- 13 déc. 2018, 22:17
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Nous restons allongés au ras du sable brulant de longues secondes. L'air suffocant nous empêche de reprendre notre souffle. Elle sur le ventre, moi affalé sur son dos. Nos corps ruisselants glissent l'un sur l'autre, ce qui nous permet d'onduler lentement tels des serpents. Je suis toujours en elle, même si mon sexe est moins vigoureux. Je l'embrasse dans le cou, lui mordille les oreilles. Je la félicite de s'être comportée comme une chienne, sans pudeur. Je suis fier de son audace. Tellement que je me remets à bander. Chouette. Elle accepte les changements, dans mes mouvements et dans son ventre. Lentement, je recommence de longs vas et viens réguliers, mais avec puissance, comme un rouleau compresseur que rien ne peut arrêter. D'ailleurs, quand je suis en butée bien au fond de sa chatte, je continue à pousser , ce qui fait bouger tout son corps en avant. Cela lui plait car elle gémit déjà.
"Putain mais t'es déchainée... T'as envie que j'te baise encore hein ?.. Voilà ma salope, je vais bien te limer devant ce couple qui n'en perd pas une miette..."
Silence de sa part.
"Tu veux que j'te baise ? Hein?!.. Dis-le..."
"Baise-moi."
Mais c'est trop timide.
"Plus fort, qu'ils t'entendent"
"BAISE-MOI"
"Bien sûr que j'vais te baiser... Je vais défoncer ta chatte et te faire couiner comme une chienne !"
La transpiration entre nos deux corps me fais glisser, ce qui me permet de bien la baiser de toute la longueur de ma queue. Par contre, je peux difficilement accélérer la cadence, ce qui va devenir incontournable . Je continue néanmoins à aller et venir bruyamment dans son sexe trempé. Elle prend sérieusement des tours et commence à gémir fort. Je plante mes mains dans le paréo et me soulève. Je peux enfin la prendre plus vite . Elle gémit tellement que je me demande comment elle peut respirer. Elle pousse un râle continu, de plus en plus fort, cadencé par les coups de butoir que j'inflige à son ventre.
"Le mec a un braquemart de dingue. Elle le caresse doucement... Je suis fier de toi."
Elle continue de gémir, comme si elle n'avait pas entendu. Tu parles que t'as pas entendu. J'arrête mes mouvements, la queue bien plantée au fond de sa chatte et pousse de toutes mes forces, comme si je voulais la transpercer avec ma bite. C'en est trop. Elle se met à jouir et se contracte de toutes ses forces sur ma queue en faisant rouler son cul dans le peu d'espace que je lui accorde. À peine redescend-elle que je me remets à la défoncer avec rage, sans même lui laisser le temps de récupérer. Le résultat ne se fait pas attendre et elle n'essaie même plus d'étouffer ses cris. Elle jouit à répétition, comme un revolver automatique.
"Ça y est, elle le suce. Putain c'est trop bon !" Je sors de sa chatte et me recule un peu. "Mets-toi sur le dos et écarte tes jambes !"
Ni une, ni deux, elle roule sur elle même et me présente sans pudeur ses lèvres grandes ouvertes. J'ai un peu peur qu'elle n'enlève son bandeau ou qu'elle ne veuille inviter nos voyeurs imaginaires dans nos jeux. Heureusement, elle n'en fait rien. Je repousse sans douceur ses genoux en arrière, vers le haut, écarte ses chevilles pour bien ouvrir le chemin, plante mes pieds de part et d'autre de ses fesses, place mes mains à côté de sa tête, et, à croupis comme un animal, plonge ma bite dans son sexe béant. Cri de plaisir ! Elle aime et le fait savoir à l'assistance. J'accélère la cadence et telle une bielle qui imprime un mouvement vertical d'allers-retours dans sa chatte, lui pistonne le vagin de tout mon poids. C'est exactement ça, je lui pistonne le vagin. Le déséquilibre vers l'avant de ma posture renforce le poids de ma chute sur elle. Ça claque et ça crie ! De plus, dans cette position, ma queue est fortement repoussée en arrière et frotte de toute sa longueur son clitoris. Et ça, ma femme adore. Je transpire comme boeuf et dégouline littéralement sur elle. Cela ne semble pas la contrarier. Peut être même que cela l'excite car elle m'attrape par les hanches pour me permettre de la pilonner plus fort encore. Je fatigue vite dans cette position inconfortable qui m'oblige à rester à croupis à quatre pattes. Je ne tiendrai pas longtemps, mais veut la voir, l'entendre jouir une dernière fois.
"T'aimes de faire défoncer devant du monde hein ? Ça t'excite de te comporter comme une chienne en public ? Moi j'adore quand tu excites des gens... J'adore quand t'es salope ! La femme ne te quitte pas des yeux... Elle doit mouiller comme une folle..."
En guise de réponse, tu couines encore plus fort. Incapable de te contenir, tu te laisses aller et exprime ton plaisir avec une impudeur jouissive et bruyante. Et vas-y que j'te démonte. Vas-y que j'te défonce la chatte... Je te rejoins dans tes râles ce qui te provoque un orgasme quasi immédiat. Tu es magnifique ainsi soumise et épanouie ! Cette vision de rêve est au-dessus de mes forces. Je sors brutalement de ton sexe, tombe à genoux au-dessus de toi et me branle sur ton ventre... J'éjacule longuement sur tes seins, ce qui fait durer ton plaisir puis me laisse tomber sur le dos, bras écarté, souffle court et bouche grande ouverte. On reste ainsi longtemps avant de nous relever. On se câline en douceur, histoire de récupérer de la violence de nos efforts.
Je finis par me relever et aide ma femme à se mettre debout. Je préfère lui laisser son bandeau, surtout qu'elle ne semble pas pressée de l'enlever. Ses seins sont couverts de sperme et son cul est franchement rouge, avec de belles traces de mes mains et de mes doigts... J'adore. Je lui prend la main et la ramène sur la plage. Lentement. Elle ne dit rien et marche toujours bien sagement dans mes pas.
"C'est ça, suis bien mes pas, chérie... Fais moi confiance !"
Elle se terre dans un silence approbateur . Ça aussi j'adore !
Une fois au bord de l'eau, je pose le paréo sur le sable et lui enlève le bandeau. Il lui faut du temps pour s'habituer à ce soleil éclatant d'après-midi d'été. Sans nous consulter, on se dirige vers l'océan. On se baigne rapidement (les mns veillent !) histoire de nous rafraichir et de nous rincer. Surtout ma chérie qui dégoulinait de jus sur son ventre et ses cuisses. La fraicheur de l'eau est saisissante, si bien que nous ne pouvons y rester bien longtemps. On récupère nos affaires et longeons le rivage désert jusqu'à la zone de baignade du camp. Retour dans la foule. Dans cette jungle bruyante qui sent bon l'huile solaire et le péché originel.
En cherchant nos affaires, je la laisse passer devant moi et reluque ses fesses toujours aussi rouges.
"Si tu voyais tes fesses... Elles sont écarlates avec de belles traces de doigts. Un vrai cul de salope !!
Elle n'a rien pour cacher sa nudité et est obligée de marcher en exhibant son cul devant des centaines de personnes, dont beaucoup n'ont pas les yeux dans leur poche ! Je crois même deviner des sourires en coin et des commentaires silencieux sur ses fesses...
On retrouve enfin nos affaires et notre superbe voisine qui nous regarde arriver amusée en lançant un sourire utrabright à ma femme, plus gênée que jamais . Elle est parfaitement consciente de ce que nous sommes allés faire dans la dune. Je fais exprès de l'embraser devant elle, afin qu'elle puisse admirer la fessée qui brûle encore sa peau. Ma chérie le comprends et s'empresse de s'assoir en râlant. J'enfonce le clou et lui dit que cette blonde atomique a bien compris que nous étions allés baiser comme des bêtes sur la dune.
"T'es vraiment barge !"
"J'espère bien ! C'est si bon... D'ailleurs, dis-moi, tu t'es pas faite prier pour baiser comme une chienne, hein ?"
Silence.
"Et ça te fait quoi de savoir qu'il y a une femme et son mari pas loin qui t'ont vu te donner en spectacle sur la dune ? Tu les as bien excités tout à l'heure !"
"T'es un vrai taré..."
"Oui...et toi une belle cochonne ! On y retourne ? Tu veux que je propose à notre jolie voisine de nous accompagner ?"
Tu ne réponds rien.
Mais j'entends les rouages tourner dans ton crâne...