- 04 sept. 2015, 23:29
#1815588
Hier soir, nous sommes nus couchés dans la chaleur de nos lits, après une journée bien remplie de jeunes parents actifs. Pour ma part, j'ai fini de lire, j'avance ma main sur la douce peau de son corps, remonte le long de son ventre. Ma femme, une jolie brune aux yeux d'acier, au début de la trentaine, repousse gentiment mais fermement ma main.
"Oh non, mon livre est vraiment passionant, laisse moi lire tranquillement s'il te plaît, mon chéri."
Je grommelle dans mon coin. Depuis notre dernier plan, nous n'avions pas fait l'amour ou presque. Heureusement, ce dernier remontait à samedi, il fut riche en enseignement sur le potentiel sexuel de la miss et je vous le raconterai peut-être une prochaine fois. Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, je sais qu'elle est scotchée depuis quelques jours à ce satané livre de Diane Chamberlain, je tente un hyppocrite :
"Je suis ravi qu'il te plaise"
Elle sort enfin le nez de son livre, aggripe mon sexe à moitié bandé et ricane : "demain à la même heure, tu me diras au téléphone : je suis ravi qu'il te baise !". (Bref, hier soir, béquille.)
La garce a en effet un rendez-vous le lendemain soir. Dans une ville à une heure de la notre, elle passe une nuit complète à l'hôtel avec un homme qui va devenir un amant. Elle est partie le rejoindre en train, lui vient en voiture de beaucoup plus loin. La cinquantaine sportive, un inconnu mais un libertin expérimenté, joyeux et de bonne humeur. Nous l'avions contacté il y a quelques semaines sur un célèbre site de rencontre échangiste, car il habite et peut recevoir dans une ville qu'il nous intéressait de visiter en mode touriste. Par notre fait, nous n'avons pas pu concrétisé ce projet et nous avons décidé de reporter ce voyage. Mais le contact téléphonique avait été très bon et attendant de pouvoir faire combiner nos agendas respectifs, T. nous indiqua qu'il pouvait se libérer tel we et venir jusqu'à chez nous.
Il comptait rallier notre ville samedi, mais comme la miss avait des démarches administratives à réaliser le samedi matin dans une ville qui se trouvait sur son chemin, je lui proposais afin d'éviter de lui faire trop de route d'un coup de retrouver la miss le vendredi soir sur cette ville étape. Le brigand n'a pas mis longtemps à se retourner et fort opportunément se rendre également disponible le vendredi soir, ne perdant pas l'occasion de sauter une jolie femme mariée toute la nuit, en guise d'introduction chez un couple le reste du we. Je le taquinais par SMS obtenant encore des réponses
"ça me plait bien que tu me la donnes une nuit", "je trouve l'idée très exaltante et la miss très motivée pour accepter". Maintenant, il est beaucoup moins loquace par SMS.
"Normal, maintenant qu'il sait qu'il va baiser ta femme, il n'a plus besoin de trop s'embêter avec le mari". Vous voyez, ma petite femme adorée a toujours un mot pour me réconforter.
Ce soir, après être rentrés du boulot et en s'occupant de notre bébé, nous avons eu des gestes furtifs mais très tendres et très complices. Elle va passer la nuit complête avec un homme que nous ne connaissons pas mais nous nous aimons comme des fous. C'est la magie du libertinage (pour elle) et du candaulime (pour moi). Avant de partir dans la foulée, un casse croute dans sac, elle n'a pas eu le temps de faire d'effort vestimentaire particulier, à cause du voyage d'une part et puis aussi parcequ'elle est assez nature, souvent directe et sans artifice. Bref, en ce moment, elle est avec lui, il l'a récupéré à la sortie de la gare. Elle vient de m'appeler de la chambre d'hôtel alors qu'il était sorti chercher un "truc" dans la voiture, et là, il vient de rentrer prendre une douche. Elle vient de raccrocher et elle va le rejoindre. Le temps que j'écrive ces quelques lignes, je pense que pour eux, le we vient de commencer.
A suivre, j'aurais peut-être d'autre nouvelles cette nuit... et en m'excusant pour une écriture saccadée sans relecture.
"Oh non, mon livre est vraiment passionant, laisse moi lire tranquillement s'il te plaît, mon chéri."
Je grommelle dans mon coin. Depuis notre dernier plan, nous n'avions pas fait l'amour ou presque. Heureusement, ce dernier remontait à samedi, il fut riche en enseignement sur le potentiel sexuel de la miss et je vous le raconterai peut-être une prochaine fois. Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, je sais qu'elle est scotchée depuis quelques jours à ce satané livre de Diane Chamberlain, je tente un hyppocrite :
"Je suis ravi qu'il te plaise"
Elle sort enfin le nez de son livre, aggripe mon sexe à moitié bandé et ricane : "demain à la même heure, tu me diras au téléphone : je suis ravi qu'il te baise !". (Bref, hier soir, béquille.)
La garce a en effet un rendez-vous le lendemain soir. Dans une ville à une heure de la notre, elle passe une nuit complète à l'hôtel avec un homme qui va devenir un amant. Elle est partie le rejoindre en train, lui vient en voiture de beaucoup plus loin. La cinquantaine sportive, un inconnu mais un libertin expérimenté, joyeux et de bonne humeur. Nous l'avions contacté il y a quelques semaines sur un célèbre site de rencontre échangiste, car il habite et peut recevoir dans une ville qu'il nous intéressait de visiter en mode touriste. Par notre fait, nous n'avons pas pu concrétisé ce projet et nous avons décidé de reporter ce voyage. Mais le contact téléphonique avait été très bon et attendant de pouvoir faire combiner nos agendas respectifs, T. nous indiqua qu'il pouvait se libérer tel we et venir jusqu'à chez nous.
Il comptait rallier notre ville samedi, mais comme la miss avait des démarches administratives à réaliser le samedi matin dans une ville qui se trouvait sur son chemin, je lui proposais afin d'éviter de lui faire trop de route d'un coup de retrouver la miss le vendredi soir sur cette ville étape. Le brigand n'a pas mis longtemps à se retourner et fort opportunément se rendre également disponible le vendredi soir, ne perdant pas l'occasion de sauter une jolie femme mariée toute la nuit, en guise d'introduction chez un couple le reste du we. Je le taquinais par SMS obtenant encore des réponses
"ça me plait bien que tu me la donnes une nuit", "je trouve l'idée très exaltante et la miss très motivée pour accepter". Maintenant, il est beaucoup moins loquace par SMS.
"Normal, maintenant qu'il sait qu'il va baiser ta femme, il n'a plus besoin de trop s'embêter avec le mari". Vous voyez, ma petite femme adorée a toujours un mot pour me réconforter.
Ce soir, après être rentrés du boulot et en s'occupant de notre bébé, nous avons eu des gestes furtifs mais très tendres et très complices. Elle va passer la nuit complête avec un homme que nous ne connaissons pas mais nous nous aimons comme des fous. C'est la magie du libertinage (pour elle) et du candaulime (pour moi). Avant de partir dans la foulée, un casse croute dans sac, elle n'a pas eu le temps de faire d'effort vestimentaire particulier, à cause du voyage d'une part et puis aussi parcequ'elle est assez nature, souvent directe et sans artifice. Bref, en ce moment, elle est avec lui, il l'a récupéré à la sortie de la gare. Elle vient de m'appeler de la chambre d'hôtel alors qu'il était sorti chercher un "truc" dans la voiture, et là, il vient de rentrer prendre une douche. Elle vient de raccrocher et elle va le rejoindre. Le temps que j'écrive ces quelques lignes, je pense que pour eux, le we vient de commencer.
A suivre, j'aurais peut-être d'autre nouvelles cette nuit... et en m'excusant pour une écriture saccadée sans relecture.