- 05 févr. 2018, 19:56
#2125966
Je ne pouvais m'imaginer que l'on puisse aimer quelqu'un et coucher avec un autre, je me croyais incapable de jouir !
Je me retranchais derrière nos fantasmes commun, je ne pensais pas et n'aurait jamais cru que tout pouvais changer, que mon compagnon de vie et du coeur, ai raison sur la différenciation entre le sexe et notre couple.
La journée avait été étouffante et ce vendredi soir s’annonçait assez lourd...
Juchée sur des escarpins à hauts talons, j'avais enfilé pour cette sortie au cinéma avec mon amoureux, une robe saillante et courte, aux épaules dégagées, boutonnée sur le devant, juste quelques boutons ayant été laissés libre volontairement, laissant deviné la base du creux de mes petits seins que l'on devinait parfaits, fermes et bien formées, avec une peau superbe, lisse et tendue, l'ensemble était posée telle un voilure, sur un string minimaliste, je sais que mon homme adore voir mes formes ainsi libérés, accessibles et non-protégés est sa devise, j'aurais aimé avoir la même dénouement pour l'élimination de mon string comme très souvent de son désir, mais le tissus qui recouvrait celui-ci était déjà très limite par sa couvrance.
Le miroir de la salle de bain, reflétait une image de moi-même, très sexy et glamour, à 48 ans, sachant être à la fois sensuelle et coquine, j'était sur d’atteindre mon but, à savoir... l'exciter comme un fou. Quand à Philippe mon Loulou, il s’étais contenté d'un Jeans et d'une chemise blanche.
Dans la rue, l'air chaud s'engouffrait dans mon décolleté me caressait la poitrine et sans doute aussi le ventre et les cuisses, car j'avais l'impression de le sentir ressortir sous ma robe qui se soulevait et s'agitait...
Nous sommes arrivés au Cinéma, acheté une paire de billet pour aller voir le film romantique très en vogue dans l'actualité.
Quelques personnes étaient déjà présent dans la salle, après avoir privilégié une rangée dans le haut de la salle où il n’y avait personne à gauche et à droite, ainsi que derrière nous, nous avons pris position au centre de l'écran.
Après les pubs, les bandes-annonces commencèrent, la salle s’est obscurcie sous notre baisé de tendresse, peu après, la lumière disparut complétement, et le film a commença, nous nous tenions main dans la main depuis le départ, et puis il me la lacha, pour la laissée glisser au creux de mon entre-jambes, posée sagement sur le tissus frontière avec ma vulve et la peau de ma cuisse, une chaleur humide issus de mon puit réclamait déjà ses caresses, incorrigibles couple de nos désirs, je commençais à lui masser la queue par dessus son jeans, un doigt de sa main caressait le haut de ma fente, à sentir sa tige durcir, j'attrapais ses bourses pour les serrer fort et les malaxer, il grommela de plaisir.
Pendant le générique, plusieurs ombres, des couples et des personnes seules rentraient encore dans la salle, des pas rapides, s’approcher de toute part devant nous, un peu partout, un homme d’environ cinquante-cinq, sa peau de couleur sombre s'engageait dans notre rangée, occupé à se débarrasser de sa veste, il s’installa confortablement à ma droite, bizarrement, il avait tout le loisir de s’asseoir ailleurs mais il avait choisi ce siège, il tourna la tête vers moi, nous nous sommes souris, je doit avouer, son regard m’avait troublé, profond et insistant, parcourant lentement mon corps et malgré que cela n’ai duré que quelques secondes, cela avait suffit à me faire rougir avec même une légère panique naissante, à la promiscuité de nos corps, l’un à coté de l’autre, je ressentais un certain érotisme à cette situation tout en me sentant parfaitement en sécurité avec mon amour, à coté de moi.
C’est bien pour cela que je n’ai même pas réagi lorsque le bras de mon voisin est venu doucement s’appuyer contre le mien en se posant sur l’accoudoir qui nous séparait. Je me sentais bien, et j’ai pris cela comme une suite logique à toute cette situation... lorsque j’ai senti son pied venir contre le mien, je me suis inquiètée de la possible perception de ce voisins, je prenais aussi conscience de la main de Philippe peu visible mais belle est bien occupées à me prodiguer de petit plaisir en titillant continuellement ma fentine qui commençait à vraiment réagir, les jambes malgré tous, peu ouvertes, mais un peu plus largement que la normal, si la personnage à coté de moi se retournait en se penchant légerment en avant, elle n’ignorerait rien de nos agissement sans parler de mon état. Je trouvais cela tout à la fois terriblement osé et dangereux, mais également, ce petit jeu m’avait émoustillée, j'en fus tout à coup profondément troublée bien malgré moi... follement excitée, mon intimité devenait en accord avec mon état cérébrale, j'étais brûlante, je sentais une douce chaleur envahir largement mon bas-ventre tant cette sensation de plaisir donné en chaîne était intense et géniale, ma cyprin prenait inexorablement possession de mon vagin allant même par gravité, baignant légèrement mes lèvres.
Je comprenais très bien que mon manque de réaction, pouvait laisser penser à cet homme, des intentions qui n’était pas les miennes, mon corps comme de notre situation, ne m’avait pas permis de réagir, comme s’il voulait laisser l’excitation m’envahir, ce qui me fit désirer encore plus mon homme , difficile pour moi de séparer mes sentiments.
Ce qui devait arrivé arriva, le voisin préalablement éconduit, pencha sa tête légerment pour voir de plus près nos manigances, je restais de marbre, complètement tétanisée... éssayant par tous les moyens de controler ma respiration, les yeux fixes, terriblement honteuse intérieurement de cette situation, j'ai eu le sentiment que mon amoureux avait également effectué un mouvement de l'avant... tous se bouscula... l'improbable se produisi... une main, autre que celle de mon compagnon, se posa au contact de ma chair, sur le haut de ma cuisse droite... seule ma poitrine se souleva, cherchant à prendre le maximum d'air, le reste semblait de marbre, le noyau en ébullition. Pleine de réflexions intérieur et à la fois incapable de réfléchir, en fin de compte ma respiration s'était accélérée, j'était prête.
Du coin de l'oeil, j'observais mon voisin, fixant l’écran mais visiblement l’attention tendue vers sa gauche, tout en ayant sa main sur ma cuisse, en contact avec ma peau nue. Ma main toujours posé sur la bosse de mon chérie, je la serrais plus fort encore pour l'alerter de la situation, il s’est enfin penché en avant et dans le même temps, c'est tourné vers mon voisin, lui a adressé un petit sourire, puis se penchait vers moi pour déposé un bisou sur mes lèvres... et voilà notre homme a su qu’il pouvait aller plus loin...
Alors que nous ne connaissions pas cet homme, Philippe venais d'approuver son geste, à lui donner son aval... pire, il l'avait encouragé à poursuivre sa progression... j’ai compris que j’étais prête malgré moi à subir ces choses quand mes cuisses se sont ouvertes, comme si je ne pouvais rien y faire, laissant le destin se faire et peut être même… le désirant… à me dire: que cela ce fasse.
Le film sur l’écran, dés lors, n'avait plus grand intérêt et dont j’ai même oublié le titre aujourdui...... A bien trop sentir le petit morceau de tissu s’humidifier entre mes cuisses.
Je me retranchais derrière nos fantasmes commun, je ne pensais pas et n'aurait jamais cru que tout pouvais changer, que mon compagnon de vie et du coeur, ai raison sur la différenciation entre le sexe et notre couple.
La journée avait été étouffante et ce vendredi soir s’annonçait assez lourd...
Juchée sur des escarpins à hauts talons, j'avais enfilé pour cette sortie au cinéma avec mon amoureux, une robe saillante et courte, aux épaules dégagées, boutonnée sur le devant, juste quelques boutons ayant été laissés libre volontairement, laissant deviné la base du creux de mes petits seins que l'on devinait parfaits, fermes et bien formées, avec une peau superbe, lisse et tendue, l'ensemble était posée telle un voilure, sur un string minimaliste, je sais que mon homme adore voir mes formes ainsi libérés, accessibles et non-protégés est sa devise, j'aurais aimé avoir la même dénouement pour l'élimination de mon string comme très souvent de son désir, mais le tissus qui recouvrait celui-ci était déjà très limite par sa couvrance.
Le miroir de la salle de bain, reflétait une image de moi-même, très sexy et glamour, à 48 ans, sachant être à la fois sensuelle et coquine, j'était sur d’atteindre mon but, à savoir... l'exciter comme un fou. Quand à Philippe mon Loulou, il s’étais contenté d'un Jeans et d'une chemise blanche.
Dans la rue, l'air chaud s'engouffrait dans mon décolleté me caressait la poitrine et sans doute aussi le ventre et les cuisses, car j'avais l'impression de le sentir ressortir sous ma robe qui se soulevait et s'agitait...
Nous sommes arrivés au Cinéma, acheté une paire de billet pour aller voir le film romantique très en vogue dans l'actualité.
Quelques personnes étaient déjà présent dans la salle, après avoir privilégié une rangée dans le haut de la salle où il n’y avait personne à gauche et à droite, ainsi que derrière nous, nous avons pris position au centre de l'écran.
Après les pubs, les bandes-annonces commencèrent, la salle s’est obscurcie sous notre baisé de tendresse, peu après, la lumière disparut complétement, et le film a commença, nous nous tenions main dans la main depuis le départ, et puis il me la lacha, pour la laissée glisser au creux de mon entre-jambes, posée sagement sur le tissus frontière avec ma vulve et la peau de ma cuisse, une chaleur humide issus de mon puit réclamait déjà ses caresses, incorrigibles couple de nos désirs, je commençais à lui masser la queue par dessus son jeans, un doigt de sa main caressait le haut de ma fente, à sentir sa tige durcir, j'attrapais ses bourses pour les serrer fort et les malaxer, il grommela de plaisir.
Pendant le générique, plusieurs ombres, des couples et des personnes seules rentraient encore dans la salle, des pas rapides, s’approcher de toute part devant nous, un peu partout, un homme d’environ cinquante-cinq, sa peau de couleur sombre s'engageait dans notre rangée, occupé à se débarrasser de sa veste, il s’installa confortablement à ma droite, bizarrement, il avait tout le loisir de s’asseoir ailleurs mais il avait choisi ce siège, il tourna la tête vers moi, nous nous sommes souris, je doit avouer, son regard m’avait troublé, profond et insistant, parcourant lentement mon corps et malgré que cela n’ai duré que quelques secondes, cela avait suffit à me faire rougir avec même une légère panique naissante, à la promiscuité de nos corps, l’un à coté de l’autre, je ressentais un certain érotisme à cette situation tout en me sentant parfaitement en sécurité avec mon amour, à coté de moi.
C’est bien pour cela que je n’ai même pas réagi lorsque le bras de mon voisin est venu doucement s’appuyer contre le mien en se posant sur l’accoudoir qui nous séparait. Je me sentais bien, et j’ai pris cela comme une suite logique à toute cette situation... lorsque j’ai senti son pied venir contre le mien, je me suis inquiètée de la possible perception de ce voisins, je prenais aussi conscience de la main de Philippe peu visible mais belle est bien occupées à me prodiguer de petit plaisir en titillant continuellement ma fentine qui commençait à vraiment réagir, les jambes malgré tous, peu ouvertes, mais un peu plus largement que la normal, si la personnage à coté de moi se retournait en se penchant légerment en avant, elle n’ignorerait rien de nos agissement sans parler de mon état. Je trouvais cela tout à la fois terriblement osé et dangereux, mais également, ce petit jeu m’avait émoustillée, j'en fus tout à coup profondément troublée bien malgré moi... follement excitée, mon intimité devenait en accord avec mon état cérébrale, j'étais brûlante, je sentais une douce chaleur envahir largement mon bas-ventre tant cette sensation de plaisir donné en chaîne était intense et géniale, ma cyprin prenait inexorablement possession de mon vagin allant même par gravité, baignant légèrement mes lèvres.
Je comprenais très bien que mon manque de réaction, pouvait laisser penser à cet homme, des intentions qui n’était pas les miennes, mon corps comme de notre situation, ne m’avait pas permis de réagir, comme s’il voulait laisser l’excitation m’envahir, ce qui me fit désirer encore plus mon homme , difficile pour moi de séparer mes sentiments.
Ce qui devait arrivé arriva, le voisin préalablement éconduit, pencha sa tête légerment pour voir de plus près nos manigances, je restais de marbre, complètement tétanisée... éssayant par tous les moyens de controler ma respiration, les yeux fixes, terriblement honteuse intérieurement de cette situation, j'ai eu le sentiment que mon amoureux avait également effectué un mouvement de l'avant... tous se bouscula... l'improbable se produisi... une main, autre que celle de mon compagnon, se posa au contact de ma chair, sur le haut de ma cuisse droite... seule ma poitrine se souleva, cherchant à prendre le maximum d'air, le reste semblait de marbre, le noyau en ébullition. Pleine de réflexions intérieur et à la fois incapable de réfléchir, en fin de compte ma respiration s'était accélérée, j'était prête.
Du coin de l'oeil, j'observais mon voisin, fixant l’écran mais visiblement l’attention tendue vers sa gauche, tout en ayant sa main sur ma cuisse, en contact avec ma peau nue. Ma main toujours posé sur la bosse de mon chérie, je la serrais plus fort encore pour l'alerter de la situation, il s’est enfin penché en avant et dans le même temps, c'est tourné vers mon voisin, lui a adressé un petit sourire, puis se penchait vers moi pour déposé un bisou sur mes lèvres... et voilà notre homme a su qu’il pouvait aller plus loin...
Alors que nous ne connaissions pas cet homme, Philippe venais d'approuver son geste, à lui donner son aval... pire, il l'avait encouragé à poursuivre sa progression... j’ai compris que j’étais prête malgré moi à subir ces choses quand mes cuisses se sont ouvertes, comme si je ne pouvais rien y faire, laissant le destin se faire et peut être même… le désirant… à me dire: que cela ce fasse.
Le film sur l’écran, dés lors, n'avait plus grand intérêt et dont j’ai même oublié le titre aujourdui...... A bien trop sentir le petit morceau de tissu s’humidifier entre mes cuisses.