- 19 févr. 2018, 16:30
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La suite fut longue à venir. J'en suis désolé, mais la voici.
A partir de ce moment là, une grande complicité s'installa entre nous trois. Chloé et Virginie se voyaient presque tous les jours au boulot. Et tous les soirs, j'interrogeais Virginie sur ce qu'elles avaient fait. Parfois, j'aimais la lécher avant qu'elle ne se douche pour profiter de leurs odeurs à toutes les deux. Jamais notre libido n'avait été poussée si haut.
Elle me racontait les choses par bribes, lentement, avec un brin de sadisme pendant que je la léchais:
"On a été dans les toilettes. Elle je lui ai touché les seins. Elle a couiné de plaisir. Je l'ai doigtée en l'embrassant pendant qu'elle me malaxait le cul. Puis je l'ai prise avec notre gode rose, tu sais? Le plus gros... Elle était en levrette, la tête au dessus de la cuvette des toilettes".
Imaginer Chloé, si apprêtée, si réservée dans la vie de tous les jours, se livrer ainsi, jusqu'à se révéler la chienne soumise de ma femme m'excitait au-delà de ce que je peux décrire.
En général, je finissais par pénétrer Chloé à la fin de son récit en l"insultant : "pute, salope, tu me fais cocu tous les jours sans même te sentir coupable... Je te détruirai la chatte..."
Dans ces moments là, elle me regardait intensément, sans sourire, savourant le pouvoir que son aventure lui donnait sur moi et la vanité que je pouvais avoir de penser que mon étreinte pourrait y changer quoi que ce soit. Elle était la maîtresse du jeu et le savait. Je sentais confusément que cela augmentait son plaisir quand nous baisions... Ma vigueur, mes coups de boutoirs en elle n'étaient que des révélateurs de mon impuissance.
D'autres fois, chaque fois, en fait, que le mari de Chloé s'absentait, Virginie dormait chez sa maîtresse dans le lit conjugal. Elle prétendait ne pas y prendre une jouissance particulière, mais mentionnait dans un sourire un peu pervers son plaisir à prendre Chloé méthodiquement, dans quelque pièce, à boire le whisky du mari absent, à la faire jouir comme son mari n'était jamais parvenu à le faire.
Elle me dit aussi que Chloé avait commencé à affirmer sa domination sur le mari en lui interdisant de la pénétrer sans préservatif. Elle lui signifiant maintenant son incapacité à lui donner un réel plaisir. Pour autant, elle ne lui souffla pas un mot de l'existence de Virginie, se contentant de se donner à elle chaque jour. Nous correspondions maintenant par sms, Chloé et moi. Elle m'avoua son plaisir à faire de moi un cocu, un homme dominé par sa femme mais aussi son désir permanent de Virginie.
Au travail, elles ne manquaient jamais une occasion de contact charnel. Chloé, trouvait tous les prétextes pour se rendre dans le bureau de Virginie. Il arriva même à plusieurs reprises qu'elles manquent de se faire surprendre par un collègue.
Une fois par mois environ, Chloé venant passer une soirée à la maison. A chaque fois le scénario est à peu près le même. Nous dînons ensemble joyeusement au champagne. Sous la table les pieds se cherchent, les mains se promènent.
Puis nous passons dans la chambre. Elles aiment que je les regarde baiser. Une fois, Chloé, proposa même de m'attacher afin que je ne lés dérange pas. Mais dans une seconde partie de soirée, elles m'accueillaient avec elles et m'intégraient à leurs jeux. Chloé aime beaucoup me sucer longuement pendant que Virginie la doigte. Et de mon côté, ma récompense suprême et de la baiser et de jouir dans son ventre, ce que son mari n'a plus le droit de faire. Je les laisse ensuite finir la nuit dans les bras l'une de l'autre et les réveille le lendemain avec un petit déjeuner soigneusement confectionné.
Voilà notre vie d'aujourd'hui... QU'en pensez-vous?