- 01 févr. 2017, 21:16
#1997301
Je place ses pieds sur mes épaules pour bien caler son cul en l'air. J'ai maintenant un accès total à sa chatte. Je continue à m'occuper de ses lèvres, que je lèche longuement avant de les sucer. Mes mains malaxent fermement sa poitrine, elle adore ça. Je descend ma langue sur ses fesses, et la remonte jusqu'à ses lèvres, que je longe sur toute leurs longueurs. Je le fais plusieurs fois. Des deux côtés. Je sais qu'elle apprécie les caresses sur le bas de ses fesses, de part et d'autre de son trou du cul. Je pose alors ma langue sous son clitoris, à l'entrée du vagin, là où sa peau est douce et trempée et je la lèche lentement en prenant bien soin de faire pénétrer ma langue de plus en plus profond dans sa chatte. Puis ma langue durcit et remonte pour passer rapidement sur son clito à nouveau gonflé de sang. Elle sursaute lorsque la pointe de ma langue quitte son bouton en le faisant claquer silencieusement. Je recommence plusieurs fois ce manège, ce qui lui provoque maintenant des gémissements. Je tourne autour de son clitoris qui devient de plus en plus dur. Je commence à le prendre délicatement entre les dents, à essayer de le faire rouler. Je le suce, l'aspire, le relâche doucement. Ma cochonne de femme place ses mains autour de sa chatte et l'écarte afin d 'offrir entièrement son clito. Elle perd pieds. Je le serre entre mes incisives, tire dessus et le relâche brutalement en le faisant un peu racler entre mes dents. Sursaut général de ma salope. Je recommence. Plusieurs fois. M'acharne sur ce merveilleux objet de plaisir. Elle pousse à nouveau de petits gémissements. Je mords de plus en plus fort. Je lui mets deux doigts dans la chatte, ce qui ne la laisse pas indifférente. Je la fouille, puis plaque mes doigts sur son point G. Je le caresse doucement, puis avec plus d'entrain, tout en continuant son matraquage du clitoris. Décollage imminent. C'est le moment que je choisis pour descendre à nouveau vers ses fesses. Mais avant de m'y aventurer, je prends soin de les lui écarter avec beaucoup de délicatesse. Il faut dire que ce n'est pas toujours gagné d'avance. Je descend à nouveau ma langue et recommence à lui lécher les fesses avec fougue.. Mais cette fois ci, mes mouvements se rapprochent inexorablement de son orifice. C'est à ce moment que je m'aperçois que je ne sens aucun poil sous ma langue. Cette petite vicieuse s'est aussi rasée la raie du cul. Pour la première fois. Bordel de merde, je peux pas laisser passer ça. Mon sang ne fait qu'un tour. Ma main droite revient caresser son clitoris et ma main gauche malaxe à nouveau fermement ses seins, car je ne veux surtout pas la perdre en si bon chemin. En même temps, ma langue vient se poster aux abords de sa rondelle. Elle ne me repousse pas. J'atrappe fermenent son clitoris et le branle à nouveau tandis que ma langue joue sur et autour de son trou du cul. "Ecarte tes fesses." Ses mains descendent en silence de chaque côté de ses fesses et tirent vers l'extérieur. Son trou du cul m'est maintenant offert, comme son clitoris un peu plus tôt. Je ne le lâche plus. Je le lèche, le suce, le racle avec mes dents, essaie d'y rentrer ma langue, fais en sorte qu'il comprenne ce que j'attends de lui. Qu'il l'accepte. Bien sûr, je bande à nouveau comme un taureau. Ma petite pute me laisse faire. Son orifice se détend peu à peu. Je commence à pourvoir glisser le bout de ma langue dans son cul. Je mets ma main devant sa bouche et y introduit un doigt. Elle le suce aussitôt. Quelques secondes plus tard, je descends lentement ma main le long de son corps et place mon doigt à l'entrée de son cul. Elle ne dit rien. Je masse sa rondelle et pousse doucement tout en léchant et en bavant abondamment sur son trou. Au bout d'un moment, la moitié de mon index est rentrée. J'arrête de l'enfoncer et commence à le tourner pour agrandir le passage. Ça marche plutôt bien. Je crache sur son trou du cul pour placer un maximum de salive. Elle ne dit rien. Là, je me dis que c'est gagné. Je lui rentre ma langue autant que je le peux, c'est à dire mal, mais ça me plaît quand même, et à elle aussi visiblement. Le goût de merde m'excite plutôt. Je me redresse et attrape ses jambes que je repousse en arrière en les écartant bien. Elle place ses pieds sur le plafond de la voiture pour bien se caler. Je prends ma queue, crache dans ma main pour lubrifier mon gland et le place sur son trou du cul. Je pousse. J'y vais lentement. Très lentement. Chaque millimètre gagné est aussitôt ressorti, comme une concession à ma victime. Mais c'est pour mieux le reprendre, bien sûr. Mon gland vient de rentrer. Je l'encule doucement. Cette pute a la bouche entrouverte, les yeux toujours bandés dans le coffre de la voiture et elle est en train de se faire sodomiser. Fantastique ! Ma bite est maintenant suffisamment entrée pour permettre des vas et vients. Vas et viens de plus en plus profonds, ça va de soi.
Ses mains lâchent ses fesses et viennent s'occuper de son sexe. Je laisse tomber de la salive sur ma queue et profite de cette nouvelle lubrification pour l'enfiler totalement, sans prévenir. "Ahhhhh !" Premiers cris. Elle agite ses doigts sur sa chatte. Je lui ramone méthodiquement le cul, ce qui la fait crier à chaque poussée. C'est tellement bon que je suis obligé de ralentir le rythme pour ne pas décharger trop vite. J'essaie d'imaginer ce qui peut bien se passer dans sa tête. En train de se faire sodomiser, exposée derrière les vitres d'une voiture, la nuit, sur un parking de voyeurs. Ma femme jouit en gémissant plus fort qu'elle ne l'a jamais fait. "Mais t'es en train de jouir du cul ma salope ?" Elle vaporise un oui hoquetant entre deux gémissements. Et ça dure un bon moment.
Je finis par me retirer, me remets entre ses cuisses et lui bouffe la chatte et le cul, passant de l'un à l'autre sans retenue ni délicatesse. Ses deux orifices sont brûlants et elle se tortille comme un vers. Je lui demande alors de se redresser et l'aide à se mettre à quatre pates, la tête contre la vitre de la porte arrière. Toujours aussi mal installé, je me place derrière elle, place mon gland sur son trou de balle et pousse fermement pour l'enculer en levrette. Nouveau cri de déchirement, aussitôt suivi par d'autres car j'ai décidé de ne plus m'arrêter. Je lui demande ensuite de coller son visage sur la vitre. Plus à gauche, voilà. Elle s'exécute sans broncher, mais je suis sûr qu'elle cogite à mort. Son visage bouge sous mes assauts et cogne doucement la vitre. Je lui lime le cul et non de dieu ses cris me disent qu'elle aime ça ! "Lèche la vitre." Elle ne dit toujours rien et pose sa langue sur la fenêtre. Sous mes ordres, elle monte et descend sa langue comme sur un sexe imaginaire, s'arrête pour mieux sucer, lèche la vitre à pleine langue. Je lui ramone l'anus lentement mais avec de plus en plus de puissance, malgré la position toujours inconfortable. Je lui murmure à l'oreille que j'adore la voir se comporter comme une salope, comme une vraie chienne. Pour toute réponse, elle gémit de plus en plus fort en écrasant sa langue sur la vitre. Elle lèche maintenant avec application la bite qu'elle imagine derrière la vitre. Avec passion. Je tapote le verre du doigt pour imiter les coups de braquemard d'un voyeur. Cela ne l'arrête pas, bien au contraire. Elle suce et lèche la vitre avec hardeur, écrasant bien le plat de sa langue sur cette bite que je lui laisse le soin d'imaginer. J'accélère la cadence, la violence. Soudain elle s'arrête et se met à gemir plus fort. Elle jouit une nouvelle fois, bouche entrouverte contre la vitre. Je lui demande aussitôt de continuer à lécher la vitre. Elle essaie mais n'arrive plus bien à se contrôler. Ses reins sont secoués de soubresauts. Je la défonce aussi fort que je peux. Ses gémissements ont laissé la place à des cris. Je ne vais pas tarder à jouir moi aussi. Je sors de son cul et viens en me cognant la tête poser mon gland sur sa joue, sur ses lèvres. Elle le prend dans sa bouche sans hésiter et le pompe goulument comme pour le laver avec sa langue. Une fois mon gland bien propre, je lui enfonce ma bite dans la bouche et elle me suce sans complexe. Mais je ne veux pas jouir dans sa bouche. Je place mon gland devant ses lèvres, l'attrape par les cheveux pour reculer un peu sa tête et me branle devant sa bouche entrouverte en la traitant de belle salope. J'explose en puissantes giclées sur son visage. J'ai l'impression d'éjaculer pendant une éternité. Je finis par me laisser tomber sur le dos, et contemple ma femme toujours à quatre pattes devant la vitre, nue, le bas du visage couvert de sperme.. Elle s'essuie maladroitement avec sa main, crache ce qu'elle a reçu dans la bouche et se laisse tomber à côté de moi. Elle reprend vite son souffle et me dit timidement qu'il faudrait qu'on y aille sans tarder. Elle essaie en vain de remettre sa robe complètement emmêlée autour de sa taille mais garde son bandeau sur les yeux. Je lui essuie le visage, me rhabille en vitesse et nous repassons à l'avant de la voiture. Je démarre et roule doucement pour sortir du parking. Je regarde ma femme. Elle est magnifique, trempée de sueur dans sa petite robe noire de travers. Elle se tient droite, comme à la parade et ne semble pas avoir honte des regards qu'elle imagine sur elle. Une vraie attitude de salope. Quelle pied !