- 25 août 2019, 01:37
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Cet été, nous sommes allés passer quelques jours en famille au pays basque. Profitant d'un soir de liberté, nous sommes sortis sur anglet avec ma femme. Alors que l'on s'apprêtait à rentrer, devant sa décontraction du moment et pour conclure cette chaude soirée de début du mois d'août, je lui ai demandé d'enlever son string pendant que je conduisais. Et malgré ses refus répétés lors de mes dernières tentatives (elle n'est plus trop partante près de chez nous), je la vois avec grand plaisir relever sa robe courte et se contorsionner sur son siège pour enlever sa culotte...
Je fais demi-tour au premier rond point et commence à longer les plages de la chambre d'amour. Je me rends sur le parking des cavaliers, dont j'ai lu qu'il pouvait avoir une certaine activité nocturne. Après un tour de reconnaissance, je décide d'aller me garer au fond d'un grand parking sur la gauche. L'endroit est assez calme. Seules trois ou quatre voitures éparpillées. Il est aux alentours de minuit-une heure et la nuit est sombre.
Je me gare à l'écart et nous passons bien vite sur la banquette arrière. Il fait vraiment chaud et ma femme me demande d'ouvrir les vitres avant ! Putain, là je ne m'y attendais vraiment pas. Le coeur battant, je repasse à l'avant, tourne la clé et baisse les vitres. Mais pas entièrement, je ne suis quand même pas trop rassuré.
Je repasse à l'arrière mais la voiture que nous avons est très petite et le manque de place franchement gênant... Ma chérie repasse alors sur le siège avant et s'allonge après l'avoir entièrement rabattu. Je rabats également mon siège, relève sa robe et commence à lui caresser la chatte. Elle est bien mouillée et je ne manque pas de la féliciter pour bien le lui faire remarquer.
Elle me caresse la queue tandis que je la doigte. Elle apprécie visiblement, relève ses jambes et pose ses pieds sur le tableau de bord.
Quelques trop rares voitures passent de temps en temps au ralenti devant nous et je semble m'inquiéter plus qu'elle de ses pieds nus écartés sous le pare-brise et des fenêtres à moitié ouvertes. Elle, ne bouge même pas... Au bout d'un moment, je change de position et me mets à l'envers par rapport à elle. J'ai maintenant le sexe au niveau de son visage et elle commence à lécher ma queue pendant que je la doigte. La position n'est cependant pas confortable et j'ai trop envie de la lécher. Mais il faut pour cela que je mette ma tête entre ses cuisses et elle ne peut plus me sucer. Je parviens enfin à lui bouffer la chatte... Trop bon. Elle est vraiment super ouverte et trempée. Mais on est trop mal installé.
Comme elle s'en plaint, je lui propose d'aller dehors.
ET elle accepte sans broncher...
Je n'en reviens pas !!!
Je remonte les vitres, remballe mon matériel en vitesse et on sort... Tout s'est passé en quelques secondes. Il doit être une heure du matin, ma femme est nue sous une petite robe courte et légère et on sort baiser dehors. Sur un parking... Je l'entraine derrière la voiture, de peur de m'en éloigner, et sors ma queue pour me faire sucer. Mais assez vite, elle trouve l'endroit inconfortable et veut bouger. Je remballe une nouvelle fois mon engin, la prend par la taille, et nous parcourons lentement la trentaine de mètres qui nous sépare de la fin du parking.
Je dois avoir l'air décomposé, quelque part entre ma profonde excitation et l'inquiétude de quitter la sécurité de la voiture pour nous enfoncer dans l'obscurité. Je trouve que l'endroit craint un peu, mais l'aplomb avec lequel ma petite femme semble marcher vers son destin me donne du courage.
L'endroit est entièrement entouré d'une haie touffue d'arbustes qu'on ne peut traverser, excepté au fond où il semble y avoir un passage étroit, mais dur à discerner avec certitude. Comme nous nous en approchons, je réalise qu'il y a bien un passage, mais vraiment pas très large.
On débouche alors sur une immense pelouse bien entretenue (les habitués confirmeront) et j'entraine ma chérie vers la gauche en longeant la haie. Je distingue un banc à cinq ou six mètres et j'ai l'idée de m'y assoir pour me faire à nouveau pomper le gland. Mais je réalise en me rapprochant qu'un homme seul y est installé. La nuit est si noire que je ne l'ai vu qu'au dernier moment. Ma femme que je tiens toujours par la taille n'a même pas sursauté et avance sans hésitation. Pour cacher notre surprise, nous passons lentement en silence à moins d'un mètre de son regard, et continuons notre chemin... Aucun signe d'inquiétude ou de renoncement de ma femme. Je n'ose y croire...