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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par xavmart
#68492
Nous avions un peu bu, finissant la soirée d'après théâtre à la Rhumerie (pub gratuite) histoire de ne pas se quitter trop vite. Comme la soirée était douce, nous avions raccompagné Juliette jusque chez elle.

- Montez un instant, nous intima-t-elle.

Juliette a ouvert une bouteille de champagne malgré les protestations de Martine. Elle ne se sentait pas bien. Trop d'alcool. La fatigue.

- Viens t'allonger un moment, lui dit-elle.

Nous l'aidâmes à gagner la chambre.

Juliette lui dégrafai son chemisier.

- Ce n'est pas la peine de me déshabiller, dit Martine, c'est un léger malaise, ça va passer.

Mais déjà Juliette lui avait totalement dégagé la poitrine enserrée dans un soutien-gorge en fine résille chair qui mettait ses seins en valeur, une main experte avait troussé la jupe révélant la culotte coordonnée qui ne masquait en rien l'épaisse toison brune, et soulignant même la fine entaille du sexe.

Martine se laissait faire. Bientôt les deux femmes furent totalement nues. Je les rejoignais sur le lit à l'invitation de Juliette.

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