- 19 mars 2017, 01:26
#2013532
Je suis encore assez jeune, j’ai 28 ans, et j’ai une libido assez importante. Mon petit ami m’a fait part de ses fantasmes candaulistes il y a quelques mois, pour mon plus grand bonheur ! Hier soir, pour la première fois, j’ai sauté le pas. Je l’ai cocufié dans les règles de l’art. L’histoire qui va suivre est authentique, et il va la découvrir en même temps que vous…
Pour m’imaginer ; je suis assez petite (1m60, mes yeux sont clairs, mes cheveux sont longs, souples, bruns et pleins de reflets. On dit de mon visage qu’il est harmonieux. Ma peau est claire. J’ai la taille plutôt fine et les hanches un peu plus larges. Plus simplement je fais du 36 en haut et du 36-38 en bas)
J’ai rencontré Gabriel il y a quelques mois, il m’a plu, et j’ai cherché à le revoir pour assouvir les fantasmes de mon compagnon, et pour mon plus grand plaisir ! L’histoire qui suit est celle de nos retrouvailles.
Saint Patrick, à Lyon, 2017, vers 20h.
En début de soirée j’ai accompagné ce garçon (Gabriel) sur lequel je fondais l’espoir d’une nuit délicieuse, jusqu’à un magasin dans lequel il devait faire quelques courses. Je devais ensuite rejoindre mes amis, et lui les siens.
Arrivés devant le magasin, je me poste face à lui, l’écoutant avec un large sourire et des yeux brillants me raconter le scénario du dernier épisode d’une série qu’il adore.
Je vois que mes yeux le troublent. Et il m’en fait part « C’est troublant que tu me regardes comme ça, tes pupilles sont si dilatées que tes yeux semblent noirs ! » Mais il semble aimer ça, il me sourit. Je le trouve beau. Très beau. Il est jeune, il a des lèvres bien dessinées, d’une belle couleur rose. Il est fier, il se tient droit, son nez un peu long est pourtant parfait et rajoute encore du charme à son visage. Ses cheveux sont noirs, ses yeux sont vifs, curieux et septiques, rieurs souvent. J’aime le regarder. Il respire une jeunesse que je veux capter, attirer en moi. C’est un soucieux insouciant. Il se donne des airs d’artiste. Il m’amuse et m’excite. J’aime le regarder penser que je suis captive de ses charmes. J’aime le laisser penser que lui seul maitrise la situation. Et je vois au fond de lui pourtant une petite lueur d’inquiétude car il doit sentir que la force de mes désirs pourrait le submerger et anéantir quelque chose en lui qu’il ne connaît pas encore.
Il me demande ce que j’ai envie de faire. Et moi, amusée, je le regarde avec des yeux gourmands tout en lui répondant « Ce que je veux faire ? Rien qui ne t’amène toi à faire tes courses ni moi à rejoindre mes amis … » Il a ouvert a bouche en faisant un sourire plus large encore ! Il était manifestement surpris par cette franchise inattendue. Alors, je me suis approchée de lui, entrant dans sa « zone de confort », puis je me suis hissée sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Il s’est à son tour penché sur moi, mêlant sa langue à la mienne, nous nous sommes embrassés avec avidité pendant plusieurs minutes. Ce moment magique où les salives passent avec indifférence d’une bouche à une autre, faisant pourtant monter dans nos corps le désir d’en gouter plus encore. Il me serrait contre lui, et tout en l’embrassant, je m’avouais heureuse de lui plaire. Mes mains s’égaraient dans ses cheveux mi-longs, sur sa nuque chaude, puis descendaient le long de son dos, sur ses fesses fermes.
Mais ce n’était pas le moment d’en vouloir davantage. Après un dernier baiser, j’ai rejoint mes amis et lui est retourné à ses occupations. Nous devions nous revoir plus tard, chez une amie commune.
Quelques heures plus tard…. (Nous nous sommes retrouvés chez cette fameuse amie, nous y sommes depuis environ deux heures, les dernières personnes de la soirée sont tout juste parties.)
Vers 4h du matin enfin, tout le monde était parti. Je me retrouvais seule avec Gabriel, qui après avoir salué et refermé la porte sur nos amis, vit s’asseoir à côté de moi. J’étais fatiguée. Lui aussi sans doute. Il avait baissé la musique, et ce moment de calme me fit du bien.
Restait maintenant à savoir ce que nous allions faire… Notre amie, fortement alcoolisée, dormait sur la mezzanine juste au-dessus de nous. Gabriel parlait peu. Peut-être ne savait-il pas quoi dire ? Lui d’ordinaire si bavard… Et moi, j’étais fatiguée que j’avais juste en toute simplicité envie de le ramener chez moi, que nous fassions l’amour, et de m’endormir enfin. Mais le sourire avec lequel il me regardait me redonna des forces !
Après quelques propos banals, je lui proposais d’aller chez moi (tout près de l’endroit où nous étions) afin de conclure la soirée de façon agréable. Après quelques minutes de réflexion il accepta. Je me levais, pris mon sac et me dirigeais vers la porte. En toute simplicité. Il prit ses clefs, son blouson et me suivit. Avec un naturel désarmant et fascinant, une génération qui prend, consomme et repose sans se poser trop de questions, sans embarras. Facilement. Comme si toute relation sexuelle pouvait être selon nos envies dépourvues de sentiments. C’est tout aussi déconcertant que rassurant. Une impression de maitrise permettant de se protéger.
Nous marchâmes quelques minutes, discutant de tout, de rien, de nos passions, de nos études…
Arrivés chez moi, avant une toilette de rigueur après la soirée agitée que nous avions passé, je l’embrassais, et je commençais à le déshabiller. Quel fougueux jeune homme !! Il me serrait contre lui, m’aidait à me dévêtir à mon tour, et toute étonnée, je pu constater que malgré la faramineuse quantité d’alcool qu’il avait ingurgité ces dernières heures, dans son caleçon semblait se dessiner un sexe fort prometteur ! Je l’effleurais plusieurs fois, il était parfaitement dur et semblait vraiment de très belle taille…
Quand je le rejoignis au lit, il était allongé sur le dos, presque assoupi. Je retirais de sa taille la serviette de bain dans laquelle il s’était enveloppé. Il se retourna contre moi, et me tendit les bras. Je me penchais alors vers lui, nous nous serrâmes l’un contre l’autre, et nous nous embrassâmes. Je commençais à être très excitée ! Sentir ce corps puissant contre le mien, me mets dans un état incroyable, j’ai envie de lui, envie qu’il me prenne, et surtout, j’imagine mon petit ami qui pense à moi… Et j’ai hâte de lui raconter tout ce que Gabriel m’aura fait !
Tout en pensant à ça, je monte à cheval sur mon charmant compagnon de fin de soirée. Il m’embrasse, m’embrasse encore, caresse mes fesses, passe ses mains sur mon dos, ses mains dans mes cheveux… Il saisit mes seins, les embrasse, les suçote délicatement, puis avec gloutonnerie. J’aime ça, je sens mon sexe lubrifier abondamment, et sous mon sexe surtout, je sens son pénis dur, chaud, brulant, prêt à rentrer dans le mien !
Il me demande si j’ai des préservatifs, j’en saisi un, et je saisi son sexe d’une main ferme. Quelle surprise de constater que mes doigts peinent à enserrer son énorme engin ! Je suis époustouflée !! Je le regarde, je regarde son sexe, je le regarde encore, je n’en reviens pas ! Voilà qui va me changer de l’ordinaire. En toute franchise, je dois dire que même si je suis très amoureuse de mon petit ami, sexuellement je reste souvent sur ma faim… Et là, je viens de trouver de quoi combler mon appétit vorace ! Je me surprends même à me demander si ça va rentrer… Mais j’ai le gout du challenge, et aussitôt recouvert de son petit capuchon de plastique, je m’empale avec hardiesse sur ce membre qui m’attend impatiemment. Quel plaisir indescriptible de sentir sa verge grosse et gonflée, écarter mes parois vaginales centimètre après centimètre… La sentir progresser en moi, lentement mais surement, diriger sa tête vers le fond de mon vagin, et pour finir, le combler totalement. C’est fabuleux cette impression que j’ai d’être remplie, entièrement, parfaitement… J’adore…
Les vas et vient commencent, je suis sur lui, je goutte ces sensations nouvelles d’un sexe épais et long qui rentre et sort du mien, semble toucher le fond et me donne des frissons de plaisir. Je n’en reviens pas. Je m’agite, plus vite, plus fort, mes cheveux longs caressent mon dos et mes seins. Il les écarte pour baiser ma poitrine. Il a la bouche ouverte, il me regarde, regarde mon sexe avaler totalement le sien. Le laisser apparaitre un instant, puis le replonger dans les abysses du mien.
Puis nous changeons, en missionnaire, je m’allonge sur le dos, les jambes bien écartées, offerte à lui. Il vient sur moi, me regarde dans les yeux, et faisant cela je sens sa verge s’introduire en moi de nouveau. Je me pâme de plaisir… Se faire bien baiser, c’est quand même un des plaisirs fondamentaux de la vie ! Je me donne à lui, j’ai envie qu’il me prenne, encore plus vite, encore plus fort. Je l’embrasse, j’embrasse son cou, ses épaules, je le mordille, je presse avec délices ses jolies fesses contre moi. Et je pense à mon petit ami, qui ne m’a jamais prise comme ça encore. Mon jeune Gabriel me besogne avec ardeur et courage.
Soudain il se retire, et me mettant dans la position dite de la cuillère, saisit ma jambe, la relève, et une fois de plus s’introduit en moi. Je tremble de plaisir. Je sens son souffle chaud sur ma nuque, il m’embrasse, passe ses doigts sur mon ventre, sur mes seins. Et moi, cambrée, je subis avec un plaisir affirmé les assauts de mon divin amant.
Puis il me tourne, me regarde, m’embrasse et ce faisant, introduit ses doigts dans mon sexe. Savamment, le majeur et l’index stimulent mon vagin tandis que son pouce masse mon clitoris. C’est terriblement bon ! Je prends son sexe entre mes mains, mais il est tellement grand que je peine à lui donner du plaisir avec une seule main. Ses mains abandonnent leur occupation et il se glisse entre mes cuisses. Mes jambes relevées sont croisées sur ses reins. Il me prend de nouveau. Je suis ébahie par sa vigueur. Ça fait longtemps que je n’avais pas connu ça ! Sentir sa peau contre la mienne, son odeur, son souffle, ses lèvres qui m’embrassent… Je ne veux pas arrêter.
On repasse en amazone, je me cambre sur lui tout en ondulant du bassin. Je sens son sexe en moi, son sexe colossal me remplir, je vois ses joues s’empourprer de plaisir. J’aime le voir rougir ainsi, ne plus maitriser, mais maintenant subir mon rythme. Et mon rythme semble lui convenir ! Il s’agrippe à mes hanches ; à mes fesses, comme si il perdait pied et cherchait à se raccrocher à une réalité physique. Et moi, fermant les yeux, je mémorise consciencieusement toutes mes sensations pour comparer plus tard avec le sexe de mon petit ami. Et même de mes futurs amants. Car une chose est sûre, je ne veux pas m’arrêter là ! Je veux vivre et revivre ces plaisirs de la chair qui me manquent cruellement depuis plusieurs mois. C’est bon tant pour ma santé mentale que physique !
Fatiguée je m’assieds, je bois un peu d’eau et je lui en propose. Il boit, repose la bouteille et m’embrasse. Sentir sa langue fraiche sur mes lèvres, quelle volupté ! Je me sens animale et instinctivement je me mets à quatre pattes. Ainsi en levrette, bien cambrée, je lui présente mon sexe rose et mouillé. Il saisit mes hanches et me pénètre d’un coup sec ! Quelle explosion de plaisir ! Quel rythme aussi !! Il me prend rapidement, sauvagement, et dans la chambre résonne le bruit de son bassin claquant avec énergie contre mes fesses. Il passe ses doigts sur mon clitoris qu’il titille avec finesse. Je sens ses couilles taper contre mon sexe, et ça me rend folle. J’ai envie de le sentir exploser en moi ! Je me cambre plus encore. J’aimerais que mon petit ami me voit comme ça, me faire prendre par un autre. Un autre qui me baise sans ménagement, qui me prend sans se préoccuper du fait que j’appartienne à un autre homme. Un autre qui me fait sienne pour son plaisir. Qui me prend par les épaules pour m’attirer encore plus à lui, et s’assurer qu’il me pénètre entièrement !
Épuisée je m’allonge, sur le ventre, je tends vers lui ma croupe rebondie. Il s’allonge sur moi, passe sa main sous mes seins qu’il attrape, puis enfonce son sexe en moi. Je n’en peux plus, et je l’entends gémir aussi. A coup fermes, rythmés, répétés, mon amant d’un soir me conduit à l’orgasme. Je jouis, étouffant mes cris d’extase dans l’oreiller sur lequel je repose. Et il jouit à son tour, je le sens souffler, grogner, gémir, je sens son visage dans mes cheveux, ses coups de reins puissants m’enfoncent dans le lit. J’aime le sentir s’abandonner à moi, en moi. Nous restons, hagard, quelques instants dans cette position. Son sexe démesuré toujours planté dans le mien ne débande pas. Et je pense à mon amoureux à qui j’ai hâte de raconter cette expérience fabuleuse, et qui j’en suis certaine, en sera enchanté ! Lui qui voulait être cocu, les cornes qui poussent à partir d’aujourd’hui sur sa tête ne sont pas prêtes d’arrêter leur croissance !
Pour m’imaginer ; je suis assez petite (1m60, mes yeux sont clairs, mes cheveux sont longs, souples, bruns et pleins de reflets. On dit de mon visage qu’il est harmonieux. Ma peau est claire. J’ai la taille plutôt fine et les hanches un peu plus larges. Plus simplement je fais du 36 en haut et du 36-38 en bas)
J’ai rencontré Gabriel il y a quelques mois, il m’a plu, et j’ai cherché à le revoir pour assouvir les fantasmes de mon compagnon, et pour mon plus grand plaisir ! L’histoire qui suit est celle de nos retrouvailles.
Saint Patrick, à Lyon, 2017, vers 20h.
En début de soirée j’ai accompagné ce garçon (Gabriel) sur lequel je fondais l’espoir d’une nuit délicieuse, jusqu’à un magasin dans lequel il devait faire quelques courses. Je devais ensuite rejoindre mes amis, et lui les siens.
Arrivés devant le magasin, je me poste face à lui, l’écoutant avec un large sourire et des yeux brillants me raconter le scénario du dernier épisode d’une série qu’il adore.
Je vois que mes yeux le troublent. Et il m’en fait part « C’est troublant que tu me regardes comme ça, tes pupilles sont si dilatées que tes yeux semblent noirs ! » Mais il semble aimer ça, il me sourit. Je le trouve beau. Très beau. Il est jeune, il a des lèvres bien dessinées, d’une belle couleur rose. Il est fier, il se tient droit, son nez un peu long est pourtant parfait et rajoute encore du charme à son visage. Ses cheveux sont noirs, ses yeux sont vifs, curieux et septiques, rieurs souvent. J’aime le regarder. Il respire une jeunesse que je veux capter, attirer en moi. C’est un soucieux insouciant. Il se donne des airs d’artiste. Il m’amuse et m’excite. J’aime le regarder penser que je suis captive de ses charmes. J’aime le laisser penser que lui seul maitrise la situation. Et je vois au fond de lui pourtant une petite lueur d’inquiétude car il doit sentir que la force de mes désirs pourrait le submerger et anéantir quelque chose en lui qu’il ne connaît pas encore.
Il me demande ce que j’ai envie de faire. Et moi, amusée, je le regarde avec des yeux gourmands tout en lui répondant « Ce que je veux faire ? Rien qui ne t’amène toi à faire tes courses ni moi à rejoindre mes amis … » Il a ouvert a bouche en faisant un sourire plus large encore ! Il était manifestement surpris par cette franchise inattendue. Alors, je me suis approchée de lui, entrant dans sa « zone de confort », puis je me suis hissée sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Il s’est à son tour penché sur moi, mêlant sa langue à la mienne, nous nous sommes embrassés avec avidité pendant plusieurs minutes. Ce moment magique où les salives passent avec indifférence d’une bouche à une autre, faisant pourtant monter dans nos corps le désir d’en gouter plus encore. Il me serrait contre lui, et tout en l’embrassant, je m’avouais heureuse de lui plaire. Mes mains s’égaraient dans ses cheveux mi-longs, sur sa nuque chaude, puis descendaient le long de son dos, sur ses fesses fermes.
Mais ce n’était pas le moment d’en vouloir davantage. Après un dernier baiser, j’ai rejoint mes amis et lui est retourné à ses occupations. Nous devions nous revoir plus tard, chez une amie commune.
Quelques heures plus tard…. (Nous nous sommes retrouvés chez cette fameuse amie, nous y sommes depuis environ deux heures, les dernières personnes de la soirée sont tout juste parties.)
Vers 4h du matin enfin, tout le monde était parti. Je me retrouvais seule avec Gabriel, qui après avoir salué et refermé la porte sur nos amis, vit s’asseoir à côté de moi. J’étais fatiguée. Lui aussi sans doute. Il avait baissé la musique, et ce moment de calme me fit du bien.
Restait maintenant à savoir ce que nous allions faire… Notre amie, fortement alcoolisée, dormait sur la mezzanine juste au-dessus de nous. Gabriel parlait peu. Peut-être ne savait-il pas quoi dire ? Lui d’ordinaire si bavard… Et moi, j’étais fatiguée que j’avais juste en toute simplicité envie de le ramener chez moi, que nous fassions l’amour, et de m’endormir enfin. Mais le sourire avec lequel il me regardait me redonna des forces !
Après quelques propos banals, je lui proposais d’aller chez moi (tout près de l’endroit où nous étions) afin de conclure la soirée de façon agréable. Après quelques minutes de réflexion il accepta. Je me levais, pris mon sac et me dirigeais vers la porte. En toute simplicité. Il prit ses clefs, son blouson et me suivit. Avec un naturel désarmant et fascinant, une génération qui prend, consomme et repose sans se poser trop de questions, sans embarras. Facilement. Comme si toute relation sexuelle pouvait être selon nos envies dépourvues de sentiments. C’est tout aussi déconcertant que rassurant. Une impression de maitrise permettant de se protéger.
Nous marchâmes quelques minutes, discutant de tout, de rien, de nos passions, de nos études…
Arrivés chez moi, avant une toilette de rigueur après la soirée agitée que nous avions passé, je l’embrassais, et je commençais à le déshabiller. Quel fougueux jeune homme !! Il me serrait contre lui, m’aidait à me dévêtir à mon tour, et toute étonnée, je pu constater que malgré la faramineuse quantité d’alcool qu’il avait ingurgité ces dernières heures, dans son caleçon semblait se dessiner un sexe fort prometteur ! Je l’effleurais plusieurs fois, il était parfaitement dur et semblait vraiment de très belle taille…
Quand je le rejoignis au lit, il était allongé sur le dos, presque assoupi. Je retirais de sa taille la serviette de bain dans laquelle il s’était enveloppé. Il se retourna contre moi, et me tendit les bras. Je me penchais alors vers lui, nous nous serrâmes l’un contre l’autre, et nous nous embrassâmes. Je commençais à être très excitée ! Sentir ce corps puissant contre le mien, me mets dans un état incroyable, j’ai envie de lui, envie qu’il me prenne, et surtout, j’imagine mon petit ami qui pense à moi… Et j’ai hâte de lui raconter tout ce que Gabriel m’aura fait !
Tout en pensant à ça, je monte à cheval sur mon charmant compagnon de fin de soirée. Il m’embrasse, m’embrasse encore, caresse mes fesses, passe ses mains sur mon dos, ses mains dans mes cheveux… Il saisit mes seins, les embrasse, les suçote délicatement, puis avec gloutonnerie. J’aime ça, je sens mon sexe lubrifier abondamment, et sous mon sexe surtout, je sens son pénis dur, chaud, brulant, prêt à rentrer dans le mien !
Il me demande si j’ai des préservatifs, j’en saisi un, et je saisi son sexe d’une main ferme. Quelle surprise de constater que mes doigts peinent à enserrer son énorme engin ! Je suis époustouflée !! Je le regarde, je regarde son sexe, je le regarde encore, je n’en reviens pas ! Voilà qui va me changer de l’ordinaire. En toute franchise, je dois dire que même si je suis très amoureuse de mon petit ami, sexuellement je reste souvent sur ma faim… Et là, je viens de trouver de quoi combler mon appétit vorace ! Je me surprends même à me demander si ça va rentrer… Mais j’ai le gout du challenge, et aussitôt recouvert de son petit capuchon de plastique, je m’empale avec hardiesse sur ce membre qui m’attend impatiemment. Quel plaisir indescriptible de sentir sa verge grosse et gonflée, écarter mes parois vaginales centimètre après centimètre… La sentir progresser en moi, lentement mais surement, diriger sa tête vers le fond de mon vagin, et pour finir, le combler totalement. C’est fabuleux cette impression que j’ai d’être remplie, entièrement, parfaitement… J’adore…
Les vas et vient commencent, je suis sur lui, je goutte ces sensations nouvelles d’un sexe épais et long qui rentre et sort du mien, semble toucher le fond et me donne des frissons de plaisir. Je n’en reviens pas. Je m’agite, plus vite, plus fort, mes cheveux longs caressent mon dos et mes seins. Il les écarte pour baiser ma poitrine. Il a la bouche ouverte, il me regarde, regarde mon sexe avaler totalement le sien. Le laisser apparaitre un instant, puis le replonger dans les abysses du mien.
Puis nous changeons, en missionnaire, je m’allonge sur le dos, les jambes bien écartées, offerte à lui. Il vient sur moi, me regarde dans les yeux, et faisant cela je sens sa verge s’introduire en moi de nouveau. Je me pâme de plaisir… Se faire bien baiser, c’est quand même un des plaisirs fondamentaux de la vie ! Je me donne à lui, j’ai envie qu’il me prenne, encore plus vite, encore plus fort. Je l’embrasse, j’embrasse son cou, ses épaules, je le mordille, je presse avec délices ses jolies fesses contre moi. Et je pense à mon petit ami, qui ne m’a jamais prise comme ça encore. Mon jeune Gabriel me besogne avec ardeur et courage.
Soudain il se retire, et me mettant dans la position dite de la cuillère, saisit ma jambe, la relève, et une fois de plus s’introduit en moi. Je tremble de plaisir. Je sens son souffle chaud sur ma nuque, il m’embrasse, passe ses doigts sur mon ventre, sur mes seins. Et moi, cambrée, je subis avec un plaisir affirmé les assauts de mon divin amant.
Puis il me tourne, me regarde, m’embrasse et ce faisant, introduit ses doigts dans mon sexe. Savamment, le majeur et l’index stimulent mon vagin tandis que son pouce masse mon clitoris. C’est terriblement bon ! Je prends son sexe entre mes mains, mais il est tellement grand que je peine à lui donner du plaisir avec une seule main. Ses mains abandonnent leur occupation et il se glisse entre mes cuisses. Mes jambes relevées sont croisées sur ses reins. Il me prend de nouveau. Je suis ébahie par sa vigueur. Ça fait longtemps que je n’avais pas connu ça ! Sentir sa peau contre la mienne, son odeur, son souffle, ses lèvres qui m’embrassent… Je ne veux pas arrêter.
On repasse en amazone, je me cambre sur lui tout en ondulant du bassin. Je sens son sexe en moi, son sexe colossal me remplir, je vois ses joues s’empourprer de plaisir. J’aime le voir rougir ainsi, ne plus maitriser, mais maintenant subir mon rythme. Et mon rythme semble lui convenir ! Il s’agrippe à mes hanches ; à mes fesses, comme si il perdait pied et cherchait à se raccrocher à une réalité physique. Et moi, fermant les yeux, je mémorise consciencieusement toutes mes sensations pour comparer plus tard avec le sexe de mon petit ami. Et même de mes futurs amants. Car une chose est sûre, je ne veux pas m’arrêter là ! Je veux vivre et revivre ces plaisirs de la chair qui me manquent cruellement depuis plusieurs mois. C’est bon tant pour ma santé mentale que physique !
Fatiguée je m’assieds, je bois un peu d’eau et je lui en propose. Il boit, repose la bouteille et m’embrasse. Sentir sa langue fraiche sur mes lèvres, quelle volupté ! Je me sens animale et instinctivement je me mets à quatre pattes. Ainsi en levrette, bien cambrée, je lui présente mon sexe rose et mouillé. Il saisit mes hanches et me pénètre d’un coup sec ! Quelle explosion de plaisir ! Quel rythme aussi !! Il me prend rapidement, sauvagement, et dans la chambre résonne le bruit de son bassin claquant avec énergie contre mes fesses. Il passe ses doigts sur mon clitoris qu’il titille avec finesse. Je sens ses couilles taper contre mon sexe, et ça me rend folle. J’ai envie de le sentir exploser en moi ! Je me cambre plus encore. J’aimerais que mon petit ami me voit comme ça, me faire prendre par un autre. Un autre qui me baise sans ménagement, qui me prend sans se préoccuper du fait que j’appartienne à un autre homme. Un autre qui me fait sienne pour son plaisir. Qui me prend par les épaules pour m’attirer encore plus à lui, et s’assurer qu’il me pénètre entièrement !
Épuisée je m’allonge, sur le ventre, je tends vers lui ma croupe rebondie. Il s’allonge sur moi, passe sa main sous mes seins qu’il attrape, puis enfonce son sexe en moi. Je n’en peux plus, et je l’entends gémir aussi. A coup fermes, rythmés, répétés, mon amant d’un soir me conduit à l’orgasme. Je jouis, étouffant mes cris d’extase dans l’oreiller sur lequel je repose. Et il jouit à son tour, je le sens souffler, grogner, gémir, je sens son visage dans mes cheveux, ses coups de reins puissants m’enfoncent dans le lit. J’aime le sentir s’abandonner à moi, en moi. Nous restons, hagard, quelques instants dans cette position. Son sexe démesuré toujours planté dans le mien ne débande pas. Et je pense à mon amoureux à qui j’ai hâte de raconter cette expérience fabuleuse, et qui j’en suis certaine, en sera enchanté ! Lui qui voulait être cocu, les cornes qui poussent à partir d’aujourd’hui sur sa tête ne sont pas prêtes d’arrêter leur croissance !