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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Finamor
#2072606
Bonjour. Pour compléter ma présentation, je synthétise ici le récit de notre histoire, débuté sur un autre site.

Ma compagne veut me tromper avec une femme

Nous avons tous deux 37 ans et sommes ensemble et fidèles depuis 15 ans.
Nous exerçons des professions intellectuelles et apprécions le savoir, la culture et un peu de perversion.
Ces dernières années, nos rapports se sont espacés, puis presque arrêtés. A plusieurs reprises, j'ai proposé d'ouvrir notre couple à des expérience libertines, voire candaulistes.
La voir avec un homme était en effet un désir profond, d'autant qu'elle confessait apprécier les hommes plus âgés qu'elle, pour peu qu'ils soient bien conservés et raffinés, mais aussi la virilité des "bad boys".

Je fus donc surpris quand elle me demanda un jour si je serais gêné qu'elle prenne pour maîtresse une collègue plus jeune qu'elle.
A la fois excité et humilié, je donnais bien sûr mon accord. Ma seule condition fut d'obtenir des récits après chaque rencontre. Les choses allèrent vite. Trop vite, peut-être.
Il ne fallu qu'une semaine pour qu'elle invite sa collègue, mariée depuis peu, chez nous, un soir où mon travail m'avait tenu éloigné, afin de conclure une séduction déjà commencée depuis plusieurs mois (ce que j'ignorais).
Au courant de l'entrevue mais sans nouvelles, je passais une nuit excitante et douloureuse à me masturber.

La relation s'installe

Elles se voyaient donc presque tous les jours sur leur lieu de travail.
Parfois, quand le mari de son amante était absent, ou que je devais passer la nuit à l'étranger, elles passaient une nuit ensemble.
J'étais très excité par la situation et le corps de Virginie me devenait à nouveau l'une des choses les plus désirables au monde.
De son côté, Virginie était dans une excitation presque continuelle, et il suffisait de la toucher ou de lui parler de ses tromperies pour qu'elle mouille immédiatement et s'ouvre à mon sexe. Nos rapports n'avaient jamais été si simples et si excitants. C'étaient aussi les seuls moments où Virginie consentait à me donner des détails. En dehors du sexe, elle se fermait et me disait juste quand je la suppliais de m'en dire plus : "je te trompe, je me sens un peu coupable, mais c'est comme ça. Tu es cocu. Et quitte moi si ça ne te va pas".
Un jour que je lui massais les jambes et les pieds, elle me confia pourtant : "on s'est demandées quoi faire d'autre. Les doigts et la langue ne nous suffisent plus".
"Tu veux dire que vous allez vous pénétrer avec des godes?" demandais-je?
"Non, répondit-elle. C'est moi qui vais la pénétrer".
J'appris ainsi qu'elles avaient cherché longuement sur internet un objet pour leur plaisir et avaient fini par commander un petit gode ceinture, composé d'un harnais et d'un pénis de couleur chaire.
Je la pris, ce jour là avec une violence que décuplaient mon excitation et mon humiliation. Elle reçut mon sperme avec ou sourire ironique. Me retirant, je contemplais, fasciné ce trou qui n'avait appartenu qu'à moi pendant des années et dont j'avais soudain le sentiment d'avoir trop peu profité. On ne sait ce qu'on perd que quand il est trop tard, sans doute. Ses poils, englués de mouille et de foutre, étaient beaux et mieux taillés qu'à l'accoutumée. Elle m'avoua que son amante lui avait fait la leçon et les taillait maintenant régulièrement tout en maintenant un joli triangle noir.
Elle me dit qu'en dépit du retour entre nous de l'érotisme, j'étais impuissant à lui procurer autant d'excitation et de plaisir que sa jeune maîtresse. Ce fut un coup au cœur.
Quelques jours plus tard, le gode arriva enfin. Virginie l'essaya devant moi. Je lui avais aussi acheté un petit ensemble string - soutien gorge ajouré qu'elle mis, avant de passer une robe pour aller passer la nuit chez son amante.
La soirée fut difficile. Je me branlais plusieurs fois en les imaginant ensemble. Vers 23h00, j'eu un SMS : "Je l'ai prise. Elle a adoré et a beaucoup couiné de plaisir. Bises et à demain". Inutile de dire que je dormis peu. Je ne la revis que le lendemain soir, au retour du boulot. Elle me repoussa quand je voulu l'étreindre et me dit : "ça sera pour tout à l'heure. Et tu me masseras les pieds pendant que je te raconterai. Après, peut-être, tu pourras me baiser". Ainsi fut fait.
Suite bientôt, si plusieurs sont intéressés.

L'emprise de Chloé

Je tolérais de plus en plus mal de savoir si peu de choses. Virginie continuait de voir son amante tous les jours. Je continuais de la prendre vigoureusement tous les soirs avec l'énergie du désespoir et du dépit. Elle aimait cela mais répétait sans cesse: "tu sais, ça n'est pas toi. C'est juste que je suis humide tout le temps en ce moment". Et en effet, elle mouillant tant que je nageait littéralement en elle. Son amante se mettant entre nous à chaque instant, tout en décuplant nos désirs.
Au bout de quelques semaines, j'exigeais de la rencontrer, ce que Virginie accepta. La rencontre se fit pendant la pause du midi, dans un square. J'attendais sur un banc, quand une jolie jeune fille brune, coiffée à la garçonne s'assit près de moi. Lisant l'interrogation dans mes yeux, elle me dit directement :"oui, c'est moi qui baise ta femme".
C'est ainsi que je fis la connaissance de Chloé.

Je me pris la première phrase de Cloé comme une claque. Son regard noir, la moue de sa lèvre disait la confiance qu'elle avait en sa supériorité, en sa capacité, si elle l'avait souhaité, de m'arracher Virginie.
Les premiers échanges furent embarrassés... Très vite, elle compris qu'il n'y avait ni larmoiement, ni hostilité dans ma démarche. Elle se détendit.
Je lui dit qu'elle était la bienvenue chez nous. Qu'elle pouvait venir quand elle le voulait. Elle m'en remercia et me dit à quel point elle était obsédée par Virginie et son corps, son sexe... A quel point elle aimait aussi que Virginie soit à elle. Elle me dit aussi sa difficulté par rapport à son mariage et à ce carcan qu'elle découvrait trop étroit.
Son mari ne savait pas et ne saurait sans doute pas.
Mon regard s'attarda sur le corps de ma rivale. Elle était gracile, petite, presqu'enfantine. Elle s'était habillée avec un goût sûr mais discret, sans souci de plaire. Un jean très moulant mettait en valeur ses fesses musclées et ses hanches fines. Sous un pull coloré , on devinait la forme de ses seins, pleins et en forme de poire. Elle saisit mes yeux sur sa poitrine et me dit : "je ne mets pas de soutien-gorge.. Je me sens corsetée. Quand je porte des robes, je ne mets pas non plus de culotte, depuis que je connais Virginie. Elle aime avoir accès à mon sexe". Je en répondais que par monosyllabes et bafouillements, impressionné par l'aplomb de cette fille si jeune qui me cocufiait si naturellement. A la fin de notre entretien, elle me tendit sa joue pour que j'y pose un baiser sans qu'elle ne daigne y répondre. Elle me dit : "je pense que Virginie va me prendre bientôt avec notre gode". J'espère que tu le supporteras".
J'appris plus tard qu'elles avaient déjà déniché des coins sombres, dans les archives ou certains escaliers, où personne ne passait jamais afin de se voir et de se toucher.
J'envoyais un texto à Virginie : "je crois que ca s'est bien passé. Elle est belle".
Virginie répondit immédiatement : "elle n'a pas été trop brutale avec toi? A ce soir".
Elle se sont vues le lendemain chez Chloé, toute la journée. Virginie me dit plus tard qu'elle n'avait jamais eu autant de plaisir qu'en prenant sa maîtresse avec ce gode si vulgaire. Chloé aimait être fessée et insultée, baisée violemment... Et Virginie aimait tant la prendre... Quand elle rentra j'eu le droit de la léchet jusqu'à la faire jouir. Mais quand je voulu la pénétrer elle me dit juste "mon clitoris est irrité. Pas ce soir. Tu sais que Chloé a la priorité". J'allais dans la chambre d'ami me coucher et me masturber.
Seul, les doigts dégoûtant d'un sperme inutile, je pleurais de douleur et de désir.
#2072663
Très agréable à lire et intéressant car ce n'est pas si courant, ici, d'être en "concurrence" avec une autre femme.
Vivement la suite. :D
#2072748
Devenir voyeur?

Très vite, elles ne purent plus se passer de leur gode. Elles en achetèrent d'autres, de plusieurs tailles et de couleurs différentes.
Virginie en avait toujours un sur elle. Elles achetèrent aussi à Virginie un shorty sur lequel les godes pouvaient s'adapter, plus commode que le harnais.
Nous décidâmes de tester les godes ensemble, à mesure qu'ils arrivaient chez nous.
Patiemment, j'enduisais ces engins monstrueux de lubrifiant, pour essayer de forcer la chatte de Virginie, préalablement léchée.
Ce qui était étrange, c'est que Virginie n'acceptait la pénétration que de ma part. Elle répugnait à ce que Chloé la prenne. C'est elle qui était le "mâle", en quelque sorte. Elle disait aimer prendre Chloé par les hanches et la pilonner en levrette, à la manière des chiens. Tous les soirs, j'avais un récit de ce qui advenait entre elles. susurré par Virginie pendant que je lui massais les pieds. Ces massages devinrent vite un rituel, presqu'une soumission. Quand elle avait fini je la pénétrais violemment en lui demandant "pourquoi me fais tu cocu? Pourquoi? Comment peux-tu me faire ça?". Elle ne répondait pas mais je la sentais plus humide sous ces mots. Elle se contentait de me regarder avec de grands yeux, et de laisser échapper quelques gémissements par sa bouche ouverte. Elle m'embrassait moins. "Tu comprends, j'aime embrasser Chloé".

A leur boulot, elles arrivaient tôt pour avoir le temps d'un coup rapide dans leur bureau. Virginie prenait Chloé sur une table ou dans les toilettes.
Souvent, dans la journée, elles s'enfermaient ensemble ou s'éclipsaient à l'heure du déjeuner. Certains se mirent à se douter de quelque chose. Dans la rue, Chloé aimait marquer sa possession en prenant Virginie par la main et en la caressant sous ses sous-vêtements au restaurant comme dans des parcs. Elles voulurent aussi aller ensemble au cinéma ou au théâtre, comme un vrai couple.

Je supportais mal cette situation. Je voulais tout savoir et elle était parfois lasse de mes questions. Je lui dit un jour que j'aimerais par dessus tout les voir ensemble. Elle se ferma et ne dit rien. Plus tard elle me dit "je ne pense pas que tu supporteras de voir à quel point j'ai avec elle un plaisir que tu es incapable de me donner. Je suis très différente avec elle." Elle pensait trop risqué pour notre couple de me montrer le spectacle de leur jouissance. J'insistais. Un jour, elle me dit "j'en ai parlé à Chloé. Je ne comprends pas mais ça l'excite. Je l'inviterai à dîner la semaine prochaine et on verra si on a envie de baiser devant toi. SI c'est trop pour toi, tu quitteras la chambre".
J'aurais accepté n'importe quelle condition pour avoir droit à ce spectacle. Chloé vint donc un soir de la semaine suivante. Elle avait la chance que son mari fut souvent absent.
C'est moi qui me mis au fourneau et qui alla choisir dans la cave l'une de mes meilleures bouteilles. Il faisait beau. Le dîner fut léger et paisible, avec peu de mots mais sans qu'il n'y ai de malaise entre nous. Je devinais que sous la table, peurs pieds se frôlaient. Nous sortîmes après dîner sur la terrasse pour fumer une cigarette. Virginie me demander de leur servir cocktail. Je rentrais m'affairer. Quand je revins, je remarquait qu'elles s'étaient rapprochées l'une de l'autre. Chloé caressait la cuisse de Virginie. Elles ne me virent pas arriver avec les verres et s'embrassèrent profondément. Inutile de dire que mon érection était presque douloureuse. Je posais leurs boissons devant elles. ELles se séparèrent, rougissantes. J'aurais donné beaucoup pour goûter sur les lèvres de Virginie le goût de Chloé.
Prenant son verre, Chloé rentra afin de téléphoner à son voyageur de mari et lui souhaiter une bonne nuit. Nous restions avec Virginie sur la terrasse, désormais plongée dans la pénombre du soir. Je glissais ma main sous sa robe et pu constater que son entrejambe était humide comme jamais. Je fis glisser sa culotte par terre, puis la pris par la main pour la mener à l'intérieur. Je confiais ensuite sa main à Chloé qui me regarda d'un air moqueur et l'entraîna vers notre chambre.

Suite plus tard!
#2072971
Magnifique récit, tellement bien raconté que j'arrive presque à ressentir ce que tu as pu ressentir, douleur, jalousie, envie, excitation, tout cela entremêlé comme un cocktail explosif... Hate de lire la suite
#2073405
Basculement

La porte de notre chambre se referma sur elles.
Je demeurais seul, bras ballants dans le salon. Comme un automate, je me mis à ranger les verres. Je ramassais, sur la terrasse, la culotte abandonnée de Virginie avant de la porter à mon nez et à mes lèvres. Elle était encore humide de son désir et odorante.
De la chambre, ne me parvenaient que des rires et des bruits étouffés.
Je m'apprêtais tristement à me coucher et à les laisser seules. J'avais accepté cette éventualité et je sentais une violente et honteuse érection à l'idée d'être rejeté sur le canape pendant qu'elles se donnaient du plaisir.
C'est alors que je sentis mon téléphone vibrer. SMS de Virginie : "Tu peux nous rejoindre. Ne fais pas de bruit. Mets toi sagement sur la chaise".
Je fus envahi par une excitation encore plus violente et une joie sans limite.
Quand j'ouvris la porte à verre dépoli de la chambre, je vis leurs deux corps nus enlacés. La peau mate de Chloé contrastait avec celle, très blanche de Virginie, sur laquelle se détachait un pubis fourni aux poils noirs et humides. De Chloé, je ne voyais que les fesses rebondies et la taille fine. Elles s'embrassaient langoureusement dans une pénombre éclairée par la lumière pâle de trois bougies. Je vis qu'une chaise de paille avait été disposée juste à côté du lit. Je me rendis compte qu'elles avaient sans doute scénarisé tout cela entre elles.
De cette chaise, je me trouvais à moins d'1 mètre de leurs corps entremêlés. Je voyais la femme que j'aime bouche à bouche avec une autre, dans une étreinte passionnée.
Leurs doigts trouvaient leurs vagins humides et leurs mouvements déclenchaient de discrets clapotis et des soupirs d'extase.
Puis Virginie saisit Chloé par la taille et la bascula sous elle. Doucement elle embrassa sa poitrine, son ventre, avant de coller sa bouche sur son sexe. Ce cunnilingus dura bien 10 minutes, durant lesquelles le visage de Chloé se déformait progressivement pour exprimer une jouissance toujours plus grande.
Virginie me fit du doigt signe d'approcher. Quittant la chatte de son amante elle m'embrassa profondément, le visage et les lèvres humides de la mouille odorante de Chloé. Je fis mine de lui caresser les hanches mais elle donna sur ma main une tape impérieuse et me dit : "chut. Pas touche". Je retournais sur la chaise comme un chien a sa niche, la bouche et la barbe pleines de sa salive et des secrétions de son amante. Puis Chloé entrepris de lécher avec passion le sexe béant de Virginie. Je voyais, à travers ses poils, le clitoris darder sous les coups de langue. Il fallu de nombreuses minutes pour que Virginie se mit à jouir longuement, secouée de spasmes répétés.

Elle enfila ensuite un harnais et y plaça un gode de belle taille. J'aurais aimé, à cet instant le saisir et l'enduire, pour elles, de lubrifiant. Ce fut Chloé qui s'en chargea.
Elles me jetèrent en même temps un regard qui me transperça, ou pointait à la fois la perversité, le sadisme et une grande tendresse. Puis Virginie s'enfonça doucement en Chloé. Leur étreinte fut longue, intense et presque bestiale. Que ceux qui préfèrent penser que les femmes ensemble ne se pénètrent pas et ont des relations faites uniquement de caresses et de baisers ne soient jamais témoins d'une scène pareille. Chloé fut prise en missionnaire, puis en levrette, avec vigueur et presqu'avec rage. De ma chaise, je voyais son plaisir montrer à mesure que ses cris devenaient plus sonores. Virginie ne la quittait pas des yeux, jouissant du plaisir qu'elle donnait. Mon sexe me faisait mal et je commençais à me masturber sous mon pantalon, sans oser le sortir. La jouissance de Chloé me transperça. Virginie la contempla, interne sous elle en souriant. Elle l'embrassa. Chloé, se remettant doucement de son orgasme répondit à son baiser. Elles se caressaient.
C'est là qu'un basculement se produit. Chloé, toujours étendue, pris ma main et la posta sur son sein. Toujours habillé, je parcourais leurs corps où perlait un peu de la sueur de l'étreinte. Je me retrouvais entre leurs jambes, à voir leurs doits disparaître dans leurs deux sexes. Puis Virginie, toujours surplombant Chloé, approcha son bassin des levres de son amante pour un ultime cunnilingus. C'est alors que je sentis les pieds de Chloé qui poussaient ma tête vers son entrejambe. Je me sentis autorisé à la lécher. Au bout de quelques instants, tout à son plaisir, Chloé abandonna le sexe de Virginie, concentrée sur ce que je faisais subir à sa chatte. Elle poussait de petits cris aigus et fini par jouir une seconde fois, m'inondant presque le visage de son plaisir. En levant la tête, je vit le regard noir de Virginie, chargé de reproches.
Après quelques baisers je les laissais seules dans notre chambre pour passer la nuit de mon côté. Au matin, le petit déjeuner fut silencieux mais apaisé.
Virginie n'aborda pas ce qui s'était passé. Elle ne le fit pas non plus le soir quand nous nous revîmes, après une journée de travail. Je la sentais un peu soucieuse, pourtant.
Le lendemain elle me dit : "ça n'était pas juste du voyeurisme, c'était un trio. Chloé a beaucoup aimé ce que tu lui as fait. Elle veut recommencer. On en reparlera. Mais attention. Chloé est à moi. si vous vous voyez en dehors de moi, c'est fini entre nous".

A suivre...
Candaulio a liké

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