- 23 déc. 2017, 00:01
#2111074
A l'Espiguette, nous allons chaque année nous étaler en plage naturiste. Le bronzage intégral ainsi que la baignade nue, procure des sensations des plus agréables, liberté, et communion avec les éléments, air, eau, soleil….
Nous étions cette fois-ci un peu à l'écart du bord de plage... Si vous connaissez, à la limite du sable et des dunes plus hautes, il y a quelques espaces sablonneux entourés de touts petits buissons d'une trentaine de cm de haut. Espèce de petits bunkers tels qu’on en voit sur les terrains de golf au grand désespoir des piètres joueurs.
Nous bronzions nus cote à cote, main dans la main, tels des amoureux modèles. Comme bien souvent, des hommes seuls s’installent sans trop se cacher, espérant assister à quelques ébats amoureux, certains sans doute fantasmant sur le fait de pouvoir y participer.
Deux voyeurs justement s'étaient installés cette fois-là à environ deux trois mètres de nous à peine masqué par les épineux.
Pourquoi ce jour-là, c’est un mystère ? Mais ma salope serre alors un peu plus fort ma main et les ayant sans doute aperçu, tellement leur discrétion laissait à désirer, entreprend de me caresser mollement, allant et venant la main à plat sur mon ventre faisant rouler ma queue négligemment sous sa paume. Surpris d’une telle sollicitude, mais vif à réagir, l’afflux sanguins fait rapidement prendre à ma queue une forme beaucoup moins passive.
Ne voulant pas être en reste, je réponds illico effleurant avec la même légèreté son sein, son ventre et sa chatte lisse. Je fais rouler le clito de mon épouse entre mes doigts et ouvre à la vue des voyeurs sa vulve brillante.
D’un œil, je reluque nos deux types qui ont l’air de trouver le spectacle à leur gout. L’un deux se rapproche en rampant et s’installe sur le côté un peu plus près, à environ un mètre face à nous. Bien dans l’axe, il profite du couple devant lui se caressant mutuellement. Je glisse à l’oreille de ma pute de luxe qu’un type tout près à l’œil rivé sur sa chatte et se rapproche dangereusement.
Ma bien aimée (et bien baisée, j’espère qu’elle pense ça !) se retourne alors à plat ventre en remontant son genou droit le plus haut possible près de sa poitrine, laissant béante sa chatte.... Inutile de vous dire qu'elle s'était tournée de manière à offrir la vision de sa vulve à celui qui était au plus près, sans quitter ma queue de sa main…
Je lui glisse une main sous le ventre et entreprends son mont de Vénus et son clito.... Cette grosse chaude commence à répondre à mes invitations,, son souffle devient plus rapide et son bassin et son cul remuent imperceptiblement.
Là, le voyeur qui était à un mètre s'allonge et rapproche son visage à, allez, environ 40 cm des fesses de ma douce.
Je le dis à ma femme: "Le mec derrière toi, s'est rapproché tout près de ta chatte, tu veux te faire brouter, salope ?".
En guise de réponse, elle soulève légèrement ses fesses. Invitant à la fois l'homme à en voir plus et m'invitant moi à en montrer plus au voyeur. Tout en continuant à la branler de la main gauche, je passe ma main droite sur le dessus de ses fesses et lui écarte le cul ouvrant bien sa chatte déjà humide et son cul.
Le type, se rapproche encore, il est jeune, une petite trentaine. Son nez est à quelques cm des lèvres humides de ma femme, il pourrait sortir sa langue et goûter sa moiteur, mais non, il semble hypnotisé par la chatte de cette pute qui gémit de moins en moins discrètement. D'autres voyeurs se sont ajouté aux deux du début (environ 5 autres) tous se ébranlent avec plus ou moins d'ardeur. Je raconte tout ça à ma salope qui a toujours le visage enfoui dans sa serviette.
"Tu as un jeune couché tout près de ta chatte ma chérie, il pourrait te lécher facilement.... Il y a 5 autres types qui matent ton cul dont l'un a une super grosse bite, ils se branlent tous derrière toi"
Ses gémissements deviennent plus sonores, je sens qu'elle va bientôt atteindre l'orgasme. Elle recule un peu comme si elle voulait la bouche du petit jeune. Mais celui-ci ne l'attend pas, dans un râle il jouit en annonçant des « oui oui oui c'est bon ! » puis se retire, merci dit-il.
Celui qui a une grosse bite vient prendre d’autorité sa place, il se met à genou dans l'axe du corps de ma salope. Il a vraiment un bel engin, je l'annonce à ma douce: " la grosse queue est à genou juste au-dessus de ton cul"
Pour toute réponse elle hisse son beau cul le plus haut qu'elle peut dans cette position inconfortable, elle amène ses fesses au contact de la peau chaude de la bite du type et imprime à son bassin un mouvement de haut en bas, branlant dans sa raie l’inconnu derrière elle.
Celui-ci appuie sur sa queue avec sa main, profitant du massage fessier. Il incline sa tête en arrière, ça va pas mal pour lui…..
Ma salope a quitté ma queue pour se caresser les seins, son bassin bouge de plus en plus vite.
Je la branle toujours et écarte bien son vagin, le gland du mec frotte maintenant ses lèvres bien ouvertes. Elle mouille tellement que le gland rouge de l’inconnu est brillant de cyprine alors qu’il ne s’est pas encore introduit dans sa chatte....
Elle se met alors à trembler ponctuant ses spasme de "ah, aaahh, oui, oui, je viens, aaaah". La grosse bite du type frotte en même temps qu'elle jouit, son cul de salope et il crache aussi son foutre sur son cul, son dos, jusque vers son cou....
Sous les applaudissements traditionnels en ces circonstances, ma femme s’écroule à plat ventre sur sa serviette….. Indifférentes aux hommes qui se détournent un par un, en particulier celui qui a jouit sur elle et qui lui dépose un baiser dans les cheveux, elle s’endort peu après….
Nous étions cette fois-ci un peu à l'écart du bord de plage... Si vous connaissez, à la limite du sable et des dunes plus hautes, il y a quelques espaces sablonneux entourés de touts petits buissons d'une trentaine de cm de haut. Espèce de petits bunkers tels qu’on en voit sur les terrains de golf au grand désespoir des piètres joueurs.
Nous bronzions nus cote à cote, main dans la main, tels des amoureux modèles. Comme bien souvent, des hommes seuls s’installent sans trop se cacher, espérant assister à quelques ébats amoureux, certains sans doute fantasmant sur le fait de pouvoir y participer.
Deux voyeurs justement s'étaient installés cette fois-là à environ deux trois mètres de nous à peine masqué par les épineux.
Pourquoi ce jour-là, c’est un mystère ? Mais ma salope serre alors un peu plus fort ma main et les ayant sans doute aperçu, tellement leur discrétion laissait à désirer, entreprend de me caresser mollement, allant et venant la main à plat sur mon ventre faisant rouler ma queue négligemment sous sa paume. Surpris d’une telle sollicitude, mais vif à réagir, l’afflux sanguins fait rapidement prendre à ma queue une forme beaucoup moins passive.
Ne voulant pas être en reste, je réponds illico effleurant avec la même légèreté son sein, son ventre et sa chatte lisse. Je fais rouler le clito de mon épouse entre mes doigts et ouvre à la vue des voyeurs sa vulve brillante.
D’un œil, je reluque nos deux types qui ont l’air de trouver le spectacle à leur gout. L’un deux se rapproche en rampant et s’installe sur le côté un peu plus près, à environ un mètre face à nous. Bien dans l’axe, il profite du couple devant lui se caressant mutuellement. Je glisse à l’oreille de ma pute de luxe qu’un type tout près à l’œil rivé sur sa chatte et se rapproche dangereusement.
Ma bien aimée (et bien baisée, j’espère qu’elle pense ça !) se retourne alors à plat ventre en remontant son genou droit le plus haut possible près de sa poitrine, laissant béante sa chatte.... Inutile de vous dire qu'elle s'était tournée de manière à offrir la vision de sa vulve à celui qui était au plus près, sans quitter ma queue de sa main…
Je lui glisse une main sous le ventre et entreprends son mont de Vénus et son clito.... Cette grosse chaude commence à répondre à mes invitations,, son souffle devient plus rapide et son bassin et son cul remuent imperceptiblement.
Là, le voyeur qui était à un mètre s'allonge et rapproche son visage à, allez, environ 40 cm des fesses de ma douce.
Je le dis à ma femme: "Le mec derrière toi, s'est rapproché tout près de ta chatte, tu veux te faire brouter, salope ?".
En guise de réponse, elle soulève légèrement ses fesses. Invitant à la fois l'homme à en voir plus et m'invitant moi à en montrer plus au voyeur. Tout en continuant à la branler de la main gauche, je passe ma main droite sur le dessus de ses fesses et lui écarte le cul ouvrant bien sa chatte déjà humide et son cul.
Le type, se rapproche encore, il est jeune, une petite trentaine. Son nez est à quelques cm des lèvres humides de ma femme, il pourrait sortir sa langue et goûter sa moiteur, mais non, il semble hypnotisé par la chatte de cette pute qui gémit de moins en moins discrètement. D'autres voyeurs se sont ajouté aux deux du début (environ 5 autres) tous se ébranlent avec plus ou moins d'ardeur. Je raconte tout ça à ma salope qui a toujours le visage enfoui dans sa serviette.
"Tu as un jeune couché tout près de ta chatte ma chérie, il pourrait te lécher facilement.... Il y a 5 autres types qui matent ton cul dont l'un a une super grosse bite, ils se branlent tous derrière toi"
Ses gémissements deviennent plus sonores, je sens qu'elle va bientôt atteindre l'orgasme. Elle recule un peu comme si elle voulait la bouche du petit jeune. Mais celui-ci ne l'attend pas, dans un râle il jouit en annonçant des « oui oui oui c'est bon ! » puis se retire, merci dit-il.
Celui qui a une grosse bite vient prendre d’autorité sa place, il se met à genou dans l'axe du corps de ma salope. Il a vraiment un bel engin, je l'annonce à ma douce: " la grosse queue est à genou juste au-dessus de ton cul"
Pour toute réponse elle hisse son beau cul le plus haut qu'elle peut dans cette position inconfortable, elle amène ses fesses au contact de la peau chaude de la bite du type et imprime à son bassin un mouvement de haut en bas, branlant dans sa raie l’inconnu derrière elle.
Celui-ci appuie sur sa queue avec sa main, profitant du massage fessier. Il incline sa tête en arrière, ça va pas mal pour lui…..
Ma salope a quitté ma queue pour se caresser les seins, son bassin bouge de plus en plus vite.
Je la branle toujours et écarte bien son vagin, le gland du mec frotte maintenant ses lèvres bien ouvertes. Elle mouille tellement que le gland rouge de l’inconnu est brillant de cyprine alors qu’il ne s’est pas encore introduit dans sa chatte....
Elle se met alors à trembler ponctuant ses spasme de "ah, aaahh, oui, oui, je viens, aaaah". La grosse bite du type frotte en même temps qu'elle jouit, son cul de salope et il crache aussi son foutre sur son cul, son dos, jusque vers son cou....
Sous les applaudissements traditionnels en ces circonstances, ma femme s’écroule à plat ventre sur sa serviette….. Indifférentes aux hommes qui se détournent un par un, en particulier celui qui a jouit sur elle et qui lui dépose un baiser dans les cheveux, elle s’endort peu après….
stp a liké
