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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

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par Phildulux
#2125966
Je ne pouvais m'imaginer que l'on puisse aimer quelqu'un et coucher avec un autre, je me croyais incapable de jouir !
Je me retranchais derrière nos fantasmes commun, je ne pensais pas et n'aurait jamais cru que tout pouvais changer, que mon compagnon de vie et du coeur, ai raison sur la différenciation entre le sexe et notre couple.

La journée avait été étouffante et ce vendredi soir s’annonçait assez lourd...

Juchée sur des escarpins à hauts talons, j'avais enfilé pour cette sortie au cinéma avec mon amoureux, une robe saillante et courte, aux épaules dégagées, boutonnée sur le devant, juste quelques boutons ayant été laissés libre volontairement, laissant deviné la base du creux de mes petits seins que l'on devinait parfaits, fermes et bien formées, avec une peau superbe, lisse et tendue, l'ensemble était posée telle un voilure, sur un string minimaliste, je sais que mon homme adore voir mes formes ainsi libérés, accessibles et non-protégés est sa devise, j'aurais aimé avoir la même dénouement pour l'élimination de mon string comme très souvent de son désir, mais le tissus qui recouvrait celui-ci était déjà très limite par sa couvrance.
Le miroir de la salle de bain, reflétait une image de moi-même, très sexy et glamour, à 48 ans, sachant être à la fois sensuelle et coquine, j'était sur d’atteindre mon but, à savoir... l'exciter comme un fou. Quand à Philippe mon Loulou, il s’étais contenté d'un Jeans et d'une chemise blanche.

Dans la rue, l'air chaud s'engouffrait dans mon décolleté me caressait la poitrine et sans doute aussi le ventre et les cuisses, car j'avais l'impression de le sentir ressortir sous ma robe qui se soulevait et s'agitait...

Nous sommes arrivés au Cinéma, acheté une paire de billet pour aller voir le film romantique très en vogue dans l'actualité.

Quelques personnes étaient déjà présent dans la salle, après avoir privilégié une rangée dans le haut de la salle où il n’y avait personne à gauche et à droite, ainsi que derrière nous, nous avons pris position au centre de l'écran.
Après les pubs, les bandes-annonces commencèrent, la salle s’est obscurcie sous notre baisé de tendresse, peu après, la lumière disparut complétement, et le film a commença, nous nous tenions main dans la main depuis le départ, et puis il me la lacha, pour la laissée glisser au creux de mon entre-jambes, posée sagement sur le tissus frontière avec ma vulve et la peau de ma cuisse, une chaleur humide issus de mon puit réclamait déjà ses caresses, incorrigibles couple de nos désirs, je commençais à lui masser la queue par dessus son jeans, un doigt de sa main caressait le haut de ma fente, à sentir sa tige durcir, j'attrapais ses bourses pour les serrer fort et les malaxer, il grommela de plaisir.
Pendant le générique, plusieurs ombres, des couples et des personnes seules rentraient encore dans la salle, des pas rapides, s’approcher de toute part devant nous, un peu partout, un homme d’environ cinquante-cinq, sa peau de couleur sombre s'engageait dans notre rangée, occupé à se débarrasser de sa veste, il s’installa confortablement à ma droite, bizarrement, il avait tout le loisir de s’asseoir ailleurs mais il avait choisi ce siège, il tourna la tête vers moi, nous nous sommes souris, je doit avouer, son regard m’avait troublé, profond et insistant, parcourant lentement mon corps et malgré que cela n’ai duré que quelques secondes, cela avait suffit à me faire rougir avec même une légère panique naissante, à la promiscuité de nos corps, l’un à coté de l’autre, je ressentais un certain érotisme à cette situation tout en me sentant parfaitement en sécurité avec mon amour, à coté de moi.
C’est bien pour cela que je n’ai même pas réagi lorsque le bras de mon voisin est venu doucement s’appuyer contre le mien en se posant sur l’accoudoir qui nous séparait. Je me sentais bien, et j’ai pris cela comme une suite logique à toute cette situation... lorsque j’ai senti son pied venir contre le mien, je me suis inquiètée de la possible perception de ce voisins, je prenais aussi conscience de la main de Philippe peu visible mais belle est bien occupées à me prodiguer de petit plaisir en titillant continuellement ma fentine qui commençait à vraiment réagir, les jambes malgré tous, peu ouvertes, mais un peu plus largement que la normal, si la personnage à coté de moi se retournait en se penchant légerment en avant, elle n’ignorerait rien de nos agissement sans parler de mon état. Je trouvais cela tout à la fois terriblement osé et dangereux, mais également, ce petit jeu m’avait émoustillée, j'en fus tout à coup profondément troublée bien malgré moi... follement excitée, mon intimité devenait en accord avec mon état cérébrale, j'étais brûlante, je sentais une douce chaleur envahir largement mon bas-ventre tant cette sensation de plaisir donné en chaîne était intense et géniale, ma cyprin prenait inexorablement possession de mon vagin allant même par gravité, baignant légèrement mes lèvres.
Je comprenais très bien que mon manque de réaction, pouvait laisser penser à cet homme, des intentions qui n’était pas les miennes, mon corps comme de notre situation, ne m’avait pas permis de réagir, comme s’il voulait laisser l’excitation m’envahir, ce qui me fit désirer encore plus mon homme , difficile pour moi de séparer mes sentiments.
Ce qui devait arrivé arriva, le voisin préalablement éconduit, pencha sa tête légerment pour voir de plus près nos manigances, je restais de marbre, complètement tétanisée... éssayant par tous les moyens de controler ma respiration, les yeux fixes, terriblement honteuse intérieurement de cette situation, j'ai eu le sentiment que mon amoureux avait également effectué un mouvement de l'avant... tous se bouscula... l'improbable se produisi... une main, autre que celle de mon compagnon, se posa au contact de ma chair, sur le haut de ma cuisse droite... seule ma poitrine se souleva, cherchant à prendre le maximum d'air, le reste semblait de marbre, le noyau en ébullition. Pleine de réflexions intérieur et à la fois incapable de réfléchir, en fin de compte ma respiration s'était accélérée, j'était prête.
Du coin de l'oeil, j'observais mon voisin, fixant l’écran mais visiblement l’attention tendue vers sa gauche, tout en ayant sa main sur ma cuisse, en contact avec ma peau nue. Ma main toujours posé sur la bosse de mon chérie, je la serrais plus fort encore pour l'alerter de la situation, il s’est enfin penché en avant et dans le même temps, c'est tourné vers mon voisin, lui a adressé un petit sourire, puis se penchait vers moi pour déposé un bisou sur mes lèvres... et voilà notre homme a su qu’il pouvait aller plus loin...

Alors que nous ne connaissions pas cet homme, Philippe venais d'approuver son geste, à lui donner son aval... pire, il l'avait encouragé à poursuivre sa progression... j’ai compris que j’étais prête malgré moi à subir ces choses quand mes cuisses se sont ouvertes, comme si je ne pouvais rien y faire, laissant le destin se faire et peut être même… le désirant… à me dire: que cela ce fasse.

Le film sur l’écran, dés lors, n'avait plus grand intérêt et dont j’ai même oublié le titre aujourdui...... A bien trop sentir le petit morceau de tissu s’humidifier entre mes cuisses.
#2126012
Il a commencé à caresser d’une pression aussi douce que ferme ma cuisse du bouts des doigts, remontant à chaque fois un peut plus, jusqu’a venir frôler la finne dentelle qui le séparait de mon intimitée, mon ultime rempart... Mes ressentis s’affolaient une nouvelle fois, sous une envie de le laisser faire... laisser l'envie me submerger... mais aussi peur des conséquences, je recherchais instantanément le regard de mon homme, pas forcément pour lui demander son accord, mais plutôt pour y lire ses émotions, pour partager avec le compagnon de ma vie, le plaisir de passer la ligne rouge.
Braver l’interdit est un plaisir normalement qu’il faut goûter tout doucement, étape par étape, en savourer toutes les subtilités… tout à l’heure les doigts de mon chéri, depuis plusieurs minutes la main inconnue sur la peau nue de mon entre cuisse qu'il frôlait avec délicatesse et me fesait frissonner...
Incidemment, ses doigts se sont immiscer sous la fine dentelle de mon minuscule string libérant au passage l'ouverture de mes lèvres de mon sexe qui transpirait de plaisir, je le sentais trop bien avec la climatiation de l'endroit, je dégoulinais de mes secrétions vaginales , mon intimité devais bailler à ne plus pouvoir retenir cette rivière de plaisir, quelle sensation d'envie extraordinaire de se faire ainsi doigter, j'allais me faire branler le con... et mon bouton à l'entrée de ma caverne attendait impatiament ce contact... avec ce mélange de peur et de plaisir intense, mes yeux se sont fermés, ma tête à basculée en arrière.
Je crois qu’à ce stade des choses, je ne contrôlais plus rien, je ne pensais qu’à ses caresses indécentes, à m'imaginer même me voir avancer le bassin, plus en avant dans le fauteuil, ouvrir mes cuisses, la totalité de mon sexe lisse... et... c'étais fais... je lui offrais ma vulve et ces doigts me fouillaient savamment, transportée dans un autre monde... un monde d'abandon et de jouissance, un enchantement, je manquais totalement de discrétion pour avoir prononcée le prénom de mon homme, comme un appel, comme pour lui faire partager mon désir, comme pour lui demander la permission d’aller plus loin... je tremblais comme une feuille.
J'étais comme hypnotiser, si bien que je ne mettais même pas aperçu avoir posée moi même mes doigts sur son bas ventre, je palpais la bosse épaisse et longue dans le pantalon de notre invité, descendais sa braguette, glissais une main dedans pour en extraire une bite que je trouvais absolument extraordinaire... bite, parce qu'il n'y avait pas d'autres mots, ce morceau de chair brulant était massif et imposant... dégoulinant de tous son long.
Nous qui nous nous imaginions généralement des amants avec de très beaux sexes, en réalité, une grande envie intérieur de ma part, j'ai toujours été impressionnée et d’autant plus émerveillée de visionner ces photos, ces vidéos d'homme très viril.
L'homme me caressait la chatte en feu, plus préscisèment... il déssinait d'un doigt, le pourtour de mes lèvres perlées, Philippe, déplaçait ses mains pour queuillir tendrement mon visage, plongeait ses yeux dans la lueur de la projection dans les miens, ses lèvres... un simple petit baiser puis se reculait, à peine, cherchant nos ame… puis s’approchais de nouveau et cette fois, un long baiser amoureux et passionné, nos lèvres s’ouvraient, nos langues dansait, le baiser dura et enflamma encore plus mes sens... Je perçevais qu’une barrière était tombée au relâchement de la tension sur ma colonne vertébrale, c'étais intime, puissant et dévastateur… mes jambes, elles qui flageolaient, se sont affaissées très légèrement, un signe que ce baiser d'amour avait enclenché un mécanisme secret au plus profond de mon cerveau, le début d’un abandon, comme rassurée et enfin confiante de moi même, de nos fantasmes, le bonheur franchir une étape, tous le reste pouvais suivre désormais, mon corps et mes sens étaient en accords, le lâcher prise était réussi, avec les vagues de plaisir, j’ai perdue toute notion du temps et de la réalité pour me concentrer sur le plaisir, rien que le plaisir. Le plus dur était fait…
#2126416
Les doigts de l'inconnu se mêlaient à au mouvement léger de mon corps, pour une caresse conjuguée, agissement d'un naturel en concert... je participais, j’avais enfin osée, je l'avais saisi, relevé comme un mat, et je l'ai serré très fort dans ma main... l'engin... Je me mordais les lèvres pour essayer de rester la plus discrète et la plus neutre possible, ses doigts agiles fouillaient mon intimité et me faisait mouiller de plus en plus, j'étais au bord de la jouissance, des petits bruits de clapotis émanaient de mon intimité, je mouillais abondamment sous ces doigts qui me fouillaient, cette scène au milieu de cette salle de cinéma et son public qui ignorait tout, c'était absolument délicieux, nous aurions été à la lumière, j'aurais offert un tableau émouvant de mon orchidée épanouie, ruisselante de rosée, posée sur cet écrin de satin rose.
Le premier orgasme me frappa sans prévenir, je laissais filer un râle de contentement voluptueux, liquéfiée sur le velours de mon siège, le bas-ventre secoué de spasmes intenses, agitée de violentes secousses, la volonté folle de m’empaler plus profondément sur lui, je me cabrais sur mon siège à la recherche d'une bite imaginaire, me mordant plus fort pour ne pas crier ma longue jouissance, arrachant de moi-même un son étouffé, il c'est emparés de mon clitoris sensibilisé, serré dans un étau de ces doigts
C'était surréaliste, je branlais un inconnu, mes doigt baignaient dans son liquide pré-séminal, l'entouraient comme une liane sa queue en mouvement de va et vient, le branlais dans les grandes largeurs, le décalottais, le recalottais, refaisais jaillir le gland, lui extirpais les bourses de son sous vêtement, lui soupesais les couilles qui débordaient de la braguette d’une façon très indécente. Tous mes gestes étaient effectués avec émerveillement, prenant un sacré plaisir à branler cette queue que j'admirais...
Mon homme propose de jouer de cette situation dans un large sourire, il me propose donc de me lever, et de nous rendre aux toilettes, après avoir en quelques secondes ajustée ma tenue, attentive à la réaction de notre voisin, d’une allure contrôlée, de ma démarche lente, avec une certaine maîtrise de la situation, j'ai reluquée l’homme de la tête aux pieds puis lui a adressé un discret sourire, belle en mode provocation comme dit Philippe. Nous progressons dans les escaliers, marche devant eux, je sens ces deux mâles me mater sans retenue mon joli petit cul qui s’agite devant mes yeux au fur et à mesure, des marches descendues...
Candaulio a liké

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