasmais sur la possibilité d’offrir ma femme à d’autres hommes et je ne manquais jamais une occasion pour évoquer cette possibilité avec elle. Je ne voulais pas d’une liaison avec un autre homme, c’était plus sauvage que ça, plusieurs hommes, nous étions mariés depuis quelques années, nous avions une vie de couple sans problème. Nous étions unis, tendres l’un envers l’autre, et d’une fidélité réciproque sans problèmes. Kristina avait eu quelques amants avant de nous rencontrer, mais ceux-ci avaient su m’ouvrir à une sexualité sans tabous. Elle n’était donc pas l’oie blanche intégrale qu'elle semblais être et, dans l’intimité, aussi bien avec ses premiers amours qu’avec mon mari depuis notre mariage, elle n’était bloquée par aucun tabou. Pour ma plus grande satisfaction, nous pratiquions l’amour sous toutes ses formes, de la pénétration vaginale classique à la sodomie en passant par la fellation. N’ayant pas de dégoût particulier pour le sperme, ayant toujours accepté sans réticence que ses partenaires lui jouissent dans la bouche, en ayant toujours avalé leur foutre, par plaisir mais aussi par gourmandise, la fellation est un acte qu'elle adore faire, c'est une experte... Elle était malgré tout une petite femme totalement fidèle et, dans l’ensemble, je dirais que le sexe n’était pas du tout au centre de ses préoccupations, l'amour de son homme et sa famille étaient une priorité absolue. Quant à moi, Philippe j'était attiré par le sexe vis à vis de ma compagne, de mes imagination, je rêvais de sa chatte engluée de semence d'autre hommes, mais je sentais chez moi, un vague fond de jalousie.


Ma sensation la plus forte a été quand j’ai rêvé pour la première fois, imaginer le sexe d'un homme dans le con de Kristina, ma femme. J’en bande encore en y pensant et en me remémorant les images, ce qui est extraordinairement bandant, c’est de s’apercevoir qu’il faut très peu de choses pour qu’une femme, un peu timide et réservée se transforme en une véritable salope qui se donne sans retenue à plusieurs hommes à la fois, devant un mari complaisant, quand la première barrière des conventions est franchie. Kristina avait toujours été fidèle, nous sommes mariés depuis peu, elle est blonde foncée, yeux gris-vert, moyenne en taille, mince, un ventre presque plat, des fesses rebondies, un pubis légèrement agrémenté de petites lèvres de toutes beauté, particularité toujours bien visible grâce à l’épilation intégrale de son sexe, elle est bien foutue, jolie, très mignonne, sans parler de son intelligence au dessus de la norme, de son amour qui rejoins le miens avec ferveur, c'est une femme de rêve. J’aime qu’elle s’habille de façon sexy, robes courtes, minijupes, très souvent, sans soutien-gorge, des bas en hiver, pas de collants.

Comme tous les hommes, je suis voyeur et comme la plupart des jolies femmes, elle est un peu exhibitionniste. J’ai souvent constaté que des hommes la lorgnaient quand elle s’asseyait quelque part ou montait un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs fois, je lui ai demandé d’écarter les cuisses, pour le plus grand plaisir des voyeurs qui la mataient. Ça m’excite, et elle aussi, d’ailleurs, elle n’est pas très pudique et laisse voir sa petite culotte très souvent, par inadvertance, bien sûr.


Il m’est arrivé de pousser ce jeu un plus loin. Nous nous étions installés dans un restaurant, la nappe de notre table était aussi courte que sa robe, et j’avais remarqué que deux ou trois hommes nous observaient. Kristina était vêtue d’une minijupe vraiment très courte et elle s’asseyait, se relevait, croisait les jambes, les décroisait, se baissait. Elle montrait son string de couleur turquoise à chaque instant et ils se régalaient, j’ai voulu me rendre compte si cela l’excitait autant que moi à vouloir pousser le jeux en avant, puisque ces regards l’amusaient, je lui ai demandé de leur en montrer un peu plus, en enlevant tout simplement son sous vêtement Elle me regarda avec un sourire malicieux, se tourna vers moi et se débarrassa du de l'étoffe en se dandinant sur la chaise. Quand ils s’aperçurent qu’elle était maintenant nue sous sa jupe, manifestement pour eux, les voyeurs nous firent des petits signes de remerciements. Kristina s’est alors exhibée vraiment, en écartant les cuisses, et les types si ils avaient pu, ils se serais branlés en la regardant... Nous avions fait l’amour très fort, tout de suite en rentrant à la maison. Elle m’avoua qu’elle aimait beaucoup que des hommes la regardent et aient envie d’elles...

Souvent en faisant l’amour à ma belle, je lui murmurais à l’oreille des propositions obscènes auxquelles elle participait, je lui demandais si elle n’aimerait pas sucer un autre sexe que le mien pendant, que je la pénètre, ou de façon plus crue, si elle ne voudrait pas sucer une belle bite pendant qu’une autre lui défonçait sa petite chatte. Evoquer ces actes plus proches de la baise pornographique que de l’amour avait sur Kristina un effet terrible, elle se mettait à bafouiller, son sexe se mettait à couler encore plus et je sentais les parois se distendre au point que j’en arrivais à imaginer d'y glisser une queue d'une taille plus conséquente. Nous faisions l’amour assez souvent et j’imaginais que Kristina était satisfaite, mais que ces moments de plaisirs n’étaient peut être pas suffisants, pas pour notre libido, cars nous nous aimons passionnément, plus par un état fantasmatique.
Son anniversaire tombait le 4 Septembre, et donc, cette année, les enfants, de notre famille recomposée, étaient chez leurs père et mère de nos unions précédentes.
En rentrant ce soir là, j'imagine, qu'elle attendais à trouver la maison pleine de monde, ou encore une table dressée pour deux, ou moi, son chérie prêt pour sortir dîner en ville. Rien de tout cela... Pas de lumière, pas d'homme, pas d’amis, juste posée sur la table du séjour, une enveloppe rouge épaisse, une longue rose rouge posée sur celle-ci, avec comme inscription << Mon amour >>. Elle ouvris l’enveloppe et se mis à lire les feuillets écrits par ma main...
Dans l'enveloppe, les consignes était de se rendre à une adresse appartenant à un hôtel à l'aide de la carte magnétique, un numéro inscrit désignait le numéro de chambre, je lui demandais amoureusement de prendre soins d'elle, avec son nécéssaire de maquillage, de crème, apporté sur place le matin même de se revêtir de la tenue posée à son attention sur le lit, de se servir une coupe de champagne avec la bouteille qui n'attendait qu'elle au réfrigérateur, et enfin, dans un certain tempo, de se bander les yeux après avoir actionner la télécommande tv sur une chaine musicale désignée.


La robe, courte sans être vulgaire, descendant au creux des seins, et ouverte jusqu'au sillon de ses fesses, noire et couverte de strass par endroits, un string ouvert couvrait ton pubis, mais laissait tes lèvres baillées, libres de part et d'autre de cette dentelle, le soutien-gorge couvrait entièrement tes globes fermes. Je me suis alors imaginé qu'elle ai aimé le résultat, dans le miroir. Ses cheveux qui tombent sur ses épaules, ses escarpins à talons, le tout sur sa peau clair de finesse. Pas de fausse modestie, je savais qu'elle était belle à damner. Pourvu qu’il n’y ait pas de cardiaque dans l’assemblée sans quoi nous risquons de finir la soirée aux urgences.

Depuis si longtemps que nous parlions de baise, de sexe à plusieurs, à nous entendre l'imaginer parfois comme un objet sexuel pour son plaisir, comme du mien, partager la femme de ma vie une nuit, en sachant aussi l’effet indiscutable nos nos fantasmes communs... Et bien voilà, c’allait être chose faite, tu allais être un objet sexuel. J’avais choisi quatre hommes, sélectionné quatre sexes qui allaient la prendre et la reprendre, la faire jouir devant moi. Ces hommes allaient pouvoir faire d'elle tout ce qu’ils souhaitent, se vider en elle, comme ils le désirait, les tests HIV sur trois mois pour chacun d’eux en poche.

À chaque instant, tu aurais pu aussi bien mettre un terme à cette soirée, je t’en aurais aimé tout autant. Parce qu’encore une fois tu me prouvais que personne au monde ne te connaît mieux que toi, attentif, attentionné, à ton égard que chaque parole que tu dis, je les écoutes, que chaque geste que tu fais, chaque regard que tu portes, je peux les interpréter. A cet instant de la soirée, quoiqu’il puisse se passer d’intense, de puissant par la suite, cet instant fut pour moi le plus merveilleux, le plus inestimable. Celui où aussi tu t'ai sentis vraiment femme, ma femme. Plus que jamais je t’admirais, plus que jamais tu m’appartenais comme je t'appartenais.


Tout à l’heure, ces trois hommes te feront l’amour, ils caresseront ton corps, y glisseront peut être leurs langues, te posséderont, nous te donnerons du plaisir, un plaisir dont je savais déjà qu’il te serais décuplé, fort, violent, enivrant. Tout cela sous mes yeux, pas sans éprouver aucune jalousie, mais pas la moindre crainte, ces actes ne seront que physiques, à travers ces hommes, c’est toi que j’allais aimer encore plus, pour la confiance que tu me portais, pour ce que tu nous permettais de vivre, de nous épanouir, pendant que d’autres s’échinaient à vouloir posséder l’être aimé, nous, nous évertuions à nous aimer, à nous libérer, à reculer nos frontières, à bousculer nos carcans.
A l'heure prévu, une coupe de champagne à la main, le bandeau était posé sur ses yeux comme je l'avais prévu, je savais que tu allais t'avouer, des papillons dans le ventre, qu’avoir des relations avec un ou plusieurs hommes devant ton mari complaisant et voyeur, c'était une situation inédite pour toi, mais à sentir, la peau de tes seins bombé qui tendaient le frêle tissu de ton haut, et cette vague de chaleur monter dans ta chatte avec comme conséquence, une humidité certaine et baveuse entre tes lèvres intimes, tu t'étais volontairement abandonnée à moi, dans une grande confiance.

J'étais devant la porte, j'ai glissé délicatement ma carte dans la fente pour l'ouverture créant le mécanisme d'ouverture, je l'ai poussé doucement, marquant un temps d'arrêt de ma vision sur toi, tu étais splendide, si belle, là assise, sur ce bord de lit, la main fébrile de cette tension incroyable, je me dirigeai doucement vers toi, dans cette chambre surchauffée pour l'occasion, en me retournant sur les quatre hommes dont le dernier refermait soigneusement la porte. Seule la musique et le petit bruissement des tissus de nos costumes étaient perceptible, la tension était montée d’un cran, cette situation allait fait naître en toi une envie de sexe incontrôlable, je le savait. A mon approche, tu t'ai levé, inquiètes de ces présences, troublée, ta main tremblait et tu renversa un peu de champagne sur la moquette, je te pris la main tendrement, la porta à ma bouche, léchant le breuvage à même ta peau brûlante, mes mains caressantes allèrent sur tes omoplates pour t'attirer à moi, et mes lèvres t'ont embrasser la nuque, glisser sur ton cou pour remonter toujours en contact, sur la bouche, sur tes lèvres pour te goûter longuement, une main dans tes cheveux, je te sentais frissonner de toute part, tu me savais, je t’ai glissé un je t’aime au creux de l’oreille. Puis tes lèvres inférieure sont venu sur les miennes, nos langues se triturant et frétillante entres elles, baveuse de salive comme j'aime, tu étais brûlante de désir. Tu répondait à tous mes appels par des gestes d’offrande, relevant tes bras au-dessus de ma tête, le buste pointant à l’avant pour être étreinte, tripotée, câlinée, ton corps ne t'appartenait déjà plus, tu me l'offrais. Tu entendis le bruit d’un rideau qu’on tire, les quatre gars formaient un cercle très serré autours de nous, mes mains descendaient sur les côtés jusqu’à tes hanches, vers tes genoux puis remontaient à nouveau, lentement, cette fois-ci par l’intérieur tendre de tes cuisses, passèrent sous ta robe. Elles arrivent au string que j’effleurais, je frôlais, je tâtais, je caressais, puis j’appuyais le bombé de ta chatte, j’exerçais des pressions sur ta fente trempée avec le bout de mes doigts. Ta respiration commençait à s’altérer, le contact de mes doigts sur ta rose sortie de son capuchon te fit comme une décharge et tu ne pus réprimer un léger soupir. Sous un regard d'approbation une, puis deux mains se posa sur ta poitrine, et commençaient à te caresser la poitrine, et le corps au travers de ta robe. Je fit délicatement tourner mes doigts sur ton clitoris, et je te sentais électrique, comme quand tu n’est pas loin de jouir, je cessais mes caresses pour rouler ta robe par dessus ta tête, profitant de cet instant pour déposé un baiser d'amour sur ta bouche... tu étais presque nue, à ma… à notre merci.

Je prenais tes mains d'un geste sensuel et délicat, je les posaient, de part et d'autre de ton corps, chacune sur une bosse au niveau de leurs braguettes de leurs pantalons, leurs mains léger, ils te caressaient de toutes parts, tu empoignais timidement leurs sexes, puis plus fermement, les queues déploier alors devenaient ta proie. Je ne les avais pas entendu, mais nos deux autres comparses avaient enlever leurs pantalons, ils étaient nus, ils remplacèrent naturellement les deux premiers en te prenant les mains pour les reposer sur leurs corps, tes mains glissèrent sur leurs torses, leurs ventres, à sentir enfin alors de part et d'autre, un membre en érection d’une taille tout à fait honorable, pour l'un, moins gros que celui de ton homme, mais sans doute plus long, pour l'autre, sa verge était d'une circonférence impressionnante, tu fermais la main sur leurs queues et débutais une lente masturbation, les glands apparaissaient, ils luisaient, humides à couler sur tes doigts, les têtes enflés commes des champignons.

Quand au deux autres, ils étaient également terriblement bien montés. L’un d’entre eux avait une verge exceptionnellement longue et épaisse, sans doute pas loin de 25 centimètres, avec des couilles énormes. Le quatrième avait une bite de taille raisonnable, mais d’un diamètre de son gland, largement au-dessus de la moyenne. Ils ont enlevé leurs chemises et étaient maintenant nus autour de ton corps en chaleur.
Mes choix s'étaient portés par connaissance de tes gouts, grands et un peu musclés, dans l'ensemble. Celui qui avait la bite la plus longue t’effleurait sans cesse avec son gland, laissant des trainées filamenteuses sur ta cuisse. Pendant que tu branlais les deux autres, il prit son gourdin en main et le fit passer entre tes cuisses, par derrière, il commençait un mouvement de va-et-vient pour se frotter contre ton anus et ta vulve en ébullition. En regardant son sexe, je voyais le beau gland apparaître et disparaître successivement et, tu commençais à pousser des soupirs de plaisir.
Je me suis désabillé à mon tour, me suis mis à genoux pour faire glisser ton string trempé de sucs, tes lévres étaient brillantes et ouvertent au centre, ton trou apparaissaient larder de trace crémeuses, je deposais un baisé sur ton bourgeon rouge vif, glissant ma langue dans l'ouverture de ta grotte, dégustant ton nectar, mais je mettais fin à mon intervention, laissant au plaisir que te procurait ce long membre qui se frottait entre tes cuisses. Les deux autres que tu masturbais, montaient chacun sur une chaise, posérent en coeur, leurs glants sur tes lévres ta bouche s'ouvrit, ta langue sortie de son foureau tu te mis à les laper tous doucement, comme pour les nettoyer de leurs envies, puis... alors sucer, lécher et embrasser les deux beaux chiffres tellement gros que tu n’arrivais pas à les mettre tous les deux en même temps en bouche. Tu les suçais chacun à leurs tours, afin qu’ils aient le même plaisir. Je te sentais chaude, comme une chienne en chaleur, le plaisir de la baise envahissait tout ton corps, ta chatte était trempée, tu humidifiais le queue qui coulissait toujours sous toi.
Des frémissements de désir te parcouraient de haut en bas, je me penchais légèrement, écartais tendrement tes cuisses, prenais la longue bite en main et la dirigeais vers ton vagin bien ouvert. Le gars te pénètra profondément et tu émis un long gémissement. Il te prenait en levrette debout, sa longue bite lui permettait une souplesse extraordinaire dans cette position. Ses copains descendaient de la chaise, tu les reprenaient de nouveau à pleines mains, te penchais en avant, ton corps se balançait au rythme des coups de bite que tu reçevais avec tant de plaisir. Le quatrième bites en main, s'approcha de ta bouche, tu l'avalas et le suça longuement. Les coups de bite s’accélèrent peu à peu dans ton vagin, créant outragement des sons de clappotis de ta jute, et je te sentir jouir, un orgasme impressionant te frappa, laissant échapper de ta gorge un cri puissant quand les spasmes agitairent ton corps tout entier et au même moment, le gars se retirait de ta vulve et éjacula abondamment sur ton dos, quelques gouttes de sperme atterirent sur ta nuque, le jus, par attraction, glissa entre tes petits lobes, enrobant ton anus, contournant de part et d'autre tes lévres baillantes. Le gars au gros gland se mit derrière moi et enfonça un doigt dans ton anus. tu aimes particulièrement qu’on s’occupe de cette partie intime de ton corps, le type mit un deuxième doigt puis, il estima alors que que tu étais prête à accueillir sa bite. Il enfonça lentement son sexe tendu jusqu’au moment où tu sentais certainement ses couilles contre ton vagin. Il se mit à te pilonner de manière assez virile, assez profondément, tout à coup, il attrapa tes cuisses par dessous et te soulèva Tu ne touchais plus le sol, tes fesses et ton dos maculés de sperme étaient contre son ventre, maintenue en l’air par ce gourdin qui t’empalait et par ces mains viriles, il continuait à te baiser avec force, pendant que le troisième gars se mit contre toi et enfonçait son large phallus dans ton vagin sous tes rugissement de plaisir. Même si tu avais déjà joui, tes orgasmes te tenaillait le corps le uns derrière les autres, je ne les comptais plus, je savais que cette double pénétration pouvait t’offrir quelque chose de plus fort encore, surtout avec d’aussi belles bites. Je t'embrassais goulûment, avec ces verges qui s’enfonçaient chacun leurs tours, profondément en toi. Après quelques secondes, nous nous couchions sur le lit, et les mecs changaient de trou, couchée sur le dos, sur le mec au sexe large, tu le senti s’enfoncer dans ton cul pendant que l’autre te repénètrait Le gros gland te fait rugir de plaisir, de nouveau, tu étais au septième ciel et tu te me mettais à crier tellement fort que je craignais que l'ont t'entendes dans tous l’hôtel, mais c’etais plus fort que toi. Un souffle chaud embrasait tes antres, je t'entendis râler dans une forme d'épuisement, le deuxième expulsait sa semence dans ton anus, le troisième amant éjacula presque aussitôt dans ton vagin, se branlant quelques secondes à l'intérieure de ton foureau brulant pour y déposer les dernières gouttes, puis se retira, créant une rivière de foutre d'entre tes lévres quand au dernier, il pris sa place, ses bourse collées à ton sexe, badigeonnant vos partie intimes du sperme de l'autre, il éjacula rapidement, de manière spectaculaire, une douzaine de jets puissants de sperme épais sortaient de son beau gourdin qui sursautait de ses spasmes, arrosant ton ventre, imaculant ton soutien gorge, ton visage au tes lévres entrouvertes, ton bandeau, tes cheveux et même le lit et le mur. Les yeux fermés, le gars jouissait pendant plus de dix secondes. Malgré ma longue expérience d'avoir vu hommes jouir, je n’ai jamais vu autant de sperme sortir d’une seule bite. Un peu confus, il expliqua qu’il avait toujours eu des éjaculations extraordinaires, ce qui était compréhensible, au vu de ses énormes couilles, nous éclations de rire. Discrètement, il nous ont laissé, par des cleins d'oies à mon égart la porte fermée sur le dernier, j'ai hotté ton bandeau, tes yeux presque clos, me regardais amoureusement.
Tu étais couverte de sperme et il en dégoulinait de partout, malgré tous, je me suis mis contre toi, et je t'ai pris dans mes bras, je me suis introduit en toi, comme noyé dans ton vagin de tous ce sperme, nous nous sommes embrassés longuement, mon éjaculation fut très rapide est intense,mon sperme alla rejoindre mon prédécesseur, ton épuisement était telle que tu t'etais endormis entre nos bras, ma queue encore fiché dans ton sexe... Dans la nuit, dans l’odeur emplis de foutre de la chambre, nous avons fais l'amour, plusieurs fois, tendrement, amoureusement... passionnément, en nous disant des mots éternels… des mots d'amour.

Notre boutique candauliste 100% sécurisée