- 23 août 2017, 15:11
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Pendant l’année qui suit, elle me trompe cinq ou six fois, mais avec un seul gars à chaque fois et aucun black. Nous ne prenons pas de vacances pendant l’été car je suis en mission en Arabie Saoudite pendant trois mois de juin à début septembre. Elle est donc seule avec les enfants, mais ne prend qu’une semaine qu’elle passe chez ses parents avec les petits et un peu chez les miens. Ces derniers étant à la retraite maintenant nous suggèrent de partir quelques jours tous les deux après mon retour et se proposent de s’installer à la maison pour s’occuper des enfants qui ont école. C’est elle qui s’occupe de trouver un séjour sympa, je lui ai suggéré les Antilles, l’endroit me semblant idéal pour se taper des blacks. Au cours d’une de nos rares conversations téléphoniques je lui suggère de réserver deux séjours en solo dans le même club, ce qu’elle accepte. Nous partons donc dans un club en Martinique pour deux semaines, dans le même avion mais séparément. A l’époque des blagues circulaient dans le milieu militaire qui disait qu’envoyer sa femme seule dans ce genre de club, c’était la certitude de finir cocu, et comme c’était justement le but tout était réuni.
Je passe sur l’accueil de ce genre de lieu et nous nous installons dans des petits bungalows sympas. Elle a fait en sorte en réservant que nos paillotes soient voisines de quelques mètres. En cette période la clientèle est surtout composée de retraités, de jeunes couples d’amoureux sans enfants et de quelques célibataires hommes ou femmes. Dans la bande des animateurs, il y a quelques noirs locaux, mais aussi pas mal de métropolitains. Pendant les premiers jours elle se fait sauter par un allemand, puis par un français, tous clients comme nous. Nous arrivons à nous retrouver dans mon bungalow certains soirs où elle est seule. Un jour nous sommes autour de la piscine où des cours de sport sont distillés par un animateur, je sirote quant à moi un cocktail au bar juste à côté en discutant avec le barman, un métis d’une trentaine d’années avec qui j’ai sympathisé le premier jour car en plus de servir des cocktails il est animateur sportif à la salle de musculation que je fréquente un peu le matin. Je vois ma femme arriver en maillot de bain qui vient se baigner avant le déjeuner. Je dis à Lionel, c’est son prénom :
- « Ah, je la connais elle, on était dans le même club l’an dernier au Maroc !
- Le monde est petit ! Me répond-il.
- C’est une sacrée coquine, je m’en souviens parce que la plupart des animateurs lui sont passés dessus !
- T’es sûr que c’est elle ?
- Certain, elle s’appelle Joëlle si je me souviens bien et j’avais un pote dans l’équipe qui était là-bas !
- Tu te l’ai tapée ?
- Non, j’étais avec une copine !
- T’es seul ici, alors profites-en !
- Non, j’en ai une autre en vue, et je ne pense pas qu’elle se contactera d’un seul mec à la fois ! »
Voilà je venais de lâcher la bombe et il ne me restait plus qu’à voir ce qui allait se passer. En plus j’avais vraiment une autre fille en vue, métis franco-asiatique avec qui j’avais bien accroché la veille et qui n’étaient pas insensible à mes atouts. Je passerai d’ailleurs deux nuits avec elle en fin de semaine. Cette jolie fleur de 38 ans était mariée mais seule au club et ne souhaitait pas plus qu’une aventure, tout comme moi. La journée se passe et j’observe à deux ou trois reprises Lionel qui discute en aparté avec quelques-uns de ses collègues et pointer ma femme du menton quand elle est dans les parages. Je me dis que ma bombe est tombée et que la minuterie est en route. Bien entendu je ne parle pas de ça à ma belle qui continue à se faire dorer. Le soir venu, comme tous les autres soirs, il y a des animations qui se terminent sur la piste de dance. Vu que la clientèle est âgée pour sa majorité, les soirées se terminent souvent vers minuit à 2h00 du matin. Ma femme est bien sûr abordée par quelques animateurs qui veulent vérifier ce qu’on leur a dit. Elle passe sa soirée avec un petit groupe et semble à son aise, l’ambiance est bonne et ça rigole beaucoup. Elle est habillée très sexy, je remarque vite qu’elle est sein nus sous un débardeur et je pense qu’elle n’a pas de culotte sous sa jupe. Ce qui est sûr c’est que certains regards ne manquent pas de mater parmi les moniteurs qui l’entourent. Je me dis qu’ayant mis le grappin dessus, ils ne vont pas la lâcher. Quand la fin de soirée arrive, tout le personnel participe, y compris les moniteurs. Elle reste toutefois seule avec eux, je traîne aux abords du bâtiment pour voir comment ça évolue. A un moment je la voie sortir avec 4 moniteurs, qui portent de quoi aller boire un verre ailleurs à priori dans un sac. Je les vois filer vers la plage, sûrement déserte à cette heure. Je ne parviens pas à les suivre car il serait délicat de pouvoir m’approcher. Je rentre donc à mon bungalow pour attendre son retour. Une petite demi-heure plus tard elle arrive, accompagnée de plusieurs gars, mais je ne vois pas combien. Tout le monde s’engouffre dans sa chambre et ça continue à rire de bon cœur. Vu l’épaisseur des murs en paillages, j’entends le bruit des conversations, mais comme plusieurs parlent en même temps, difficile de comprendre. Il y a une fenêtre ouverte face à moi, mais un épais rideau me prive de la vue, par contre j’entends très bien. Au bout d’un moment, plus un bruit, juste quelques murmures. Ils doivent commencer à la caresser je pense. Mon impression se confirme quand quelques gémissements me parviennent. Puis viennent les cris avec les crissements du lit, les mots crus suivent, souvent repris par ma femme pour se qualifier du style : Prends-moi fort, oui je suis une salope, encules-moi … et pas mal d’autres dans le même style. Ça s’arrête parfois et les conversations reprennent, puis ça repart de plus belle. Parfois la porte s’ouvre et claque, peut-être d’autres qui rejoignent la fête. Je finis par m’endormir après m’être bien masturbé sur cette bande son.
Au petit matin, je vais déjeuner vers 10h00, ma femme dort sûrement encore mais ne sachant pas si elle est seule je m’abstiens de passer dans son bungalow. C’est Lionel qui me sert un café et il me dit :
- « Merci pour le tuyau, tu avais raison elle s’appelle bien Joëlle et plus chaude qu’elle je ne connais pas ! »
Je lui demande de ne pas dire à cette gonzesse que je lui ai parlé du Maroc, je ne voudrais pas qu’elle le sache. Il me rassure que le secret sera conservé. Il m’explique qu’ils sont 6 à l’avoir sautée toute la nuit, mais qu’après les avoir vidés, elle en voulait encore. Je ne lui pose pas trop de questions pour ne pas faire louche, mais ce qu’il me dit me fait dresser la queue dans mon caleçon. Il termine notre conversation en m’assurant qu’ils vont la « démonter » pendant tout le séjour. A compter de cette nuit, elle ne passera plus une seule nuit seule, elle aura toujours quelqu’un dans son lit. Certes ce ne sera pas plus de trois ou quatre partouzes durant le séjour, mais au moins un ou deux gars viennent dormir avec elle. Elle dort tard tous les matins et nous n’avons que de rares minutes pour nous retrouver tous les deux et discuter. Un soir après une partie de cul endiablée avec plusieurs gars, ils sortent et vont prendre un bain de minuit à la plage. Comme je ne peux les suivre discrètement, je profite que son bungalow soit resté ouvert pour jeter un coup d’œil et j’y pénètre pour lui laisser un mot dans sa trousse de toilette et l’informer que j’ai couché les deux nuits précédentes avec Sarah, la petite asiatique. Le lit est défait et pue le cul à plein nez, les draps tachés de sperme et encore trempés. Je rentre me branler dans le mien en pensant à elle. Quand ils reviennent, ça recommence à baiser presque jusqu’au lever du jour. A deux ou trois reprises, en pleine journée, je surprends des animateurs qui l’amènent dans le local technique, sûrement pour un inventaire …. De ses attributs !
Sur le chemin du retour, dans l’avion, elle me dira qu’elle ne sait pas combien de gars lui sont passés dessus, elle estime à une vingtaine de mecs différents. Si 5 animateurs étaient les plus assidus dans son lit, elle sait que deux clients au moins l’ont sauté une fois et deux ou trois qui venaient d’un club voisin, sûrement invités par un animateur. Au final, elle n’est pas sûre qu’elle pourrait reconnaître quelques-uns pour ne les avoir vus que quelques minutes dans la pénombre pendant qu’ils la sautaient. Son regret est d’avoir couché avec seulement deux blacks et un métis, Lionel !
Ce séjour restera malgré tout en deuxième position dans son classement, derrière l’Andalousie, pendant de nombreuses années.