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par secretcat
#1934195
Heureusement on ne tire pas que des fusées pour le 14 juillet .

Nous étions en vacances dans un camping, depuis un peu moins d’une semaine, sur la côte Atlantique, et installés dans un charmant mobile-home. Jérôme avait attrapé une gastro carabinée et la sortie au bal du 14 juillet semblait fortement compromise. Lorsque mon mari, après avoir bu quelques Pastis avec nos jeunes voisins Lillois me fit cette proposition toute droite sortie de la case cando de son cerveau, « tu ne vas rater le bal du 14 juillet, sous prétexte que ton mari doit rester près de la cuvette. Les jeunes sont d’accord pour t’emmener au bal et te ramoner at home ensuite » me dit-il, les yeux pleins de bites et de culs. « Pourquoi pas ! » lui répondis-je en mimant avec ma langue et ma main une pipe imaginaire.
A 9h30, j’étais prête pour la fête, chaussée de ballerines et vêtue d’un slip brésilien et d’une robe de soirée courte en mousseline de soie beige sans bretelles. J’avais aussi apporté avec moi une petite veste noire et un petit sac à main tout plein de chewing-gum menthol et de protections à la vanille.
Mes quatre mousquetaires, même pas la trentaine, m’attendaient, bouches béantes, au pied de leur Yaris blanche trois portes, avec au programme le bal d’Andernos jusqu’à 1h00 et ensuite la boite de nuit proche du camping pour finir.
Damien, le conducteur, m’invita à m’asseoir devant. Il était très beau, grand, brun aux yeux bleus et bâti comme un dieu. Comparés à lui, les trois autres paraissaient insignifiants.
Je l’ai dévoré des yeux, pendant tout le trajet, avec une forte envie de le sucer dès le premier kilomètre. Derrière c’était niaiserie sur niaiserie, mais je m’en foutais puisque j’allais certainement me délecter des prouesses de mon jeune apollon. Ensuite je raconterais tout à Jérôme, afin de savourer à deux cette nouvelle expérience.
Enfin là, j’étais sur mon nuage, car à peine arrivé, l’apollon se décrocha au bout d’une demi-heure une vrai déesse, jeune et magnifique, avec un fort accent Belge quand même, mais aussi chaude qu’une frite sortant de son bain doré.
Du coup, je me suis rabattue sur la sangria, histoire de ne pas afficher ma déception aux trois sangsues qui ne me lâchaient pas d’une semelle depuis notre arrivée. J’alternais danse et verre d’alcool, et plus je dansais et plus je trouvais que ces lascars là devenaient sympas.
Le bal arrivait à sa fin alors que moi j’étais arrivée au sommet de ma forme et mes compères étaient à présent mes meilleurs amis du monde.
Damien s’était amouraché de miss frite et il n’était plus question de boite de nuit, mais plutôt d’une virer sur la plage, voir d’un bain de minuit pour les plus courageux.
La place passagère étant à présent occupée, il ne me restait plus qu’à choisir sur quels genoux j’allais poser mes petites fesses bien rondes de quadra toute excitée. Je choisi José, placé au milieu, car il était le plus marrant de la bande. En parlant de bande, je peux dire que j’en ressentais une bien dure, sous moi dès les premiers kilomètres. Je commençais vraiment à mouiller, quand une main bien ferme me saisit une fesse pour me la pétrir. Damien mis la musique à fond. Une autre main se faufila sous la mousseline et le coton de ma petite culotte, et un doigt agile commença à m’agiter mon clito déjà ruisselant.
Ce n’était pas la main de José, mais celle de mon voisin de gauche qui finit par m’ôter mon slip après me l’avoir fait glissée sur mes jambes. Mon voisin de droite fit descendre le haut de ma robe et m’aspira avec sa bouche le sein qui lui paraissait le plus proche. Il descendit ensuite son short, faisant apparaître par dessous le slip la naissance d’une queue toute tendue, puis me tirant par les cheveux en direction de l’objet me fis comprendre ce qu’il attendait de moi. «Jérôme nous a confier que tu aimais la queue» me dit-il.
Profitant que j’étais penchée à besogner son ami, José fit glisser à son tour son short et voulu m’empaler. Je l’arrêta de suite et lui dit que cela se ferait sur la plage et avec capote. Il était d’accord, ensuite j’engloutis à nouveau dans ma bouche la verge toute raide de mon voisin.
Je sentis l’explosion arrivée et lui envoya la sauce sur sa chemise, il était au ange «tu ne m’a pas déçu Élise et ton mari avait raison en parlant de ton talent».
La Belgique avait suivi la scène avec intérêt comme une étudiante toute passionnée, assise au premier rang de son amphithéâtre
La voiture s’arrêta en bord de plage, Damien et la frite disparurent derrière une dune et nous quatre derrière une autre. Mes nouveaux potes voulaient me baiser chacun à leur tour, sur une couverture prise dans l’auto, tandis que moi je les voulais en même temps ou rien. Autant dire que le choix fut rapide.
Deux minutes après c’était travaux manuelles et buccaux, et oui j’avais prise les choses en main. En parlant de main j’en avais de partout, il y avait même un doigt qui s’excitait dans ma rondelle. Après la mise en place des protections, une odeur de vanille flottait dans l’air. Je m’empala sur José allongé sur le dos, il avait la queue d’un cheval, bien plus énorme que mon Jérôme adoré. Je mouillais comme une folle en me prenant vraiment pour une salope.
En pleine jouissance je suggéra que l’on me sodomise par pitié, afin d’avoir ma double comme une pro de la queue. Celui que j’avais sucé dans la voiture bandait mou, je proposais donc à l’autre de passer à l’arrière. Je ne lui avais pas dit deux fois qu’il était déjà en moi au plus profond de mon cul. J’envisageais de redonner de la vigueur au dernier en lui léchant les bourses et la queue, tout en le maintenant près de mon visage avec un doigt enfoncé dans son anus. Ce devait être efficace puisqu’il se raidit à nouveau tel un pont à bascule.
A cet instant j’eus une pensée pour mon mari qui n’aurait pour rien au monde manqué ce petit gang-bang improvisé. José éjacula dans sa capote, les deux autres sur mes fesses et sur ma joue, tandis que moi j’ hurlais de plaisir sur la plage abandonnée.
J’aurais bien remise le couvert, mais l’alcool ou bien la fatigue semblaient rendre les choses irréalisables. Pour la petite histoire, Damien n’a rien pu faire avec sa miss, car la frite était saignante. De retour au camping et sous prétexte de me raccompagner à mon mobile-home, Damien m’a aussitôt attiré dans les sanitaires hommes .
Là, il m’a fait comprendre qu’il aimerait bien que je le suce comme je l’avais fait à son pote à l’arrière de la voiture. Puis il m’a, avec mon approbation, littéralement sodomiser comme un sauvage debout contre la cloison des chiots, une main sur ma bouche afin que je n’ameute pas tout le camping, l’autre en friction sur mon clito. Par chance, j’avais la rondelle encore toute dilatée, car il m’a fourré comme un âne qui s’en prendrait à une dinde. J’en avais les larmes aux yeux, mais qu’est ce que j’ai aimé ça !
Pour en finir, savez-vous qui a ouvert la porte, un rouleau de papier cul à la main, au moment même ou Damien m’aspergeait les fesses d’une grande rasade de foutre ? Jérôme ! Non, personne, mais j’aurais bien aimé.
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#1934198
Très excitant ce recit, de bonnes vacances pour tout le monde de la baise en bonne et dû forme .
Cela confirme ma théorie....il n y a pas lieux qu une qyadra expérimenté qui aime la bite que les petites allumeuses de 20 ans qui s éteignent des que les choses deviennent sérieuses. Bravo pour cette belle performance

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