- 23 févr. 2018, 23:08
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Ma femme est à genoux, en plein soleil, nue sur une dune et elle me pompe le gland. C'est une championne. Elle s'est amusée, comme elle dit, avec pas mal de mecs avant de me connaître, et je suis sûr qu'elle a déjà sucé des kilomètres de bites. Des blanches, des noires, des grises et des jaunes. Elle me l'a dit. Je n'ai fait que rajouter quelques zéros à son compteur. Elle a même fait l'amour un soir avec un garçon et une fille. Mais quand elles se sont embrassées, ça lui a fait bizarre et elle n'a plus rien fait avec elle. C'est ce qu'elle m'a dit, et je ne pourrai malheureusement jamais savoir la vérité. Toujours est-il que ma chérie, avec ses yeux bandés, accepte une fois de plus de participer à mon fantasme. A moins que ça ne devienne le sien. Elle semble en tout cas repousser les barrières de sa pudeur de plus en plus loin au fur et à mesure que j'avance dans mon délire.
Elle est donc à genoux, tient fermement ma queue dans une main, malaxe mes couilles de l'autre et tète mon gland avec bruit et vigueur. De temps à autres, mon sexe s'échappe de sa bouche dans un claquement de succion, aussi sec qu'elle aspire fort. Elle en profite alors pour le lécher longuement avant de le ravaler avec gourmandise et de repomper mon gland comme si elle essayait d'en voler le nectar . Quelle belle cochonne... Ce que j'aime la voir avec une bite dans la bouche. Puis elle pose le gland à l'entrée de sa bouche et se met à me masturber avec une élasticité quasi mécanique, comme si elle voulait me faire éjaculer sur ses lèvres. Mais bien vite, elle les entrouvre et les fait glisser le long de ma hampe pour l'avaler à nouveau. Sa bouche commence alors des allers-retours d'abord lents puis plus rapides sur ma queue. Elle s'excite visiblement pas mal à me prodiguer cette délicieuse fellation en plein air, si j'en juge par le coeur qu'elle met à l'ouvrage. Sa main se remet à me branler en même temps que sa bouche court sur mon sexe. Autant j'étais stressé il y a encore quelques minutes, autant je commence à me calmer carrément. Entendons-nous bien, je suis excité comme un fou par ce que nous sommes en train de vivre, mais j'appréhende à présent la situation avec sérénité. Je la gère mieux . Je respire calmement et me sent prêt à parer à toute éventualité. Je scrute autour de nous mais n'aperçoit toujours personne. Ma femme continue de m'astiquer le manche et de bien nettoyer mon gland comme si nous étions à la maison. Quelle belle chienne. J'ai alors envie de la prendre en levrette pour vérifier son excitation et récompenser ses efforts.
"Mets-toi à quatre pattes."
Elle suce une dernière fois ma queue et se met en position sur le paréo. Je viens me placer derrière elle, empoigne mon sexe pour frotter un peu mon gland entre ses lèvres et l'enfonce sans mal d'un grand mouvement régulier. Elle laisse échapper un gémissement prometteur. Sans surprise, sa chatte est brûlante. Trempée. Béante. C'est à peine si je la sens autour de ma bite. Je la lime lentement, sans à coup. Ma femme aime commencer à faire l'amour en douceur. Elle a besoin de cette étape pour décoller. Ensuite seulement, elle est capable d'apprécier que je la brusque un peu, que je mette plus de violence dans nos rapports.Pas du sm, non, mais de la bonne baise bien chaude. Le problème, c'est qu'à partir de là, je deviens tellement excité que je ne tiens plus très longtemps. C'est là que j'aimerai être en présence d'un ou plusieurs hommes pour la défoncer et voir jusqu'où ma chérie peut aller dans le cul.
Je la baise donc avec lenteur et application au beau milieu de cette dune et constate avec plaisir qu'elle gémit à chaque poussée de mes reins. Je ne me presse surtout pas. Elle semble parfaitement détendue et ondule à loisir ses fesses, son dos et sa tête qu'elle laisse pendre dans une posture d'abandon qui m'incite à prendre les initiatives. J'accélère un peu la cadence, encouragé par ses halètements réguliers. Ma petite cochonne prend des tours et sent pointer le plaisir au fond de son ventre. Je rentre alors ma bite en entier, et, sans bouger, la plaque bien au fond de sa chatte en appuyant de toutes mes forces. Je reste ainsi de longues secondes, ce qui la rend digue à chaque fois. Je reprends alors mes vas-et-viens, mais plus vite et plus fort que tout à l'heure. Elle, d'habitude plutôt silencieuse, commence à couiner allègrement. Je refais ce petit manège deux ou trois fois pour bien la faire monter. Je la ramone franchement et la sens au bord de l'orgasme. Alors, j'attrape ses cheveux et la lanière de son bandeau et tire fort dessus. Elle redresse sa tête comme un jument qui hennit et reste ainsi offerte pour ne pas aller à l'encontre de la pression que je maintiens fermement. Elle couine comme une chienne à présent.
"Continue de couiner et montre-toi bien... on nous regarde."
C'est un coup de bluff bien sûr, mais elle continue de se laisse fourrer sans vergogne en gémissant. Par contre, elle tire franchement sa tête en avant pour se libérer de mon emprise et je suis obligé de la lâcher. Elle redescend aussitôt sa tête pour se cacher des regards qu'elle imagine posés sur elle. Pour la punir de son affront, je la saisis bien fort par les fesses et la prends violemment. Je la défonce comme il faut et mes hanches claquent contre son cul à chacun de mes mouvements. Elle gueule de plus en plus fort mais se laisse démonter sans chercher à se défendre. Je prends cela comme une acceptation de sa part et continue de lui pilonner la chatte. Elle se met à jouir bruyamment . Je lui saisis à nouveau les cheveux et relève sa tête bien haut en continuant de la défoncer comme une chienne. Elle crie à présent et n'essaye même plus de cacher son visage. Je lâche ses cheveux, l'attrape par les hanches pour mieux le maintenir et la baise aussi fort que je peux. Je lâche une main pour lui claquer les fesses violemment. Elle ne boude pas son plaisir et ponctue chaque fessée par des"ahh" et des "ohhh" suppliants qui me chavirent le coeur. Son corps se balance d'avant en arrière mais elle tient bon la position. Son cul a rougit sous mes coups et je commence à râler de plaisir moi aussi. On fait un boucan du diable dans le silence de la dune. Je ne vais pas tenir bien longtemps à un tel rythme et avec une telle furie au bout de mon gland.
Une explosion de lave en fusion déchire ma queue et inonde sa chatte. Durant de longues secondes, je me vide en elle en puissantes giclées tout en continuant de la pilonner aussi fort que je peux. Ses cris m'indiquent qu'elle se délecte de cette sauvagerie.
On finit par s'écrouler sur le paréo, trempés de sueur et de bonheur, au bord de la syncope . Des soubresauts agitent nos corps emboîtés pendant de longs instants et nos bouches aspirent l'air brûlant pour tenter de survivre. La violence de ces instants nous a totalement submergés. Il va nous falloir un peu de temps pour nous ressaisir...