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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par cpleidf
#1527705
Ci-dessous le début de l'un des récits les plus excitants qu'il m'ait été donné de lire sur le candaulisme. Faites moi savoir si la suite vous intéresse, j'illustrerai parfois le récit avec des photos de ma propre épouse (histoire de donner un petit plus ;) ):

Mi mai, la date du mariage était arrêté, le 3 juillet prochain.
Bien sur, j'avais présenté, Céline, à mes parents et nos parents s’étaient rencontrés à Paris, dans un grand restaurant.
Mon père est Expert-comptable et ma mère ... aussi. Oui, ils se sont bien trouvés. Ils dirigent un cabinet important.
Début juin, étant à Paris, pour mes affaires, je présentais Céline, qui m'accompagnait, à mes quelques connaissances parisiennes. Nous fûmes invités à une soirée.
Céline était rayonnante. Sexy mais avec classe et un rien provocante. Robe rouge, courte à mi cuisse, talons haut, dos nu, sans soutient gorge. Ses seins, larges et lourds, 95 et des poussières, tendaient la robe de façon presque indécente.
Mais j'étais fier de ma fiancée.
La soirée était parfaite. Le repas gastronomique. Les vins, excellents, Le champagne coulait à flot.
Nous avons dansé, Céline était courtisée par tous les hommes ....
J’avais trop bu et Céline n’était pas en reste. Les invités partaient et un homme, corpulent, la cinquantaine, bien tassée, que j'avais vu danser avec Céline, nous proposa, vu notre état, de nous raccompagner à notre hôtel. Je lui expliquais, tant bien que mal, que Céline était ma fiancée et qu’elle devait rentrer chez ses parents en banlieue.
L’homme me dit alors, qu?il serait préférable qu'elle prenne une autre chambre dans mon hôtel ou si nous voulions, il nous hébergerait pour la nuit chez lui. Son appartement, à 5 minutes en voiture était pourvu de 4 chambres.
Nos hôtes nous conseillèrent d?accepter. C’était mieux et plus prudent.
Ainsi fût dit, ainsi fût fait.
Nous sommes arrivés, comment je ne sais plus très bien, dans l?appartement de cet homme que je ne connaissais pas.
Il ouvrit une bouteille de champagne et nous bûmes encore. Céline était dans un drôle d'état et moi ... pour la première fois de ma vie, j'étais ivre.
L'homme mit de la musique langoureuse et me demanda la permission de danser avec ma fiancée. Ai-je dit oui ou non, je ne sais pas. Affalé dans mon fauteuil, je voyais trouble. Je voyais cet homme danser avec Céline. Je me levais et demandais la salle de bain. Il m'indiqua le chemin. Je fit alors couler l'eau et tentais de me dégriser. Un long moment, je fis couler l'eau sur mon visage et ma nuque. J'en bu aussi. Lorsque je sortis de la salle de bain, j'allais beaucoup mieux. Pas clair, mais beaucoup mieux. J'étais conscient.
Je repris place dans le fauteuil. La lumière avait été tamisée. La bouteille de champagne était presque vide et le verre de Céline l'était.
Je levais la tête et .... Là devant mes yeux à quelques mètres de moi, l'homme et Céline s'embrassaient à pleine bouche. Cloué dans mon fauteuil, je ne comprenais pas. Je tentais de rassembler mes pensées. Mon esprit troublé. Je regardais. Je fermais les yeux. Je regardai à nouveau. C'était bien Céline qui dansait avec cet homme, qui l'embrassait et la caressait.
Comment, pourquoi, je ne bougeais pas. Je sentis mon sexe se mettre en érection. J'étais spectateur d'un film. La robe de Céline tomba à terre, elle était en string.
L'homme ( je ne savais même pas son prénom ) arrêta la danse, il pelotait les seins de ma fiancée. Les prenait à pleine main. Puis ses fesses furent aussi malaxées.
Je n'étais plus ivre d'alcool, j?étais ivre d'excitation et de voyeurisme. ( comme dans mes masturbations solitaires )
Il porta Céline dans le grand sofa d?angle qui était à droite de mon fauteuil. La coucha, lui enleva son string. Splendidement nue.
L'homme ôta ses vêtements et demeura en slip. Il écarta les jambes de Céline et enfouis son visage entre ses cuisses et se mit à sucer son sexe.
Céline poussa un long soupir. Un râle de plaisir, sourd.
Céline s'agitait de plus en plus, roulait des hanches, prenait la tête de l?homme entre ses mains et la plaquait sur son sexe.
Les soupirs et les râles furent plus nombreux et rapprochés.
Sans cesser ce qu'il faisait l'homme a enlevé son slip. Puis, comme un serpent, il est venu sur Céline. Il a relevé ses jambes, haut en les maintenant largement écartées.
A genoux, il a collé son sexe sur celui de Céline. Il se masturbait sur sa vulve, probablement ouverte. Elle reprit ses soupirs de bien être.
A ce moment précis, l'homme se tourna vers moi et me dit. " Venez, approchez vous, vous verrez mieux "
Comme un automate je me levais et me mis juste à coté de lui. Tout proche. Je vis ma fiancée allongée, les yeux fermés, nue. Ses gros seins ronds, magnifiques aux auréoles claires. Son sexe m'apparût aussi pour la première fois. Les poils bruns comme ses cheveux. Légèrement ondulés.
Je vis alors, le sexe de l?homme, long et large. Beaucoup plus gros que le mien, qui glissait entre les lèvres ouvertes de la vulve de Céline.
-"Regarde" me dit-il, "je vais prendre ta fiancée devant toi, je savais que tu aimerais. Je vous ai observé durant la soirée et j?étais sur que tu étais voyeur, regarde maintenant "
Il prit son sexe en main, présenta le gland à l'entrée du vagin, poussa un peu et le fit pénétrer.
Céline soupira très fort.
Lentement il poussa et le sexe pénétra de moitié...

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Là Céline poussa un cri, plutôt un râle de plaisir et de douleur à la fois.
L'homme s'arrêta ... Ne comprenant pas. Il dit :
" Merde, elle est vierge ? "
" Oui, dis-je doucement, oui "
Nous nous sommes regardés, un instant. J?ai détournés les yeux et j'ai fixé les deux sexes.
Alors, lentement, il a enfoncé le sien jusqu'au bout dans celui de Céline.
Il est resté ainsi en elle. Il a caressé ses seins, ses hanches ses cuisses, son clitoris.
Puis il a commencé à bouger en elle, doucement, ressortant de quelques centimètres, encore et encore, plusieurs fois. Puis plus les mouvements ont pris plus d'ampleur. Il les calquait sur les soupirs de Céline. Plus son plaisir montait, plus il amplifiait ses coups de rein.
Et là, Céline se mit à crier et à jouir. Ses bras battaient le vide. Son bassin se soulevait.
" Déshabillez-vous, vous serez mieux, n?ayez pas honte, masturbez-vous. Prenez votre plaisir. Votre voyeurisme et votre candaulisme, doivent s'affirmer, maintenant, il ne faudra rien regretter. Je connais certains couples comme le vôtre "
J'enlevais pantalons et slip et je me masturbais.
Lui avait repris son accouplement avec ma fiancée, il l'a baisait maintenant avec force.
Il me parlait, comme pour m'apprendre à aimer ce que je serais.
" Regardez bien je viens de prendre la virginité de votre fiancée. Je la prends devant vous.
Je la possède, elle est à moi. A moi avant vous. Je vous la prends. Elle se donne à moi, elle m'appartient. "
Il baisait Céline pour la faire jouir encore.
Tous les signes montraient que ça n'allait pas tarder.
" Tu vois, elle va encore jouir avec moi, je lui donne du plaisir. Regarde comme elle vient ... "
Il m'avait tutoyé ... Pas d'importance.
" Tu vois comme ma queue s'enfonce en elle, tu vois comme elle l'apprécie. Regarde mes couilles pleines de mon sperme qu'elle va recevoir en elle. Son premier sperme. Ce sera le mien, pas le tien. "
J'ai alors observé ses couilles qui étaient vraiment grosses et lourdes.
" Elle va jouir, elle va jouir je sens son vagin qui se resserre sur ma bite. Si tu savais comme c'est bon. Elle jouit, elle jouit, regarde, regarde, je vais éjaculer mon sperme dans son ventre, ça y est je jouis, je jouis, oohhh c?est terrible, oooh je la remplis, je la fais mienne, tu es cocu avant même d'être marié ... ooohhhhh "
Ces derniers mots me firent jouir aussi et mon sperme à moi gicla sur le tapis.
Céline avait jouis fortement. Plus que la première fois.
Il resta enfoncé en elle un bon moment, puis doucement se retira.
Tendrement, il lui caressa les cheveux.
Céline s'endormit.
Un long silence s'installa. Je m'endormis aussi....


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A suivre (si celà vous intéresse ;) )
par cpleidf
#1527863
Suite:

Lorsque je me réveillais, je mis un petit moment à réaliser ce qui s'était passé. La pièce était vide. Où étaient-ils ? Il était 13 heures.
Sans remettre mes vêtements, je commençais à inspecter l'appartement, je m'avançais dans le long couloir, et j'arrivais devant la dernière porte à droite.
Je m'arrêtais stupéfait. L'homme était allongé sur le dos, Céline était contre lui, sa jambe gauche, sur ses cuisses. Sa main gauche posée sur le sexe de l'homme.
Ils ne dormaient pas.
" Entre Daniel, nous t'attendions, dit-il, entre. Moi c'est Antoine, tu te souviens ? "
" Non "
" Entre, viens, ne t'inquiète pas. Elle est jeune et récupère vite. Nous avons eu tout notre temps pour faire des choses et parler. Assis toi là dit-il en me désignant un coin du bas du lit. Après que tu te sois endormi, j'ai porté Céline dans mon lit. Je savais ce que je devais faire. Vers 10 heures elle s'est réveillée et complètement affolée, elle voulait fuir. Après l'avoir calmée, doucement je lui tout expliqué. Ce qui s'est passé, ce que nous avons fait ... tous les trois, oui ce que tu as fait toi aussi, c'est presque le plus important. Je lui ai fait tendrement comprendre que tu es un homme passif, voyeur qui aime la voir prendre son plaisir par amour pour elle. Nous avons parlé longtemps et je crois bien qu'elle a compris. La preuve, la voilà avec moi, devant toi. Nue dans mon lit. Et la preuve aussi, c'est qu'elle a accepté de refaire l'amour avec moi, en étant tout à fait lucide, cette fois. Cinq minutes avant et tu nous trouvais en pleine action. Je l'ai prise en levrette. Bien à fond. Elle a un cul du tonnerre, aussi beau que ses seins. Elle a jouit la tête dans l'oreiller pour ne pas te réveiller. Mon sperme est encore tout chaud dans sa chatte. Céline, dis à Daniel que tu le comprends, dis lui. "
" Oui Daniel, Antoine m'a raconté beaucoup de choses et si tu es ainsi, peu importe, je te comprends, si c'est ce que tu veux, alors, je suis d'accord. "

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Comme je ne parlais pas, Antoine reprit :
" Toi aussi Daniel, toi aussi, tu dois avouer à Céline comment tu es. Lui dire ton plaisir de la voir avec un autre. Il faut que tu dises ce que tu as ressenti cette nuit. "
" dis moi, Daniel, dis moi, je veux savoir de ta bouche, il le faut. "
Je bredouillais, mais je savais qu'il fallait que je parle.
" Lorsque je me suis dégrisé, j'ai vu Antoine te mettre nue, t'embrasser, te sucer. Oui mon excitation n'a jamais été aussi grande. J'ai vu Antoine te pénétrer, te prendre, te faire l'amour et jouir en toi. Il me parlait et me disait des vérités que je voulais entendre. J'ai jouis, j'ai jouis de te voir prise par Antoine et jouir de son sexe. Mais je vais aller plus loin. Je dois avouer à Céline que moi je suis encore puceau. Je n'ai jamais fait l'amour. Il faut aussi qu'elle voit mon sexe qui me complexe de sa taille. Aujourd'hui c'est le jour des vérités, voilà "
Je baissais la tête.
Un mouvement sur le lit, Céline s'approcha de moi. Elle enleva ma chemise et moi aussi je fus nu. Elle m'embrassa et me dit :
" Je t'aime Daniel, je t'aime tel que tu es. Viens, viens me prendre à ton tour. "
Elle s'allongea à coté de Antoine, et m'attira entre ses cuisses, mais je ne bandais pas.
Antoine vint à mon secours.
" Mais non Céline, il ne peut comme ça. Si tu l'avais vu cette nuit bander comme un bâton ... Il a besoin de voir ou d'entendre certaines choses. Il a besoin de savoir que j'ai dépucelé sa jeune fiancée, toute vierge. Qu'elle m'a appartenu. Que je t'ai prise avant lui, 3 fois déjà.
Tiens regarde sa petite bite comme elle grossi ... Raconte lui toi-même, dis lui de venir mettre sa queue dans ta chatte pleine de mon sperme, vas y Céline, parle lui "
" C'est vrai qu'il bande ... c'est vrai que tu aimes ça, Daniel. Viens pour que ton sexe sente bien le sperme de Antoine. Oui viens après Antoine, j'ai appartenu à Antoine. C'est lui qui m'a faite femme. J'ai jouis dans ces bras. "
Je me mis entre ses cuisses et je la pénétrais. Je suis entré en elle, facilement. Sa chatte était huileuse de mouille et de sperme.
Je fis quelques va et vient et je jouis en elle. Je criais. Je me suis affalé sur elle.
Elle me caressait les cheveux en me disant je t'aime.
Je venais de faire l'amour à une femme et cette femme c'était ma fiancée.
Nous étions samedi. Nous nous sommes levés et chacun son tour dans la salle de bain et sommes sortis.
Céline me tenait le bras et tenait la main de Antoine.
Nous avons fait les magasins, nous avons dîné dans un restaurant italien.
Puis nous sommes retournés chez Antoine, comme si c'était normal.
Et Antoine à dit :
" Mes enfants, je vais continuer votre éducation. Vous devez me faire confiance. Vous serez heureux toute votre vie. Si vous êtes d'accord ou non vous le direz, il faut que la volonté vienne de vous. Tout les deux vous devez apprendre votre rôle dans votre futur couple. Dans votre future famille. Donc, voilà ce que je sais qu'il faut pour vous. Ce soir, Céline dormira avec moi. Toi, Daniel, dans la chambre d'amis attenante.
Tu nous entendras faire l'amour, mais tu ne verras rien. Tu imagineras. Tu penseras que Céline est avec moi, qu'elle est à moi. Pas à toi. Demain matin, tu viendras lécher sa chatte avec mon sperme.

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"Demain soir, tu dois rentrer à Marseille, alors, Céline restera avec moi, jusqu'au 30 juin. Elle sera ma femme avant d'être la tienne. Et tu ne la reverras que le jour du mariage.
Moi le vieux Monsieur de 56 ans, je baiserais ta jeune fiancée. Voila, alors que décidez-vous. "
Je demeurais sans voix, c'est Céline qui répondit pour nous:
"Oui, nous sommes d?accord, Antoine. Tu nous a révélé, alors, il faut continuer à nous apprendre ... "
" Bien, bien Céline, alors, allons nous coucher mon amour, viens ma chérie, que je te fasse l?amour".
Ils partirent dans " leur " chambre sans un mot ni un regard pour moi. J?en fus terriblement jaloux. Antoine, sans doute, ferma la porte.
J'entrais dans la mienne.
Les yeux ouverts dans le noir, je guettais chaque bruit.
Je me levais et j'allais écouter devant leur porte. Nu je bandais déjà.
J'entendis, des froissements, le lit qui craquais, puis les soupirs de Céline.
Puis, Antoine parla fort.
" Ooohhh ma chérie, mon amour, ma Céline, je suis en toi. Tu me sens gros en toi. Je ne te baise pas je te fais l'amour. Je t'aime Céline. Et toi ... dis moi, tu m'aimes "
" Oui chéri, oui fais moi l'amour, je t'aime, je t'aime, ooohhh c'est bon, je te jure, c'est bon, je ne pourrais plus me passer de toi. Garde moi avec toi. Prends moi tous les jours, je suis à toi, je t?appartiens Antoine, je suis ta femme OOOOOHHHHH JE JOUIS MON AMOUR.
JE JOUISSSSSSS.
" Tiens tiens prends mon sperme, je jouis aussi ma chérie .... "
Des râles et des cris se mêlèrent, je jouis sur le sol.
Je regagnais ma chambre et m'endormis.
La voix de Antoine me réveilla.
" Daniel, Daniel "
" Oui, oui, je suis là "
" Viens lécher ma femme "
J'entrais dans la chambre. Céline me fixa dans les yeux et me sourit, comme pour me rassurer.
Je me mis entre ses cuisses, et je me mis à lécher sa vulve. Je lécher en enfonçant ma langue.
" C'est bien, Daniel, bien, tu bois mon sperme qui coule de sa chatte et tu devine qu'il n'est pas d'hier, mais de ce matin. J'ai éjaculé en elle, il y a moins de 5 minutes.

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Tu penses bien que je la baise plusieurs fois par jour ...
Bon c'est bon, ça suffit. Maintenant va te préparer pour ton avion. "
Céline n'avait pas dit un mot.
Je sortis, je me préparais et j'attendis au salon.
Au bout d'un moment, la voix de Antoine m'interpella :
" Au revoir Daniel, à bientôt, ferme bien la porte en sortant, au revoir "
Je sortis....
(à suivre ;) )
zztop a liké
par cpleidf
#1529756
Suite:

... Je n’eu plus de nouvelle de Céline, mais simplement, chaque semaine une simple carte de Antoine qui disait :
« Confiance ... plus que 5 semaines, plus que 4 semaines »
Je travaillais beaucoup le jour, mais mes nuits étaient un enfer.
Les parents de Céline arrivèrent le 30 au matin. Je fus rassurer d’apprendre que Céline leur avait dit que notre accord de ne pas nous voir jusqu’au mariage.
Mais je fus inquiet car Céline ne vint pas le 30 comme prévu.
Elle arriva le 2 juillet au soir.
Tout le monde était content ....
Elle me prit à part et me dit :
« Antoine me charge de te dire que je suis une bonne épouse pour lui. A demain »
Elle me laissa là et partis avec nos parents.
Le soir, elle s’enferma dans sa chambre. Je ne la revis qu’à la Mairie.
Magnifique dans sa robe blanche. Merveilleuse dans sa robe de mariée.
C’est là qu’à ma grande surprise je vis Antoine.
Il vint me saluer et me féliciter.
Tout fut parfaitement réussi.
Au milieu de la nuit. Céline et moi quittâmes l’assemblée et nous allâmes ... chez nous.
A la demande de Céline, en effet, elle avait choisi ... notre maison, pour la nuit de noces.
Arrivé devant chez nous, je la pris par la main et nous sommes entrés.
J’allumais la lumière et j’eus la peur de ma vie. Un sursaut et je reconnus Antoine, assis dans un fauteuil. Je regardais Céline en la questionnant du regard.
« Daniel, ta formation n’est pas finie, dit Antoine. Il faut que tu saches certaines choses, vois-tu.
Assis toi ... assis toi. Tu sais que depuis 6 semaines je fais l’amour à Céline, deux ou trois fois par jour. Si tu voyais sa chatte comme elle bien large pour ma grosse bite ... ta petite bite y nagerait .... A paris tout les voisins et connaissances l’appelle Madame Antoine X.
Que crois-tu Daniel, que ton mariage allait faire de Céline ta femme. Non Daniel, c’est ma femme. C’est moi qui lui fais l’amour, moi qui lui donne du plaisir. Tu croyais que j’allais te céder notre nuit de noces ? Il faut que tu vois un progrès de Céline ?

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Il se mit debout. Enleva tout ces vêtements et nu se rassis dans le fauteuil, son sexe déjà bien bandé.
Il dit à Céline :
« Vient me sucer. Montre à Daniel tes talents de suceuse. »
Céline s’approcha, si mit à genoux devant lui. Elle prit son sexe dans les mains et l’emboucha.
Elle caressait ses couilles et suçait sa queue avec ardeur. La bite en bouche, dans sa robe de mariée.
Il la repoussa, lui demanda de se mettre nue. Ce qu’elle fit.
Il lui demanda de se mettre à genoux.
Il se mit devant elle et lui fourra la bite en bouche.
Les deux mains de Céline, caressaient les couilles de Antoine, tendis que lui baisait sa bouche comme s’il baisait sa chatte. Il s’y enfonçait jusqu’au gosier.
Il la baisait comme une pute. Et elle y mettait tout son coeur.

« Regarde Daniel, regarde bien et souviens t’en. Céline est à moi. Je la baise en bouche. Je vais éjaculé dans sa bouche et elle va avaler mon sperme, preuve qu’elle m’appartient. Regarde Daniel je jouis, je jouis dans sa gorge. Avale, avale tout mon sperme, salope. Oui bois, bois mon amour »
Il se retira tendis que Céline finissait d’avaler.
J’étais sidéré, mais encore, comme je l’avais déjà fait, je bandais fortement.
Antoine s’en aperçu.
« Bande, bande, déshabille toi. Allez à poils, Daniel. Tu vas bander encore plus. Allons dans notre lit conjugal », dit-il à Céline.

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Ils se couchèrent et je restais debout. Ils commencèrent à faire l'amour, se caressant, se suçant, longtemps. Enfin Antoine la pénétra. Il la prenait presque brutalement. Il la baisait et j’entendais les flop flop de leur sexe qui s’imbriquaient.
Céline, prise en levrette criait, je dis bien criais sa jouissance :
« OOOHHHH mon amour, Antoine, tu me tues. Tu me tues d?amour. »
Antoine cessa ses mouvements. Il enfonça un doigt dans le cul de Céline, qui se mit à onduler et à dire :
« Oui, oui Antoine, encule moi, encule moi «
« Tu entends Daniel, elle me demande de l’enculer. Ah oui c’est vrai, tu ne savais pas... depuis 15 jours je l’encule. Je l’ai sodomisée il y a 15 jours et depuis elle me demande de l’enculer chaque jour. Regarde, tu vas voir ».

En effet, il prit de la mouille de sa chatte et la fit rentrer dans le petit trou avec son doigt. Il masturba le petit trou avec son pouce.
Puis sorti la bite de la chatte et pointa son gland à l’entrée de l’anus. Il poussa et sans s'arrêter une seule fois y pénétra jusqu’au couilles.
Céline feulait de plaisir. Il l’encula durant 10 minutes.
« Ma chérie, je vais jouir dans ton cul, je vais gicler mon sperme dans tes fesses ... je jouis, je jouis dans ton cul .... SAAALOOOPPPPPE »
Ils s’écroulèrent ensemble, lui toujours dans son cul.

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Je pensais qu’ils dormaient, mais non il refirent l’amour 4 ou 5 fois ... et moi j’avais jouis 2 fois ( un record )
Il ne faisait plus attention à ma présence.
Ils finirent par s’endormir pour ne se réveiller qu’à 17 heures.
Antoine était habillé et Céline, en nuisette.

« Voilà dit Antoine, je m’en vais. Non que tu ne me verras plus, mais il est temps que je vous laisse évoluer vers votre devenir. Daniel il faut que tu saches que Céline n’est pas ta femme, mais la femme de tous les hommes qu’elle voudra. Tu en fais partie. Elle ne te donnera que ce qu’elle veut te donner. C’est une bonne élève.
Elle habite ici, chez vous. Mais elle a promis de venir me voir souvent. »
Il embrassa Céline longuement et sorti.

Voilà comment je suis entré dans ma vie de couple….


A suivre... ;)
Avatar de l’utilisateur
par tumobeis
#1530190
cpleidf a écrit :Ci-dessous le début de l'un des récits les plus excitants qu'il m'ait été donné de lire sur le candaulisme. Faites moi savoir si la suite vous intéresse, j'illustrerai parfois le récit avec des photos de ma propre épouse (histoire de donner un petit plus ;) ):

Mi mai, la date du mariage était arrêté, le 3 juillet prochain.
Bien sur, j'avais présenté, Céline, à mes parents et nos parents s’étaient rencontrés à Paris, dans un grand restaurant.
Mon père est Expert-comptable et ma mère ... aussi. Oui, ils se sont bien trouvés. Ils dirigent un cabinet important.
Début juin, étant à Paris, pour mes affaires, je présentais Céline, qui m'accompagnait, à mes quelques connaissances parisiennes. Nous fûmes invités à une soirée.
Céline était rayonnante. Sexy mais avec classe et un rien provocante. Robe rouge, courte à mi cuisse, talons haut, dos nu, sans soutient gorge. Ses seins, larges et lourds, 95 et des poussières, tendaient la robe de façon presque indécente.
Mais j'étais fier de ma fiancée.
La soirée était parfaite. Le repas gastronomique. Les vins, excellents, Le champagne coulait à flot.
Nous avons dansé, Céline était courtisée par tous les hommes ....
J’avais trop bu et Céline n’était pas en reste. Les invités partaient et un homme, corpulent, la cinquantaine, bien tassée, que j'avais vu danser avec Céline, nous proposa, vu notre état, de nous raccompagner à notre hôtel. Je lui expliquais, tant bien que mal, que Céline était ma fiancée et qu’elle devait rentrer chez ses parents en banlieue.
L’homme me dit alors, qu?il serait préférable qu'elle prenne une autre chambre dans mon hôtel ou si nous voulions, il nous hébergerait pour la nuit chez lui. Son appartement, à 5 minutes en voiture était pourvu de 4 chambres.
Nos hôtes nous conseillèrent d?accepter. C’était mieux et plus prudent.
Ainsi fût dit, ainsi fût fait.
Nous sommes arrivés, comment je ne sais plus très bien, dans l?appartement de cet homme que je ne connaissais pas.
Il ouvrit une bouteille de champagne et nous bûmes encore. Céline était dans un drôle d'état et moi ... pour la première fois de ma vie, j'étais ivre.
L'homme mit de la musique langoureuse et me demanda la permission de danser avec ma fiancée. Ai-je dit oui ou non, je ne sais pas. Affalé dans mon fauteuil, je voyais trouble. Je voyais cet homme danser avec Céline. Je me levais et demandais la salle de bain. Il m'indiqua le chemin. Je fit alors couler l'eau et tentais de me dégriser. Un long moment, je fis couler l'eau sur mon visage et ma nuque. J'en bu aussi. Lorsque je sortis de la salle de bain, j'allais beaucoup mieux. Pas clair, mais beaucoup mieux. J'étais conscient.
Je repris place dans le fauteuil. La lumière avait été tamisée. La bouteille de champagne était presque vide et le verre de Céline l'était.
Je levais la tête et .... Là devant mes yeux à quelques mètres de moi, l'homme et Céline s'embrassaient à pleine bouche. Cloué dans mon fauteuil, je ne comprenais pas. Je tentais de rassembler mes pensées. Mon esprit troublé. Je regardais. Je fermais les yeux. Je regardai à nouveau. C'était bien Céline qui dansait avec cet homme, qui l'embrassait et la caressait.
Comment, pourquoi, je ne bougeais pas. Je sentis mon sexe se mettre en érection. J'étais spectateur d'un film. La robe de Céline tomba à terre, elle était en string.
L'homme ( je ne savais même pas son prénom ) arrêta la danse, il pelotait les seins de ma fiancée. Les prenait à pleine main. Puis ses fesses furent aussi malaxées.
Je n'étais plus ivre d'alcool, j?étais ivre d'excitation et de voyeurisme. ( comme dans mes masturbations solitaires )
Il porta Céline dans le grand sofa d?angle qui était à droite de mon fauteuil. La coucha, lui enleva son string. Splendidement nue.
L'homme ôta ses vêtements et demeura en slip. Il écarta les jambes de Céline et enfouis son visage entre ses cuisses et se mit à sucer son sexe.
Céline poussa un long soupir. Un râle de plaisir, sourd.
Céline s'agitait de plus en plus, roulait des hanches, prenait la tête de l?homme entre ses mains et la plaquait sur son sexe.
Les soupirs et les râles furent plus nombreux et rapprochés.
Sans cesser ce qu'il faisait l'homme a enlevé son slip. Puis, comme un serpent, il est venu sur Céline. Il a relevé ses jambes, haut en les maintenant largement écartées.
A genoux, il a collé son sexe sur celui de Céline. Il se masturbait sur sa vulve, probablement ouverte. Elle reprit ses soupirs de bien être.
A ce moment précis, l'homme se tourna vers moi et me dit. " Venez, approchez vous, vous verrez mieux "
Comme un automate je me levais et me mis juste à coté de lui. Tout proche. Je vis ma fiancée allongée, les yeux fermés, nue. Ses gros seins ronds, magnifiques aux auréoles claires. Son sexe m'apparût aussi pour la première fois. Les poils bruns comme ses cheveux. Légèrement ondulés.
Je vis alors, le sexe de l?homme, long et large. Beaucoup plus gros que le mien, qui glissait entre les lèvres ouvertes de la vulve de Céline.
-"Regarde" me dit-il, "je vais prendre ta fiancée devant toi, je savais que tu aimerais. Je vous ai observé durant la soirée et j?étais sur que tu étais voyeur, regarde maintenant "
Il prit son sexe en main, présenta le gland à l'entrée du vagin, poussa un peu et le fit pénétrer.
Céline soupira très fort.
Lentement il poussa et le sexe pénétra de moitié...

Photo 019b.jpg


Là Céline poussa un cri, plutôt un râle de plaisir et de douleur à la fois.
L'homme s'arrêta ... Ne comprenant pas. Il dit :
" Merde, elle est vierge ? "
" Oui, dis-je doucement, oui "
Nous nous sommes regardés, un instant. J?ai détournés les yeux et j'ai fixé les deux sexes.
Alors, lentement, il a enfoncé le sien jusqu'au bout dans celui de Céline.
Il est resté ainsi en elle. Il a caressé ses seins, ses hanches ses cuisses, son clitoris.
Puis il a commencé à bouger en elle, doucement, ressortant de quelques centimètres, encore et encore, plusieurs fois. Puis plus les mouvements ont pris plus d'ampleur. Il les calquait sur les soupirs de Céline. Plus son plaisir montait, plus il amplifiait ses coups de rein.
Et là, Céline se mit à crier et à jouir. Ses bras battaient le vide. Son bassin se soulevait.
" Déshabillez-vous, vous serez mieux, n?ayez pas honte, masturbez-vous. Prenez votre plaisir. Votre voyeurisme et votre candaulisme, doivent s'affirmer, maintenant, il ne faudra rien regretter. Je connais certains couples comme le vôtre "
J'enlevais pantalons et slip et je me masturbais.
Lui avait repris son accouplement avec ma fiancée, il l'a baisait maintenant avec force.
Il me parlait, comme pour m'apprendre à aimer ce que je serais.
" Regardez bien je viens de prendre la virginité de votre fiancée. Je la prends devant vous.
Je la possède, elle est à moi. A moi avant vous. Je vous la prends. Elle se donne à moi, elle m'appartient. "
Il baisait Céline pour la faire jouir encore.
Tous les signes montraient que ça n'allait pas tarder.
" Tu vois, elle va encore jouir avec moi, je lui donne du plaisir. Regarde comme elle vient ... "
Il m'avait tutoyé ... Pas d'importance.
" Tu vois comme ma queue s'enfonce en elle, tu vois comme elle l'apprécie. Regarde mes couilles pleines de mon sperme qu'elle va recevoir en elle. Son premier sperme. Ce sera le mien, pas le tien. "
J'ai alors observé ses couilles qui étaient vraiment grosses et lourdes.
" Elle va jouir, elle va jouir je sens son vagin qui se resserre sur ma bite. Si tu savais comme c'est bon. Elle jouit, elle jouit, regarde, regarde, je vais éjaculer mon sperme dans son ventre, ça y est je jouis, je jouis, oohhh c?est terrible, oooh je la remplis, je la fais mienne, tu es cocu avant même d'être marié ... ooohhhhh "
Ces derniers mots me firent jouir aussi et mon sperme à moi gicla sur le tapis.
Céline avait jouis fortement. Plus que la première fois.
Il resta enfoncé en elle un bon moment, puis doucement se retira.
Tendrement, il lui caressa les cheveux.
Céline s'endormit.
Un long silence s'installa. Je m'endormis aussi....


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A suivre (si celà vous intéresse ;) )

Pas mal, interessant...
par cpleidf
#1531571
Voici la suite:

Antoine nous a laissé, seuls. Face à nous-mêmes.
Durant de longues minutes, ce fut le silence. Puis Céline est venu près de moi.
« Alors, mon Chéri, on commence par quoi ?"
« Et si nous nous préparions un copieux petit déjeuner, dis-je ? »
Ce que nous fîmes, ensemble, Nous avons parlé de la cérémonie, et de choses sans grande importance.
Nous en sommes venus à parler de ... Antoine et de ses conséquence.
Je ne savais pas trop quoi dire.
« Toute cette histoire n’est sûrement pas arrivée par hasard, il fallait qu’elle arrive. Il est évident que tu es un comme ça. Antoine a deviné ta personnalité. Et il a su révéler la mienne.
Que ce serait-il passé, entre nous, si tout cela n’était pas arrivé ? Je ne sais pas et je n’imagine même pas de le savoir. Je suis jeune, c’est vrai, mais mes parents m’ont toujours inculqué une éducation basée sur la responsabilité des actes.
Bien sûr les premiers jours d’après la fameuse soirée, avec Antoine, m’ont un peu déstabilisée, mais j’ai analysé la situation immédiatement. J’avais le choix. Soit je partais et c’était fini, soit je restais et je faisais en sorte de trouver le meilleur pour notre avenir. C’est ce que j’ai fait suite aux explications de Antoine et à mes recherches personnelles sur le sujet.
J’ai acheté des revues et je me suis documentée, j’ai questionné Antoine.
J’ai compris l’homme que tu es. Je t’aime et je me devais, donc, d’évoluer dans ma propre personnalité. C’est pour cela que je suis resté, « en formation » chez Antoine.
Ce que je sais, maintenant, c’est que tu es un être formidable et ce coté de toi, te rend à mes yeux, que plus émouvant.
Tu es un mari complaisant un homme qui aime voir sa femme faire l’amour avec d?autres hommes, qui trouve son plaisir dans le fait que sa femme soit ce que l’on appelle une salope. Soumis je ne le pense pas, car tu as ton caractère, enfin on verra.
Moi, grâce à Antoine, je sais que j’aime l’amour, me faire prendre et jouir c’est quelque chose de terrible, pour moi. J’adore.
Donc, je crois que nous étions fais pour nous rencontrer.
Mais j’ai une crainte, oh très légère, mais je vais m’appliquer à la régler. Je crains que, toi et moi nous ne puissions pas trouver notre plaisir normalement ensemble. Les plaisirs que j’ai eu avec Antoine, sa puissance sexuelle et la grosseur de son sexe, font que je sais que tu ne pourras pas rivaliser, ni même, sans doute me faire jouir. Ton sexe est trop petit.
Mais je vais trouver la solution idéale pour nous.
Qu?en penses-tu mon amour ? ?
« J’ai pleinement confiance en toi. Je m’en remets à toi. Et je serais toujours amoureux de toi, je le sais »
« Si tu me fais confiance, alors, nous pouvons commencer maintenant. La maison est grande et il y a plusieurs chambres. Nous ferons chambre à part. Il ne faut pas que tu sois trop tenté par moi. Cela déboucherait sur des tristesses et des conflits, si comme j’en suis sûre tu ne peux me satisfaire sexuellement. Je ne t’interdit pas de me toucher, non, mais il faudra que tu te domines. Et les initiatives que je prendrais devront te convenir, je ne t’imposerais jamais rien que tu n’acceptes pleinement. De la même façon, tu pourras, aussi, prendre des initiatives que je serais libre d’accepter ou de refuser, si elles vont à l’encontre de ce que je veux. »

Ainsi fut dit et fait....

Les jours passaient, notre couple s’installait dans la vie. Céline envisageait de reprendre ses études à Marseille, dès la rentrée prochaine.
Le soir nous nous retrouvions chez nous. Nous faisions chambre à part, mais je la voyais toujours évoluer nue dans la maison. Sa beauté me faisait un plaisir énorme. Je me régalais de voir ses seins et ses fesses. Son corps incroyablement beau et son visage d’ange.
Le bonheur.
N’ayant aucun souci financier, nous partions souvent en week-end, soit en hôtel, soit dans l’une ou l’autre de nos deux maisons que nous avons, à la montagne et à la mer.
Cela dura tous le mois, de juillet ainsi. Nous ne parlions plus de Antoine.
Puis un samedi matin, alors que je prenais mon café dans le jardin, elle vint et me dit :
Ce soir, je reçois.
« Ah bon, qui, je connais tes invités ? »
« Oui, mais il y en a qu’un seul, c’est Antoine »
J’eu un pincement au coeur de jalousie.
« Ah et il vient pour quelques jours ? »
« Non, il vient pour la nuit et nous repartons ensemble à Paris, j’y resterais quelques jours.
J’en fus fort attristé, mais ne le montrais pas.
Antoine arriva à 18 heures.
Dès son entrée, Céline lui sauta au cou et l’embrassa longtemps. Elle mangeait sa bouche et leurs langues se suçaient.
Enfin, ils s’arrêtèrent et Antoine me salua.
« Bonjour, Daniel, Céline m’a tenu informé de votre évolution. Mais j’avoue que malgré le calme apparent, l’esprit évolue. C?est le plus important, pour le sexe vous avez tout le temps devant vous. Toutefois, il fallait que je vienne compléter ce que j’ai commencé »
« Et ça consiste en quoi, dis-je ... »
« Ce soir, ce soir, dit-il, calmement »
Nous avons dîné, Céline s’affairait à la cuisine ( très bonne cuisinière, au fait )
Au salon l’ambiance était sympathique et fort amicale.
Lui aussi bien qu’elle était très attentifs et attentionné à mon endroit.
Mais ils se comportaient en amoureux devant moi. S’embrassant, se caressant. Elle, blottie contre lui dans un canapé.
« Bon c’est pas tout, il faut se coucher, nous avons à faire et demain nous partons tôt »
Ils se levèrent et me souhaitèrent bonne nuit et Antoine précisa :
« Daniel, la porte de notre chambre restera ouverte. Tu pourras entendre, ce que je suis venu précisément faire avec Céline, et voir aussi si tu veux »
Ils montèrent à l’étage et je restais quelques minutes.
Je rejoins ma chambre, et déjà les bruits de l’amour parvenaient jusqu’à mes oreilles.
Nu, j’allais devant leur porte. Céline suçait la queue de Antoine. Elle l’avalait plus qu’elle ne la suçait. Vorace et affamée, on voyait très bien son manque depuis un mois.
Antoine la coucha sur le dos. Il la prit sans autre préparation.
« Tu es toute prête mon amour de ma vie. Je te baise bien, je suis en toi. »
« oh mon Antoine, prends moi, j’ai attendu cet instant. Fais moi l’amour. Je suis ta femme, ton épouse, je t’aime Antoine, je t’aime, oohh c’est trop bon, je ne vais pas tenir longtemps »
Il la besognait de toute son ardeur.
Durant un long moment Céline jouissait, sans arrêt. Ils s’embrassaient, ne parlaient plus. Ils faisaient l’amour.
« Céline, Céline, je vais jouir, ma chérie, je vais jouir en toi pour que tu sois enceinte, tu vas porter mon enfant ... je jouis, Céline, je t’engrosse, c’est merveilleux .... »
Son plaisir, ses soupirs de jouissance furent couverts par les exclamations de Céline.
« Mon chéri, mon mari, mon amour, oui je te veux, je veux être enceinte de toi, je suis ta femme, je suis à toi, je t’appartiens, viens en moi, viens, donne moi ta semence »
Tous ces mots furent dits dans un indescriptible chahut de cris de jouissance qui déclencha la mienne dans un formidable plaisir.
Ils ne bougèrent plus. Ils étaient ainsi, l’un dans l?autre.
3 fois dans la nuit ils recommencèrent. Ils savaient ce qu’ils faisaient et ce qu’ils voulaient.
3 fois il éjacula dans sa chatte.
La troisième fois, il la plia carrément en deux. Les jambes de Céline, touchaient ses propres épaules. Lui complètement enfoncé, en elle.
« Antoine, comme ça, oui, je sens ton gland qui entre dans mon utérus, je te jure je le sens au plus profond de moi. C’est encore plus fort. »

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Elle criait son plaisir à son ... homme.
Antoine cessa ses mouvements, il plaqua son bassin à celui de Céline. Il ne bougea plus. Il râla :
« Je jouis, je jouis Céline, je déverse mon sperme, en toi, il coule, il gicle dans ta matrice. Tu seras enceinte, tu peux me croire. »

Avant de partir, Céline me parla :
« Je pars mais je vais revenir. C’est ici ma maison, tu es mon gentil chéri que j’aime. Mais je dois partir avec mon mari, pour que je sois enceinte et que nous ayons un enfant.
Que diraient nos parents si je n’étais pas enceinte, n’est-ce pas ?
Et je ne veux pas un enfant de toi, je veux qu’il soit un homme comme Antoine.
Alors, à bientôt, mon chéri. »
Puis ce fut le tour de Antoine :
« Céline à raison. C'est bien de cela dont il s’agit. J’ajouterais quelques précisions.
Elle a omis de te dire, sûrement pour ne pas te blesser, que j’ai interdis que tu la pénètres. Elle est à moi. Je la garde pour moi. »
Ils partirent, ensemble, un taxi les emmena à l’aéroport.
Pas un appel téléphonique, pas un courrier, je n’ai pas eu de nouvelle de Céline de tout le mois d’août, j’ai dit à nos parents qu'elle était partie en vacances dans notre maison de Chamonix.
Je devins complètement fou de jalousie. Les nuits étaient longues à n’en plus finir.
Enfin, le 28 août au matin, je fus réveillé par des bruits dans la maison.
Je descendis et je vis Céline. Je couru vers elle et lui déposer un baiser sur ses lèvres pulpeuses. La serrant dans mes bras à l'étouffer.
« Mon petit chéri est content de me retrouver ? »
« Oui, oui ma chérie, oui, tu m’as beaucoup manqué »
« Parfait, c’est bien, j’apprécie ?
Je la regardai et je notai un changement radical. Ses cheveux étaient coupés.
Elle portait un léger haut moulant sa poitrine, sans soutien gorges.
Sa jupe était en fait une micro jupe, au ras des fesses.
Elle comprit mon étonnement.
« Eh oui, mon cher, j’ai changé de look, sous les insistances de mon mari, Antoine. Il veut me transformer, selon ses dires. Il me veut plus sexy, plus salope, plus pute, m’a-t-il dit. Au fait, Daniel, je t’annonce une excellente nouvelle ... Je suis enceinte. Le test est confirmé. »
Mes jambes ne me soutenaient plus et je m’assis dans un fauteuil.
« Et c’est pas tout, c’est pas tout. Nous avons décidé qu’il n’était pas utile que je reprenne mes études. Mieux vaut que je travaille utilement. Que je gagne de l'argent. Je vais ouvrir des boutiques de vêtement ... à Marseille et ... à Paris. »
« Tu crois, tu crois que c’est mieux pour toi ? »
« Oui, j’ai envie de bouger ... Comme ça je me partagerais entre Marseille et Paris, je pourrais être souvent avec toi et aussi souvent avec Antoine »
Je craquais, je devenais, intérieurement, fou.
Comment pouvait-elle me parlait ainsi, aussi naturellement de Antoine.
Fine, elle devinait la tempête qui était en moi.
Je compris, alors, qu’elle n’était plus dans son rôle, qu’elle n’était plus en « formation » mais qu’elle était. Simplement elle était ce que nous avions tous voulu qu’elle soit.
Une femme libre.

« Mon Daniel, dit-elle, je crois que tu es resté sur la défensive. Nous sommes mariés, je suis Madame ..., mais je suis celle que tu voulais. Toi tu seras ce que tu es ... Reste près de moi, je t’aime. Mais laisse moi vivre, vivre pour nous, tu ne le regretteras pas. Tu ne t’es pas aperçu que notre vie avait commencé ? »
« Je ne sais pas »
« Comment, tu ne sais pas ? Tu vois bien que je suis celle que tu voulais, non ? Je suis une jeune femme salope, qui te trompe depuis que je te connais. Une femme qui préfère Antoine à toi. Je suis enceinte de mon vrai mari. Pas de toi. Tu es cocu. Je suis enceinte, je porte l’enfant d’Antoine. Je suis sa femme et je l’aime, tu entends, je l’aime ».
Elle avait dit tout ça, sans passion, sans hausser le ton de sa voix. Avec assurance et détermination.
Je resté coi. Elle reprit :
« Tu devrais, pardon, du dois être content, satisfait, d’avoir une jolie et jeune femme près de toi qui te fait souffrir de jalousie. Tu dois te masturber chaque jour en pensant que je suis avec un autre que toi, non ? Tu voulais être cocu, tu l’es. Tu m’as poussé dans les bras de Antoine, j’y suis ... et j’y reste. A toi, maintenant, comme je te l’ai dit de prendre des initiatives intéressantes qui me motiveront. Comprends bien que je fais tout ça pour nous, car je sais qu’il ne peut en être autrement. Rejoins moi, dans notre vie, et j’en serais heureuse. »
La journée fut heureuse.
Le soir, Céline, m’invita dans sa chambre.
Nue elle me dit de me coucher près d?elle.
« Caresse mon ventre, bientôt tu le verras grossir. Il y a déjà notre enfant. L’enfant de Antoine, soit, mais c’est aussi le tiens. Tu seras son père. Tu seras toujours un vrai cocu, en étant le père de l’enfant qu’un autre à fait à ta femme.
Maintenant, met deux doigt dans ma chatte, tu vas comprendre. Tu sens comme je suis large de mon Antoine. Si tu savais comme il me fait bien l’amour ... 2, 3 fois par jour. Il me baise, je le suce, il m’encule. Il me prend de partout, il est infatigable. Tu sais, c’est vrai, à Paris je suis Madame X. Branle toi, pendant que je te raconte ma vie à Paris. Oui comme ça, tu bandes bien mon chéri, continue, ne t’arrête pas, touche mes seins.
Antoine a permis que tu me touches. Mais il ne veut pas que tu me pénètres.

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Je repars dans 1 semaine. Le temps de te préparer à ta nouvelle vie. Je vais rejoindre mon mari qui m’attend.
Alors, chéri, qu’est que tu penses de ta salope et de son vagin élargi. Elle est douce ... pour lui. Je sais que tu vas jouir ... viens, viens, jouis dans ta main. Oui, oui, apprécie ta condition. Jouis avec ta petite queue. C’est bien mon chéri ... ?
Effectivement j’avais jouis de toutes les choses dont me parlait Céline.
Les autres jours, je n'eus pas droit aux mêmes faveurs.
Nous avons rendu visite à mes parents et Céline leur a appris la bonne nouvelle. Nous allions avoir un bébé.
Elle est repartie le lundi suivant. J’avais eu 2 week end avec elle.
J’allais, quelques fois à Paris, mais il m’était interdis de voir Céline.
Comme promis, elle revint chaque mois, pour une semaine.
Les mois passèrent, son gros ventre la fatiguait. Puis au 7ème mois, elle m’annonça qu’elle ne pouvait plus voyager et qu’elle resterait à Paris.
Je ne voyais plus Céline. Elle était ... absente. Je souffrais l’enfer.
Mes parents ne comprenaient plus rien. Mais je leur dis que ma vie ne les regardait pas et qu’il reste en dehors de ça.
Un jour au bureau, ma secrétaire m’apporta le courrier, et dans ce courrier, une invitation d’un client parisien pour l’ouverture d’un complexe Mode et class.
Je m’y rendis, car j’avais toujours cette capacité de travail qui me permettait malgré ma détresse de gérer mes sociétés. J’en avais même créé, une cinquième, au Maroc et une sixième au Sénégal.
La soirée animée, me rendait euphorique. Quand soudain, je les vis. Antoine et Céline, elle enceinte jusqu’aux yeux, marchait au bras de Antoine. Je voulus les éviter et partir, mais une amie me prit par le bras et me dit qu?elle voulait me présenter son oncle et sa femme.
Elle m’emmena devant Céline et Antoine.
« Je vous présente, Daniel, une ami de fraîche date, mais un homme intéressant, plein de dynamisme. Daniel voici mon oncle, Antoine et sa femme, Céline, comme tu peux le voir, ils attendent un heureux évènement. »
Je restais de marbre, ne sachant quoi faire. Antoine me regardait attendant ma réaction.
Ce fût, Céline qui sauva la situation. Elle me tendit la main et dit :
« Enchantée, Daniel. Très heureuse de vous connaître »
1 mois plus tard, je rentrais tard chez moi.
Je fus étonné de voir de la lumière. Nous étions en mai.
J’ouvris la porte fébrilement, n’osant espérer que ce fût Céline.
C’était elle. Ma Céline était là, dans le salon. Elle me fit signe de ne pas faire de bruit. Elle me désignait l’étage et me dit que notre fille dormait.
Elle avait donc accouché, sans rien me dire.
J’étais sur un nuage, des larmes coulèrent de mes yeux. Des larmes de joie de revoir Céline.
Elle me tendit une lettre. La peur au ventre je l’ouvris. Elle était de Antoine.
« Salut Daniel, mon cher Daniel. Je te renvoie Céline. C’est fini, ma mission est accomplie. Vous êtes tous les deux, maintenant, prêts à vivre votre vie. Tu sais ce qu’amour et souffrance, signifie.
Céline, elle, est une femme accomplie qui saura te diriger , qui saura diriger votre couple. Vous avez une fille magnifique. Elle s’appelle Laure. Mon 2ème prénom c’est Laurent. Etonnant n’est-ce pas ?
Je vous souhaite longue vie et bonheur.
Adieu
Antoine.
Je tombais à genoux, la lettre dans les mains, je pleurais.
Céline se précipita et essuya mes larmes.
« C’est fini, c’est fini, dit-elle, je suis là. Calme toi. »

Petit à petit, nous retrouvions nos repères. Mes parents étaient contents, pour moi.
Céline faisait beaucoup de sport pour retrouver sa sveltesse et son beau corps.
Tout y passer, Sport, massage, sauna, crèmes en quantité astronomiques.
Laure me comblait et je l’aimais comme j’aime sa mère….

Pour nos vacances, mes parents, acceptèrent de s’occuper de notre fille...
Destinations: Marrakech et le Sénégal...
par cpleidf
#1536268
Suite: Elle était plus belle que jamais.
Nous profitions de nos vacances et étions heureux, dans la chambre d’hôtel, nous étions dans le même lit, mais je ne devais pas la toucher. Pas encore, avait-elle précisé.

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La journée se passait à la plage, puis dans les souks. Le soir, au restaurant et dans quelques bars ou boites de nuits.
Un soir, dans une boite, alors que Céline dansait, un jeune arabe d’une vingtaine d’année, est venu me parler :
« C’est votre femme, la blonde, qui danse ? »
« Oui, pourquoi ? »
« Elle est belle, elle danse bien »
Inquiet je demandais :
« Pourquoi voulez-vous savoir, si c’est ma femme ? »
Gêné, le jeune répondit :
« Ben, souvent les couples européens cherches des jeunes pour ... vous comprenez, pour passer de bons moments .... »
Je comprenais, en effet, et cette idée me fit avoir une érection fabuleuse.
Je réfléchis vite.
« Et tu veux quoi, tu proposes quoi ? »
Ses yeux illuminés, il dit :
« je veux la niquer. »
« d’accord, viens à l’hôtel Oasis, dans une heure, chambre 1002. Tu attendras dans le Grand salon et je te ferais demander, tu t’appelles comment ? »
« Afhid »
« Ok, à ce soir »
Lorsque Céline revint, elle me demanda avec qui je discutais. Je lui expliquer mot pour mot ce qui venait de se passer. Elle me fixa droit dans les yeux avec une sorte de défi.
Lorsque nous sommes arrivés à l’hôtel, nous aperçûmes le jeune homme.
Contre toute attente, Céline s’arrêta et l’appela.
Il s’approcha.
« Alors, il paraît que tu veux me baiser ? »
Sans se démonter, l’arabe dit :
« Oui, depuis que je t’ai vu dans la boite de nuit »
« Alors, viens avec nous, inutile d’attendre »
Nous voilà tous les trois, en route vers notre chambre.

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A suivre très prochainement si il y a des amateurs ;-)
par cpleidf
#1537327
suite:

A l’intérieur, Céline, s’est déshabillée, sans plus attendre. Nue, elle a regardé le jeune et lui a demandé de se mettre à poils.
Nu, il nous ai apparu un sexe d’une grosseur exceptionnelle. A demi bandé seulement, il était aussi gros que le mien, bandé. Ses couilles ressemblaient à des balles de tennis, mais presque noires.
« Il s’appelle, Afhid »
« Dis donc Afhid, tu es bien monté »
« C’est ce qu’on dit oui »
Elle s’assit sur le lit et l’attira devant elle. Elle saisi la queue de l’arabe le branla un peu et aussitôt comme un ressort, il se mit à la verticale, totalement en érection.
Elle le suça. Sa bouche distendue par la grosseur de l’objet, s’appliquait à l’aspirer autant que possible. Elle voulu s’arrêter, mais l’arabe, lui retint et lui enfourna à nouveau sa bite dans la bouche et lui dit :
« Suce, salope »

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Il baisait la bouche de Céline avec douceur.
Sans prévenir, il jouit. Céline surprise manqua de s’étrangler et de tout recracher, mais le bougre, avait tout prévu. Il tenait la tête de Céline à deux mains. Il continua de déverser son sperme dans la bouche de ma femme. Elle fut obligé de tout avaler jusqu’à la dernière goutte.

Il se retira et ne débandait pas d’un millimètre.
Il coucha Céline sur le lit, la suça juste un instant, la jugeant, immédiatement prête.
Je m’approchais et je m’assis sur le bord du lit.


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Il se mit sur elle et guida son pieu humide à l’entrée du vagin et sy enfonça d?un seul trait.
Céline jappait, elle soupirait de tout son être. Pleine, sa chatte était pleine de la bite.
Il la baisa alors, avec la fougue de sa jeunesse. Ecartelant ma femme.
C’était grandiose.
Je caressais ses gros seins, en me masturbant de l’autre main.
J’étais au comble de mon excitation.
« Oui, Afhid, baise là cette pute, cette chienne »
A ces mots, Céline cria, cria fort son excitation et alla au devant de la queue qui la pénétrait.

Je poursuivis donc :
« Afhid, prends là, je te la donne. Nique la bien cette salope. Elle fait partie de ces vides couilles européennes qui viennent ici pour ça »
Afhid ne parlait pas, mais baisait, baisait, comme un taureau.
Il ramonait, mon épouse, qui criait sa jouissance en permanence.
Cette grosse queue dans sa chatte, elle était heureuse.

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Afhid annonça son plaisir ma des grognements sourds. Il se répandit en elle.
« ooooohhhhhh, cria Céline, son foutre est chaud. Il m’inonde la chatte. »
Encore quelques coup et il se retira.
Sans laisser le temps à Céline de réagir, je pris la place de l’arabe.
Je la pénétrais, je pénétrais son gouffre béant, devrais-je dire. Mon sexe nageait dans du beurre fondu. Mais peu importe je voulais mon plaisir et elle voulait aussi mon plaisir.
« Putain, salope, tu t’es faite baiser par ce marocain. »
Je baignais dans le sperme de Afhid et dans la mouille de Céline. Mais je voulais durer, encore et encore, jouir de ma femme. Car il y avait si longtemps.
Je me retirais et je vins, à mon tour, dans sa bouche. Elle m’avala et je jouis immédiatement en criant. Elle avala mon sperme à moi aussi.
J’étais fou de désir et d’excitation.
Je remerciais Afhid, et le priais de revenir demain vers 20 heures.
Je me blottis contre Céline, et elle me serra fort contre elle.
« Notre complicité vient de trouver son chemin, dit-elle »
Avatar de l’utilisateur
par nizo
#1538452
C'est pervers, mais délicieusement excitant et bien écrit.

On a presque de la peine pour ce pauvre Antoine, puceau et cocu multi cornes d'une femme qu'il n'a jamais touché.
Mais la perversion nous range du côté de Céline qui s'est laissée si facilement dressée par Antoine multi bites.
L'apogée : être enceinte d'un autre.
Pour beaucoup, ce serait le truc inconcevable, et pourtant dans la réalité, c'est une chose bien plus fréquente que l'on ne croit. Combien d'enfants ne sont pas du père officiel?
Bon, c'est vrai, souvent les pères l'apprennent plutôt après qu'avant, mais beaucoup pardonnent et acceptent la situation en retirant une sorte d'excitation ;) .

Pour moi le passage le plus négatif et surtout le plus cruel du récit, c'est quand elle accouche sans prévenir Daniel et sans qu'il soit là.
par cpleidf
#1541790
Céline était joyeuse, elle me comblait. J'étais plein de fantasme a vivre.
Ma femme, avait appartenu durant 1 an à un homme de 56 ans, dont elle a eu un enfant. J’ai vu cet homme prendre son pucelage, j’ai vu cet homme la baiser.
J’ai vu mon épouse avaler son sperme avec avidité et se faire enculer avec bonheur.
J’ai souffert d’amour et de jalousie.
J’ai connu ce que je voulais connaître.
Je vis mon couple.
Sur ces pensées je m’endormis.
La journée se passa en insinuations, en petits mots, en complicité.
Les hommes du souks lorgnaient Céline, bien que sagement vêtue.
Je disais :
« Ils doivent tous avoir des pensées salaces sur toi »
Elle disait :
« S’ils ont des bites comme Afhid, je les veux bien tous »
On riait et on riait encore.
« Ce soir je vais te prêter à Afhid ... »
« Me prêter, oui je veux bien que tu me prêtes »
Lorsque qu’Afhid arriva, nous étions à l’attendre dans le hall de l’hôtel.
Devant Céline je lui dis ce que j’attendais de lui.
« Afhid, tu vas emmener, Céline avec toi. Cette nuit elle t’appartient. Elle dira oui à tout ce que tu lui diras. Mais tu peux aussi la garder, autant de jours que tu veux. Il nous reste 3 jours à passer à Marrakech»
« Merci, merci je vais la traiter comme une chienne »
« Bon alors allez-y »
Afhid, marchait devant et Céline derrière lui.

Il revint me voir le lendemain matin à l’hotel.
« Bonjour, Daniel, ne t’inquiète pas. Elle va bien. Je m’en occupe. Elle aura beaucoup de chose à te raconter. C’est vraiment une bonne pute. Elle a une sacrée santé, il faut suivre ! T’as de la chance. Tu me permets de la garder, encore »
« Ok, mais pas plus de 2 jours car nous repartons lundi »
« Viens si tu veux la voir, elle est à la piscine de l'hôtel »
Nous nous sommes approchés. Elle était bien là. Un homme était à coté d’elle.
« C’est mon oncle Mohamed, c’est lui qui la manage. Il a une vraie bite de cheval lui me dit-il en riant. Bon je te laisse, à dimanche »… Voila qui n’était pas prévu !

Céline est rentrée à l’hôtel la veille de notre départ à 21h.
Elle était épuisée.
Elle m’embrassa avec passion et se lova contre moi. Son haleine sentait fort une odeur qui ne trompe pas et lorsque me mis sa langue en bouche, je n’eu plus aucun doute. Elle insista d’ailleurs longuement sur le baiser.

« Je crois que j’ai touché le fond, dit-elle en souriant, quel séjour ! »
« Raconte moi »

Elle leva sa jupe et me fit remarquer son string en vinyle, lingerie que je lui connaissait pas.
« C’est un cadeau d’Afhid et de son oncle pour toi »
« Pour moi ? »
« Oui, je vais t’expliquer : J’ai été baisée et enculée par Afhid toute la nuit du premier soir. Le lendemain, il m’a présentée à son oncle. Un homme de 40 ans. J’ai couché avec lui. Il avait lui aussi une queue énorme avec un gland circoncis bien saillant. Quand il m’a enculée j’ai eu mal. J’ai fini par m’y habituer…
Lui il m’a gardé jusqu’à maintenant. Au moins 6 fois par jours, il avait besoin de vider ses couilles comme il me disait. Dans ma bouche, dans ma chatte ou dans mon cul.
J’ai été le vide-couille obéissant de ce marocain pendant ces 2 derniers jours. »

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Son récit me mis dans état pas possible. « Et l’histoire de ta nouvelle culotte ».
« J’y venais. Avant de me raccompagner nous avons fait un détour avec Afhid et son oncle… Il m’ont dit qu’avant de me ramener à mon mari il avait un service à me demander. Un ami à eux qui tient une boutique dans le souk avait fait un pari avec eux. Ils lui avait raconté leur histoire lui disant qu’actuellement ils baisaient à volonté une petite française qui était en vacance. L’homme, qui je le saurai après s’appelle Mounir, avait parié 2500 dirhams que si cette histoire était vraie ils n’avaient qu’à lui amener cette « grosse salope » dont ils lui avaient parlé. Il souhaitait plus que tout se faire sucer par une de ces touristes françaises qu’il voyait à longueur de journée.»

« Et ? » dis-je tremblotant d’excitation et n’ayant pas imaginé qu’elle avait fait tout ça durant ces trois jours.

« Et bien, j’ai accepté de leurs rendre ce service. Je suis arrivée dans la boutique avec Afhid et Mohamed. Le gérant de la boutique a demandé « c’est-elle ?»
« Oui »
« Tu te régales pendant tes vacances au Maroc » dit-il en souriant.
« Oui, le séjour est assez agréable » dit-elle en regardant ses deux amants.
« Ok, si tu es là j’en déduis qu’ils t’ont expliqué notre deal »
« Oui »
« Et tu es d’accord ? »
« Bien sur » dit-elle en passant sa langue sur ses lèvres
« Putain les gars, vous disiez vrai, elle m’a l’air d’être une sacré salope » dit-il en baissant la braguette de son jean et en sortant sa queue.

Céline poursuivit son récit : « Je me mise accroupie genou devant lui et j’ai pris sa queue dans ma bouche. Il n’a pas été long à me balancer de gros jets de sperme que je pris soin de garder dans ma bouche à la demande d’Afhid. Cette demande me surpris un peu lui qui m’a tant fait avalé ce week-end » me dit-elle d’un air taquin.

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« Sperme en bouche, Mohamed me poussa contre la table de l’arrière boutique, m’enleva ma culotte et me mis cette culotte en vinyle que tu as découvert. Il me la mis jusqu’au niveau des genoux puis me pénétra brutalement en levrette. La situation et le fait d’avoir encore ce sperme dans la bouche me firent jouir intensément. Il éjacula et Afhid pris immédiatement la place. Il me fit mettre à quatre pattes, le cul en l’air et me pris également en levrette dans le sperme de son oncle. Il éjacula, se retira et remonta rapidement la culotte en vinyle. Il me firent mettre debout et tout en me tapottant la chatte d’un air satisfait et rieur dirent « ça c’est pour Daniel, du foutre bien frais. Garde encore le sperme dans la bouche tu avaleras quand on te le diras ». Nous repartimes en voiture en direction de l’hôtel et juste devant au moment de me dire en revoir : « c’est bon tu peux avaler maintenant, je pense que cela sera bien frais pour ton mari. Vas le retrouver et sache que tu seras toujours la bienvenue au Maroc ! Bonne fin de vacances. »

« Touche, j’ai encore son sperme qui coule de ma chatte »

Je mis la main dans sa culotte mes doigts pénétrèrent son vagin englué de foutre.
Je ne pouvais pas la laisser ainsi, nous devions tout partager.
Je me mis alongé et lui demanda de s’asseoir sur ma bouche. « Tu es sûr » me dit-elle un peu gêné »

Elle se mit à califourchon sur mon visage et voyant mon excitation et l’humidité de ma queue que je venais de sortir se mis à laisser tomber sur mon visage un filet de bave bien blanc et salé. J’écartais son string et je me mis à la lécher. L’odeur du sperme était très forte. Elle était très excitée.
« Suce mon mari, avale bien, toi aussi, le sperme des arabes qui baisent ta femme. Le cul aussi, lèche mon cul, lui aussi il a pris plein de sperme durant ces 3 jours, oui, enfonce ta langue, ça fait du bien. »
Céline rentrait de 3 jours de liberté, 3 jours durant lesquels elle avait offert son corps à un marocain de 40 ans. Elle lui avait tout offert d’elle. Tout ce qu’en principe une jeune femme réserve à son mari.
Et moi, son mari, je l’attendais, j’attendais qu’elle revienne pour nettoyer les traces de son infidélité.
J’avais envie de jouir, bien sûr, mais l’abstinence dans la jalousie est un merveilleux plaisir.
Je préfère, souvent, attendre, attendre et savoir que je suis cocu. Je la fis jouir avec ma langue, le visage pâteux et la peau collante mais elle ne me rendit pas la pareil, me disant juste que c’était génial avant de s’endormir.
Après un passage, en mes bureaux, le lendemain, nous avons pris un léger retard, mais nous avons pu, nous envoler pour Dakar….


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Messieurs, à vos commentaires sur cette histoire fictive et sur les photos de ma femme ;)
Avatar de l’utilisateur
par nizo
#1542219
Autant le début était délicieusement pervers, autant là on tombe dans le sordide surréaliste.

Désolé donc, mais cet épisode n'est pas à mon gout.
par cpleidf
#1543330
nizo a écrit :Autant le début était délicieusement pervers, autant là on tombe dans le sordide surréaliste.

Désolé donc, mais cet épisode n'est pas à mon gout.


Pas de soucis, n'en étant pas l'auteur, je serai bien mal avisé d'en prendre outrage :twisted:

Il s'agit d'un récit que j'avais récupéré sur le net il y a de cela quelques années et qui brassait de façon plus ou moins fantasmagorique une bonne partie des fantasmes candau.

Pour le coup, vu ton retour et le manque de coms, je me demande si je ne dois pas m'arrêter là lol :?:
par CARTOON76
#1545853
cpleidf a écrit :Céline était joyeuse, elle me comblait. J'étais plein de fantasme a vivre.
Ma femme, avait appartenu durant 1 an à un homme de 56 ans, dont elle a eu un enfant. J’ai vu cet homme prendre son pucelage, j’ai vu cet homme la baiser.
J’ai vu mon épouse avaler son sperme avec avidité et se faire enculer avec bonheur.
J’ai souffert d’amour et de jalousie.
J’ai connu ce que je voulais connaître.
Je vis mon couple.
Sur ces pensées je m’endormis.
La journée se passa en insinuations, en petits mots, en complicité.
Les hommes du souks lorgnaient Céline, bien que sagement vêtue.
Je disais :
« Ils doivent tous avoir des pensées salaces sur toi »
Elle disait :
« S’ils ont des bites comme Afhid, je les veux bien tous »
On riait et on riait encore.
« Ce soir je vais te prêter à Afhid ... »
« Me prêter, oui je veux bien que tu me prêtes »
Lorsque qu’Afhid arriva, nous étions à l’attendre dans le hall de l’hôtel.
Devant Céline je lui dis ce que j’attendais de lui.
« Afhid, tu vas emmener, Céline avec toi. Cette nuit elle t’appartient. Elle dira oui à tout ce que tu lui diras. Mais tu peux aussi la garder, autant de jours que tu veux. Il nous reste 3 jours à passer à Marrakech»
« Merci, merci je vais la traiter comme une chienne »
« Bon alors allez-y »
Afhid, marchait devant et Céline derrière lui.

Il revint me voir le lendemain matin à l’hotel.
« Bonjour, Daniel, ne t’inquiète pas. Elle va bien. Je m’en occupe. Elle aura beaucoup de chose à te raconter. C’est vraiment une bonne pute. Elle a une sacrée santé, il faut suivre ! T’as de la chance. Tu me permets de la garder, encore »
« Ok, mais pas plus de 2 jours car nous repartons lundi »
« Viens si tu veux la voir, elle est à la piscine de l'hôtel »
Nous nous sommes approchés. Elle était bien là. Un homme était à coté d’elle.
« C’est mon oncle Mohamed, c’est lui qui la manage. Il a une vraie bite de cheval lui me dit-il en riant. Bon je te laisse, à dimanche »… Voila qui n’était pas prévu !

Céline est rentrée à l’hôtel la veille de notre départ à 21h.
Elle était épuisée.
Elle m’embrassa avec passion et se lova contre moi. Son haleine sentait fort une odeur qui ne trompe pas et lorsque me mis sa langue en bouche, je n’eu plus aucun doute. Elle insista d’ailleurs longuement sur le baiser.

« Je crois que j’ai touché le fond, dit-elle en souriant, quel séjour ! »
« Raconte moi »

Elle leva sa jupe et me fit remarquer son string en vinyle, lingerie que je lui connaissait pas.
« C’est un cadeau d’Afhid et de son oncle pour toi »
« Pour moi ? »
« Oui, je vais t’expliquer : J’ai été baisée et enculée par Afhid toute la nuit du premier soir. Le lendemain, il m’a présentée à son oncle. Un homme de 40 ans. J’ai couché avec lui. Il avait lui aussi une queue énorme avec un gland circoncis bien saillant. Quand il m’a enculée j’ai eu mal. J’ai fini par m’y habituer…
Lui il m’a gardé jusqu’à maintenant. Au moins 6 fois par jours, il avait besoin de vider ses couilles comme il me disait. Dans ma bouche, dans ma chatte ou dans mon cul.
J’ai été le vide-couille obéissant de ce marocain pendant ces 2 derniers jours. »

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Son récit me mis dans état pas possible. « Et l’histoire de ta nouvelle culotte ».
« J’y venais. Avant de me raccompagner nous avons fait un détour avec Afhid et son oncle… Il m’ont dit qu’avant de me ramener à mon mari il avait un service à me demander. Un ami à eux qui tient une boutique dans le souk avait fait un pari avec eux. Ils lui avait raconté leur histoire lui disant qu’actuellement ils baisaient à volonté une petite française qui était en vacance. L’homme, qui je le saurai après s’appelle Mounir, avait parié 2500 dirhams que si cette histoire était vraie ils n’avaient qu’à lui amener cette « grosse salope » dont ils lui avaient parlé. Il souhaitait plus que tout se faire sucer par une de ces touristes françaises qu’il voyait à longueur de journée.»

« Et ? » dis-je tremblotant d’excitation et n’ayant pas imaginé qu’elle avait fait tout ça durant ces trois jours.

« Et bien, j’ai accepté de leurs rendre ce service. Je suis arrivée dans la boutique avec Afhid et Mohamed. Le gérant de la boutique a demandé « c’est-elle ?»
« Oui »
« Tu te régales pendant tes vacances au Maroc » dit-il en souriant.
« Oui, le séjour est assez agréable » dit-elle en regardant ses deux amants.
« Ok, si tu es là j’en déduis qu’ils t’ont expliqué notre deal »
« Oui »
« Et tu es d’accord ? »
« Bien sur » dit-elle en passant sa langue sur ses lèvres
« Putain les gars, vous disiez vrai, elle m’a l’air d’être une sacré salope » dit-il en baissant la braguette de son jean et en sortant sa queue.

Céline poursuivit son récit : « Je me mise accroupie genou devant lui et j’ai pris sa queue dans ma bouche. Il n’a pas été long à me balancer de gros jets de sperme que je pris soin de garder dans ma bouche à la demande d’Afhid. Cette demande me surpris un peu lui qui m’a tant fait avalé ce week-end » me dit-elle d’un air taquin.

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« Sperme en bouche, Mohamed me poussa contre la table de l’arrière boutique, m’enleva ma culotte et me mis cette culotte en vinyle que tu as découvert. Il me la mis jusqu’au niveau des genoux puis me pénétra brutalement en levrette. La situation et le fait d’avoir encore ce sperme dans la bouche me firent jouir intensément. Il éjacula et Afhid pris immédiatement la place. Il me fit mettre à quatre pattes, le cul en l’air et me pris également en levrette dans le sperme de son oncle. Il éjacula, se retira et remonta rapidement la culotte en vinyle. Il me firent mettre debout et tout en me tapottant la chatte d’un air satisfait et rieur dirent « ça c’est pour Daniel, du foutre bien frais. Garde encore le sperme dans la bouche tu avaleras quand on te le diras ». Nous repartimes en voiture en direction de l’hôtel et juste devant au moment de me dire en revoir : « c’est bon tu peux avaler maintenant, je pense que cela sera bien frais pour ton mari. Vas le retrouver et sache que tu seras toujours la bienvenue au Maroc ! Bonne fin de vacances. »

« Touche, j’ai encore son sperme qui coule de ma chatte »

Je mis la main dans sa culotte mes doigts pénétrèrent son vagin englué de foutre.
Je ne pouvais pas la laisser ainsi, nous devions tout partager.
Je me mis alongé et lui demanda de s’asseoir sur ma bouche. « Tu es sûr » me dit-elle un peu gêné »

Elle se mit à califourchon sur mon visage et voyant mon excitation et l’humidité de ma queue que je venais de sortir se mis à laisser tomber sur mon visage un filet de bave bien blanc et salé. J’écartais son string et je me mis à la lécher. L’odeur du sperme était très forte. Elle était très excitée.
« Suce mon mari, avale bien, toi aussi, le sperme des arabes qui baisent ta femme. Le cul aussi, lèche mon cul, lui aussi il a pris plein de sperme durant ces 3 jours, oui, enfonce ta langue, ça fait du bien. »
Céline rentrait de 3 jours de liberté, 3 jours durant lesquels elle avait offert son corps à un marocain de 40 ans. Elle lui avait tout offert d’elle. Tout ce qu’en principe une jeune femme réserve à son mari.
Et moi, son mari, je l’attendais, j’attendais qu’elle revienne pour nettoyer les traces de son infidélité.
J’avais envie de jouir, bien sûr, mais l’abstinence dans la jalousie est un merveilleux plaisir.
Je préfère, souvent, attendre, attendre et savoir que je suis cocu. Je la fis jouir avec ma langue, le visage pâteux et la peau collante mais elle ne me rendit pas la pareil, me disant juste que c’était génial avant de s’endormir.
Après un passage, en mes bureaux, le lendemain, nous avons pris un léger retard, mais nous avons pu, nous envoler pour Dakar….


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Messieurs, à vos commentaires sur cette histoire fictive et sur les photos de ma femme ;)



Hummm, Quel régal.

Merci pour ce récit trés excitant

Cocu

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