- 04 août 2010, 18:25
#65177
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essaouira-t5919.html
Ce qui avait été et aurait pu rester l'aventure d'un jour, se transforma liaison. Martine et Rashid faisaient l'amour à chacune de leur rencontre. Je trouvais ma femme changée. Elle ne parlait plus de retour en France au contraire l'approche des vacances ne semblait pas lui faire plus plaisir que ça.
C'est un après-midi que je découvris leur relation. En me rendant sur un chantier je remarquais la voiture de ma femme arrêtée non loin de la route. À cet endroit la côte est désertique et surplombe la mer. Je m'arrêtais m'approchais de la falaise. En bas, il y avait une baraque de pêcheur avec une petite plage de sable. Par un sentier raide je descendis. En arrivant j'entendis des éclats de rire et je les aperçus elle et Rashid qui jouaient à se poursuivre sur la plage. Ils étaient l'un et l'autre nus. Caché derrière un buisson je les observais. Ils sont tombés sur le sable. Elle sous lui. De ma position je ne pouvais pas bien voir ce qui se passait. Mais de toute évidence, ils étaient en train de faire l'amour. Étrangement, ma femme se faisait sauter sous mes yeux et je ne ressentais aucun sentiment de jalousie. Au contraire, je ressentais plutôt de l'excitation. Voir ce type chevaucher ma femme me faisait bander. Beaucoup d'hommes qui ont connu une situation semblable savent de quoi je parle.
De crainte d'être surpris, vite je me retirai et poursuivais ma route, la tête pleine des images que je venais de voir. Trop excité, j'ai du stopper ma voiture un peu plus loin et je me suis masturbé.
Les jours qui ont suivi je restais hanté par ce que j'avais vu. Quand nous faisions l'amour, je ne pouvais m'empêcher de penser à Rashid qui la baisait sur cette plage.
Cette idée renforçait mon excitation.
Un soir, je lâchais le morceau:
- Je sais pour toi et Rachid. mais ne te fait pas de soucis, je trouve ça plutôt marrant!
Nous eûmes une longue discution. Martine accepta l'idée d'une sorte de ménage à trois.
Je proposais une première rencontre sans savoir ce qu'en penserait Rachid. Martine accepta de garder le secret et de ne pas en parler à son amant pour ménager la surprise.
Le lendemain je demandais au jeune homme de passer me voir dans mon bureau.
Il arriva un peu inquiet. Je le rassurais bien vite lui donnant à penser que j'ignorais tout de sa relation avec ma femme.
Il fut un peu interloqué de ma proposition à venir dîner chez nous. Chercha des excuses. Mais je le tenais. Et il finit par accepter.
***
Le repas se déroula très agréablement. C'est après le dessert que j'avais décidé d'attaquer. À un moment, Martine s'absenta, nous laissant seul, Rachid et moi.
- Que pensez-vous de ma femme? Lui demandais-je.
Instant de panique. Manifestement la question l'embarrassait.
Je vins à son secours un tantinet pervers:
- Si vous préférez, la trouvez-vous désirable?
Embarra réel. Manifestement, il ne savait plus ou se mettre.
Je savourais l'effet produit.
Sur ces entre-faits Martine revint.
- Nous parlions de toi avec Rachid. Il me disait qu'il te trouvait très à son goût.
Je savourais la gêne du jeune homme. Manifestement, il ne savait plus quelle contenance prendre.
Je décidais de lui porter le coup de grâce.
- je suis certain que Rachid aimerait bien voir tes seins? Dis-je à ma femme.
Elle m'adressa un sourire complice, et dégagea une bretelle de sa robe quelle portait sans soutien-gorge, découvrant un sein. Rachid ne savait plus où se mettre. Elle fini de retirer complètement la robe. Elle était devant nous en culotte.
- Tu peux la toucher? Dis-je. Aller! n'hésites pas. Elle n'attend que ça.
Je le poussais vers elle.
- Ne te déranges pas pour moi, ça me fait plaisir, et puis je sais que tu la baise depuis un moment, alors vas-y!
Rachid était terrifié. Intérieurement je m'amusais comme un fou.
C'est Martine qui débloqua la situation, elle l'entraîna vers le canapé du salon, où ils roulèrent tous les deux.
Je ne connaissais pas ma femme sous ce jour, une vraie furie en chaleur. Elle avait retiré sa robe et tentait de déshabiller son jeune amant.
J'intervenais:
- Vous devriez monter dans la chambre, ce serait plus confortable.
Je les vis disparaître dans l'escalier. Je m'installais confortablement dans un fauteuil du salon. Je voulais les laisser un moment seuls avant d'aller voir ce qui se passait là-haut.
De temps à autre j'entendais des rires étouffés, puis les grincements du lit. Tout cela était terriblement excitant.
À pas de loup je montais l'escalier. Je voulais voir maintenant.
Par la porte laissée entr'ouverte je les observais. Je n'avais pas envie d'intervenir. Martine était en train de pratiquer une fellation en règle à Rashid. La bite raide du jeune homme glissait entre les lèvres gourmandes de ma femme. Rashid poussait de petits grognements de satisfaction. Il paraissait avoir totalement dépassé ses craintes.
Je me retirais prudemment, afin d'aller dans une autre pièce me déshabiller. Une fois nu, je repris mon poste d'observation tout en me caressant.
A mon retour, je la retrouvais empalée sur la bite de son amant. Quand elle m'aperçus, elle me fit signe de m'approcher. Rashid en me voyant marqua un temps d'arrêt, mais Martine l'encouragea, et il se remis à la bourrer avec fougue.
Martine prenais manifestement plaisir à s'offrir en spectacle. Elle était prise de frénésie. enchainant orgasme sur orgasme. De son côté Rashid assurait parfaitement. très endurant ce garçon. Et maitre de lui-même. Il contrôlait son plaisir parfaitement.
Martine mis fin à son supplice, elle lui dit :
- Vas-y, jouis! je veux ton sperme. Vides-toi en moi.
Il explosa en elle. La remplissant de sa semence, en ce que je devinais être de longs jets puissants.
Tandis qu'ils retombaient épuisés sur le lit, je finissais de me branler au comble de l'excitation.
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Ce qui avait été et aurait pu rester l'aventure d'un jour, se transforma liaison. Martine et Rashid faisaient l'amour à chacune de leur rencontre. Je trouvais ma femme changée. Elle ne parlait plus de retour en France au contraire l'approche des vacances ne semblait pas lui faire plus plaisir que ça.
C'est un après-midi que je découvris leur relation. En me rendant sur un chantier je remarquais la voiture de ma femme arrêtée non loin de la route. À cet endroit la côte est désertique et surplombe la mer. Je m'arrêtais m'approchais de la falaise. En bas, il y avait une baraque de pêcheur avec une petite plage de sable. Par un sentier raide je descendis. En arrivant j'entendis des éclats de rire et je les aperçus elle et Rashid qui jouaient à se poursuivre sur la plage. Ils étaient l'un et l'autre nus. Caché derrière un buisson je les observais. Ils sont tombés sur le sable. Elle sous lui. De ma position je ne pouvais pas bien voir ce qui se passait. Mais de toute évidence, ils étaient en train de faire l'amour. Étrangement, ma femme se faisait sauter sous mes yeux et je ne ressentais aucun sentiment de jalousie. Au contraire, je ressentais plutôt de l'excitation. Voir ce type chevaucher ma femme me faisait bander. Beaucoup d'hommes qui ont connu une situation semblable savent de quoi je parle.
De crainte d'être surpris, vite je me retirai et poursuivais ma route, la tête pleine des images que je venais de voir. Trop excité, j'ai du stopper ma voiture un peu plus loin et je me suis masturbé.
Les jours qui ont suivi je restais hanté par ce que j'avais vu. Quand nous faisions l'amour, je ne pouvais m'empêcher de penser à Rashid qui la baisait sur cette plage.
Cette idée renforçait mon excitation.
Un soir, je lâchais le morceau:
- Je sais pour toi et Rachid. mais ne te fait pas de soucis, je trouve ça plutôt marrant!
Nous eûmes une longue discution. Martine accepta l'idée d'une sorte de ménage à trois.
Je proposais une première rencontre sans savoir ce qu'en penserait Rachid. Martine accepta de garder le secret et de ne pas en parler à son amant pour ménager la surprise.
Le lendemain je demandais au jeune homme de passer me voir dans mon bureau.
Il arriva un peu inquiet. Je le rassurais bien vite lui donnant à penser que j'ignorais tout de sa relation avec ma femme.
Il fut un peu interloqué de ma proposition à venir dîner chez nous. Chercha des excuses. Mais je le tenais. Et il finit par accepter.
***
Le repas se déroula très agréablement. C'est après le dessert que j'avais décidé d'attaquer. À un moment, Martine s'absenta, nous laissant seul, Rachid et moi.
- Que pensez-vous de ma femme? Lui demandais-je.
Instant de panique. Manifestement la question l'embarrassait.
Je vins à son secours un tantinet pervers:
- Si vous préférez, la trouvez-vous désirable?
Embarra réel. Manifestement, il ne savait plus ou se mettre.
Je savourais l'effet produit.
Sur ces entre-faits Martine revint.
- Nous parlions de toi avec Rachid. Il me disait qu'il te trouvait très à son goût.
Je savourais la gêne du jeune homme. Manifestement, il ne savait plus quelle contenance prendre.
Je décidais de lui porter le coup de grâce.
- je suis certain que Rachid aimerait bien voir tes seins? Dis-je à ma femme.
Elle m'adressa un sourire complice, et dégagea une bretelle de sa robe quelle portait sans soutien-gorge, découvrant un sein. Rachid ne savait plus où se mettre. Elle fini de retirer complètement la robe. Elle était devant nous en culotte.
- Tu peux la toucher? Dis-je. Aller! n'hésites pas. Elle n'attend que ça.
Je le poussais vers elle.
- Ne te déranges pas pour moi, ça me fait plaisir, et puis je sais que tu la baise depuis un moment, alors vas-y!
Rachid était terrifié. Intérieurement je m'amusais comme un fou.
C'est Martine qui débloqua la situation, elle l'entraîna vers le canapé du salon, où ils roulèrent tous les deux.
Je ne connaissais pas ma femme sous ce jour, une vraie furie en chaleur. Elle avait retiré sa robe et tentait de déshabiller son jeune amant.
J'intervenais:
- Vous devriez monter dans la chambre, ce serait plus confortable.
Je les vis disparaître dans l'escalier. Je m'installais confortablement dans un fauteuil du salon. Je voulais les laisser un moment seuls avant d'aller voir ce qui se passait là-haut.
De temps à autre j'entendais des rires étouffés, puis les grincements du lit. Tout cela était terriblement excitant.
À pas de loup je montais l'escalier. Je voulais voir maintenant.
Par la porte laissée entr'ouverte je les observais. Je n'avais pas envie d'intervenir. Martine était en train de pratiquer une fellation en règle à Rashid. La bite raide du jeune homme glissait entre les lèvres gourmandes de ma femme. Rashid poussait de petits grognements de satisfaction. Il paraissait avoir totalement dépassé ses craintes.
Je me retirais prudemment, afin d'aller dans une autre pièce me déshabiller. Une fois nu, je repris mon poste d'observation tout en me caressant.
A mon retour, je la retrouvais empalée sur la bite de son amant. Quand elle m'aperçus, elle me fit signe de m'approcher. Rashid en me voyant marqua un temps d'arrêt, mais Martine l'encouragea, et il se remis à la bourrer avec fougue.
Martine prenais manifestement plaisir à s'offrir en spectacle. Elle était prise de frénésie. enchainant orgasme sur orgasme. De son côté Rashid assurait parfaitement. très endurant ce garçon. Et maitre de lui-même. Il contrôlait son plaisir parfaitement.
Martine mis fin à son supplice, elle lui dit :
- Vas-y, jouis! je veux ton sperme. Vides-toi en moi.
Il explosa en elle. La remplissant de sa semence, en ce que je devinais être de longs jets puissants.
Tandis qu'ils retombaient épuisés sur le lit, je finissais de me branler au comble de l'excitation.
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