- 27 sept. 2017, 14:27
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Muriel est une séductrice, que je sois candauliste complète notre couple fusionnel. Je voulais qu’elle ose, alors elle a “recruté” Ivan par internet.
Il est convié ce soir pour lui faire l'amour devant moi.
Je l’accueil courtoisement et le laisse se débrouiller un peu malicieusement avec les présentations.
“ Bonjour, je suis Ivan, Muriel m’a invité…”
“ Bonjour je suis JF son mari, je la préviens, suivez moi au salon.”
Le type est sympathique un peu troublé quand même de se présenter au mari.
“ Vous avez connu ma femme comment ?” de
“ …heu.. par internet”
“ Et donc vous êtes là pour…..?”
“ heu...en fait elle est charmante et elle m’a parlé de vos jeux candaulistes…”
“Bien vous êtes direct, ça me convient... vous voulez donc lui faire l'amour…”
“Si j'ai bien compris cela fait partie de votre couple...”
“Alors on se tutoie…”.
On entre en plein dans le sujet avec l’arrivée de la belle.
“Bonjour Ivan, tu as fait connaissance avec JF, mon mari”
“Oui, en effet. Que tu es belle, ravissante, ton mari a bien de la chance”
J’ajoute en souriant :
“ Ben dis donc toi aussi ce soir non ? tiens, serre les verres pendant que je fais danser Muriel”
Et comme j’ai terriblement envie d’assister au spectacle de ma femme avec lui, j’entame quelques pas érotiques en soulevant la jupe et cherchant sa poitrine sous le chemisier. Les premiers boutons défaits, je l’embrasse langoureusement et la confie aux bras d’Ivan.
Je bande déjà à l'idée de voir ce mec lui faire l'amour.
“À toi la suite cher ami…”
Muriel m'a tout raconté de leurs échanges, qu’il lui plaît et qu’elle a envie de faire l'amour devant moi “puisque c'est ce que tu veux mon chéri.”, notre complicité toujours en bordure de la perversité.
D’abord pudiquement ils dansent éloignés. Elle s’arrange pour passer en contre jour et que la tenue fluide dévoile sa silhouette au garçon. Il détaille de haut en bas l’impudeur volontaire, elle est comme nue divinement désirable. Elle ondule et chaloupe. Nous regarde malicieuse l’un après l'autre. Aguicheuse, elle virevolte, se rapproche d'Yvan pour défaire les boutons de sa chemise. Il en fait de même avec le chemisier et découvre la sublime poitrine fièrement tendue à sa portée.
“Que tu es belle, des seins magnifiques... je peux toucher ?” En guise de réponse Muriel aspire à fond, retient son souffle en fermant les yeux, poitrine offerte. Il plonge littéralement sur les globes délicieux.
Je bande d’envie de ce qu’il ressent, de ce que ma femme lui donne.
Après avoir souligné, caressé, embrassé, soupesé, peloté, sa bouche descend sur le ventre. Les petits tétons arrogants sont tendus et pointus. Il fait glisser la jupe et face à la fente toute lisse il embrasse le sexe de ma femme et lui broie les fesses.
Muriel est aux anges. Elle aime cette sensation, je le sais, elle exprime de petits gémissements et appuie sur les cheveux de son amant. Perverse encore, elle pince sa langue entre ses lèvres tout en me regardant alors qu’elle se fait bouffer la chatte. Exhibitionniste, ma femme se délecte que je la regarde s’offrir à cet amant.
Elle le relève, l’entraîne vers la chambre, s’assoit au coin du lit, jambes écartées et défait la ceinture du pantalon. Le garçon se met nu sexe tout raide à hauteur du visage de Muriel. Elle le suce et l’entraîne dans ce que je sais être une excitante fellation.
La bouche en O déformée par le membre qu’elle suce et masturbe, elle me regarde effrontément avant de lever les yeux vers l’amant qu’elle a choisi. Le mec se balance d’avant en arrière une main sur les cheveux de sa maîtresse, ma femme.
Elle se recule, s’allonge de dos sur le lit, et entraîne Ivan contre elle pour qu’il la caresse l’embrasse et découvre toutes les richesses de son corps.
Un moment succulent pour le candauliste, je bande comme un fou de les voir profiter. Elle ondule et gémit me lance des regards furtifs, visage et poitrine rougis par l’excitation et l’envie du sexe, l’envie de baiser, d'être pénétrée et sentir la bite toute raide de ce mec en elle.
Elle se saisit de la queue et l’attire vers son orifice qu’il a largement fouillé léché et but avant.
Je dois me retenir, interrompre ma masturbation à ce moment sous peine d'éjaculer. Voir l’amant pénétrer ma femme, voir son envie à elle c’est terrible, l’excitation si forte!!
Ils baisent, se broient, se palpent au dehors et s’aspirent au dedans, les deux corps liés par la frénésie du sexe. Je déguste savoure mon candaulisme à les voir faire l'amour, envie de jouir, le feu au ventre de me retenir. Les deux corps se cabrent, se retournent, s'emboîtent dans toutes les positions. Ma femme crie son plaisir, se trémousse pour profiter au mieux de la bite qui la défonce. Elle encourage Ivan, elle veut être bien baisée, défoncée. Elle bave en roulant sa tête de chaque côté, enfonce ses doigts dans les fesses du mec, roule ses boulles en insinuant sa main entre leurs ventres. Ses mots raisonnent dans ma tête quand elle l’implore de la prendre. “ Oui viens prend moi” et lui qui grogne dans son cou. Ils jouissent. Envie de la prendre moi aussi, j’ai mal de me retenir, seule garantie pour préserver mes forces.
Le mec ressort, regarde Muriel, la femme qu’il vient de prendre puis me regarde aussi l’air satisfait, sans gêne de m’avoir cocufié….
Muriel se tourne vers moi, tendre sourire, regard mouillé, un souffle profond. Elle veut notre accouplement sans attendre.
Heureusement j’y suis prêt.
Ivan n’a plus qu'à ramasser ses affaires et s'éloigner du couple amoureux.
On se prend plutôt dans l’urgence, c’est vrai, mais je sais qu’elle comprend... le temps on le prendra un peu plus tard dans la nuit.
Reste à saluer notre invité, tout le monde satisfait.
Complicité hors norme d’une épouse et de son mari candauliste.
C'est nécessairement un peu romancé puisqu écrit après coup. Pourtant les sensations si fortes, les gestes, les sons, les mots sont imprimés dans l’instant. Comment oublier nos regards, les extases qui marquent son visage, mon trouble à vivre les plaisirs des deux amants. L’attention du mec à réjouir ma femme, c'est fascinant de le voir bander, son membre et tout son corps tendu pour la pénétrer et elle qui l’accueille écartée, offerte. Le roman réaliste c'est que je puisse y assister...et que ce soit un plaisir excitant...