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par HMUR8723
#70207
Bonjour,
Plus jeune je vivais à Paris.
Mon emploi du temps me laissait assez libre et j'ai pas mal bourlingué les après midi dans les clubs de Paris et environs.
Avec le recul je me rends compte que les couples qui y venaient à ces moments la étaient sans doute pour la plupart des couples candaulistes.
Souvent le mari ne participait pas, il mattait , parfois il dirigeait.
J'ai souvenir d'un couple rencontré dans un club du 5ème, elle belle bourgeoise du début de la cinquantaine, lui un peu plus agé.
Je les ai croisés trois fois en un an, et chaque fois c'était le même rituel.
Ils allaient dans un des box, les mecs attendaient, elle en choisissait un qui commençait la baiser à la papa, monsieur regardait.
Puis au bout de dix minutes, il chuchottait à l'oreille du mec, lequel se retirait de la chatte de la dame, elle se mettait à qutre pattes, le mari sortait un tuge de lubrifiant et lui graissait l'anus.
Et le mec commençait à la sodomiser.
Dès le début de l'opération le mari se mettait nu, en fait il retirait la serviette donnée à l'entrée et pendant que sa femme se faisait enculer elle le branlait et le suçait, il bandait mal.
A partir de la, les mecs se succédaient dans son cul, jusqu'au moment ou le mari éjaculait, c'était toujours assez long.
Un jour j'ai été le premier, la seconde fois je crois, je l'ai prise en chatte et assez rapidement son mari m'a dit:
"voulez vous la prendre par derrière"
Evidemment que oui, alors graissage de la pastille de la dame et hop en place, elle était moyennement sérrée.
Comme elle m'excitait pas mal j'ai voulu lui parler en des termes un peu crus, immédiatment il m'a rembarré, j'ai compris et je l'ai limée en silence.
Par contre lui commentait à l'oreille de sa femme ce qu'elle subissait
"il t'encule bien ma petite chienne, tu sens sa grosse bite qui te dilate le cul"
"une bonne petite putain qui aime se faire défoncer la rondelle"
etc... etc....
J'ai compris que ce n'était que comme ça qu'il arrivait à bander.
Un bon souvenir parmi tant d'autres.
#70689
Bonjour notabous,
Je precise que ce n'est pas un fantasme mais bien un réel souvenir.
Dans le même endroit, la Cheminée pour ceux qui connaissent (je ne sais pas si ce club existe toujours) j'ai encore d'autres souvenirs de bons moments.
Celui ci par exemple:
Le club est (était?) pourvu de deux pièces en sous sol avec au milieu deux douches et un wc, une grande salle avec des canapés et une plus petite elle même partagée en deux avec dans chacunes d'elles une grande table.
Ces deux tables avaient pour usage tout à la fois la baise des charmantes dames qui s'y trouvaient ou simplement leur exposition aux regards et aux mains des amateurs.
C'est comme tout les clubs, surtout en après midi ou les hommes seuls sont légions et les femmes plus rares; certaines fois ça marchait d'autres non.
Un jour, j'arrive en milieu d'après midi, dans une des pièces du bas sur la table une femme qui se fait saillir à la chaine, son mari regarde et dirige et les mecs se succèdent dans sa chatte pendant qu'allongée sur le dos elle suce ou branle ce qui se présente.
Comme d'hab, une foule assez serrée, et impossible d'approcher d'assez près, alors je me contente de mater.
Une fois mes yeux habitués à la semi pénombre je remarque près de moi une femme déja dans la plénitude de l'age, disons une bonne cinquantaine qui elle aussi regarde, elle parle de temps en temps à un homme du même âge, son mari sans doute.
Le spectacle fait son effet, et je commence à bander sévère, je risque une main sur la croupe de ma voisine, je la sens qui se contracte mais elle ne repousse pas ma main.
Je commence à la caresser, puis rapidement je prends une de ses mains et la pose sur ma queue.
La elle la tient mais ne bouge pas et dans le même temps elle parle à l'oreille de son mari, il me regarde, un petit sourire (encouragements?, du moins je l'ai pris ainsi).
Je tiens sa main et l'oblige à me masturber lentement, c'est bon, je suis raide comme un pendu!
Personne autour de nous ne le remarque, elle continue, mais je veux plus
Je pose mes mans sur ses épaules et sans la brusquer je la fais descendre.
Elle est a genoux, ma main sur sur nuque, ma queue qui frotte ses levres.
Elle m'embouche et commence à me faire une superbe pipe.
Autour les mecs ont vus, certains lui caressent les épaules, le mari les repousse.
Elle m'a fait je crois une des plus belles fellations de ma vie, elle suçait à merveille, sans capote (je n'avais pas prévu au départ), et au final je lui ai arrosé le visage.
Une fois fini, elle s'est levée et je l'ai remercié d'un sourire et elle est repartie.
Mon regret avec le recul , ne pas l'avoir suivie pour la baiser, ou au moins lui faire une douce minette en échange.
Dans l'après midi je l'ai reveue au hasard des groupes, jamais elle ne baisait, elle ne sucait pas non plus, son mari et elle regardaient
Je pense qu'ils étaient timides et qu'il attendaient qu'un homme aille vers eux.
Ce n'est pas un récit de grosse baise, mais c'était d'un érotisme terrible, ce côté un peu contraint tout en étant souhaité, pas un mot, la foule autour.

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